Decouvertes D'Adolescence

Je rêvassais ce matin là, regardant dans la rue par la fenêtre du bureau quand je vis un petit bout de femme passer accompagnée de deux s... je l’ai reconnue de suite…c’était elle…Sabrina…

Sabrina, c’est mon amour de jeunesse…nous avions 16 et 17 ans quand nous nous somme connus. On vivait dans la même petite ville. Je la croisais régulièrement, me disant qu’elle était mignonne, ceci depuis plusieurs années mais je la laissais, semble t’il, indifférente. Elle n’avait rien d’un canon de beauté : petite, un peu boulotte, cheveux noirs coupés assez cours. J’avais dit a mes potes qu’elle me plaisait bien. Ceux ci avaient ricané en me disant que c’était un boudin et qu’elle devait être bien coincée…ils avaient peut être raison…
Jusqu'à ce que cette boite mobile vienne ce samedi soir dans notre petite ville. Il y a vingt ans, c’était l’évènement de l’année pour les quelques jeunes de la ville. Il faut dire qu’on se fait royalement chier, a la campagne. C’était LA sortie.
J’y suis allé avec ma bande de copains et, évidemment, Sabrina y était avec sa bande de copines…
Le truc classique, j’ai attendu la vague de slows, elle a accepté mon invitation et nous sommes sortis ensembles. Sabrina n’était pas plus coincée que les autres. J’ai pu lui caresser les fesses a travers son jean pendant les slows, passer mes mains sous son tee-shirt pour lui toucher la poitrine, par contre, pas question de passer sous le pantalon, elle me l’avait fait comprendre en me repoussant lorsque je tentais de le faire. Ce n’était pas une surprise, dans les années 80, à la campagne, la majorité des filles étaient, en majorité, encore vieux jeu. Je le savais, j’avais tenté, pour voir…bon, ce n’était pas grave, j’étais bien avec elle. Je voyais les copains, a la buvette, me regarder avec un air désolé, ne comprenant toujours pas pourquoi je m’étais attiché de cette fille, à leurs yeux, plus que moyenne. Je m’en foutais, je la trouvais belle, Sabrina…la boite a fermé vers 4 heures du matin, évidemment, j’ai raccompagné Sabrina jusque devant chez elle.

On s’est embrassés a pleine bouche un long moment et on s’est donné rendez vous le lendemain dans un café.
Le lendemain, elle était déjà la lorsque je suis arrivé, elle était assise seule a une table en train de siroter un coca. Je me suis assis en face d’elle, trop heureux qu’elle ne m’ai pas posé de lapin. On a discuté puis on est allé faire un tour…disons qu’on est allé s’isoler dans un vieux lavoir abandonné pour s’embrasser, se toucher. J’ai été surpris qu’elle me caresse l’entrejambe a travers mon jean tandis que je lui prenais les seins a travers son petit pull. C’était chaud, plus je lui massais la poitrine, plus sa caresse se faisait insistante. Elle allait me faire gicler rien qu’en me caressant. J’ai passe mes mains sur ses fesses que j’ai pétries a travers l’étoffe de son caleçon long. J’adore ce style de caleçon qui mettent en valeur les formes féminines, dont l’étoffe est assez fine…dommage que cela soit passé de mode…je sentais nettement sa petite culotte a travers le tissus. Je passais mes doigts dans la raie de ses fesses. Sabrina respirait de plus en plus fort. N’y tenant plus, j’ai voulu lui baisser son caleçon. Elle m’en a dissuadé, m’expliquant qu’elle ne prenait pas la pilule, qu’elle avait peur que ses parents, très a cheval sur les principes, ne s’aperçoivent qu’elle avait ‘fauté’. Je n’ai rien dit, très frustré. Je bandais comme un âne dans mon jean, je n’en pouvais plus.
« Regardes dans quel état je suis » lui ai je dit. « Tu m’as chauffé a mort ».Sabrina a remis sa main sur la bosse qui déformait mon jean. Elle a juste dit « attend.. ». Elle s’est mise a genoux devant moi et m’a dégrafé mon jean. Je l’ai aidée en extrayant de mon caleçon, mon sexe en érection, le gland violacé, comme s’il allait éclater. Je n’osais pas y croire, j’allais avoir droit a ma première pipe. Il n’en fut rien. J’ai vite compris que c’était une première pour Sabrina qui, toute rougissante regardait mon sexe bandé, se redressant par a coups sous la pression .
Il était clair qu’elle découvrait ce qu’était un sexe d’homme. Timidement, elle a frôlé mon gland du bout des doigts. « C’est vachement gros, dis donc.
-vas y, touche le… »
Elle a empoigné ma bite pour la branler maladroitement. Le top ! C’était la première fois qu’une fille me touchait. Tout de suite, j’ai senti mon plaisir monter, je n’ai pas eu le temps de la prévenir. Mon sperme a giclé en longues saccades. La premier giclée est allée atterrir dans les cheveux de j’ai de mon amoureuse qui, surprise a juste eu le temps de détourner la tête pour éviter de se prendre le deuxième jet en plein visage. C’est dans sa nuque et sur son épaule que ma semence a atterrit. Je n’avais jamais tant éjaculé, j’avais l’impression que ça n’allait pas s’arrêter. Sabrina, tête baissée, le visage de coté, attendait que cette pluie épaisse cesse, sa main toujours serrée autour de mon sexe qui se cabrait a chaque salve. J’avais les jambes en coton quand ma jouissance s’est apaisée. Toujours agenouillée, Sabrina se regardait, constatant le désastre…elle avait des coulures de foutre sur son pull grenat, ses cheveux… »Ho putain…j’en ai partout de ton jus… »
Elle s’est essuyée avec des kleenex que j’avais sur moi. Elle a retiré son pull pour le mettre a l’envers et l’attacher autour de sa taille. « Je le planquerai dans ma chambre et je le laverai en douce parce que j’imagine le scandale si ma mère découvre du sperme sur mes fringues…ben dis donc, je t’ai fait de l’effet…j’en ai mouillé ma petite culotte de te voir gicler comme ça ». On s’est embrassé, j’ai voulu lui rendre la pareille en passant ma main dans son caleçon. Sabrina m’a laissé le caresser a travers sa petite culotte trempée. Agrippée a moi, elle a laissé le plaisir monter en elle, jusqu'à la jouissance qui la faite gémir. J’ai du la retenir pour qu’elle ne tombe pas par terre…
J’étais de plus en plus amoureux d’elle et, apparemment, c’était réciproque. Nous passions notre temps ensemble et dés que l’on pouvait, on trouvait un endroit discret pour se soulager.
Elle me branlait en prenant soin de se mettre de coté pour ne pas se retrouver, de nouveau, maculée de sperme. Elle adorait m’entendre gémir, voir ma semence gicler sous ses caresses. Moi, j’avais réussi a la convaincre de passer mes doigts sous sa culotte pour la caresser, ce qui lui procurais des orgasmes assez bruyants.
Ses parents étaient au courant désormais, qu’elle avait un petit ami. D’abords réticents, ils avaient fini par accepter la chose, j’avais même été invité a prendre un café chez eux un dimanche après midi. Son père, un chauffeur routier immense nous avait mis en garde « pas de cochonneries ! « Avait il lâché alors que nous sortions faire un tour. Un quart d’heure après, sur un banc isolé, Sabrina couinait de plaisir sous la caresse de mes doigts alors que mon sperme se liquéfiait sur le tapis de feuilles mortes qui jonchaient le sol.
C’est le mercredi d’après que ma douce et tendre a innové. Nous étions dans ce lavoir, témoins de nos premiers émois. Il faisait froid en ce début d’hiver. On se caressait depuis un moment et comme a son habitude, ma ‘petite branleuse’ (c’est le surnom que je lui donnait pour la faire rager) s’est agenouillée devant moi. J’ai baissé mon jogging. Sabrina ne s’est pas mise de coté cette fois, elle s’est même rapprochée de moi. Elle a commencé à me masturber tout doucement avant de s’amuser a passer mon sexe partout sur son visage. Sur les joues, dans le cou, dans les cheveux. C’était très excitant. Elle m’a regardé dans les yeux en reprenant sa masturbation. Elle avait un drôle de sourire. Je me suis douté, sans vouloir vraiment y croire, de ce qu’il allait se passer. Ce sourire, cet air de défi dans le regard…ben oui…elle a subitement gobé mon pénis…j’ai juste fait « hoooooooooo… » Un délice…j’ai encore la sensation de la chaleur de sa bouche qui contrastait avec la fraîcheur de l’air ambiant…j’entends encore cette sorte de ronronnement qu’elle a émis lorsque mon sexe a ‘dépucelé’ sa bouche. J’ai compris qu’elle avait, depuis un moment, très envie de ça, très envie de me sentir dur contre son palais.
J’ai posé mes mains sur sa tête, je lui caressais les cheveux en lui disant des mots tendres. Sabrina, maladroitement, s’appliquait a me sucer. Je sentait ses dents, de temps a autre. Ça faisait un peu mal mais cette douleur était compensée par la douceur moite de sa bouche. Encore à ce jour, j’ai le moindre détail en tête. Sa salive qui coulait aux commissures de ses lèvres, sa respiration saccadée, son regard enamourée qu’elle me lançait de temps a autre, guettant les prémices de ma jouissance, ses mains crispées sur mes cuisses, ses hauts le cœur lorsque, de mes balancements de bassin, j’envoyais mon sexe trop en avant en elle. Je n’ai pas pu résister très longtemps a ce traitement sublime. Lorsque j’ai senti ma sève monter de façon inexorable, prête à jaillir, j’ai voulu épargner ma partenaire en lui repoussant le visage. Elle a résistée, les lèvres accrochées a mon sexe, une sorte de supplication dans les yeux, comme si elle me disait « non ! Laisse moi ! Laisse moi te boire, te goûter. Laisse toi aller en moi, que je sente ton nectar couler en moi » (c’est ce qu’elle m’a traduit après). Je crois que j’ai crié, je ne sais plus…j’ai joui dans sa bouche, les mains crispées sur son crâne…elle me regardait, les narines pincées, les yeux exorbités. J’ai cru défaillir de plaisir en la voyant déglutir. Cette petite cochonne avalait mon plaisir. Le trop plein de semence ressortait aux commissures de ses lèvres, formant un filet blanchâtre de chaque coté de sa bouche. Elle ne pus avaler la totalité de ma jouissance…au bord de l’, elle recula son visage, un flot de sperme lui noya le menton pour aller s’écraser en un long filament sur le bas de son gilet et une dernière giclée de mon foutre alla s’écraser sur sa joue. J’ai glissé le long du mur, vidé, les jambes flageolantes. je me suis retrouvé assis devant elle. Je regardais son visage souillé de ma semence. Ses yeux me criaient « je t’aime ». Moi, le je t’aime, je ne l’ai pas crié, je l’ai murmuré en l’attirant contre moi. Elle s’est lovée. On ne s’est rien dit. On est restés un moment ainsi. Je n’osais pas parler, l’instant était tellement magique, tellement beau. Elle n’arrêtait pas de me dire qu’elle m’aimait…
Le lendemain, on remettait ça, dans sa chambre (ses parents étaient absents). Elle m’a pris dans sa bouche alors que nous étions allongés sur son lit. La encore, je me suis abandonné en elle. Elle a réussi a avaler toute ma jouissance…c’est ce jour ou, assise au bord de son lit, les jambes écartées, elle a découvert le plaisir du cunnilingus. J’ai encore l’impression d’avoir son goût dans ma bouche, de sentir ses mains me caresser les cheveux. Heureusement que nous étions seuls au vu des cris qu’elle a poussé lorsque la jouissance l’a envahie…
Au fil du temps, ils nous est vite devenu évident qu’il fallait aller plus loin encore. Même si elle en avait envie, Sabrina était très réticente, n’ayant aucune confiance en les préservatifs et n’osant pas aller consulter le médecin pour se faire prescrire la pilule…moi, je n’en pouvait plus d’attendre, je voulais pénétrer ce corps, ce sexe ce ventre qui me semblait si doux…
C’est Sabrina qui a pris les choses en main, si je peux me permettre…nous étions au mois de février. Ses parents étaient partis, avec son petit frère, une semaine aux sports d’hiver. Prétextant des révisions pour des examens, Sabrina avait réussi a les persuader de la laisser seule pour la semaine. Méfiant, son père nous avait relancé « pas de cochonneries !!! » (A chaque fois qu’il disait ça, je ne pouvais m’empêcher de penser à la gueule qu’il ferait s’il découvrait que sa fille était devenue une e du sperme).
Bien évidemment, des qu’ils sont partis, j’ai rappliqué chez eux (mes parents me laissant assez libre, ce n’était pas un problème). On a commencé fort, par une longue séance de fellation dans le salon, puis un cunnilingus pour Sabrina, assise au bord du bureau de son père. A la fin de la première journée, elle m’avait fait jouir trois fois dans sa bouche et moi, plusieurs fois, je l’avais amenée à la jouissance avec ma langue. On était rincé, les yeux creusés quand on s’est couchés l’un contre l’autre vers 23 heures…on s’est réveillés assez tard le lendemain…on a déjeuné tranquille dans la cuisine…Sabrina était juste vêtue de son petit pull marron hyper moulant et d’une culotte de coton blanc…je la trouvait terriblement excitante habillée ainsi. Je lui ai fait part de mon trouble et lui ai montré que mon sexe était encore au garde a vous. Elle m’a dit de m’asseoir et elle est venue s’agenouiller devant moi. Elle m’a longuement sucé…je n’en pouvais plus, je lui ai dit que j’avais trop envie d’elle…elle a arrêté de me sucer et m’a dit « tu sais bien que cela n’est pas possible, moi aussi j’en crève de te sentir en moi mais imagine que je tombe enceinte. Si ça arrive, mon père me tue, j’en suis persuadée…’ elle est venue s’asseoir a califourchon sur les genoux, face a moi, les jambes de part et d’autre des miennes, emprisonnant mon sexe entre son pubis et le mien ‘ cette bite, j »aimerai tant la sentir dans mon ventre, sentir la chaleur de ton sperme couler loin en moi.
-arrêtes, ça m’excite là.
-moi aussi ça m’excite… »
Elle s’est mise a frotter son entrejambe tout le long de ma queue. L’étoffe humide de sa culotte m’irritait le gland. J’ai eu cette image un peu folle de cette culotte que je forçais, se déchirait pour permettre a mon sexe de pénétrer l’orifice interdit. Elle avait les yeux clos, la bouche entrouverte. C’était un supplice, un divin supplice. Sabrina s’est soulevée, elle s’est amusée a pointer mon sexe entre ses jambes, l’entrée de son sexe n’était séparée du miens que par la mince étoffe de coton.
Elle a gémit. : « hooooo, mon amour, j’aimerai tant que tu m’écartes, que tu me perces avec ton gros dard…je dois te dire un truc…un truc qui me trottes dans le crâne depuis un bon moment « sa tête posée sur mon épaule, mon sexe passé derrière ses fesses, elle ajouta : « mais je n’ose pas te demander ça…
-quoi ?
-non…rien…laisse tomber
-mais quoi ?
- tu vas me prendre pour une dingue mais…
- mais quoi ?
- je n’ose pas…j’ai trop honte…quand j’y pense, je me dis que je suis une perverse, une folle du sexe
- mais enfin ! Quoi ?
- jure moi que tu ne me jugera pas
- tu sais bien que je t’aime
- l’autre jour, tes doigts sont venus me caresser le petit trou…ça m’a fait de drôles de frissons…sur le coup, je n’y ai pas pris garde mais, en y repensant après, je me suis dit que je tenait peut être la solution a notre problème »
Là, je commençais a soupçonner l’insoupçonnable. Je ne disais rien, de peur de me tromper, de la brusquer.
Mon silence l’encouragea a continuer : « je me suis dit que dans les fesses…que tu me la mettes par là nous permettrait de nous unir, de ne faire qu’un
- dans les fesses ? Tu es sure ? il paraît que cela est très douloureux
- oui, je sais, figure toi que je croyais ça, moi aussi…figure toi que je me suis renseignée auprès de ma cousine de Paris, tu sais celle qui se tape pleins de mecs ?
- oui…
- quand je lui ai dit que j’avais peur que cela fasse mal, elle a d’abord rigolé puis, comme elle voyait que ça ne me faisait pas trop marré, elle m’a rassuré. Elle m’a dit que, oui, au début, ça faisait vachement mal mais que si l’envie était là, le désir d’être ‘enculée, ce sont ses termes, était le plus fort, cela pouvait être divin. En fait, cela dépend des personnes
- et cette envie, tu l’as ?
- hoooo, mon amour, j’en crève…je te jure, au debout je me refusais d’y penser mais j’avais beau me refuser a cette idée, de me dire que je n’étais qu’une dingue, l’idée, l’envie revenait a un tel point que…
- que quoi ?
- non…rien
- allez, tu en as trop dit
- ben, la semaine dernière, un soir, j’ai essayé…
- QUOI ? Avec qui
- Mais non idiot…je l’ai fait toute seule, pour voir
- Toute seule ? je ne comprends pas
- Je me suis enfoncé un truc dans les fesses. »
Je n’en croyais pas mes oreilles, elle me racontait qu’elle s’était enfilée un objet dans les fesses. Rien que de l’imaginer faire ça, j’ai cru que j’allais éjaculer. Elle a passé sa main derrière elle et a plaque mon sexe contre ses fesses. Elle s’est un peu redressée et s’est mise a se frotter dessus. D’une drôle de voix, elle a continué : « j’ai utilisé ma pompe a vélo, je me suis allongée sur le dos en travers de mon lit, j’ai bien relevé mes jambes et j’ai appuyé le bout contre mon trou du cul «
Moi, si elle continuait, j’allais tout lâcher…
Ça voulait pas rentrer alors j’ai mis de la crème pour les mains et c’est rentré…j’ai pas eu mal, j’y suis allée doucement…je l’ai enfoncée loin, tu sais…c’était bizarre comme sensation…ce truc dur dans les fesses…je suis restée un moment sans bouger avant de commencer a remuer la pompe…c’est vite devenu agréable…j’ai fermé les yeux et j’ai pensé très fort a toi, penser a ton sexe en moi…ça a eu un effet dingue…comme si je m’ouvrais encore plus…c’est quand je me suis caressée le petit bouton que j’ai vraiment ressenti du plaisir…je suis partie au quart de tour…je te jure…trop bon… »
Je l’écoutais, au bord de l’éjaculation. Je croyais qu’elle allait arrêter son récit là mais, on aurait dit que ça l’excitait de me raconter (elle m’avouera par la suite avoir été, en effet, tés excitée de me raconter ça).
« Après, je me suis tapée la honte de ma vie, je me suis vue dans le miroir de mon armoire avec la pompe dans les fesses…j’ai eu honte de moi. Je l’ai retirée et rangée au-dessus de l’armoire.
Je peux te dire que j’ai eu du mal a trouver le sommeil…je me trouvais tarée d’avoir fait ça et je me suis promise de ne jamais recommencer »
Là, j’ai penser qu’en fin de compte, elle s’était résignée a abandonner l’idée.
« mais le lendemain, je suis allée en cours et des le milieu de la matinée, je n’ai pensé qu’a ça, qu’au plaisir que j’avais pu ressentir …en milieu d’après midi, je ne pensais qu’a réessayer. En descendant du car, a 18 heures, je suis rentrée a la maison presque en courant…il n’y avait personne, le frangin était au foot. Alors j’ai ressorti la pompe et là, je me suis dit qu’il fallait que ce soit plus réaliste, que l’objet devait avoir a peu prés le même diamètre que ta queue, pour être sure que ça le fasse tous les deux »
Je ne disais rien, je l’écoutais
« dans le garage, il y avait le gros marteau de mon père, celui avec le manche ergonomique…beaucoup de crème et…j’ai cru mourir quand c’est rentré…j’ai même crié…j’ai crié ton prénom, mon amour quand, agenouillée, le marteau calé entre les pieds, le manche contre l’anus, j’ai pesé dessus…hummmm…je ne pensais qu’a toi, a ton sexe…quand ç’est passé que je me suis empalée dessus, j’ai crié ton prénom, j’ai crié ‘je t’aiiiime mon amour’.j’avais mal mais en même temps, c’était toi, tu étais la, c’était ton sexe qui me perforait…oui, perforée…c’était comme si tu me perçais le cul…que cette barre dure dans mon ventre était ton sexe. J’ai joui de suite mon amour…je te parlais, comme si tu étais la, je te disais qu’elle était grosse ta bite, qu’elle me réjouissait bien les fesses, que je voulais que tu m’encules comme je le méritais, que j’étais ta salpe, ta chose…j’ai complètement pété les plombs…je me suis emmanché sur le manche jusqu'à ça me fasse mal…il en restait plus beaucoup en dehors…je racontais n’importe quoi…
-ma chérie, viens, donne moi tes fesses, fais moi voir… »
Sabrina s’est levée, elle s’est débarrassée de sa culotte, je l’ai vue plonger ses doigts dans le pot de margarine et se les essuyer au niveau de l’anus. Il était clair que ces aveux étaient préparés a l’avance, qu’elle savait que nous en arriverions la. J’allais me lever pour aller dans la chambre mais elle m’a dit de rester assis. Elle est revenue s’asseoir a califourchon au-dessus de moi, en me tournant le dos, cette fois. Je tenais mon sexe bien droit. Comme dans un rêve, elle a posé ses fesses contre mon gland, accoudée à la table. Elle a calé son anus contre mon gland et elle a pesée dessus…j’aurais bien voulu voir son visage lorsque mon sexe pesait contre sa petite porte. J’avais dans l’idée que cela rentrerait facilement. Ce ne fut pas le cas. Mon sexe dérapait entre ses fesses. Elle se recalait en grognant. Enfin, j’ai senti que ses fesses s’écartaient. Doucement, tout doucement. Ça n’allait pas être facile…je l’ai entendue dire, en geignant « huuuu…c’est gros, la…ouch…attends…attends…ça…attends…att…ha ! aiiie ! ». J’ai senti mon gland passer comme une sorte de frontière, subitement décomprimé. Ça y était…ça rentrait progressivement…Sabrina soufflait fort…elle continuait cependant a se laisser descendre. Je la tenais par les hanches en regardant mon sexe disparaître entre ses fesses. Fesses qui bientôt touchèrent mon pubis. On est restés un moment immobiles. Le souffle de Sabrina s’est apaisé. Elle s’est redressé pour poser son dos contre mon torse…elle a murmuré « mon amour…je t’aime…je me donne a toi…tu es en moi, je te sens loin qui palpite ». Elle s’est mise a onduler lascivement du bassin. A chaque mouvement j’avais l’impression que mon sexe s’enfonçait plus loin encore dans son rectum. Elle se caressait le ventre a travers son pull, les seins. Sa tête, rejetée en arrière reposait sur mon épaule. Ses yeux étaient fermés, sa bouche entrouverte. Elle remuait de plus en plus vite et s’est mise a dire des trucs salaces « hummmmm, ta grosse bite me déchire le fion, là…tu m’encules, mon salaud…il est bon mon cul ? Hein ?
-oh, oui, il est bon ! Je t’aime ! je suis bien dans tes petites fesses !
-elles sont faites pour toi mes fesses, rien que pour toi..tu vas tout me donner dans les fesses, hein ? tu vas bien me remplir avec ton jus…ton sperme va se répandre en moi, se mélanger a mes entrailles…on va être unis…huuummmm »
en prenant appui sur mes jambes, elle s’est mise a monter et descendre le long de ma queue. Elle perdait complètement les pédales… »haaaaaa…c’est bon dans le cul ! elle est bonne ta queue, elle me fait trop du bien làààà…je la sens dans mon ventre…mon petit ventre que tu désirait tant…haaaaa, salauuud…tu m’a bien éclatée du cul laaaaa…tu vas me faire jouir par les fesses…lâche ton jus ! Sauce moi bien ! »
Une vraie furie…elle était déchaînée, transformée…c’était excitant de l’entendre parler ainsi, ce n’était pas son genre. L’anneau de ses fesses était de plus en plus élastique. Nos peau claquaient a chaque aller retour. Elle se défonçait littéralement sur ma queue. J’avais du mal a nous maintenir sur la chaise. J’ai couiné quand j’ai joui en elle, un cri grotesque…ça a eu raison de Sabrina qui s’est cambrée et s’est mise a hululer « haaaaaaaa….ton jus ! Ton jus ! Je le sens ! Je le sens ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ». Elle a eu comme des convulsions avant de retomber toute molle sur moi…
On est restés un moment, essoufflés, étourdis…Sabrina m’a dit, les larmes aux yeux, qu’elle m’aimait…elle s’est soulevée pour libérer mon sexe et s’est levée pour aller se doucher. Moi, j’étais abasourdi…les traces brunes qui souillaient mon sexe me certifiaient toutefois que je n’avais pas rêvé. Mon amour m’avait offert ses fesses…
j’ai sodomisé Sabrina dans l’après midi, a quatre pattes sur le lit avec autant de plaisir que le matin…enfin nous étions unis, en effet…la semaine qui a suivit a été plus que torride…je ne pourrais dire le nombre de fois ou mon sexe s’est inséré dans son cul, ni le nombre exact de positions testées. Elle m’a même fait une reconstitution de sa sodomie au marteau… impressionnant.
Le samedi, j’étais en train de la sodomiser assise sur moi dans le salon quand la porte d’entrée c’est ouverte…retour inopiné des parents…scandale…cris… pleurs.
Mes parents appelés qui viennent me chercher…la honte…Sabrina envoyée je ne sais ou en pension…fin de la belle histoire…


Et là, dans la rue, elle vient de passer…je sors, je cours…elle me voit, me reconnaît…un sourire, une larme au coin de l’œil… » Non…ne dis rien…ne dis rien… »

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