En Retard ! Je Suis Toujours En Retard !!

11H00 !! Le boss va me pensais-je en essayant d’accélérer le pas sur le chemin du bureau ; pas facile de courir avec mes talons hauts et ma jupe presque trop courte. Ce matin j’étais en retard, une fois de plus.
Je n’arrive pas me coucher tôt, pas avant 1H ou 2h du matin, mon copain travaille de nuit, souvent il a envie de faire un câlin lorsqu’il rentre à 5H00 alors il me réveille, il sait que je ne dis jamais non. Il est très endurant et moi très coquine alors cela dure longtemps. Du coup le matin lorsque mon réveil sonne à 8H00, je ne l’entends pas…C’était le cas ce matin sauf que c’était la 3° fois de la semaine et nous n’étions que jeudi..
Il était là debout dans mon bureau, la tête des mauvais jours, j’essayais de me trouver une excuse, mais difficile d’invoquer les transports, les embouteillages ou les difficultés à me garer puisque je viens à pieds et en trouver une suffisamment plausible après les deux premières : pas facile !
Je fis mon plus beau sourire, dis bonjour naturellement, m’installais à mon fauteuil et allumais mon PC...comme si de rien était !!!
- Auriez-vous oublié la réunion de ce matin Mlle Amandine ? Et je ne vous parle même pas de votre nouveau retard !!!
Oh zut ! Pensais-je, la réunion mensuelle avec tous les photographes de l’agence, celle ou ma présence est absolument nécessaire puisque c’est moi qui organise leur planning et rendez-vous...
- C’était ce matin ? Fis-je le plus étonnée possible, pas la semaine prochaine, puisque vous deviez être à l’étranger ?
Même moi je n’arrivais pas à croire ce mensonge , alors mon patron !!!
- D’après vous, pourquoi m’avez-vous annulé ce rendez-vous avec l’agence de San-Francisco ?
En effet, c’était moi qui lui avais fait remarquer que les dates chevauchaient et lui l’avais annulé !
La chaleur montait à mes joues, non pas qu’il soit méchant et moi intimidé mais j’ai horreur d’être prise en faute. Profitant de son avantage il continuait de plus belle me rappelant mes nombreux retards depuis mes débuts à l’agence, si bien que nous avions convenu que je commence à 9H30 et non à 8H30 comme prévu dans mon contrat, pour finir plus tard, mais rien n’y faisait.


- Je n’ai rien à reprocher à votre travail Mlle, mais vos retards vont laisser croire aux autres employés que je suis laxiste et ils en profiteront, ce qui fait que malgré le travail fourni, j’envisage de vous licencier pour faute grave !!!
Le mot était lâché : licenciement !! Moi qui avais mis 2 ans à passer de simple iconographe de base à secrétaire du patron et RRH de la boite, sans coucher en plus, j’allais me faire virer de ce poste tant convoité grâce aux nombreux déplacements à l’étranger, la faute à mes retards à répétition…quelle conne je suis !
J’étais sonnée, il senti son avantage et continua sur un ton ferme mélangé d’un côté paternaliste me disant qu’il serait navré mais que j’avais abusé de sa gentillesse, que mon poste était une chance et mon salaire au-dessus de la moyenne (c’est vrai je gagne bien ma vie !) que mes compétences allaient avec mais qu’il fallait parfois couper un membre avant qu’il ne gangrène le corps en entier. Ma tête était ailleurs, je ne vis pas le piège !
Il s’était approché de moi, m’avais prise par les épaules, me les massant tout en continuant ses reproches envers moi, sa voix était monotone mais moins ferme, moi je voyais mes projets d’avenir s’effondrer et pointer à Pole Emploi tout cela par ma faute…son massage était doux, je me surpris à l’apprécier et me détendre malgré la tension palpable. Si bien que je ne sentie pas ses mains descendre sur ma poitrine et palper mes seins à travers le fin tissus de mon chemisier sous lequel je ne portais rien (tient ! je n’ai pas eu le temps de mettre un soutien-gorge ce matin ?)
La caresse me faisait du bien mais j’avais la tête vide, pourtant mes tétons durcissaient entre ses doigts, s’enhardissant davantage il défit les boutons et me palpa la poitrine à pleine main...Je tournais la tête et me retrouvais les lèvres face à son sexe dressé, surprise j’ouvris la bouche, d’un coup de rein il plongea dedans et commença de longs va et viens, je ne résistais pas et engloutissais ce sexe à pleine bouche en entier sans même m’en rendre compte, trop abasourdie par les évènements…
Jamais je n’aurais imaginé me retrouver à sucer le sexe de mon patron et pourtant à cet instant c’est ce que je faisais, sans trop d’enthousiasme mais avec application.
..
- Inversons les places me dit-il
Logique ! Pensais-je, le fameux fantasme de la secrétaire sous le bureau. Il baissa complètement son pantalon, s’asseya à ma place et je m’exécutais, à genoux, la tête penchée entre ses cuisses, bouche en avant, avalant son sexe. Si je le suce bien peut-être me gardera-t-il ? Me dis-je innocemment. L’idée était plaisante et je redoublais ma caresse.
J’entendais ses râles (ses grognements devrais-je dire !) son sexe était tendu, planté dans ma bouche, je le suçais avidement tout en le branlant, l’autre main sous ses boules que je malaxais doucement. Lui avait posé sa main sur ma tête et guidait celle-ci me forçant parfois à l’engloutir complètement. Je gobais son gland, le roulait sur la pointe de mes dents, léchait le méat avec la pointe de ma langue, dégoutée voir écœurée mais mon avenir n’était-il pas en jeu, alors si une pipe pouvait changer l’ordre des choses, pourquoi pas !
Je passais ma langue des boules jusqu’à la hampe et inversement, prenais ses testicules une par une dans ma bouche puis replongeais lèvres grandes ouvertes autour de sa queue, le pompant comme une catin, ce que j’étais à cette minute ! Il suffoquait…
Il me souleva, me retourna sur le bureau, retroussa ma jupe, fit glisser d’un coup ma culotte sur mes cuisses et mis sa tête entre mes jambes. Je sentais sa langue avide et gluante sur mon sexe, forçant mes grandes lèvres à s’ouvrir, sa main droite posée sur mes fesses.
- Ecartes les cuisses me dit-il.
Sa langue était douce, mais dans ma tête s’imprégnait l’image de mon patron, la cinquantaine bedonnante et pas vraiment un Apollon. Il était doux et appliqué, apparemment il y prenait plaisir, mais pas moi. Depuis le temps qu’il voulait me mettre dans son lit et que je résistais farouchement, ce matin il avait gagné !
Il me prit en levrette sur le bureau, ayant pris soin de mettre une capote, (d’où la sortait-il ?) je me laissais faire, résignée, ce n’était pas un viol puisque j’étais consentante mais de là à y prendre plaisir il y avait une marge !! Non pas qu’il ne fut pas doué, mais une absence totale de libido de ma part.
Il m’assenait de coups de boutoir, plongeant et replongeant son sexe en moi, le bureau grinçait sous ses assauts, les autres devaient entendre. Moi qui refusait toute relation entre collègues, quels regards allaient-ils porter sur moi maintenant ? Il me retourna, le dos à plat contre le bureau, les jambes en l’air sur ses épaules, les chevilles autour de sa tête. Malmenant mes seins avec ses mains tout en me culbutant comme une prostituée. Son sexe fiché en moi devenait plus dur, plus gros, de petits papillons se firent dans mon ventre. Je n’allais pas jouir en plus !!! je mordis mes lèvres presque jusqu’au sang, me refusant le moindre plaisir. Il allait et venait de plus en plus fort me pilonnant, le visage écarlate et dégoulinant de sueur, ce n’était pourtant pas si mal pour son âge ! Cela dura une éternité, je me sentais humiliée, traitée comme une putain, donnée en spectacle à toute l’agence dans mon bureau…
Soudain il se retira, ôta son préservatif et éjacula longuement par saccades chaudes et épaisses sur mon ventre en grognant…puis il me mit à genoux devant lui :
Me fourrant son sexe encore raide et gluant dans la bouche.
-Tiens prends ! La dernière goutte est pour toi.
Je la pris, la fit rouler sur le bout de la langue le regardant droit dans les yeux son sexe fiché entre mes lèvres et l’avalait d’un coup sec, ne voulant surtout pas lui donner le sentiment de m’avoir dominé. Je sentais la chaleur de son sperme couler de mon ventre à mon sexe et entre mes cuisses, dégoutant !
- Vous êtes quand même virée » me dit-il en riant aux éclats, il fallait bien que j’en profite.
Le choc fut brutal, quel salaud ! Il riait et riait de plus en plus fort, tout en se rhabillant son rire devenait cristallin, plus aigu presque mélodieux se transformant en une musique douce et son image s’effaçait derrière le piano. (Un piano !!!! Quel piano ? Un piano dans mon bureau ?)
Je me réveillais d’un coup, assise en sueur dans mon lit, la tête lourde et les yeux hagards, mon copain me tenant par les épaules.
Mon portable sonnant et sonnant pour la énième fois sa petite mélodie du prélude de Bach ! Amandine ! Amandine ! Réveilles toi ! Tu fais un cauchemar mon amour ! Tu as crié fort tu sais ! Ça va mieux mon cœur ?
Je tournais ma tête vers le réveil : 9H30 !!!!
Meeeeeerde !!! Criais-je, je suis TRES en retard !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

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