Il Y A Jeux Et Jeux !!!

Il a oublié son téléphone et fait demi-tour. Mais il voit un homme "louche" qui sonne à la porte de la maison. Sa surprise va être déstabilisante.

C'est une maison cossue dans une petite impasse. Elle a l'avantage d'être à une portée de bus de la fac de médecine et de l'hôpital universitaire. C'est facile pour moi. Je suis en cinquième année de médecine. J'y habite depuis deux ans. J'occupe une partie du premier étage, un studio alors que les propriétaires vivent au rez-de-chaussée. Ils ont la cinquantaine. Monsieur est cadre dans une entreprise pour laquelle il voyage beaucoup. Au départ de leurs s la maison a paru bien vide et surtout sa femme, Denise, a commencé à angoisser de vivre la plupart du temps seule. La présence d'un locataire la rassure. Ce sont des gens sympathiques.
Aujourd'hui j'ai travaillé chez moi toute la matinée. J'ai un accord avec ma logeuse pour l'informer, dans la mesure du possible, de mes absences. Elle sait donc que je suis là. Je ne me sens pas du tout "fliqué" et je comprends que cela la rassure.
En partant je lui confirme par un "Je pars" auquel elle répond du fin fond de son appartement par un 'Bonne journée".
La rue est calme. Beaucoup de propriétaires travaillent et personne d'autre ne fréquente l'impasse.
Mais à 200 mètres je me rends compte que j'ai oublié mon téléphone. Il m'est indispensable car c'est lui qui me sert de "Sésame" dans les parties réservées à la fac.
Je fais demi-tour. Je suis presque arrivé que je vois quelqu'un devant la porte de la maison. Quand je dis, je vois, je devrais plutôt dire, je devine, car c'est par une ouverture dans la haie touffue. C'est aussi un reflet métallique qui attire mon attention. Je ne vois pas la tête de la personne….On dirait qu'elle porte un foulard…Non, pas un foulard, plutôt une cagoule et ce qui brille ressemble à …..
Non, je me fais des idées. Comme disent mes parents " avec toutes ces séries on imagine du danger partout".


Mais la porte a du s'ouvrir car la silhouette disparait.
Je suis à moitié rassuré. Et si c'était un voleur….ou pire…Il y a des malades partout. J'ai même entendu parler d'une personne qui s'était introduite dans la morgue et avait…éjaculé sur le cadavre d'une femme. Mais la rumeur disait qu'il avait fait encore pire. Breee, cela me fait des frissons. Comment peut-on ? Mais Denise n'est pas morte. Un sadique ! Un violeur ! Manifestement, il devait guetter mon départ. Je devrais appeler la police. Merde je n'ai pas mon portable. Chez les Fram….il y a souvent une femme de ménage. Je traverse la rue. Je sonne. J'insiste. Personne.
Que faire ? Je retourne vers la maison. Je colle mon oreille contre la porte. Rien, silence. Que faire ? Le temps d'aller pour trouver un téléphone et le pire peut arriver avant !
Téléphone ! Mais bien sur le mien. Il suffit que je ne me fasse pas remarquer. Ils ne doivent pas être dans l'entrée, j'entendrais…
J'ouvre. Tel un cambrioleur je guette chaque bruit. Rien. La porte s'ouvre sans un bruit. C'est un peu grâce à moi, Denise se plaignant d'un grincement énervant j'ai mis quelques gouttes d'huile, huile d'olive, sur les gonds.
Personne dans l'entrée. Pas de bruit non plus. L'escalier pour l'étage est à droite. Je commence à monter…Mais ce silence est troublant…Je redescends…A droite la cuisine, porte close. Le couloir après donne vers les chambres. Silence et je vois que les portes sont ouvertes par la lumière illumine le passage. Je fais quelques pas vers la double porte du salon-salle à manger. Elle est entrouverte. Je ne vois rien, l'angle de vision est trop étroit.
Si par les vitres de la bibliothèque l'image de deux silhouettes est visible. Le reflet est mauvais mais tout de même assez pour constater le contraste entre les deux silhouettes. Une, du moins le haut parait bien claire comparée au noir de ce qui doit être la cagoule et des vêtements.
Mais le plus inquiétant c'est le silence.
Et puis une silhouette bouge, cachant l'autre. Ma décision est prise.
Sans bruit je retourne vers l'escalier, monte dans mon studio, trouve mon téléphone et compose le 17. Une voix me dit de patienter. Je réfléchis à ce que je vais dire. Que j'ai vu, non entrçu, une silhouette avec un masque. Qu'il est entré. IL ? Pourquoi IL ? Pourquoi pas ELLE ? Et ce qui brillait ? Une arme ? Un bijou ? La cagoule, un foulard un peu trop couvrant ?
Non. Je raccroche. Il faut que je vérifie avant de déclencher une alerte pour rien, juste parce que mon imagination a dérapé.
Je redescends. Toujours le silence. Un coup d'œil dans le reflet me montre que maintenant une silhouette est vraiment plus claire que l'autre, toute la silhouette.
Le salon est illuminé par un soleil que des rideaux atténuent à peine. L'entrée est plus sombre. Je me dis que je peux tenter le coup. Si je suis découvert j'aurai le temps de me sauver dans la rue.
Je pousse le bâtant entrouvert. La partie salon devient plus visible. Ils sont là. C'est ma logeuse qui attire tout de suite mon attention. Elle est là, nue, immobile, silencieuse. L'homme, car c'est un homme, avec une cagoule et ce qu'il tient dans sa main est une arme, pistolet avec un canon brillant, est à côté d'elle.
C'est donc bien un malade, voyeur, et surement plus comme il maintient sa victime sous la menace de son arme. Victime dénudé avec….C'est étrange. Elle est nue et pourtant….Un objet métallique brille sur sa poitrine. C'est plus qu'un objet. Un assemblage de chainettes qui part de chaque téton manifestement accrochée à la pointe mammaire avec une pince. Partant donc de chaque téton, les chainettes se rejoignent pour monter entre le sillon de la poitrine et venir s'accrocher à une sorte de collier de cuir noir. J'ai déjà vu ce genre d'objet sur des sites un peu spécialisés, genre BDSM. Denise portait donc cela ? A moins que ce soit l'homme qui lui a mis ? L'homme qui joue avec son arme. Il la promène sur le corps de la femme, déclenchant des frissons sur sa victime.

Denise est comme paralysée. Elle ne bouge pas. Elle ne cherche pas à esquiver l'objet qui se promène sur son corps, entoure un sein, titille un téton, tire sur la chaine vers le haut entrainant avec elle les pointes de ses seins qui paraissent bien saillantes. Elle est paralysée mais son visage ne montre pas de véritable peur. Pas de grimace, pas de pleurs. Elle parait résignée.
L'homme d'un geste lui fait signe de se tourner. Elle obéit sans un mot, sans un geste de refus. Elle a dû décider de ne pas prendre de risque, l'arme appuyant la demande de l'inconnu d'une menace trop forte.
Mais mon regard est attiré par un objet, une chose qui pend, semblant sortir de nulle part, comme de la fourrure, une queue d'animal. Je ne suis pas le seul à découvrir cette excroissance incongrue.
L'arme appuie avec insistance sur la nuque. Denise se penche. Un fauteuil lui sert d'appui. L'homme s'empare de ce qui ressemble à une queue de renard ou autre, en tout cas une queue assez courte. Il joue avec, la tourne, la tire un peu et je comprends à ses mouvement que ma logeuse a un gode dans les fesses, un plug probablement. J'ai déjà eu l'occasion d'en voir. Mon métier m'a fait découvrir tout ce que l'imagination des hommes et des femmes peut glisser dans un anus. Fruits et légumes qui se brisent et ne veulent plus sortir. Objets adaptés ou pas pour remplir le cul, qui vont trop loin et qui ne peuvent ressortir qu'avec une aide extérieur. Alors j'en ai vu des godes, des plugs qui ont joué la fille de l'air et que des poussées maladroites ou trop fortes ont plongés entièrement dans l'abime sombre du conduit anal. Après la libération il faut voir sur le visage du patient ou de la patiente le soulagement mais aussi la honte. Peut assument par un "je ferai plus attention la prochaine fois".
C'est donc un plug.
Il la fait se redresser.
La question que je me pose est que l'homme semblait presque étonné de ce qu'il a découvert. Donc ce n'est pas lui….
Et si ce n'est pas lui, alors qui…Ma logeuse avait ce truc dans les fesses ? Les pinces à téton aussi ?
Je regarde Denise d'un autre œil. Ainsi elle s'équipe de ces jouets! Pourtant son mari est en déplacement. Pour qui cette préparation ? Pour son plaisir personnel ? L'inconnu a t'il perturbé un projet ?
Une idée me vient. Elle m'avait dit que souvent lorsque son mari est absent, ils se font un Skipes.
""C'est mieux que le téléphone simple. Cela ne remplace pas une présence mais au moins on peut se voir. C'est pas toujours facile à organiser avec les décalage horaires"".
Et si le couple se donnait des rendez-vous virtuels pour jouer à des jeux que les jeunes ont inventés ? L'inconnu aurait donc troublé un rendez-vous ?
Mais l'inconnu montre qu'il veut un peu plus. Il ouvre sa braguette, pousse le slip et fait apparaitre un sexe avec un début d'érection.
Ils sont face à face. Denise regarde ce que l'homme a sorti de son pantalon. Elle lève la tête et doit croiser le regard de l'homme. Que voit-elle ? Elle doit bien deviner ce qu'il veut et la main qui appuie sur son épaule lui indique le chemin. Là aussi, elle ne résiste pas. Elle se penche, se baisse et finit par s'agenouiller sous la pression insistante de la main.
La main s'est maintenant posée sur sa tête et la guide vers ce que tous deux savent être le but. Le silence est total. On entend juste le champ des oiseaux dans le jardin. L'homme soulève son sexe et en frotte le gland contre les lèvres closes. Son insistance est manifeste. Elle cède non sans lever un regard que je ne peux vraiment voir mais qui doit être implorant. C'est à nouveau la pression qui lui répond.
Les lèvres s'entrouvrent. Le gland est poussé et un peu plus. Déjà on devine que le sexe durcit.
Cela suffit. Je vais appeler la police et ensuite intervenir.
Les deux mains emprisonnent la tête. Le sexe est poussé dans la gorge. L'homme gronde de satisfaction.
Le salaud.
Mais le poignet de la main droite montre une montre que j'ai déjà vue. D'abord, l'habitude est de porter sa montre sur le poignet gauche. En plus elle est caractéristique. Je l'ai déjà vue. Oui je l'ai vue portée par un homme que j'ai rencontré ici, dans ce salon. Je m'étais extasié devant cet objet, véritable "merveille" de l'horlogerie Suisse, montre d'Aviateur. Denise était présente pendant l'échange que j'avais eu avec cet homme. Alex je crois.
Il n'a pas caché ce bijou si particulier ! Ma logeuse n'a pas pu ne pas le remarquer ! S'il avait voulu se transformer en "prédateur anonyme" il aurait été plus discret. C'est comme si il avait une enseigne qui clignotait aux yeux de ses proches et amis:
"""C'est moi. C'est Alex……Alex……Alex……."""
Je comprends mieux le calme de ma logeuse, dès le début elle savait. Si cela se trouve, les deux amants avaient préparé ce scénario. Ou bien il lui avait fait la surprise.
Les deux mains ne laissent pas de liberté. L'homme envahit la gorge de la femme. De la salive s'échappe des lèvres, le mandrin brille lorsqu'il sort pour laisser un peu de répit.
Le silence n'est plus. Oh pas de hurlement! Non juste des grognements de satisfaction de l'homme et des gargouillis qui s'échappent de la gorge de Denise, gargouillis assez forts cependant pour atteindre mes oreilles.
Denise ! Jamais je n'aurais imaginé qu'elle était si…Toute les apparences d'une femme honorable, et même si j'ai assez vécu pour savoir que l'honorabilité peut faire bon ménage avec une sexualité affirmée. Mais pas à ce point. Avec un amant en plus ! Elle trompe son mari. Et ces accessoires ! Et cette soumission acceptée! Et cette gourmandise pour faire de son mieux, de ne pas refuser de tels élans.
Heureusement que je n'ai pas appelé la police. La honte pour moi et pour elle. Au moins ainsi elle ne se doute pas que je sais. Je ne veux pas que pour éloigner " quelqu'un qui sait" elle me chasse du studio. Je suis trop bien ici, presque à la campagne, près de tout, loin de rien.
Mais l'homme bouge. Il lui fait signe de se lever. Je vois son visage. Des traces humides ont détruit son maquillage. Mais j'imagine que cela fait partie du jeu. Il la pousse. Merde il la dirige vers moi. Je recule, monte les escaliers en essayant d'être discret. Je m'arrête à mi étage. De là on ne me verra pas. Ils arrivent. Je pense qu'il va l'emmener dans la chambre. Mais non, il traverse l'entrée et disparait.
Je comprends que c'est au sous-sol qu'ils vont.
Au sous-sol ?
Et si je m'étais trompé ! Si ce n'était pas un jeu entre adultes consentants ! Si l'homme n'était pas celui que je pense avoir identifié ? Après tout il n'est pas le seul à porter sa montre au poignet droit et elle n'est pas un exemplaire unique.
Sans bruit je redescends. La porte est restée ouverte. Il fait sombre. Je souris, et pourtant ce n'est pas le moment, au " Ce n'est pas Versailles ici" qui incite à éteindre derrière soi. Un couloir sombre aussi mais éclairé indirectement par une porte restée ouverte.
Une porte ouverte. Une porte qui sert de transition entre un couloir basique de sous-sol, avec une pièce chaude, chaleureuse. On dirait une chambre…Non, une salle de…De, je ne sais pas. Une chambre car il y a un lit. Un salon car il y a un canapé. Un boudoir car les murs sont tendu de tissus avec de nombreux miroirs et le sol est recouvert de moquette. Mais pour le reste, les miroirs, le hamac, cette sorte de croix en bois, ce prie-Dieu de forme bizarre, les cordes qui pendent du plafond, cela ferait plutôt penser à autre chose.
Mais oui c'est une tour….Non, ce n'est pas ça….Un lieu pour les adeptes de la sexualité "dirigée"…Un, oui, voilà le mot c'est "Donjon". Le matériel est donc "pensé" pour des jeux de Domination.
L'homme connaissait cet endroit puisqu'il avait poussé Denise dans cette direction. J'habite ici et jamais je n'aurai pensé. De toute façon une fois la porte qui donne accès au sous-sol fermée, il peut bien se passer n'importe quoi que je n'entendrais pas.
Et si l'homme connait, c'est qu'il est déjà venu. Le mari aussi évidemment. Décidemment le couple gentillet a des occupations qui sortent de l'ordinaire.
Déjà L'homme dirige sa…..Sa quoi ? Complice ? Partenaire ? Maitresse ? Soumise ?
Peu importe le mot. Le pistolet n'est que le prétexte! Il doit l'exciter ! La faire mouiller ! Denise, salope, cochonne, je vais avoir du mal à croiser ton regard après cela.
C'est un prie dieu, part le fait qu'on se place à genoux. Mais ce n'est pas le prie dieu que l'on trouve dans une église ou alors ils ont bien changés depuis ma dernière visite.
Elle est à genoux, les pieds entravés. Son buste repose maintenant sur la partie horizontale avec une sangle qui la bloque. Les bras reposent de part et d'autre de son corps, entravés aussi. C'est comme une position de levrette mais "levrette prisonnière".
Tout cela s'est passé en peu de temps. Chacun savait ce qu'il avait faire. Elle, se placer, Lui, de refermer les sangles. Manifestement ce n'est pas une première fois.
Alors l'homme descend son pantalon et son slip. Ainsi il est plus "confortable" et sa bitte tendue peu se balancer librement. Il lui met dans la bouche. Elle ne refuse pas. Pendant un bon moment il la baise ainsi. La pièce se remplit de bruits gluants.
Mais il a envie de différent. Il fait le tour. La croupe qu'il découvre est étonnante avec cette queue de renard qui sort du petit trou. Il la soulève et place son mandrin. Il pousse. Il entre en pays conquis. Ma salope de logeuse doit être humide d'envie. Elle doit le sentir passer, le cul déjà remplis avec un plug qui ne doit pas avoir envie de céder un peu de place à un bâton de chair qui avance en se frottant. Mais la coquine doit avoir l'habitude.
Les bruits humides sont remplacés, accompagnés par d'autres bruits plus "humain", de gémissements, de petits cris, de cris plus puissants qui démontrent si c'était encore nécessaire que ma logeuse est une actrice emportée par son rôle.
Menacée par un inconnu. Obligée de se dévêtir et montrer à l'homme qu'elle cache son jeu derrière une attitude de bourgeoise bien sous tous rapport…..Tiens c'est drôle cette expression "bien sous tous rapports". Il y a rapports et rapports !
Elle jouit. La salope elle n'a plus rien de la femme menacée. Elle crie son plaisir, sa jouissance alors que l'homme la traite de tous les noms et parfois claque les fesses rebondies.
Le silence revient doucement. Les respirations se calment.
L'homme détache les liens de sa prisonnière. Elle se relève.
Je commence à m'éloigner sans bruit dans le couloir. S'ils sortent de la pièce avant que je remonte, ils me verraient. Je fais quelques mètres mais:
—Salaud. On fait moins le malin maintenant.
C'est la voix de Denise qui me surprend. Je fais demi-tour. Je jette un œil précautionneux et découvre une scène étonnante.
Ma logeuse tient le pistolet dans la main et menace son "tourmenteur". Elle a dû le prendre par surprise. Mais non voyons, c'est un jeu. Peut-être, mais je comprends que ce n'est pas finit.
—Avance….. Mets-toi là…Met ton poignet dans la menotte…..Ne bouge pas, la gâchette est sensible….
Il est dans le hamac, enfin dans ce que je croyais être un hamac mais qui en réalité est prévu pour autre chose.
L'homme, Alex, est allongé, bras et jambes attachés dans une position qui lui laisse peu de liberté de mouvement.
Il suit du regard celle qui vient d'inverser les rôles. Il la voit comme moi se saisir d'un objet, un gode qu'elle installe, la transformant en "mâle" artificiel avec la tige sombre, imitation d'un sexe d'homme, un sexe en érection et de bonne taille que des sangles maintiennent contre son pubis.
—Non, pas ça….S'il vous plait.
Mais la voix n'est pas bien convaincante. En tout cas n'empêche pas Denise de se rapprocher du hamac. Elle étale religieusement de la crème grasse sur le gode, le massant, simulant de le branler.
Pas de nouvelle supplique. Chacun sait ce qui va se passer. Décidemment je vais de surprise en surprise. Alex, va se faire posséder par sa complice.
Elle le maintien par les cuisses. Je ne peux pas voir la "scène de crime". Mais le long soupir, le sourire de l'enculeuse, les deux corps qui se rapprochent m'indiquent que le mandrin synthétique avance au plus profond du prisonnier.
La suite est une explosion. Denise se déchaine. Elle se sert de l'effet balançoire du hamac pour attirer l'homme et le repousser l'enculant avec force et le libérant l'espace d'un instant avant de le posséder à nouveau. Le bruit des chairs qui se heurtent est accompagné à chaque fois d'un soupir d'Alex, comme si le gode chassait l'air de ses poumons pour en expulser un râle que ne renierait pas une salope qu'on encule.
Elle est infatigable. Evidemment son gode pourrait posséder jusqu’à la fin des temps. Mais tout a une fin. Alex couine de plus en plus. J'ai vu qu'une main de Denise avait quitté la cuisse pour partir dans le grand "V" du triangle des jambes. Elle doit le caresser.
Le ""Ahhhhhhhhhhhhhh"" résonne dans la pièce. La femme ralentit pour s'arrêter.
Et puis elle se dégage me remontrant cette excroissance si troublante. Elle s'en débarrasse. Elle fait le tour de ce hamac si particulier pour aller vers l'homme. Elle lui retire se cagoule.
C'est bien lui, c'est Alex. Elle dépose un baiser sur ses lèvres. Elle commence à le détacher.
Je me sauve. Cette fois ci aucun cri ne me fait retourner. Je quitte la maison en refermant sans un bruit.
Waouh !

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—Stephan vous avez une minute ?
C'est la voix de ma logeuse. Pourtant je n'avais pas fait de bruit, je n'avais pas envie de la rencontrer encore perturbé que j'étais comme témoin involontaire ce matin. Je ne juge pas, chacun est libre de sa sexualité. Mais j'avais été troublé par la vision de cette femme passant d'un rôle de soumise à celui de dominatrice avec une facilité déroutante. J'avais peur en la voyant tel que je l'avais toujours vue, bourgeoise digne, mère de famille, épouse qui paraissait irréprochable, femme qui montrait une tendresse évidente envers son époux….Oui j'avais peur de ne pas pouvoir chasser de mes yeux la femelle soumise, criant son plaisir, la dominatrice possédant son amant, celui qui venait de jouer le rôle du prédateur sexuel. Toute la journée j'avais revu ces moments si particuliers. Je m'étais même surpris à bander…
—Oui, Madame, j'arrive.
Elle m'attend dans le salon. Elle me salue comme toujours.
—Asseyez-vous je vous prie. Je voudrais que nous parlions.
J'obéis. Nous sommes face à face. Le fauteuil qu'elle a choisi est justement celui où elle s'est appuyée ce matin offrant sa croupe au regard de Denis. Sa croupe et ce qui pendait de son petit trou. J'avais vu au sous-sol ce qu'elle avait en elle. Le plug était gros, métallique, brillant de la forme caractéristique de cet objet profilé pour cet usage….
""Arrête, arrête, tu vas bander. Me dit la voix de la raison, en prise directe avec mes pensées""
—Oui, que nous parlions….Elle hésite et puis….de ce qui s'est passé ce matin.
Merde, elle a des soupçons. Pourtant j'ai été très prudent….
—Ce matin ? Je fais, feignent l'ignorance.
—Oui, ce matin. Je sais que vous étiez là pendant que je…Que nous….Enfin vous voyez bien. Alex vous a vus dans la vitre de la bibliothèque et puis aussi au sous-sol. Il ne m'a rien dit. Seulement après, en disant que votre présence l'avait…..Bref vous étiez là.
—Oh, Madame excusez-moi, mais c'était pour la bonne cause….Enfin au début….En revenant prendre mon téléphone que j'avais oublié j'ai entrevu quelqu'un qui était à votre porte. Il me paraissait louche. J'ai voulu appeler la police en frappant chez vos voisins mais la maison était vide. Alors je suis rentré. Avant de monter j'ai voulu vérifier et je vous ai vue avec lui. Vous étiez déjà…un peu dénudée. Alors je suis monté et j'ai appelé. Mais j'ai été mis sur attente. Alors je me suis dit que je devais aller à votre secour. C'est là que j'ai remarqué la montre et que c'était votre ami, Denis. J'ai compris que c'était un jeu entre vous. J'aurais dû partir mais….Je m'excuse…Je n'ai pas pu…C'était si….
—Vous n'aviez jamais participé ou regardé ce genre de jeu. ?
—Non. Jamais.
—Pourtant on dit que les carabins ont des soirées très chaudes.
—Une légende. Plus maintenant, le métier s'est beaucoup féminisé.
—Vous ne me ferai pas croire que ces apprenties médecin sont des "culs serré".
—En tout cas pas comme avant… Mais je voudrais m'excuser et vous dire que je ne parlerai à quiconque de ce que j'ai vu.
—C'est ce que je voulais vous demander. Vous comprenez la gravité de ma situation si cela se savait. Cela se répandrait comme une trainée de poudre avec des dégâts sur nos s, nos amis, le travail de mon mari.
—Soyez rassurée, je n'en parlerai à personne. Votre mari n'en saura rien.
Elle sourit.
—J'ai dit une bêtise ?
—Non, pas du tout c'est juste qu'il….Mais vous êtes trop jeune pour comprendre.
—Pas si jeune et inexpérimenté que ça ! Sa remarque m'énerve un peu.
—Vous êtes jeunes. Moi je suis avec mon mari depuis près de trente ans. On s'aime comme au premier jour mais avec le temps notre sexualité devenait atone. On s'est alors mis à utiliser des accessoires, et de fil en aiguille à dériver lentement vers ce que vous avez vu.
—Je comprends. Je ne dirai pas à votre mari qu'Alex et vous….
Elle sourit à nouveau. Mais reprends:
—Mon mari est informé de tout. Il est un peu avec nous. Il regarde par les caméras de la maison. On se met d'accord pour une plage horaire qui est bonne pour lui, décalage horaire, travail, etc.
—Ah ! Je dis un peu sidéré tout de même de la liberté de ce couple. On est loin des "Nudes" sur les réseaux sociaux.
—Et vous ?
—Quoi moi ?
—Puisqu'on en est aux confidences ! Vous profitez un peu de votre jeunesse ? Vos études vous laissent assez de temps pour utiliser toutes vos ressources ?
—Merci mais de ce côté-là ça va !
Elle éclate de rire. Elle s'excuse.
—Excusez-moi mais c'est l'expression "ce côté-là" qui….! Cela me fait penser….Vous n'avez pas été choqué par notre final ?
J'imagine qu'elle fait allusion au moment où elle enfilait son gode dans le cul de l'homme sur la balançoire. Elle y mettait du cœur et lui aussi appréciait.
—Non. C'était très….
—Excitant ?
—Surprenant et oui aussi excitant.
—Je dois vous avouer une chose. Après tout vous avez été un voyeur. Je me pose une question. Si vous voulez bien ,je vous la pose. Mais bien entendu vous n'êtes pas obligé de répondre.
—Dites toujours.
—Voilà depuis que vous habitez chez nous, sans vous surveiller, j'ai remarqué que vous receviez, et vous en avez tout à fait le droit, des amis. Parfois plusieurs, parfois un seul à la fois. Et, sans vraiment le chercher, j'ai entendu des bruits qui provenaient de chez vous. Des bruits qui ne prêtent pas au doute et encore une fois vous êtes libres. Mais j'ai aussi entend ces bruits alors que c'était un….
—Et…? La question est ?
—Seriez-vous homo ou tout le moins bi ? Je sais que c'est indiscret mais après tout vous savez tout de moi….
J'hésite à peine. J'assume ma sexualité.
—Je suis bi.
—Parfait. Vous avez raison. Il faut tout essayer. Je vous encourage….Alors de voir Alex se faire posséder…
Je ris.
—Oui, excitant, très excitant mais Madame vous aussi bien sûr.
Un silence. Heureusement le téléphone sonne. Elle décroche.
—Allo…Oui Chéri…
Elle se tourne vers moi.
—Je viens d'avoir une conversation avec Stephan. Tout est réglé, je….
Je comprends que c'est son mari qui vient aux nouvelles. Je fais un signe de la main pour la saluer et quitter la pièce. Waouh quelle journée !
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Dimanche, la maison est calme. Je glande un peu. Il est 11heures et je viens seulement de prendre ma douche. On frappe à ma porte. C'est très rare. En général mes amis m'appellent pour que j'aille les accueillir en bas ! Cela ne peut être que ma logeuse. J'ai compris que son mari ne rentrait que la semaine prochaine.
On insiste. Le temps de m'entourer d'une grande serviette de bain et j'ouvre.
Masque noir habillé de dentelle, Robe en cuir ou vinyle de la même couleur. Des reflets de cette matière si moulante que l'on dirait une seconde peau. La poitrine et les hanches font des courbes magnifiques. Une fermeture éclair par du haut jusqu'en bas. Un bas qui ne va pas bien loin, débordant à peine sur le haut des cuisse, laissant tout de même une bande de peau blanche qui tranche , barrière avec les cuissardes de la même couleur.
C'est fou ce qu'en une ou deux seconde on est capable de voir.
Les yeux ne mentent pas. Ils brillent de malice et le maquillage les transcende comme les lèvres soulignées d'un rouge carnassier affichent un sourire engageant.
C'est Elle, évidemment que c'est elle. Son déguisement n'est pas fait pour la dissimuler, au contraire. Déjà il la magnifie. Ensuite il parle pour elle, de ses intentions, de sa proposition, du chemin qu'elle veut prendre. C'est une invitation. Mais une invitation pour quoi ?
Je n'ai pas le temps de me poser la question que je sens sur mon ventre une pression. Mes yeux découvrent la pointe d'une badine, cravache noire dont l'extrémité s'appuie sur ma peau. La peau juste au-dessus de la serviette que je maintiens toujours de la main. La badine descend, passe sur le tissus épais, fait un mouvement vers le bas.
Nos regards se croisent. Toujours cette flamme. La demande est claire. Elle veut que je laisse tomber le rempart de ma nudité. J'hésite à peine. Je n'arrive pas à chasser sa présence érotique de mes pensées.
La serviette tombe. Je vois ses yeux suivre ce qu'elle dévoile. Mon sexe qui repose tranquillement sur ses deux complices. Un sexe bien tranquille et qui ne s'attendait pas d'une telle intrusion dans sa vie privée. La badine glisse sur mon ventre et avec une lenteur calculée arrive vers ma trilogie. La pointe joue avec la tige, cherche à la soulever, déclenche déjà un début de réaction
—Bien.
Elle dit mais si bas que cela ressemble plus à une remarque juste pour elle.
— Tourne-toi.
C'est dit sans brutalité, presque une demande, plus près du souhait que de l'ordre, mais c'est le tutoiement qui en signe l'importance.
Je m'exécute. Mon cerveau élabore des plans. Mais tous sont "validés" par mon envie.
La badine se promène sur mes épaules, mes reins, mes fesses. Elle devient plus exploratrice en se glissant dans ma raie et une seconde je me dis qu'elle va me demander de me pencher pour pouvoir "visiter" mon petit trou. Mais non. Juste un :
—Avance.
J'hésite.
—Le sous-sol est chauffé. Elle précise.
J'admire la façon dont elle m'indique la destination. En parlant du sous-sol, de la façon dont il est équipé, de ce que cela signifie, elle me donne une indication de son projet….Son projet…Sans en connaitre les détails, la façon dont elle a frappé à ma porte habillée telle une "Démonia" montre que c'est pour un jeu de Soumission-Domination. Suis-je prêt pour….
Elle doit comprendre mon hésitation.
—Rassure toi je suis une Maitresse qui prend soin de ses partenaires.
J'avance. Les premières marches. L'entrée. La porte est ouverte pour le sous-sol. Encore des marches. Il fait plus frais. La porte de la pièce est ouverte. Je vais entrer mais un coup de badine me fait stopper.
—A partir de maintenant je veux que tu te taises. Pas un bruit. Compris.
Je hoche la tête. La badine me pousse.
Je ne peux que découvrir ce qui est déjà en place. Alex, son amant, son partenaire dans les jeux, le complice du mari qui….Je cherche du regard les caméras. J'en vois déjà deux au plafond. C'est presque un plateau de télévision. Georges a mis en place tout ce qu'il faut afin de suivre sous toutes les coutures les aventures de son épouse. J'imagine qu'ils ont élaboré ensemble ce scénario.
Alex est attaché, les mains au plafond. Il est nu. Sur son visage un bandeau l'aveugle mais aussi sa bouche est obstruée par un objet, une boule rouge manifestement maintenue par une sangle qui fait le tour de sa tête.
Elle est à côté de moi. Elle rappelle le silence en plaçant un doigt devant ses lèvres. Elle me fait avancer. Elle me guide vers le "prisonnier". Arrivé devant lui, elle me fait signe de me baisser, de m'agenouiller. La place ou je suis, la posture qu'elle me fait prendre me montre sans équivoque ce qu'elle attend de moi. Elle veut que je suce le sexe de l'homme. L'homme, Alex, est-il au courant de ce projet ? Probablement pas car il ne serait pas aveuglé. Elle veut lui faire penser que c'est elle.
Ce ne serait pas la première bitte que je caresse ainsi. Je l'ai déjà fait à mes partenaires. Comme à dit la femme : Il faut tout essayer, et je n'avais pas attendu ses conseils pour le faire. Je n'ai pas honte de ma sexualité. J'aime autant les hommes que les femmes et je dirais même que mes aventures avec les hommes me rendent encore plus performant et surtout attentif au plaisir des femmes.
J'avance une main, mais la badine m'arrête. Elle pousse mes bras dans le dos. Elle sait ce qu'elle veut….
Ce sont mes lèvres qui font sursauter le "prisonnier". Nous avons été suffisamment silencieux pour que ce simple contact le surprenne. Mais déjà il se reprend et se cambre pour venir au-devant de ce qu'il a probablement identifié. Je me penche pour pouvoir attr son gland et, en ouvrant largement la bouche, en remontant, gober sa tige souple. C'est facile. Son sexe est assez souple pour que je puisse le prendre tout entier. Je sais l'effet que cela fait. Je l'ai vécu des deux côtés du miroir. En quelques secondes sans que je ne fasse rien, la tige se réveille. Dans un premier temps elle arrive encore à tenir mais sa souplesse diminue et l'espace devient trop petit. Je suis obligé de céder à la pression. Mes lèvres ont beau serrer la hampe elle glisse sur le mat humide et bientôt je n'ai plus qu'une demi bitte dans la bouche.
Je sens derrière moi la pression de Denise. Elle se colle contre mon dos. Je sens sa poitrine. Pourtant je ne…Ce n'est pas de la matière mais bien de la peau, de la chair… Oui elle a dû enlever sa robe car je sens sa poitrine mais aussi son ventre. Le corps nu me fait un dossier bien agréable. Je vois aussi de part et d'autre de mon visage passer ses deux mains, des mains qui manifestement vont se poser sur les fesses de l'homme car aussitôt je sens qu'il réagit de cette caresse.
Je suis entre le marteau et l'enclume. Un marteau et une enclume de chair, douce, tiède, humide.
Ce n'est plus moi qui suce le mandrin qui grossit encore comme si chaque caresse lui apportait une vigueur supplémentaire. Non c'est le mandrin qui vient à moi. L'homme, guidé par des mains bienveillantes lui donnent le rythme. Moi je ne suis qu'une bouche, que des lèvres, qu'une gorge.
Alex même bâillonné laisse échapper des grognements de plaisir. Je cherche mon souffle. A chaque fois qu'il me laisse du répit, je déglutis toute cette salive que la bitte brasse, que je n'arrive pas à contrôler. Je la sens s'échapper de mes lèvres et….
Oh mon dieu, pourvu que le mari n'enregistre pas….Mais si, c'est ce que je ferais, moi si j'étais à sa place. Probablement que lorsqu'il est de retour chez lui, il visionne les meilleurs moments avec sa perverse épouse. Je les imagine, un verre à la main…Non, plutôt en train de baiser, avec projeté sur un grand écran les "infidélités" de Denise. Serai-je retenu dans leur sélection ? Aurai-je droit à un Oscar, un prix Canal +, catégorie X.
Alex gronde de plus en plus fort. Il doit penser que c'est sa complice qui le pompe, elle qui le guide. Mais, si elle le guide c'est dans ma gorge que….
Le râle avertit juste à temps. Denise aussi a entendu. Elle me laisse un peu de champ. Je ne voudrais pas finir aux urgences, étouffé par du foutre. Je n'ose imaginer les confrères….
C'est chaud. Je suis toujours étonné de la puissance avec laquelle le sperme peut jaillir d'une bite bien excitée. Encore…Encore…Une source intarissable…Mais si.
Elle me susurre à l'oreille.
—Tu peux tout boire, il est clean.
Elle me libère de sa pression. Le sexe glisse lentement de mes lèvres. Elles se referment, gardant le foutre de l'homme. Je l'avale. Je le déglutis. Certains et certaines y voient une déviance, mais moi j'y trouve une satisfaction. Le gout n'a rien d'extraordinaire, c'est plutôt neutre, mais les "non pratiquants" lui attribuent le pire. Pourtant ceux-là même qui critiquent apprécient souvent que leur partenaire leur fasse ce cadeau….
La badine réapparait. Elle m'invite à me lever. Je me retrouve face à ma tourmenteuse. Elle est nue. A part le masque. Son regard est de braise. Ses lèvres dont des touches rouges. Elle passe un doigt autour de mes lèvres. Elle y recueille ce que je n'ai pu retenir. Elle le porte à ses lèvres. Elle le suce avec perversité. La seconde fois est pour moi. Je m'applique aussi.
Et puis elle me montre le hamac, en réalité une balançoire érotique, m'y pousse. J'essaie de m'y installer. Ce n'est pas évident mais elle retient le filet et les sangles. Me voici allongé sur le dos….Un poignet attaché…Un autre…Chacune de mes chevilles est entravée. Je suis comme Alex l'était l'autre jour. Je pense qu'elle va….Mais non, je la vois se diriger vers l'homme, le détacher, lui enlever bandeau et bâillon. Il me découvre, comprend ce qu'il s'est passé.
—C'est lui qui ?
—Oui. Elle lui répond.
Il me regarde.
—Et tu te débrouilles drôlement bien.
—A ton tour. Lui signifie notre Maitresse.
Il comprend. Il s'approche de moi. Je bande à moitié. Sa main est chaude. Il me saisit, me caresse, me branle doucement. Son regard cherche le mien.
—Bienvenu au club.
Et il se penche pour me gober. Il me suce! C'est bon. Il joue avec mes couilles. Sa langue cherche mon petit trou, joue avec. Mais une ombre me surplombe. Un ombre faite de chair et de douceur. Denise me surplombe et s'accroupit. Mon horizon est bouché mais ma bouche et ma langue découvrent un monde inconnu. Un monde de vallons, de vallées, de rivières, d'abysses, que j'explore.
Je sens que je bouge un peu. Je ne sais lequel, à moins que cela soit les deux, impriment un lent mouvement de vas et viens. C'est bon.
Ma bitte est bien raide, mais l'homme s'amuse maintenant avec mon petit trou. Je sens comme une fraicheur, une humidité, que je reconnais comme soit de la salive, soit de la crème grasse.
Des mains se saisissent de mes jambes. Denise me prive de ses douceurs en se relevant un peu. Je comprends qu'elle attend…Je sais ce qu'il va se passer…Je pourrais refuser. Mais pourquoi ? Je savais, je devinais que si elle était venue me chercher, en plus avec cette tenue, ce n'était pas pour le thé….
Les mains se raidissent. Je sens nettement le mandrin s'appuyer contre mon œillet. Ma respiration, en aspirant bien à fond, lui indique que je veux qu'il se relâche, qu'il cède à ce qui le presse. Voilà c'est fait, il s'est ouvert et maintenant se referme sur le mandrin avec une force bienveillante.
Je ne sais si c'est moi qui vient à lui avec la balançoire ou lui qui avance, toujours est-il que la bitte se fraie un chemin, dans mon cul. Il me remplit. Il parait sans fin…Et pourtant mes fesses détectent le corps d'Alex.
— Putain, ce n'est pas sa première fois. Je suis entré facilement et…pourtant il est étroit…La vache.
Non ce n'est pas ma première fois. Sauf que jamais je n'ai été dans cette position, à la merci d'un homme, d'un homme et de sa complice.
Elle redescend vers moi.
Il bouge. Il bouge. Je me balance. Non, c'est moi qui bouge. Déjà les mouvements sont plus rapides, plus forts. Il me possède et c'est bon. Son bâton est dur, gros, long et la position m'en fait ressentir chaque millimètre. Sa complice m'étouffe par sa chatte que les mouvements me font caresser.
Une main se saisit de mon sexe. C'est comme un mat qui pointe. Un mat qu'il branle. C'est bon.
Je perds la notion du temps. Je ne suis que plaisir. Je suis leur jouet, un jouet qu'ils se partagent. Denise est de plus en plus humide. Et sans prévenir si ce n'est par des grondements que son corps filtre à mes oreilles, elle jouit. Elle coule, son jus est une liqueur généreuse comme jamais je n'en ai connu.
L'homme m'encule. De plus en plus fort. Maintenant que Denise m'a libéré il augmente ses mouvements. Elle est devenue spectatrice. Elle me parle, elle l'encourage : T'aime ça hein ! Allez Alex ramone lui le cul. Regarde comme il aime. Plus fort, Tu sens comme il est gros !
Elle est belle. Son masque lui donne un coté secret et pourtant c'est bien elle. Ma logeuse. Une bourgeoise. Je remercie le hasard qui m'a fait découvrir que derrière les apparences policées il y avait une perverse, une vicieuse qui avec son mari….Son mari qui doit regarder…Il doit se branler à l'autre but du monde…A moins qu'il ne soit pas seul…Une femme ? …Un homme ?
Oh mon dieu que c'est bon. Il coulisse dans mon boyau avec une puissance incroyable. Il me branle si bien que….Voila je jouis. Ma sève monte au ciel et éclabousse mon corps. A nouveau. Encore. Maintenant sa main pompe mon foutre qui sort en coulée magmatique, grasse, dense.
—Ouiiiiiiiiiiii
Il jouit à son tour. Son jus me brule, me lessive. Il semble prit de frénésie et me bourre avec violence. Son visage est crispé, une lueur de folie dans son regard. Sa bitte brasse le foutre qu'il vide en moi produisant un clapotis glauque mais si excitant.
Enfin il ralentit. Il est épuisé. Il est en sueur.
—La vache ! Que c'était bon.
Qui oserait dire le contraire ?
Pas moi ! Et je me ferais bien ma logeuse ! Pourquoi j'ai l'impression que personne n'est rassasié….

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