Une Séance Au Cinéma

Décidant de prendre le taureau par les cornes, je me mis en quête de réaliser mes fantasmes. Ma résolution étant prise, il me fallait encore décider lequel assouvir en premier. Mon choix se porta en premier lieu, sur l’un de mes phantasmes les plus anciens et les plus récurrents, à savoir celui qui se déroule au sein d’une salle obscure de cinéma. J’ai toujours rêvé de pratiquer des attouchements coquins avec indistinctement une femme ou un homme dans ce lieu confiné.

Impatient et mesurant toute la difficulté de trouver dans l’immédiat une femme consentante à assouvir cette envie pressente, je me décida à me rendre directement dans une boite gay afin de faire mon marché. Le physique est important pour moi, ce qui m’incita à prendre un temps d’observation avant de poser mes yeux sur ce minet légèrement plus jeune que moi. Il mesurait un peut près la même taille que moi, il avait les yeux marrons, les cheveux bruns et une carrure peu imposante. Sans être un véritable sportif, c’était un garçon fin de nature. Après plusieurs regards échangés, je m’avança vers lui et lui proposa de lui offrire un verre, verre qu’il ne refusa pas d’ailleurs. Après une soirée d’échanges courtois, je lui parla de mon phantasme. Il compris très vite mon manège et ne me fit pas attendre en m’invitant à le réaliser avec lui le lendemain.

Le rendez-vous étant pris pour le milieu de l’après midi dans un grand cinéma mais à une séance peu fréquentée, j’avais ainsi tout le loisir durant la matinée pour me préparer à ce grand moment de mon existence. Il est quatre heure et quart, nous y sommes, le cinéma vient d’ouvrire ses portes et nous à permis de prendre nos billets et de prendre place dans cette amphithéâtre du septième art. Bien entendu nous nous plaçâmes au fond de la salle au centre, pour évité d’être vu à la foi du projectionniste et à la foi du publique. La lumière s’éteint, le noir s’impose. Le film est à présent à l’écran. Après une poigné de minutes, j’entrepris de faire glisser ma main droite, experte en caresses lubriques, sur sa cuisse gauche puis de guider mes lèvres, vierges encore de tout baisé avec un homme, vers ses lèvres pulpeuses afin de l’embrasser goulûment.

Cet échange buccale fit son effet, car durant se temps j’avais commencé à caresser la surface de sa braguette où je sentie très vite se former une bosse. Lui pendant se temps avait suivi mon exemple et en avait fait de même en plaçant sa main aux doigts longilignes sur mon bas ventre.

Nos langues s’étant entremêlées et mise à dansées durant plusieurs minutes, le désir et l’envie d’aller plus loin se fit sentir chez lui. Il pris l’initiative de déboutonner mon pantalon et de desserrer ma ceinture afin de pouvoir accéder à ma queue qui il faut bien l’avouer commençait à se sentir à l’étroite. Ne voulant pas prendre de risque d’être découvert par des intrus, il posa discrètement sur nos genoux nos manteaux respectifs afin de mettre à l’abris des regards indiscrets nos jeux polissons. Cette fois-ci nous y sommes il tient fermement dans sa main gauche mon sexe qu’il vient de libérer et qui ne demande qu’à être décalotté. Crachant subtilement dans son autre main, il étale sa salive sur ma verge afin de lubrifier ma queue. Le va et vient ne se fait pas attendre. Il a de l’expérience malgré son jeune age. Alternant la fréquence de son geste, ma tige atteint très vite ses proportions définitives. Il prend soin par moment de coiffer mon casque tout en astiquant la base de mon sexe. Il monte, il descend, il monte, il descend… Je mis un certains avant de lui renvoyer l’ascenseur. Je découvre moi aussi son anatomie la plus intime. Et quelle surprise, sa bite devait mesurer dans les dix huit centimètre mais était relativement fine, à vue d’œil je dirait quatre centimètres comme la mienne. Tenir ce manche d’homme pour la première fois de ma vie me fit quelques chose. J’eue cette sensation agréable, la même que je connu durant mon adolescence lorsque je me rendait au marchand de journaux pour me fournir en magazines et en vidéos érotiques. J’était à la fois heureux et inquiet. Sur son exemple, je pris soin de lubrifier son membre viril et m’empressa d’enchaîner un branlage dans les règles de l’art.
Nous sommes là tout deux bel et bien en train de nous masturber mutuellement. Que c’est bon. Sentir ce sexe entre mes doigts et malaxer ces couilles bien remontées. Il y a des moments où le temps se suspend. Lui de son coté avait ralenti son branle afin de ne pas me laisser arriver trop vite à la jouissance et durant cette accalmie, il s’autorisa à effleurer puis à déflorer légèrement mon anus. Je sentais son majeurs pousser ma rondelle. D’abord réticente d’instinct, elle ne tarda pas à se faire plus accueillante pour laisser entrer ce doigt inquisiteur. Cette sensation n’était pas nouvelle pour moi car de mon coté je m’y était déjà adonné cependant lorsque c’est le doigté d’un autre ça change tout. Et il faut dire ce qui est c’est trop bon. Je m’empressa de le remercier par une pelle mémorable. Je compris qu’il voulu lui aussi sentir un doigt dans son cul accueillant, car il m’y invitait en soulevant son bassin pour y faciliter l’accès. Et là encore je l’imita. Je pu m’introduire avec facilité dans son trou qui était déjà bien dilaté ce qui laissa présagé d’une certaine habitude. Sa rondelle était tellement accueillante que je me décida à y mettre un deuxième doigt ce qui lui plût à en voir son sourire sur son visage qui exprimait une satisfaction évidente. Sentant que je ne peut plus tenir je m’empressa de lui faire savoir de son coté il ne devait pas tarder à arriver lui aussi. Nous nous munissons donc chacun de kleenex afin de recueillir notre sperme. Je sent la purée monter, mon gland n’a jamais été aussi gonflé. Je tente de me retenir le plus possible pour l’attendre, mes cuise tremblent, mes couilles me font males. Je ressent des palpitations entre mes mains, c’est le signe qu’il est prêts lui aussi ainsi j’active mon geste. Je le branle sans cesse plus vite lui aussi il active son branle sur ma verge. Je n’en peux plus, ma jouissance s’exprime. Plusieurs jets de spermes se succèdent puis lui de même. Quelle douce délivrance, mon cœur palpite, ma bite est droite et refuse de se calmer.
Lui de son coté reste hypnotique, il serre les lèvres pour retenir ses râles, qu’il s’efforce de cacher en toussant.

Reprenant nos esprits nous finissons de nettoyer nos manches que nous remettons consciencieusement dans nos pantalons. Puis une nouvelle embrassade vint finir en beauté ce moment d’intense plaisir.

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