Une Véritable Histoire De Sexe

Ray Mondt est un des traders les plus performants de la place de Paris. Les revenus de sa société de courtage qui vient de clore ses comptes annuels lui ont permis de s'octroyer un salaire supérieur à un million et demi d'euros après Impôt au cours de l'exercice fiscal qui a pris fin 2 mois plus tôt.
Grand et d'allure sportive, Ray vient de fêter ses 36 ans. Ce bel homme brun mesure 1m87 pour un poids de 78 kg et il entretient avec soin son corps harmonieusement musclé. Après une séance de rameur de 30 minutes, il s'apprête à rejoindre la grande douche à l'italienne qu'il a fait installer dans la salle de bain attenante à l'immense chambre qu'il occupe dans son luxueux loft du 6 ème arrondissement de Paris (département 75). Entièrement nu face au miroir qui recouvre les portes de sa vaste penderie, Ray examine avec attention son beau visage aux traits virils et son corps dénué de graisse avant de porter son regard sur l'imposante colonne de chair qui pend entre ses cuisses. Ray est une véritable bête de sexe et son magnifique pénis de 21 cm en érection fait le bonheur de ses nombreuses conquêtes. À commencer par Liz sa secrétaire au tempérament et à la chevelure de feu qu'il a comme à son habitude honoré à deux reprises au cours de la journée. La rousse volcanique a profité cette fois de sa pause déjeuner pour rejoindre son patron dans son bureau. Puis elle a remonté sa jupe jusqu'à la taille dévoilant son mont de Vénus glabre à Ray avant de s'assoir face à lui se reposant sur ses cuisses puissantes prête à extirper avec dextérité sa queue de son pantalon. Une fois l'engin bien en main Liz s'est mise à le branler doucement regardant avec fascination le dard majestueux enfler et durcir entre ses longs doigts vernis. Enfin satisfaite du volume atteint par le pieu turgescent, Liz s'est relevée brièvement avant de se laisser retomber sur la tige dressée s'empalant d'un coup au risque de se perforer la matrice. Après un premier coït aussi bref qu'intense la jeune femme a ensuite supplié Ray de l'enculer sauvagement et l'étalon n'a pas hésité un instant avant de planter son dard dans le fion de Liz et de lui ramoner le fondement comme il l'aurait fait avec n'importe quelle chienne en chaleur.


Alors que nombre de ses collègues traders nt de la cocaïne pour sublimer leur niveau d'éveil et maîtriser leur émotivité, Ray considère depuis toujours que le sexe est une drogue bien plus efficace, et il est persuadé que c'est grâce à sa pratique intense de cette activité qu'il fait partie des meilleurs dans son domaine. En pensant à la magnifique Geri qu'il va sans aucun doute baiser une bonne partie de la nuit dans le vaste lit tout proche, Ray constate avec satisfaction que son membre se redresse aussitôt admirant amusé le gros champignon violacé qui vient frapper énergiquement son nombril luisant de sueur. Le trader pense en effet avoir fait le nécessaire pour mettre toutes les chances de conclure de son côté. Grâce à ses relations, il a pu obtenir pour le soir même une réservation dans le restaurant le plus branché du moment et il n'imagine même pas comment après une telle invitation son rencard pourrait refuser de le suivre dans son luxueux loft.
Geri Maine, jeune et brillante avocate franco américaine de 26 ans, a intégré depuis peu l'un des cabinets d'affaires les mieux côtés de la capitale.
Cette superbe femme blonde élancée d'un mètre 74 pour 57 kilos possède de jolis seins haut perchés, une taille fine surplombant des hanches parfaites et de longues jambes fuselées surmontées d'un cul à damner un saint.
Geri a fait la connaissance de Ray quelques jours plus tôt à l'occasion du vernissage de l'exposition d'un photographe à la mode. La puissance sexuelle du trader entrevue à cette occasion lui laisse espérer la fin imminente de la période d'abstinence à laquelle elle est contrainte depuis plus d'un mois. En effet, Oscar son amant nigérian, un magnifique mâle à la peau noire comme le jais, l'a abandonné depuis plusieurs semaines. Sa mission auprès de l'ambassade de son pays à Paris ayant pris fin, son ministère de tutelle l'a aussitôt envoyé exercer ses compétences à l'autre bout du monde. Au grand regret de Geri qui se souvient avec émotion des formidables orgasmes procurés par le monstrueux phallus d'Oscar.

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Raymond avait découvert le site histoires de sexe un an plus tôt. Depuis ce jour, il se connectait quotidiennement pour découvrir les dernières histoires postées par les contributeurs avec une appétence prononcée pour les confessions d'Olga T et les récits de candaulisme en général même s'il avait du mal à imaginer sa femme Germaine se faire prendre sauvagement devant lui par un vigoureux étalon. Après quelques semaines de consultation assidue, Raymond avait fait découvrir le site à Germaine. Mais celle ci n'était pas une grande lectrice. Elle avait trouvé la plupart des histoires trop longues même si elle avait avoué à son mari apprécier les textes relatant les aventures de belles femmes blanches s'envoyant en l'air avec des colosses noirs montés comme des ânes. Il arrivait depuis à Germaine de rester de longues minutes derrière sa fenêtre à regarder officier Jimmy l'employé municipal chargé de l'entretien des jardins de la résidence. La mère de Jimmy s'était faite engrosser 38 ans plus tôt par Mike un soldat noir américain basé en Allemagne. Celui-ci avait profité d'une permission pour se rendre à un bal organisé dans le village où résidait la mère de Jimmy qu'il avait séduite à cette occasion avec pour résultat la naissance neuf mois plus tard d'un bébé joufflu et crépu. Cachée derrière sa fenêtre, Germaine se demandait depuis quelque temps ce que le batard mulâtre pouvait cacher dans son pantalon.
Après une longue hésitation, Raymond avait enfin franchi le pas. Il s'était inscrit sur son site préféré pour pouvoir poster sa première contribution et elle venait d'apparaître le jour même dans la liste des nouveaux récits. Ce n'était d'ailleurs pas n'importe quel jour. Cela faisait exactement 40 années que Raymond avait épousé Germaine et il était bien décidé à fêter l'événement à sa juste valeur. Par un curieux effet du sort, le couple s'était marié un 29 février et au bout de quelques années de vie commune, ils s'étaient résolus à ne fêter l'événement que tous les 4 ans espérant peut être par ce moyen que leur union s'userait moins vite que les autres.

Pour rédiger son histoire de sexe, Raymond avait puisé une bonne partie de son inspiration dans son existence pourtant bien éloignée de celle des protagonistes de son récit. Ainsi les noms de ses personnages étaient clairement dérivés du prénom de sa femme et du sien. Leurs mensurations avaient été subtilement obtenues en permutant les chiffres de celles du couple. Le mètre 78 pour 87 kilos de Raymond avait ainsi fait place au mètre 87 et aux 78 kilos de Ray. Tout comme la taille de 12 cm atteinte par son sexe en érection. Même traitement pour Germaine dont le mètre 47 et les 75 kilos avaient été avantageusement remplacés par les proportions idéales de Geri. Cela faisait bien longtemps que Raymond avait passé le cap des 36 ans et les 26 ans de Germaine étaient encore plus éloignés. Mais ces valeurs n'étaient pas anodines puisque le mari était réellement âgé de 63 ans et son épouse tout juste de 62.
Bien sûr le couple ne vivait pas dans un somptueux appartement parisien mais bien dans un modeste HLM d'un village de Moselle (département 57). Comme son héros Raymond était plutôt doué pour gérer l'argent. Après tout, cela faisait près de 20 ans qu'il était trésorier de l'association de pétanque du bourg et il n'était pas mauvais pour les paris sportifs ayant même gagné quelques années auparavant plus de 800 euros en jouant au tiercé. Bien sûr seuls les 3 premiers chiffres de ses revenus étaient comparables avec ceux de son héros puisque sa retraite ne lui avait rapporté que 15 000 euros l'année passée et ce montant était bien insuffisant pour que le couple paye des impôts. Et ce n'était pas la pension riquiqui de Germaine qui couvrait à peine le loyer et les charges d'électricité du HLM qui aurait pu modifier cette situation. Germaine passait une grande partie de ses journées et de ses soirées devant la télévision. C'était une grande fan des séries américaines avec une prédilection avérée pour celles mettant en scène des cabinets d'avocats ou des tribunaux.
Elle avait ainsi adoré la loi de Los Angeles et Ally Mac Beal. C'était désormais la série "Bull" qui retenait son attention grâce notamment à l'acteur principal qu'elle trouvait fort séduisant bien qu'il ait pris tout comme elle un certain embonpoint avec l'âge. Pour leur anniversaire de mariage, Raymond avait prévu d'emmener Germaine dîner chez Luigi un restaurant italien situé à moins d'un kilomètre de leur résidence.
Pour l'occasion, l'homme avait ressorti la cravate que lui avait légué son père ainsi que la veste qu'il portait lorsque son chef lui avait remis la médaille du travail bien des années plus tôt.
Germaine s'était elle aussi mise sur son Trente et un. Avec l'aide de son mari elle avait réussi à rentrer dans son vieux corset dont la fonction principale était d'aplatir les bourrelets accumulés au fil des années. Grâce à cette pièce de lingerie d'un autre âge elle avait pu ensuite enfiler sa robe noire achetée à une époque où elle pesait 15 kg de moins. Germaine avait aussi passé pas mal de temps dans la salle de bain pour se consti un maquillage digne de l'événement du jour et après avoir enfilé ses vieux escarpins et son manteau en fausse fourrure elle était fin prête pour se rendre au restaurant. Malheureusement elle avait quelque peu exagéré l'utilisation du fond de teint et du rouge à lèvres et avec sa coiffure rebelle et son manteau élimé, Raymond trouva qu'elle ressemblait à une vieille pute après une nuit de tapin. Mais il se garda bien de le faire savoir à Germaine.
Les deux époux étaient assis face à face à une petite table située dans un coin de la salle du restaurant. Ils sirotaient tous les deux un Kir royal en grignotant les olives apportées par Benito le fils du patron. Ils avaient prévu de commencer le dîner par une assiette d'antipasti maison. Pour la suite, Raymond avait opté pour une escalope milanaise tandis que Germaine avait préféré l'escalope normande proposée en plat du jour.
Le repas accompagné d'un pichet de Chianti se déroula pour le mieux et Luigi se déplaça à leur table avec la bouteille de Grappa pour offrir le digestif au couple après qu'ils eurent ingurgité leurs crèmes brûlées.
De retour vers leur appartement Raymond et Germaine se tenaient la main. L'alcool consommé au cours du repas leur permettait d'affronter bravement la température hivernale. Une fois le domicile réintégré, le mari embrassa tendrement son épouse avant de la conduire dans la chambre. Il l'aida ensuite à se déshabiller et lorsqu'ils furent nus tous les deux Raymond demanda à sa femme de s'étendre sur le lit les jambes légèrement écartées. Puis il vint se positionner au dessus d'elle bien décidé à se lancer dans un périlleux soixante neuf. Lorsque l'entrejambe de Raymond fut au dessus de sa tête, Germaine attrapa la base de la petite bite qui semblait la narguer et engloutit d'un coup le gland dans sa bouche. De son côté, Raymond avait pu se frayer un chemin entre les replis de chair de son épouse et il s'était mis à lécher sa fente intime faisant fi de l'odeur mêlée de sueur et de crevette défraichie exalée par le vieux minou tout pelé. En outre comme il l'avait craint lorsque Germaine avait passé sa commande au restaurant, sa femme éprouvait des difficultés à digérer les champignons servis avec son escalope et elle ne put retenir plusieurs flatulences particulièrement corsées. Évidemment ces incidents perturbèrent Raymond bien décidé malgré tout à conserver l'abnégation nécessaire pour amener sa femme jusqu'à l'orgasme même si sa propre excitation était retombée à zéro après les vents qu'elle venait de lui infliger. De toute façon, Germaine gênée par le ventre proéminent de son époux et la longueur trop courte de sa bite au repos avait fini par abandonner sa tentative de fellation préférant se focaliser sur son propre plaisir alors qu'elle commençait à ressentir les effets de la caresse prodiguée par Raymond. La respiration de plus en plus haletante de sa femme redonna du baume au coeur du retraité et il s'appliqua jusqu'à ce que Germaine jouisse bruyamment en arrosant le visage de son époux d'un copieux jet de cyprine avant de lâcher un long pet sonore.
Raymond attendit quelques secondes le nez pincé avant de se redresser et de venir se coucher sur son épouse pour la pénétrer dans la position du missionnaire. Raymond avait beau donner de violents coups de reins, il ne ressentait pas grand chose. Sa petite bite molle s'était perdue dans le vagin trempé et dilaté par l'excitation préalable à l'orgasme de sa femme. En désespoir de cause, le mari déçu imagina alors que la magnifique Geri était couchée sous lui et qu'elle s'offrait sans retenue pour son plus grand plaisir. Sa queue réagit enfin commençant à enfler et à remplir la chatte béante de sa compagne. Raymond s'éreinta ainsi de longues minutes et il en fut récompensé lorsque transporté par une jouissance libératrice, il sentit que sa semence s'écoulait dans le fourreau intime de Germaine.

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