La Débauche D'Une Sainte Ni Touche

Je m’appelle Ornella, je suis une jeune femme italienne de 20 ans. Mes parents devaient être fan de la plus française des actrices italiennes Onella Muti. J’ai donc le physique assez méditerranéen. De taille moyenne, 1m65, de longs cheveux bruns, aux yeux clairs entre le vert et le bleu, une jolie poitrine 85B et un corps bien proportionné.

Ce samedi là, je sortais en boite avec une amie. Comme nous n’habitons pas à côté, nous avions décidés de se rejoindre sur place. Sarah avait plaisanté en disant que ce serait plus pratique si nous ne rentrions pas seule.

Aussi sexy l’une que l’autre, nous avons pris une table face à la piste de danse.
- Tu comptes réellement ne pas rentrer seule ?
- Si un garçon me plait, je ne vois pas pourquoi je me ferais pas plaisir.
- Ben moi, je ne couche pas avec le premier venu. Je suis en boite pour m’amuser.
- Moi aussi mais pour moi, le sexe fait parti du jeu. Allez, viens danser.
Je suis restée quelques instants, le temps d’une chanson, surprise par ma copine, tout en réfléchissant sur sa conduite et sa façon de voir le sexe.

Sarah se déhanchait sur la piste et évidemment attirait la gente masculine. Jeunes et moins jeunes dansaient autour d’elle. Je me suis donc décidée à danser moi aussi, mais comme pour lui faire concurrence, je me suis mise à l’opposée.
Après un peu plus d’une heure, je la voyais déjà flirter avec un garçon à peine plus vieux qu’elle. Puis, Sarah a disparue. Je ne pouvais pas croire qu’elle avait si facilement cédée. Mais il fallait me rendre à l’évidence, je ne la voyais nulle part.
Je suis retournée sur la piste de danse. Près de notre table, je vis enfin Sarah. Légèrement décoiffée, elle me fit un signe de la main et partit bras dessus dessous avec le type. Elle me laissait donc seule. J’étais prête à m’en aller mais il était difficile de quittait la piste de danse telle que j’étais entourée.
Voyant mon désarroi, un homme d’une trentaine d’années me propose un verre.

J’ai acceptée. Nous avons discuté et ri beaucoup. Il est très drôle. Puis, il me propose de retourner danser.
Sur la piste, il est très proche de moi jusqu’à s’effleurer par moment. Il ne m’est pas indifférente et je repense aux dires de Sarah. Si bien que dans mes pensées, je ne réagis pas lorsqu’il se colle dans mon dos. Il m’att par les hanches et suit les mouvements de mon corps. Je le sens tout contre moi. Son parfum arrive à mon nez et son souffle contre mon cou. Je me sens toute chose. En ordinaire, je l’aurais remis à sa place mais là, je laisse faire. Ses mains caressent mes courbes. De temps à autres déviant même vers me fesses. Mon bas ventre et mes seins réagissent. Je ne suis plus moi-même car j’apprécie et ne souhaite pas qu’il arrête. Loin de lui cette idée. Sa bouche se colle à mon cou pour un baiser furtif. Il me fait pivoter et se colle à moi comme s’il s’agissait d’un slow. Il est vrai que la musique n’est pas très rapide et qu’il n’y a rien de choquant de danser comme ça. Ma tête sur son épaule, je reçois un nouveau baiser dans le coup. Ses mains montent et descendent le long de mon dos. Sa main glisse sous mon top et pour la première fois je sens la caresse peau contre peau. Il cherche ma bouche et je lui cède. Durant le baiser, sa main s’est posée sur un sein. Il le caresse au travers de mon soutien gorge. Il pince mon téton. Son autre main se pose sur mes fesses. Là, je le repousse car nous sommes tout de même en public. Je lui fais savoir que ça me gène. Il prend ma main et m’entraîne dans un coin tranquille. Là, il reprend son baiser et ses mains baladeuses. A l’abri des regards, il est encore plus entreprenant. Je succombe à son charme et commence à être très excitée. Il glisse une main sous ma jupe courte et caresse mes fesses à même la peau. Je sens ses doigts glissaient sous la ficelle de mon string. Il me plaque contre la paroi, recule un peu pour admirer sa proie. Il se colle de nouveau, m’embrasse. Cette fois, sa main glisse sous ma jupe pour atteindre mon minou.
Je ne vais quand même pas me faire baiser debout dans un coin de cette boite. Je ne sais plus comment réagir mais sa main est déjà collée à mon sexe. J’ai très envie mais je me défends.
- Non, pas ici s’il te plaît.
- C’est vrai, j’ai été un peu cavalier. Pour m’excuser je t’offre un autre verre.
Naïve, je l’ai crue et nous avons été au bar. Il m’a proposé de le prendre dans le jardin de la boite. Dans un coin du jardin, nous avons vu une fille qui été assise sur son cavalier et il n’y avait pas d’équivoque sur ce qu’ils faisaient. Nous avons donc été plus loin. Au fond du jardin, en fait.
Là, il a pris mon verre des mains et l’a posé sur le muret, ainsi que le sien. Nous étions à l’abri des regards alors il m’a prise dans ses bras. S’en est suivi un baiser ardent. Sa main glissant dans mon dos, sous mon top, s’attaque à l’agrafe de mon soutien gorge qui saute. Habilement, il soulève mon top et sa bouche se pose sur un de mes tétons. Il le mordille et moi je ne réagis que par de petits gémissements. Une main pétrit l’autre sein qui gonfle de plaisir. Je m’abandonne et lui caresse les cheveux en guise d’approbation. Je sens son autre main remonter sous ma jupe. Il écarte mon string et touche mon sexe plus qu’humide. Un doigt se glisse en moi avant d’être rejoint par un autre. Mes jambes flageolent et je me tiens à lui pour ne pas flancher. Je ne pense plus qu’à une chose, le sentir en moi. Il fait alors glisser mon string que je retire d’un mouvement de pied. Il se recule, sort un préservatif de sa poche et se dégrafe. Je ne peux m’empêcher de caresser son sexe, le temps qu’il décachette la capote. Il l’a déroule et l’enfile. Mes yeux brillent d’impatience. Jamais je n’aurais pensé faire ça. Il me retourne et je me tiens au muret. Ma jupe est relevée jusqu’à mes reins. Je sens son sexe contre le mien. Ca y est, il me pénètre et c’est déjà mon premier orgasme. En me tenant par la taille, il coulisse en moi et c’est une vraie merveille. Il continue en malaxant ma poitrine.
Je sens que je vais jouir de nouveau. Il écarte le fesses, s’enfonce profondément, se retire puis recommence. Je vais jouir 3 fois avant qu’il n’explose. Au moment de son orgasme, il se retire, ôte sa capote et éjacule par terre. Je me suis alors accroupi pour le nettoyer. S’il me l’avait demandé, j’aurais acceptée qu’il jouisse dans ma bouche, j’aime ça. Le sourire aux lèvres, les yeux dans les yeux, nous buvons notre verre resté sur le muret.
Nous sommes repartis danser et je suis partie une demi heure plus tard.

Dans la voiture, je me demandais comment avais je pu aussi facilement cédée, moi qui demandais jusqu’à aujourd’hui une cour assidue. Sarah avait raison, c’était bon de se laisser aller. En y repensant, j’étais de nouveau excitée et avais hâte de rentrer pour me caresser.

Je me gare et me dirige vers l’entrée de mon immeuble. J’ouvre la porte et vois mon amant retenir la porte. Il m’a suivi. Il me tend mon string que j’avais oublié. Il n’a pas à insister beaucoup pour que je l’invite à monter. A peine la porte fermée, je me pends à son cou et l’embrasse. Il n’en attendait pas autant et déjà sa main se faufile sous mon top et malaxe mes seins. Je le prends par la main et l’entraîne vers le canapé qui me sert de lit dans mon petit appartement. Le canapé est défait et nous sommes déjà allongés à s’embrasser. Il retire mon top et sa bouche s’empare déjà de mes tétons. Je lui caresse la tête, totalement offerte. Sentant un abandon total, il glisse son autre main sous ma jupe. J’écarte les jambes et laisse sa main explorer mon intimité. Je jouie sous ses caresses. J’ai envie maintenant qu’il me baise, pas qu’il me fasse l’amour mais bien qu’il me baise. D’ailleurs je ne retiens pas mes gémissements. Il se lève et se déshabille. Je le regarde et en profite pour retirer ma jupe. Nous sommes nus et il s’allonge à mes côtés. Je prends son sexe en main, le branle. Je me penche et lui offre une fellation dont il se rappellera. C’est à son tour de me faire du bien avec sa bouche.
Son cunnilingus est affolant et je jouie une nouvelle fois. Ces doigts se mêlent à sa langue, je n’en peux plus. Je l’implore de me prendre mais il ne m’écoute pas. Au contraire, il continue de m’explorer. Je sens un doigt malaxer ma rondelle. Il s’y enfonce et je découvre une nouvelle sensation des plus agréable. Il s’arrête, remonte le long de mon corps et m’embrasse. D’un coup de rein, il me pénètre. Il n’a pas mis de préservatif mais tans pis, j’en ai trop envie. Je reçois de grand coups de queue tandis qu’il me mors les seins. Je gémis de plus en plus. Il me baise bien le salaud. Il se couche sur le dos. Je me jette sur son sexe que je prends de nouveau en bouche. J’ai envie de le faire jouir mais il est endurant. Alors, je m’empale sur lui. Il se redresse et tandis que mon bassin cadence les mouvements, il passe ses mains sur mes fesses qu’il écarte pour rendre plus profonde la pénétration. Jamais je n’ai joui autant. Je n’arrive plus à suivre. Il en profite pour me mettre les fesses en l’air et me prendre en levrette. C’est bon, je ne compte plus mes orgasmes. Il sort totalement de moi puis plonge à nouveau profondément. C’est sur, c’est ma meilleur baise. De temps à autres, il bute sur mon anus. Je joue avec lui et pousse mes fesses vers lui. Il écarte mes fesses et je le sens de plus en plus souvent se heurter à mon p’tit cul. Je sens mon anus s’ouvrir doucement à ses tentatives d’intrusion. Mon plaisir est si fort que j’ai enfoui la tête dans l’oreiller que je mords à pleines dents. Cette fois, il s’attarde un plus sur mon oeillet. Je ne suis plus moi et je pousse mes fesses vers lui. Il replonge en moi avant de sortir de nouveau et de se poser à l’entrée de mon p’tit cul. Là, il pousse plus franchement et je sens le gland pénétrer cet orifice inviolé. Il s’enfonce lentement et la douleur est très supportable. Il me laisse le temps de m’habi à cette intrusion. Je suis impatiente et c’est moi qui débute les va et vient. J’adore cette nouvelle sensation. J’aime cette bite qui va et vient entre mes fesses. Je découvre le plaisir de la sodomie et j’adore ça. Je sens son sexe gonfler avant de jouir. Le sentir se vider dans mon cul décuple mon ultime orgasme. Il disparaît dans la salle de bain avant de se coucher à côtés de moi. Je l’embrasse et me blottis contre lui. On s’endort.
Je me réveil, heureuse d’être tout contre mon amant.
Je le réveil avec une fellation. Cette fois, j’irais au bout et il se videra dans ma bouche. Nous avons fait l’amour tout le dimanche.


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