Je N'Aurais Jamais Dû... (1)
Je naurais jamais dû
(1)
Je suis assistante dans un grand cabinet darchitectes. Enfin, de nos jours on dit assistante, mais dans les faits, je suis secrétaire. Cest à dire un job difficile avec des gens (principalement des hommes) qui vous donnent des ordres toute la journée et aucun épanouissement ! Enfin, cest ma vision des choses
Je le prenais de toute façon comme un job alimentaire et trouvais beaucoup doccasion de mévader. Et voilà que jai découvert Internet ! et les sites de dialogue ! Quel bonheur pour passer le temps et me distraire !
Je suis célibataire, très coquine et plutôt jolie. Brune, 1m70 grandes jambes et jolie poitrine, pas trop grosse, un petit 90B mais cela me va bien. Je mhabille souvent en jupe pour mettre en valeur mes jambes mais je ne suis jamais vulgaire. Les hommes se retournent sur moi dans le rue, mais je ne suis pas un top model.
Javais rencontré un homme sur Internet qui mattirait beaucoup. Nous dialoguions tous les jours ou presque et nos dialogue étaient tout de suite très axés sur le sexe. Jadorais sa façon de me parler, il ressortait de lui un charisme naturel et une certaine psychologie féminine.
Nous poussions nos jeux sexuels de plus en plus loin et un jour il me proposa un plan exhibition. Cela faisait partie de mes fantasmes sexuels encore inassouvis et ayant confiance en lui jacceptais.
Nous avions rendez-vous dans un café, assez loin de chez moi car je ne souhaitais pas, pour une première fois être reconnue de quelquun. Je devais venir en jupe avec un chemisier des talons et sans sous vêtements. Il faisait doux, jarrivais à la terrasse du café ou mon correspondant mattendait.
Jétais très intimidée mais décidée à prendre beaucoup de plaisir. Je masseyais à coté de lui et nous commencions à discuter, je me détendais en sirotant mon verre. Je sursautais à peine quand il passa sa main sur ma cuisse. Et je laissais faire quand il tira un peu sur mon genoux pour écarter mes jambes.
En face de nous il y avait quelques tables et beaucoup de passage. Cependant seul une personne assise en face de nous aurait pu voir. Et justement, un homme venait de sattabler. Il était plutôt pas mal et pour le moment navait pas vraiment fait attention à notre manège, tout occupé dans une conversation téléphonique.
Mon compagnon poussa un peu plus la provocation et écarta un peu plus mes cuisses. Je sentais une fraîcheur sur mon sexe et cela, en plus de la situation, me fit mouiller. Mes seins commencèrent à pointer à travers mon chemisier.
Pour attirer lattention de lhomme vers nous, mon compagnon se pencha vers moi et membrassa dès que le serveur fut parti. Il membrassa avec fougue et dans le même temps, il caressait mes seins discrètement à travers mon chemisier.
Plusieurs boutons de mon chemisier étaient ouverts et au moindre mouvement on pouvait voir apparaître la naissance de mes seins, jusquà la pointe de mes tétons. Se caresses eurent bien entendu pour effet de dévoiler quelque peu mes seins. Et ça marchait, notre cible, tout au téléphone quil était, ne nous quittait pas des yeux.
Ce baiser mavait donné chaud et avec la transpiration sur mon léger chemisier on voyait désormais nettement mes seins et mon absence de soutien gorge. Je faisais comme si de rien et le laissais faire.
Maintenant que notre voyeur était capté, il reprit ses caresses sur mes genoux et remontait doucement en faisant remonter ma jupe. Notre voyeur avait maintenant une vision du haut de ma cuisse et en se penchant un peu il pouvait voir mon minou ainsi exposé et luisant de mon excitation. Notre voisin de table sétait un peu déplacé pour avoir une meilleure vision et gardait son téléphone pour se donner contenance.
Mon compagnon allait de plus en plus loin et je commençais à me laisser aller à la caresse et à lexcitation de voir mon fantasme réaliser. Je regardais maintenant franchement notre voisin de table et jécartais mes jambes sans aucune pudeur.
La caresse libératrice arriva et il caressa dabord mes lèvres doucement puis un peu plus en profondeur. Je crus que jallais jouir dès le premier attouchement tellement jétais en attente. Cet homme qui me caressait en pleine rue et cet autre homme qui regardais faire et à qui jexposais toute mon intimité me faisaient perdre le sens du réel.
Il me caressait maintenant carrément le sexe et atteignait le clitoris qui pointait vers lui dans une demande gourmande dêtre touché, titillé, caressé, malmené.
Malheureusement nous avons du nous arrêter, car dautres personnes arrivaient et nous craignions dêtre pris.
Il décida daller ailleurs et paya laddition. Il se lève, jen fais de même avec un peu plus de difficultés.
On se dirige vers la voiture, et je minstalle. Nous roulons vers un endroit réputé pour les couples exhibitionnistes que mon compagnon connaissait. Pendant le trajet, il ma fait remonter ma jupe le plus haut possible et a ouvert mon chemisier pour laisser voir mes seins.
A chaque fois quune voiture passait elle pouvait voir mon chemiser ouvert et ma poitrine offerte. Il me dit de me caresser pendant quil conduisait, jécartais les jambes et commençais à me caresser lentement pendant quil conduisait et jetait des coups dil de temps en temps. Je voyais que cette situation lexcitait et commençais à voir un bosse se former dans son pantalon.
On passa devant un camion qui klaxonna à notre passage. A coups sur il avait eu une vue magnifique sur mes seins découverts et sur mes jambes ouvertes.
Enfin nous arrivons à notre destination, il y avait quelques autres voitures garées. Certaines avec des couples dautres avec des hommes seuls.
Mon compagnon se gare et se libère de sa ceinture. Je le caresse à travers son pantalon et il ouvre son pantalon. A la taille de lengin quil sort de son pantalon, je vois que mon petit numéro dans la voiture la bien excité.
Il membrasse et doucement penche ma tête vers son sexe que jétais en train de caresser. La demande est très claire, je me penchais donc, docile et commençais ma caresse avec la langue. Il me demanda de me mettre à genoux sur ma banquette et douvrir complètement mon chemisier. Il caressa mes seins pendant que je tentais de minstaller et releva ma jupe jusquà la taille.
Si quelquun venait à ma fenêtre il aurait un vision de mon derrière et dune partie de mon minou tout lisse. Jessayais de ne pas me poser de question et de ne pas y penser, car cette idée meffrayais un peu. Je suçais ce sexe tendu vers moi avec application et il me caressait les cheveux pour me donner la cadence qui lui plaisait. Je le laissais faire, et le sentir diriger laction mexcitait encore plus. Je sentais mon sexe gonflé de désir et mouillé, avoir ce sexe dans ma bouche me donnais envie de me caresser en même temps mais ma position ne me le permettait pas. Il passa une main sur mon dos et caressa mes fesses, je me dandinais en appréciant la caresse.
Je nouais ma langue sur son gland et descendais le plus bas possible pour lui donner le plus de plaisir possible. Il appuyait de temps en temps sur ma tête pour me donner le rythme. Mes tempes battaient, je commençais à complètement oublier lendroit où je me trouvais.
Je sentais ses doigts sur mes fesses et dans le sillons de mes fesses. Il ne pouvait pas atteindre mon sexe mais se rattrapait sur mon petit trou très sensible. Il mouilla ses doigts et commença à humidifier la zone doucement.
Il entra une phalange doucement avec quelques allers retours lents. Jallais à la même vitesse que son doigt en moi et ondulais du bassin pour laider à aller plus loin.
Enfin un doigt en entier entra dans mon petit trou et je restais un instant immobile pour mhabi à cette intrusion. Puis je sentis une légère pression sur ma nuque pour reprendre ma caresse buccale. Je mappliquais et je sentais son sexe gonfler, javais un peu plus de mal à le prendre en bouche alors parfois je ressortais et caressais aussi bas que possible pour tenter datteindre les bourses avec ma langue.
Il avait entré deux doigts en moi et accéléré la cadence de ses va et viens. Je reprenais son sexe dans ma bouche et accélérais moi aussi. Il me maintenait la tête et je ne voyais pas ce quil se passait autour de nous, et finalement je préférais que ça se passe ainsi.
Je sentis dun coup un jet long et chaud au fond de ma bouche jusque dans ma gorge, vu ma position il métait impossible de ne pas avaler. De toutes façon, cela ne me gênait pas.
Je navais pas jouis mais javais pris beaucoup de plaisir dans cette situation. Je relevai la tête enfin. Ce que japerçus alors me stupéfia. Il y avait deux hommes du coté du conducteur avec leur sexe à la main et lun deux avait jouis sur la vitre.
Je tournais la tête et sentis un petit courant dair que je navais pas senti avant. La main qui était sur mes fesses nétait pas celle de mon compagnon mais celle dun autre homme qui avait eu la « chance » de pouvoir me toucher. Il navait utilisé quune main pour ne pas malerter ou meffrayer.
Je massis et levais la tête pour voir le visage de la personne qui mavait touchée. Il ressemblait vaguement à lun des architectes avec qui je travaillais. Mais ça ne pouvait pas être lui, il était plus grand et moins blond.
« Bonjour Melle J
» Ah non ! cest pas vrai ! Cest lui ! Que vais-je devenir !!? Javais envie dêtre une petite souris et de me cacher. Je lui dis bonjour et demandais au conducteur de partir. On verra bien demain au bureau
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