Une Saint Sylvestre Libertine

À l'approche des fêtes de fin d'année, je repense à ce que fut mon réveillon de la Saint Sylvestre, l'an dernier.

Les prémices de ce qui allait se dérouler, cette nuit-là, se sont manifestées pour moi à Noël.
Au pied du sapin, j'ai trouvé un cadeau d'Arthur, mon compagnon, qui m'a regardée ouvrir mon paquet, avec un sourire que je lui connais. Celui qu'il arbore, lorsqu'il a quelques idées coquines derrière la tête.

À l'intérieur du luxueux papier, j'ai découvert une robe.
- Je voudrais que tu la portes pour le réveillon, la semaine prochaine, m'a-t-il dit. Je voulais te faire la surprise: je t'emmène à Paris, pour quelques jours.‌
Comme je m'y attendais, vu ce qu'il venait de m'annoncer, cette robe était à la fois classe, terriblement sexy, et indécente... Ça ressemble à une sorte de chasuble, en soie blanche, complétement ouverte sur les côtés, à part deux crochets au niveau de la taille. On la fait blouser avec une ceinture nouée.
Les emmanchures sont si larges qu'on voit mes seins, de profil, quand je bouge. Et le décolleté en V est si plongeant que mes seins sortent régulièrement.
La robe s'arrête à mi-cuisses, mais elle s'ouvre jusqu'à mes hanches, quand je bouge ou quand je marche.
Pour mettre en dessous, Maxence m'avait acheté aussi un petit string en dentelle blanche. Les ficelles remontent très haut sur mes hanches, si bien qu'on peut croire que je n'ai rien sous ma robe. Et, cerise sur le gâteau, le string est ouvert et permet qu'on touche ma chatte à tout moment...

- Ça te plait, m'a-t-il demandé?
- Évidemment. Mais tu comptes m'emmener où, pour que je puisse me montrer dans une telle robe?
- Dans un club libertin, "la Marquise", un endroit très hot, où tu pourras commencer l'année en beauté.

Un peu plus tard, je suis allée voir discrètement le site de l'établissement, sur internet. Et je dois avouer que je me suis mise à compter les heures qui me séparaient de cette soirée! Mon homme me connait décidément trop bien.

..

Nous sommes donc partis tous les deux sur Paris, dès le début de la semaine. Un copain parisien d'Arthur, parti en vacances, lui avait prêté son studio.
Nous avons profité du lundi et du mardi pour visiter des expos et des galeries d'art. Et puis, en fin d'après-midi, nous sommes rentrés à l'appartement, pour nous préparer.

Je vous ai déjà décrit ma tenue... Je n'ai rien mis de plus, à part une paire de bas dim-up gris fumé, très clair.
Arthur a appelé un VTC, et en attendant qu'il arrive, j'ai enfilé un manteau trois-quart, juste fermé par une ceinture.
Vous auriez vu la tête du chauffeur, quand il m'a ouvert la portière, et que le manteau s'est ouvert lorsque je me suis assise! Il a eu droit à un beau point de vue sur ma poitrine, sur mes cuisses, et même peut-être sur mon string, fugitivement.

Arrivée devant le club, dans un quartier hyper chic du centre de Paris, et le chauffeur se précipite pour m'ouvrir la porte.
Comme il a compris où nous allions, il bande, et son jean est bien gonflé là où tu devines...

Nous rentrons dans le club, où nous sommes accueillis par Eva, la patronne.
Elle nous fait faire un tour de l'établissement, et je ne suis pas du tout déçue, par rapport à ce que j'avais vu sur leur site.
Il y a déjà du monde, et le club se remplit très vite.

Un superbe buffet a été dressé, à côté du bar, et nous nous installons sur une banquette, devant une table basse.
Premier coup d’œil sur les autres clients... Nous sommes certains de ne pas nous ennuyer!

Une jeune serveuse, topless, nous apporte des flûtes de champagne, et j'échange quelques mots avec elle.
Très jolie, toute fine, avec de jolis seins pointus.
Elle s'appelle Cindy, et elle est étudiante. Elle travaille ici en extra, dans certaines soirées. Elle fait le service, puis participe à "l'animation" de la soirée. Elle fait ça pour l'argent, mais aussi par plaisir, car elle aime le sexe (elle m'a avoué plus tard qu'elle faisait aussi parfois l'escort, pour de riches clients).


Aux autres tables, je remarque quelques hommes très séduisants, qui me sourient lorsque nos regards se croisent. Je crois que ni ma plastique, ni ma tenue, ne les laissent indifférents...
Je ne suis pas la seule à m'être habillée sexy, et à flirter avec l'impudeur. Plusieurs robes en voile transparent; une fille porte un top en maille très ajourée, sans soutif, avec une minuscule jupe portefeuille en cuir; et surtout, je flashe sur une jeune black - accompagnant un quinqua aux tempes argentées ('une personnalité du showbiz). Elle porte une guêpière rouge, qui découvre à demi ses tétons, et une jupe qui ressemble à un pagne, avec des chaussures à talons d'une hauteur incroyable.

Nous dégustons tranquillement les plats, sur un fond sonore de musique douce et sensuelle, et nous échangeons quelques mots avec toutes celles et tous ceux que nous croisons au buffet.
Puis le repas se termine, et un DJ s'installe aux platines. Il lance des morceaux de soul, au rythme sourd. Ce genre de musique, avec des basses qui se répercutent dans mon ventre, me fait toujours beaucoup d'effet...
Des couples commencent à danser.

Je vois Cindy s'approcher, souriante, et sans un mot, elle m'entraîne sur la piste de danse. Elle me conduit jusqu'à une barre de pole dance, qui fait face aux tables, et nous commençons à bouger toutes les deux, sensuellement.
Elle me tend ses lèvres, et pendant que nous nous embrassons, elle dégrafe sa mini jupe. Son string est minuscule...
Je me place dos contre elle, en tenant la barre, et elle dénoue ma ceinture. Je fais sauter les crochets sur les côtés de ma robe, et je recommence à danser. Mais cette fois, le tissu de ma robe virevolte autour de mon corps, sans le cacher. Je finis par l'enlever, et je joue avec la barre pour ouvrir grand mes cuisses, et le string fendu laisse voir ma chatte humide aux occupants des premières tables.
Avec Cindy, nous poursuivons notre strip, jusqu'à nous retrouver nues.
Il ne me reste que mes chaussures et mes bas...

Cindy me quitte alors, mais c'est pour amener la jolie black que j'ai remarquée sur la piste de danse.
Elle est souriante, manifestement heureuse de s'exhiber aussi.
Nous nous livrons à une sorte de ballet, toutes les deux, jusqu'à ce qu'elle se retrouve nue aussi.
Mais Cindy nous a quittées, et je l'aperçois, se dirigeant vers une alcôve, enlacée par Arthur et un autre homme.

J'ai trop envie de faire jouir ma petite black, et de me donner en spectacle.
Je l'entraîne dans un petit salon, aux murs couverts de miroirs, qui renvoient et multiplient notre image.
Plusieurs voyeurs des deux sexes nous ont suivies, et nous nous installons confortablement sur un immense lit.
Ma jolie black (je ne saurai jamais son prénom) est une amante formidable et insatiable. Pendant un long moment, nous nous caressons, nous nous léchons, nous nous doigtons. Nous atteignons deux fois l'orgasme, mais nous donnons des idées à trois hommes, qui viennent nous rejoindre sur le lit.
Ils bandent comme des taureaux, et nous sommes deux salopes en chaleur. Sans plus de préparatifs, nous nous jetons sur eux. Nous les suçons, et l'un d'eux décharge prématurément dans ma bouche. Mais les deux autres se mettent à nous baiser, dans toutes les positions.
Je jouis encore deux fois, puis après une douche, nos partenaires mâles nous invitent à venir boire du champagne au bar, nues, pour récupérer.

Là, je retrouve Eva, la patronne, qui me demande si je m'amuse bien. Et elle me propose d'être la reine de la fête, pour le passage à la nouvelle année. J'accepte, sans trop savoir à quoi je m'engage...
C'est alors qu'Eric, le patron, lance le compte à rebours, jusqu'à minuit.

A "zéro", tout le monde crie, s'embrasse, se congratule, et je sens des mains inconnues parcourir mon corps. Pour être honnête, mes mains se sont égarées aussi sur quelques queues et quelques chattes.
..
Puis Eva saisit le micro, pour annoncer mon arrivée sur la table des gangbangs. Elle m'y conduit, sous de véritables ovations, et je croise le regard d'Arthur, à poil, qui me fait comprendre qu'il est fier de moi.

Je m'allonge sur la table, sans trop réaliser ce qui m'arrive. C'est pourtant la réalisation d'un de mes fantasmes!
J'écarte mes jambes, et la tête d'Eva plonge entre mes cuisses. Elle lèche mon minou, suce mon petit bouton, et me doigte, avec un art consommé. Jusqu'à ce que mes gémissements sonorisent le club...
Ensuite, je m'offre à toutes celles et tous ceux qui veulent de moi. C'est une sensation... indescriptible. Je souhaite aux lectrices qui n'en ont pas fait l'expérience de la découvrir un jour!
Je me fais pénétrer, baiser, sodomiser... Les orgasmes se succèdent, intenses, épuisants.
Les hommes éjaculent sur moi, me couvrent de foutre. Ce qui ne m'empêche pas de sucer toutes les bites qui se présentent.
Ça dure tant que je ne demande pas grâce, et je recule cet instant le plus que je le peux.
Et puis, je dois enfin m'avouer vaincue, et Cindy vient m'aider à me remettre debout, et à atteindre les douches.

De retour dans le club, j'ai retrouvé Arthur, en pleine action avec deux autres femmes dans un salon.
Puis nous sommes allés boire un dernier verre au bar, avant de rentrer.
Nous avons utilisé encore un VTC, et je me rappelle de la tête du chauffeur, lorsqu'il m'a vue, sortant du club.

Rentrés à l'appartement, Arthur m'a quand même fait l'amour, malgré notre fatigue. C'était très doux, sensuel, et j'ai réussi à jouir une dernière fois.
Mais je ne me suis réveillée qu'en début d'après-midi, le 1er janvier. Ma chatte et mon petit cul étaient tout sensibles!

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