Petit Fantasme...

Je marche dans la rue. Une voiture se gare à côté de moi, mais je n'y prête pas attention, c'est très courant. D'un seul coup, je ne vois plus rien, on m'insère un foulard dans la bouche que l'on attache derrière ma tête, et un bandeau sur mes yeux.
Un homme m'encercle, je ne peux pas bouger, et on me jette dans une voiture. Je n'ai même pas eu le temps de me défendre.

Quelques temps plus tard, la voiture s'arrête. On me descend, et j'entends quelqu'un frapper à une porte. Elle s'ouvre, on m'avance, puis se referme. Tout ceci sans un mot.
On me change de pièce. On attache mes mains en hauteur, juste assez pour que je puisse tenir debout. On me met des anneaux aux pieds, et l'on commence à me déshabiller. Je suis tétanisée de peur, je n'ose pas me débattre. Mon pantalon, mon slip sont retirés. Je sens quelque chose de froid contre ma hanche. Une paire de ciseaux découpe mon tee-shirt et mon soutien-gorge afin d'être retirés à leur tour.
Je suis désormais totalement nue. Un genou force entre mes cuisses afin que je les écarte. Mes anneaux sont accrochés au sol pour que je ne puisse plus rapprocher mes jambes. Je ne peux plus bouger.

Une paire de mains se pose sur mon corps. Elles glissent le long de mon cou, puis descendent sur mes seins, qu’elles triturent, caressent, titillent, pincent. C’est à la fois douloureux, et agréable. Une bouffée de chaleur m’envahit. Puis, une des mains quitte mon sein gauche et se dirige vers mon sexe. Le geste est brutal, les caresses sont rapides et puissantes. D’un seul cou, un doigt s’immisce dans mon vagin. Je frissonne, j’ai mal. Ma chatte n’avait pas encore eu le temps de mouiller. Je comprends alors que mon corps ne m’appartient plus, je me fais posséder.

Quelqu'un va et vient, et le doigt se retire. Les deux mains viennent alors se positionner sur mes hanches. Une langue fait suite aux précédentes caresses.
Les mouvements sont plus doux. Mes seins se durcissent sous le plaisir.

La langue prend bien le tps de les sucer, les avaler. Puis elle aussi se dirige vers mon sexe qu’elle humidifie merveilleusement bien.
Elle contourne mes lèvres, joue avec mon clitoris, tente de pénétrer dans mon vagin. Ma cyprine se mélange à la salive.
Je profite réellement de la situation, et je voudrai que cet instant dur longtemps, mais ça ne sera pas le cas.

L’homme stoppe net ces « préliminaires », et c’est alors que je sens un sexe bandant se frotter à ma chatte toute mouillée. Il se base juste à l’entrée du vagin, sans s’y introduire. Je n’attends que ça, qu’il enfonce son membre dans mon sexe, mais non, l’homme vient se placer derrière moi. Je sens son souffle dans mon dos. Il ne me touche pas.
C’est alors qu’un autre homme, placé devant moi, pénètre sans ménagement mon sexe. Sa verge est grosse, des frissons parcourent à nouveau mon corps. Je devrais me réjouir, mais quelque chose me dit que ce n’est pas terminé.

En effet, l’homme qui venait de m’assaillir reste immobile dans mon vagin, et passe ses mains sur mes fesses afin de les écarter. L’homme qui était derrière moi, enfonce son sexe dans mon anus aussi brutalement que le fit le premier dans mon vagin. Un cri de douleur est étouffé par le foulard, et des larmes coulent sur mes joues. Je tente de rapprocher mes deux cuisses spontanément, mais je ne peux pas. L’homme devant moi les lèche, et passant près de mon oreille droite, il murmure « chut ».
Les va et vient commencent, leurs souffles, chauds et humides, frappent mes épaules et ma poitrine. Leurs sexes se réunissent au milieu de mes entrailles.
Les premières pénétrations sont douloureuses, mais finalement mon corps s’adapte, mon anus se dilate. Le désir monte en moi. Je tente de me cambrer mais les menottes me l’interdisent, je suis réduite au strict minimum. Je jouis, je tressaute de plaisir. Mon orgasme est partagé entre douleur, peur, excitation, envie…
Après les contractions de mon vagin et de mon anus, les deux hommes se retirent sans mm n’avoir éjaculer.
Je me sens vidée, je ne tiens plus sur mes jambes.
On me détache. J’ai du mal à marcher. On me place à califourchon sur une poutre, on attache à nouveau mes chevilles, et mes menottes au sol, de telle manière que ma poitrine soit plaquée contre la poutre…

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