J'Ai Trouvé Du Boulot (3)

Je vous ai déjà raconté mon arrivée à l'hôtel, après un voyage qui commençait à devenir intéressant.
Mon premier partenaire m'avait laissé dans ma chambre et j'en profitais pour prendre une bonne douche
et me changer. J'optais pour une chemise légère, un short et des nu-pieds. J'étais en train de me relaxer
sur mon lit lorsque l'on frappa à ma porte. J 'allais ouvrir et me trouvais en face de mon chauffeur.
- Le directeur veut te voir me dit-il.
Je le suivais donc, ou plutôt marchait à ses côtés pendant qu'il me pétrissait les fesses en marchant.
Arrivé au bout d'un couloir, il s'arrêta et me désigna une porte.
- C'est là
Je m'approchais et frappais. De l'intérieur on me répondit d'entrer.
Derrière un bureau siégeait un autre homme qui avait participé à ma sélection et qui était apparemment
le directeur.
- Assied-toi, me dit-il, me montrant un sofa aligné contre un mur.
Il se leva et vint s'asseoir à mes côtés. Il me demanda si l'on m'avait bien expliqué pourquoi j'étais là et je
répondis par l'affirmative. Il me répéta que mes rapports avec les clients se limiteraient au cadre de mon
travail. Il tendit ensuite le bras vers une table basse et se saisit d'un livre duquel dépassaient des bouts
de papier, comme des marque-pages. Il me le tendit et me demanda de lire les passages indiqués. Il
s'agissait d'un SAS, avec un titre parlant des tontons macoutes, si je me rappelle bien. Les passages
répertoriés étaient bien sûr ceux ayant trait au sexe. Je me mis donc à lire quelques lignes, mais il
m'interrompit rapidement. Il me fit remarquer que mon CV spécifiait que j'avais, entre autres activités, suivi
des cours de théâtre. Il m'imposa donc de mettre plus de cœur à ce que je faisais, de donner l'intonation
nécessaire au récit.
Je m'exécutais en même temps que montait en moi une sensation d'excitation. Il m'ordonna de tenir le
livre d'une main et dirigea mon autre main vers son entrejambe.

Ma première caresse ne me laissa
aucun doute sur son état. Je tentais de me concentrer sur la lecture et poussais force soupirs, de plus en
plus haletants au rythme de mon récit. Il défit la ceinture de son pantalon et mit son sexe dans ma main.
Je commençais à el caresser. Il me tardait d'aller plus en avant. J'étais à l'écoute de ses moindres désirs,
accentuant ma caresse au moindre mouvement de sa part.
J'en étais à la troisième scène quand il me mit une main derrière la tête et m'attira vers lui. Je lâchais le
livre et commençais à déboutonner sa chemise faisant apparaître un torse puissant et velu. Ma tête suivit
et s'enfouit vers son bas-ventre. J'étais pressé de le prendre dans ma bouche. Il le comprit et, pour
marquer son autorité, me prit par les cheveux et le retint contre son ventre légèrement proéminent. Je
léchais tout ce qui passait à ma portée et m'activais de plus en plus rapidement sur son sexe gonflé. Il ne
tarda pas à me laisser s'occuper de lui avec ma bouche. Mais il me dit qu'il voulait m'entendre, comme
lorsque je lisais pour lui et comme il m'avait déjà entendu, la première fois. Je commençais à gémir
doucement. Il me serait de toute façon difficile de crier avec un sexe dans la bouche. Mes gémissements
l'excitaient au plus haut point. Il me prit le bras gauche qu'il cala derrière mon dos et mit sa deuxième
main derrière ma tête, appuyant de manière à ce que je ne puisse bouger que le strict minimum.
Ondulant du bassin, il remplissait ma bouche par des soubresauts de plus en plus rapides. Il ne tint pas
longtemps et je fus contraint d'avaler un long jet chaud et musqué.
- Nettoie tout.
Je nettoyais et léchais tout jusqu'à la dernière goutte. Il se leva et se rhabilla en me congédiant et
rappelant que je devais me trouver à sa disposition.
Il n'y avait pas encore de service d'hôtel et je sortis donc pour aller me restaurer au village.
De retour vers
onze heures et fatigué de ma journée, je me rafraîchissais à la salle d'eau et m'étendais rompu sur mon
lit.
J'en étais encore à mon premier sommeil quand je sentis une présence. Je me retournais et distinguais
une forme dans la pénombre. La lumière s'alluma et, clignant des yeux, je reconnus mon troisième
sélectionneur. J'appris par la suite qu'il était le chef du personnel. J'étais allongé sur le dos. Il monta sur
le lit et se mit à califourchon sur moi. Il me caressa le visage puis, comme il l'avait fait la première fois,
introduisit son pouce entre mes lèvres. C'était un très gros pouce, à l'échelle de mon chef qui devait bien
mesurer 1,90 mètre et peser ses 110 kilos. Mes bras étaient le long de mon corps, enserrés entre ses
jambes. De son autre main, il se mit à me pincer le bout de mes tétons jusqu'à me faire mal. Je
commençais à me gondoler sous l'effet de la douleur. Il y prenait plaisir. Son pouce fouillait ma bouche. Il
faisait comme s'il s'agissait d'un sexe.
Puis sans un mot, il dégagea une jambe, me prit par la taille et me retourna, comme si j'étais aussi léger
qu'une plume. Une telle domination me faisait peur et je murmurais un « non » qu'il entendit. Il me dit
alors que je n'étais pas en mesure de refuser ce qu'il allait m'offrir et qu'en belle salope que j'étais j'allais
le remercier.
Il passa son genou entre mes jambes et se mit à me caresser les fesses. Puis à les frapper en cadence,
de plus en plus fort, m'arrachant des petits cris qui le faisaient glousser de plaisir. Il défit sa ceinture et
baissa son pantalon laissant apparaître un sexe en érection qu'il me montre en me saisissant par les
cheveux et me tournant la tête.
- Je veux que tu le demandes.
Je en soufflais pas un mot et sentais mon sexe en érection me dire que mon corps tout entier avait envie
de ça. Une nouvelle série de claques sur les fesses me fit m'exécuter.
Je réussis à dire d'une voix
geignante :
- Je vous en supplie, prenez-moi, de suite, je n'attends que vous.
Il me prit alors par les hanches et me souleva de manière à me mettre à quatre pattes. Il introduisit son
pouce dans mon cul serré et l'agita de manière à m'élargir l'orifice. Son pouce me faisait mal, mais j'en
attendais plus. Cela ne tarda pas et je sentis bientôt son sexe me pénétrer. Il entre lentement mais sans
s'arrêter, jusqu'au fond. Je poussais un cri de douleur. Il me releva alors par les cheveux et m'attira en
arrière, vers lui. Me maintenant d'un bras autour de ma poitrine, il dénoua sa cravate. Se cambrant en
arrière, il me colla contre lui, libéra sa deuxième main et entreprit de ma bâillonner. Puis il me repoussa
vers l'avant et se mit à me pilonner comme un fou furieux. Vu sa corpulence, je ne l'aurais jamais crû
capable d'une telle énergie. Je tentais de hurler sous l'effet de la douleur, mais mon bâillon limitait mes
cris. Des larmes me vinrent. Puis, petit à petit, la douleur fit place à une autre sensation. Celle de n'être
plus qu'un jouet entre les mains d'une brute. Il lâcha mes hanches pour me saisir les bras et me les
bloquer derrière le dos, avec une seule de ses immenses mains. De l'autre il me prit par les cheveux et
continua son martèlement. Mon sexe qui avait débandé sous le coup de la douleur était en train de durcir
et je sentais que si l'on continuait comme ça j'allais éjaculer, à ma grande honte. Mais je n'eus pas à aller
jusque là. Mon partenaire poussa quelques cris gutturaux et remplis mon petit cul de sa semence. Il
s'écroula sur moi débandant lentement à l'intérieur. Je me laissais faire et entendis quelques minutes
après un ronflement significatif. Malgré l'écrasement, m'endormais à mon tour, harassé. Il se réveilla
avant moi. Et c'est la sensation de son sexe qui gonflait en moi qui fit réagir.
Il s'agita immédiatement,
faisant des allers et venus qui, cette fois, ne me causèrent que du plaisir. Sous ses ordres je m'agitais
comme je pouvais. Je reçus une nouvelle fessée et j'en redemandais, pour exciter la virilité de mon chef.
Il ne se fit pas prier. Proche de l'orgasme, il sortit de mon trou et me retourna, me déversa son sperme sur
mon corps. Il m'enleva mon bâillon et en saisit sur son pouce qu'il fourra dans ma bouche. Je suçais le
tout sans me faire prier. Il se leva et réajusta ses vêtements. En guise de bonne nuit, il me flanqua une
paire de gifles et me dit que la petite pute que j'étais aller trouver son maître.
Cette fois je m'endormis pour de bon, vidé et vaincu par une attirance que je ne soupçonnais pas, prêt à
tout pour aller plus loin avec mes trois parrains. Cela allait bientôt arriver.

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