Mon Colocataire (Suite)

J’ai arrêté mes études et vit aujourd’hui, avec celui qui fut mon colocataire. Je ne vis d’ailleurs plus qu’en femme, et lui m’entretient.

Au fil du temps la relation entre lui et moi a assez vite dévié vers une relation dominateur/soumise, ce qui n’était pas pour me déplaire. Je devais l’appeler « maître » ou « monsieur », alors que « pute », « salope », « chienne » étaient devenus les seuls noms qu’il utilisait et nous avons aussi acheté plusieurs accessoires. Il m’a d’ailleurs récemment fait tatouer « propriété de Maître Eric » (ne cherchez pas, ce n’est pas son vrai prénom) sur la fesse droite , et moi, folle de lui, je me suis exécutée.

C’est ainsi qu’un jour il arriva chez nous me disant de son ton autoritaire
« je veux que ce soir, tu ressembles à une pute, c’est quelque chose que tu sais faire, ça… J’ai prévu une petite fête avec des amis ».
J’ai donc tout préparé pour la soirée comme une bonne petite femme, puis j’allai me faire « pute ». Lorsque je me présentai devant lui, il approuva ma tenue et mon maquillage. Je portais une minijupe excessivement courte avec laquelle je ne peux me baisser sans que l’on admire mon string dentelle, des bas résille, un petit haut très court laissant apparaître mon piercing au nombril. Le tout, épilée bien sur et maquillée à outrance, parfumée, les cheveux en queue de cheval bien relevée (puisque j’ai les cheveux longs). Il me mit la main dans son pantalon et commenta d’un
« tu vois, tu me fais bander, salope ».
C’était en effet le cas. Pensant qu’il attendait quelque chose de moi, je commençais à la lui caresser. Soudain, il retira ma main, me disais que je ferais bien de m’économiser pour les invités. Ils devaient être six. J’avais compris ce qu’il comptait faire.

Les invités arrivèrent, l’un d’eux avec une femme. Elle aussi était soumise. Comme de bonne petites femmes dominées, nous servions donc docilement ces messieurs tout au long du repas, ne participant pas à leurs conversations salaces, sauf pour confirmer leurs dires.

Entre deux services, nous mangions entre femmes, à quatre pattes, par terre dans une gamelle, à la vue des hommes. Ma nouvelle amie semblait bien plus habituée que moi à ce genre de situation.

Enfin, la soirée put réellement commencer. Ils m’ordonnèrent d’abord de lécher le vagin de ma collègue jusqu'à ce qu’elle mouille abondamment, sans lui enlever ses vêtements. Juste en écartant la ficelle de son string. Je m’exécutais. Une fois leur demande remplie, nous avons du les satisfaire tout au long de la soirée, sans interruption. Ils allaient de l’une à l’autre selon leurs envies. Mon amie et moi, devions régulièrement lécher le sperme qui coulait entre les jambes de l’autre, ou avaler ce qui sortait.

Ce n’est qu’au bout de plusieurs heures que le supplice prit fin. Je dois avouer que malgré le total épuisement dans lequel je me trouvais à la fin, j’avais pris un plaisir énorme lors de cette soirée, et espérait que cela se reproduirait parfois.

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