La Grosse Et Le Pompier

La grosse et le pompier

Après des jours et des nuits à lire les uns et les autres me revient l’envie de vous faire quelques confidences. Aujourd’hui marié et fidèle je prends plaisir à revisiter mes souvenirs. Je précise que tout est véridique même s’il advient que je fasse quelques concessions à la pure vérité lorsque ma mémoire me trahit sur des détails.

J’avais déjà eu quelques expériences libertines, notamment avec des couples dont l’homme était bisexuel, expériences que je cherchais à les renouveler. Dans cette quête je réponds à une annonce placée sur un site de rencontre : un couple de la région cherche un homme bi d’environ 30 ans pour un plan à trois. Leur annonce comporte quelques photos explicites : on y voit un homme mince et plutôt beau gosse ainsi qu’une femme pas très belle et très bien en chair.
Je n’ai jamais été attiré par les grosses mais je trouvais excitante l’idée perverse de baiser une femme que je trouverai laide. Donc je réponds, ils répondent, on se téléphone et patati et patata voilà que le samedi soir suivant je saute dans ma voiture et me rends à notre rendez-vous.

Au premier regard je constate que Catherine et Stéphane ressemblent bien à leurs photos, cependant elle me semble beaucoup plus grosse en vrai, elle doit peser un bon 90 kilos. Nous nous rendons chez eux pour faire connaissance autour d’un verre, il est pompier, elle est dentiste. De 10 ans son cadet je ne comprends pas très bien ce qu’il fait avec elle …
Mais bon, en fait je m’en fous.

La soirée se passe bien on discute de tout et de rien mais surtout de sexe. Il me dit que les pompiers sont tous pédés, ha-ha-ha. Elle raconte qu’elle aime aller en club sucer des mecs pendant qu’il la regarde et la baise. Je leur décris mes quelques expériences précédentes, confie à quel point j’aime sucer, les hommes et les femmes. Elle monte se préparer. Nous avons convenus qu’elle doit complètement se raser pour nous proposer sa chatte bien lisse.


Elle revient dans une petite nuisette rose et je ne peux m’empêcher de penser à cet hippopotame qui danse dans je ne sais quel dessin animé Disney … mais je suis méchant là.

Nous décidons de passer aux choses sérieuses et nous rendons dans la chambre. Je ne suis pas fier, tout d’un coup la situation me semble moins excitante … Lui prends une douche rapide et nous laisse seuls, elle s’allonge sur le lit et je me jette sur elle sans réfléchir. Elle est énorme, je lui pétris ses nichons en glissant ma langue dans sa bouche. Elle chauffe vite la bougresse, ses tétons se tendent, son souffle s’intensifie, j’abandonne sa bouche et descends vers son sexe. Je dois écarter quelques bourrelets pour parvenir à coller ma bouche sur sa fente gluante, cela ne me refroidis pas, je suis lancé, je sens ma queue dure comme de la bite qui cogne contre le fond de mon jean. Stéphane sort de la douche à poil et peut me contempler à loisir tout occupé que je suis à quatre pattes entre les cuissots de sa belle … il me pelote gentiment le cul, tâte ma queue et loue mon érection. Elle se tourne sur le coté pour prendre sa queue en bouche, et seul un réflexe de ninja m’évite de périr écrasé !
Elle y va la cochonne, c’est clair elle aime bouffer des bites et qu’elle sait y faire. J’en profite pour mater un peu le spectacle et me foutre à poil. Je lui remonte les genoux pour bien dégager son entrejambe et y retourne, je lui lape la fente à grand coups, lui darde l’anus de la pointe de ma langue, tête son clitoris, lui gobe le cul. Elle adore s’ouvre, mouille et gémis. Les mains de Stéphane caressent mon dos mes épaules, puis atteignent mon cul et mes bourses, tantôt son pouce imprime une légère pression sur mon petit trou du cul, tantôt ses cinq doigts me pétrissent les miches et les balloches.
Je remonte vers sa bouche à elle, y trouve sa queue à lui. On s’embrasse, on l’embrasse. J’aime sentir la peau douce de son gland sous ma langue, je m’applique, il me dit que je suce bien, je l’aspire un peu plus profond.
C’est à mon tour de me faire sucer, par elle, par lui ensuite. J’aime voir ma queue dans la bouche d’un mec, je bande fort. Je leur demande de me sucer ensemble, elle me glougloute les burnes tandis qu’il me pourlèche le gland. J’adore. Il veut me rouler une pelle, je le repousse gentiment.

Rouler une pelle à un mec ? Un truc de pédé ça.

Bon on se suce et se re-suce … Elle à quatre pattes entre mes jambes, mon sexe en bouche, son gros cul en l’air, Stéphane la doigte bien puis l’enfile. A chaque coup de ses reins, toute sa viande tressaille et ma bite cogne le fond de sa bouche. Je suis super excité, la situation me plait vraiment maintenant.
On se relaie pour la prendre en levrette, elle adore, nous encourage de la voix, quand l’un se retire sa croupe clignote et en redemande jusqu'à ce que l’autre y bouche le trou. Il éjacule en elle, moi qui ai mis une capote lui succède dans sa fente pleine de son jus, c’est bizarre mais ça ne me dérange pas et je viens à mon tour. Il lui demande de nettoyer de sa langue ma queue et mes poils pubiens gluants de son foutre à lui, elle ne semble guère tentée et nous n’insistons pas. Chacun notre tour nous allons nous rincer, nous papotons gentiment le temps de reprendre nos forces.

Rapidement les hostilités reprennent, je suce Stéphane on se suce mutuellement et elle nous regarde gentiment. Je demande à Catherine de me lécher l’anus pendant qu’il me pompe, puis lui demande de me mettre un doigt, puis deux, mmmh, c’est trop bon et je craque sans plus attendre. Stéphane me confie que c’est bien la première fois qu’il fait jouir –complètement- un mec avec sa bouche, sans que pour autant je n’ai joui dans sa bouche.
Il est positivement ravi.

Catherine sur le dos, je lui maintient les jambes ouvertes et le regarde lui doigter la chatte, le cul ensuite. Les grosses, c’est comme les tortues, une fois sur le dos elles ne savent plus bouger. Elle se plaint, n’aime pas se faire doigter le petit trou, préfère carrément se faire enculer.
Stéphane s’y emploie derechef. Je plaque ma bouche sur sa chatte tout en gratifiant de coups de langues furtifs la bite qui va et viens dans son cul. En fait la sodomie n’est pas sa tasse de thé et elle lui demande de finir de façon plus conventionnelle tandis que je continue de butiner.
Re-pause, on se repose. Nous convenons que la soirée était très satisfaisante, décidons de nous revoir, il me dit que je peux la revoir sans sa présence si cela nous chante à tout deux, je dis que oui-bien-sur mais pense que non-mais-ça-va-pas. On parle sodomie, Catherine explique que pour elle des fois c’est bon et des fois pas, mais que se faire doigter là jamais. Stéphane lui adore tout bonnement le cul, le sexe certes mais surtout le cul.

Je suis tout à fait habillé et sur le point de prendre congé quand il me dit –moqueur- que je suis quand même un peu hypocrite de vouloir que des doigts et pas une queue dans mon petit trou du cul. Je lui réponds que non pas du tout, que j’aime me faire prendre, mais que la situation ne s’étant pas présentée et que ne me faisant aucune obligation à cet égard je concevais de me passer d’un tel épisode pour cette fois. Je lui rappelle aussi que nous avions discuté plus tôt et convenu que nous resterions « soft ». Il est novice en matière de rapport anal entre hommes, tant passivement qu’activement et serait prêt à prendre un mec, mais pas du tout à se faire prendre, surtout pas par moi qui –dit-il- en a une trop grosse.

C’est très gentil de sa part vu que dame nature ne m’a pas doté de manière exceptionnelle -et ma foi ça me va.

Je dis que si c’est comme ça il va me prendre de suite, il proteste un peu pour la forme, que c’était pour rire … Taratata, au boulot lui dit-je, mais il doit me préparer lui-même, soigneusement, sans que Catherine n’intervienne.
Je jette mes habits, m’installe à quatre pattes sur le lit, le cul en l’air, bien cambré. La situation me plait très fort, j’aime être en contrôle et provoquer.
Il bande et moi aussi. Il me lèche le cul sans fausse pudeur mais je n’en ai cure et de ma main plaque sa tête plus fort contre la raie de mon cul.
J’aime bien ce mot: « cul ».

Il me doigte bien, j’adore, je m’ouvre progressivement. Elle apprécie le spectacle, ces yeux brillent, elle l’encourage et le branle doucement. Il met une capote, elle le suce un peu, je suis prêt.
Toujours ce petit moment de doute quand le gland glisse et presse contre l’entée de mon cul, test de résistance, d’élasticité … Ca passe tout seul il entre en moi, d’une poussée continue, lentement, précautionneusement et profondément. Je suis rempli, comblé, j’ai la sensation qu’il à touché le fond. Il me faut quelques secondes pour me détendre tout à fait et accepter qu’il aille et vienne entre mes reins. Mais quand c’est parti, c’est parti. Il est excité, je sens ses mains qui se crispent sur mes hanches, il grogne et bande dur. Il coulisse, me pistonne, je dis « oui oui prends moi » comme une petite salope.
Catherine se glisse sous moi et me léchouille le gland, il vient rapidement et je sens son sexe se contracter alors qu’il se vide en moi. Pour ma part je n’ai pas éjaculé pas mais ai toutefois bien joui. Je reste à quatre pattes et pour conclure cette soirée, elle me câline le trou de sa langue.

Là c’est fini pour de bon on se dit à bientôt et ciao.

Que voilà une bien belle soirée, je rentre chez moi content, un plan cul pervers avec une grosse laide, une sodo qui me laisse de plaisantes sensations diffuses jusqu’au lendemain … qu’il en faut peu pour être heureux ! Je reverrai Catherine et Stéphane quelque fois pour des soirées analogues. Il y aura toutefois quelques épisodes originaux que j’entreprendrai prochainement de vous conter.

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