Tante Jeanne 02

Tante Jeanne 02

Soirée Familiale




Suivi de Maggy son épouse qui avait tenue à l’accompagner, malgré l’handicap de son ventre alourdi par huit mois de grossesse, Robert pénétra dans le hall de la clinique où son oncle avait été hospitalisé. Ils durent emprunter l’ascenseur, la grossesse avancée de Maggy lui interdisant l’escalier, qui les amena rapidement au niveau souhaité.
Arrivés à l’étage désiré, ils avancèrent dans le long couloir à l’odeur si particulière des hôpitaux où infirmières et médecins s’affairaient dans un silence presque religieux. Slalomant entre les chariots de soins, ils arrivèrent devant la porte numéro 216 qu’ils poussèrent après avoir frappé doucement.
La chambre à un lit était petite mais extrêmement lumineuse du fait de son exposition plein Sud. Face au lit dans lequel Pierre était confortablement installé, un poste de télévision accroché au mur montrait les images des informations de treize heures. Le malade semblait bien remis de son accident. Jeanne son épouse se tenait assise près de lui.
Voyant apparaître la haute silhouette de son neveu, et amant depuis la veille, Jeanne éprouva un tel bonheur qu’elle sentit les battements de son cœur s’accélérer, tandis qu’une soudaine boule lui obstruait la gorge. En un éclair les images de son après midi de la veille où elle était devenue la maîtresse de son propre neveu, défilèrent dans sa tête. Le souvenir de tout ce que lui avait fait subir Robert, et qu’elle avait accepté avec ravissement, la perturba étrangement. Tout son corps se couvrit d’une sueur érotique, sans qu’elle ne puisse y remédier.

Découvrant sa tante assise au chevet de son mari, et qui lui souriait avec tant de chaleur et d’affection, Robert en conçut à son tour un immense plaisir mêlé d’un grand soulagement. Lorsqu’il l’avait quitté la veille, et malgré la proposition qu’elle lui avait faite de revenir quand il le voudrait, il avait craint qu’ayant réfléchi sa tante lui reproche son comportement.

Le sourire qu’il découvrait sur les lèvres de Jeanne le réconfortait et lui ouvrait des horizons voluptueux.

-- Ha ! C’est vous mes chéris, s’exclama Jeanne en se levant de sa chaise… Maggy, il ne fallait pas venir. Robert ! Pourquoi l’as-tu amenée… dans son état… Ce n’est pas prudent.
-- Ne vous en faites pas Tatan, ça va très bien, la rassura Maggy… Juste un peu essoufflée… Avec mon ventre, je ne peux plus me déplacer… Vivement que ce soit terminé... Que je retrouve ma taille de jeune fille.
-- N’empêche que ce n’est pas prudent…

Tandis que les deux femmes épiloguaient sur les inconvénients d’une grossesse, Robert se pencha sur son oncle pour l’embrasser, s’enquérir de sa santé et des soins qui lui avait été prodigués. Puis se redressant, il s’effaça pour laisser la place à son épouse. Se tournant alors vers sa tante pour l’embrasser à son tour, il dut s’avancer vers le pied du lit, Jeanne s’étant éloigné pour laisser passer Maggy et son ventre proéminent.
A quarante huit ans, Jeanne avait gardé une silhouette élancée. Même si avec l’âge, elle s'était quelque peu étoffée à certains endroits, notamment au niveau de hanches et de la poitrine, cela lui conférait encore plus de sex-appeal. Avec ses longues jambes, fortes mais d'un galbe parfait, sa poitrine ronde au volume impressionnant, ses hanches sensuellement épanouies et sa croupe haute et agréablement arrondie, Jeanne restait une femme encore très attirante. Pour la circonstance elle avait revêtu un tailleur gris souris qui affinait sa silhouette. La jupe plissée mettait en valeur ses longues jambes fuselées et découvrait ses genoux ronds. La veste cintrée était ouverte sur un corsage tout en dentelles qui laissait entrevoir un soutien-gorge à balconnets, blanc également et copieusement rempli par deux seins volumineux. L’ouverture en V laissait apparaître le début d’une gorge lisse de toutes rides qu’un large pendentif en or enjolivait.
-- C’est gentil à toi d’être venu, sourit-elle à Robert… Tu sais combien ton oncle t’apprécie…
-- Je ne pouvais ne pas venir, répondit Robert, tu sais également combien je vous aime… Et toi ?.
.. Comment vas-tu depuis hier ? Insista-t-il dans un souffle avec un sourire complice.
-- Je n’ai rien dormi de la nuit répondit Jeanne sur le même ton… A cause de toi…
-- Tu regrettes ?
-- Oh non, avoua Jeanne dans un murmure étouffé !
Avec un sourire de connivence Robert, se pencha enfin pour embrasser sa sensuelle tante. Et comme pour rappeler à cette dernière les moments intimes qu’ils avaient passés vingt-quatre heures plus tôt, il lui encercla insidieusement la taille de ses deux mains.

Comme les doigts masculins se refermaient sur ses hanches, Jeanne sentit un long frisson de désir lui parcourir l’échine, tandis que la totalité de son corps se couvrait de chair de poule. L’émoi sexuel qui l’avait envahi lors de l’apparition de son neveu dans l’embrasure de la porte de la chambre s’accentua un peu plus. Depuis que la veille elle avait cédé à ses sens en émois, acceptant sans résister aux avances lubriques de Robert, elle était partagée entre deux sentiments : d’abord le remord d’avoir trompé son mari alors que celui-ci se trouvait à l’hôpital, et le désir de renouveler cette aventure extraconjugale, malgré que son amant eut été son neveu par alliance. Robert lui avait fait connaître une telle jouissance, qu’une seule pensée, une seule envie accaparait Jeanne : pouvoir renouveler cette expérience extraordinaire. Impudemment, alors que le jeune homme lui ceinturait la taille, elle souhaita ardemment sentir de nouveau ces mains masculines parcourir son corps enfiévré, lui procurer ces frémissements voluptueux qui lui avaient fait perdre toutes retenues la veille.

Alors qu’il déposait ses lèvres sur les joues pleines et douces de sa tante, Robert enregistra d’un coup d’œil que du fait de leur position, ni son oncle ni sa femme ne pouvaient remarquer ses gestes. Profitant de cette aubaine, il remonta vivement ses deux mains de la taille qu’il ceinturait, jusqu’à la lourde poitrine, objet de tous ses fantasmes d’adolescent.
Avant que Jeanne surprise par son audace tente de le repousser, il pressa fiévreusement les masses volumineuses, éprouvant un indicible plaisir à sentir les énormes seins s’écraser mollement sous ses paumes. Tout en déposant sa bouche à la commissure des lèvres de sa parente, dans un baiser libertin, Robert rechercha à l’aide de ses pouces, les tétons qu’il savait extrêmement sensibles. Les ayant habilement dénichés sous leurs remparts de dentelles, il les frôla longuement, les écrasant délicatement.

Sous cet attouchement à laquelle elle ne s’attendait pas, mais dont au fond d’elle-même elle était reconnaissante à Robert de l’avoir osé, Jeanne poussa un très léger gémissement de plaisir, gémissement qu’heureusement, ni Pierre ni Maggy occupés à converser ne perçurent.
L’audace de Robert déclencha dans le corps et dans l’esprit de Jeanne, un bouleversement érotique qui la fit flageoler sur ses jambes. Entre ses cuisses une ondée brûlante, ayant pris naissance au plus intime de son sexe, jaillit telle une source divine d’entre les replis de sa vulve soudain affolée. Sous les mains qui les pressaient passionnément ses mamelons se gonflèrent tandis que ses tétons se raidissaient tel deux minuscules verges. Tout son corps s’affolait, s’offrait, sollicitant désespérément sa part de caresses. Affolée, victime de ses sens soudainement en ébullition, Jeanne repoussa doucement son entreprenant neveu, et avec un regard plein de regret elle regagna sa place auprès de son époux alité :
-- Tiens, Maggy, viens donc t’asseoir à coté de moi, invita-t-elle d’une voix soudain enrouée… Dans ton état, ce n’est vraiment pas raisonnable…
-- Ne craint rien, tenta de plaisanter Pierre. Si jamais elle décide d’accoucher maintenant, elle sera sur place…

Le coté droit du lit où reposait son oncle étant occupé par sa tante et son épouse, Robert se plaça sur le coté gauche, faisant de ce fait, face aux deux femmes.
-- Combien de temps dois-tu encore rester, demanda-t-il à son oncle ?
-- Il doit sortir demain, répondit Jeanne.

Robert détourna son regard en direction de sa tante qui venait de répondre à la place de son mari. Cette dernière, tout en conversant avec Maggy, lui expliquant avec force détails les examens que son époux avait subis, jetait de fréquents regards dans sa direction, regards remplis de tendresse et même d’une certaine passion. Profitant alors que toute l’attention était concentrée sur son oncle, Robert en profita pour examiner plus particulièrement sa tante. Les volumineuses protubérances qui déformaient le devant du léger corsage attiraient plus particulièrement son attention. Son enfance avait été perturbée par cette poitrine ronde au volume impressionnant. Combien de fois en avait-il rêvé, le soir dans son lit. Ces énormes seins avaient été à l’origine de ses premiers émois sexuels ; c’est en se les imaginant qu’il avait commencé à se masturber à l’abri de ses draps. Et puis la veille, le destin avait voulu, suite à un évènement fortuit, certes malheureux, qu’il découvre enfin ces merveilleux fruits de chair qu’il avait tellement espéré du temps de son adolescence.
Les scènes de la veille lui revinrent en mémoire avec une acuité érotique troublante. Le souvenir du geste de sa tante repoussant son soutien-gorge afin de lui dévoiler sa volumineuse poitrine lui procura une bouffée de désir à retardement. Désir si fort que dans son slip son membre viril entama un inconvenant durcissement. Terriblement troublé par ce début d’érection affreusement gênante du fait de l’endroit où il se trouvait, Robert cessa de fixer l’opulente poitrine qui affolait tant ses sens. Tentant de calmer ce trouble qui devenait disgracieux au niveau de son bas ventre, il laissa glisser son regard jusqu’aux genoux ronds de sa tante, que la courte jupe du tailleur découvrait largement. Mais cette nouvelle vision déclencha dans son esprit un flot de souvenirs érotiques récents. Fixant cette partie de chair nue, il revit dans un flash, les deux cuisses longues et charnues, dans lesquelles il avait crocheté ses doigts la veille tandis qu’il fouillait de son membre gonflé le sexe torride, singulièrement vaste et abondamment lubrifié de sa sensuelle tante.

De son coté, tout en discutant avec son époux et Maggy, Jeanne ne pouvait s’empêcher de jeter de fréquent coup d’œil en direction de Robert. Tachant de mettre dans son regard toute la passion qui l’habitait, elle tentait de faire comprendre à ce dernier combien elle l’adorait, et surtout combien elle espérait revivre les merveilleux instants qu’ils avaient partagés ensemble. Alors qu’elle détournait pour la centième fois ses yeux en direction de son neveu, elle s’avisa de la fixité du regard de ce dernier vis-à-vis de ses genoux largement dévoilés par sa courte jupe. A cette découverte, une bouffée de chaleur sexuelle l’envahit toute. Désirant alors faire comprendre à son être aimé combien elle était de cœur avec lui, elle entreprit, dans un geste plein de naturel, de tirer sur sa jupe pour la retrousser quelque peu. Puis, émue par son initiative, la gorge nouée, elle écarta discrètement ses jambes afin d’offrir à son jeune amant une vision plus large de l’intérieur de ses cuisses.

Pour Robert commença alors un véritable supplice de « Tantale » : à un mètre de lui il avait le spectacle affolant des cuisses pleines et charnues de sa sensuelle tante, sans qu’il ne puisse vraiment les contempler du fait de la présence de son épouse et de son oncle. Le cœur battant la chamade, participant à la conversation sans vraiment y porter un intérêt quelconque, il s’autorisait quand l’occasion se présentait, de jeter un rapide coup d’œil sur les cuisses offertes à ses regards. Sous le désir insensé qu’il ressentait vis-à-vis de sa tante, Robert se vit bientôt contraint d’enfoncer sa main droite dans la poche de son pantalon afin de dissimuler l’indécente protubérance qui commençait à déformer sa braguette.

Aussi discret que fut le mouvement qu’effectua Robert pour camoufler son érection, il ne passa pourtant pas inaperçu aux yeux de Jeanne, qui couvait des yeux son neveu adoré. Or depuis un instant elle n’avait pas été sans décelé un gonflement inopportun au bas du ventre de ce dernier. Sachant pertinemment qu’elle était la cause de cet inconvenant raidissement sexuel, elle en éprouva un indéfinissable bonheur. Les images de la virilité de son jeune amant, qu’elle avait découverte vingt-quatre heures plus tôt, lui revinrent en mémoire… Avec émoi, elle se souvint combien elle avait été surprise lorsqu’elle avait découvert le membre d'une longueur peu commune de son neveu... N’ayant jamais connu d’autre sexe masculin que celui de son époux, qui possédait une verge plutôt courte, la longueur de celle de Robert l’avait médusée et quelque peu angoissée. Sa première réaction avait été de se demander si un pieu de cette longueur pouvait s’enfoncer entièrement dans un sexe féminin. La suite des évènements lui avait prouvé que oui. Non seulement l’immense membre s’était introduit complètement dans son ventre, sans qu’elle n’en ressente aucune gêne, mais il lui avait fait connaître une jouissance extraordinaire. Plusieurs orgasmes l’avaient secouée durant tout le temps que Robert l’avait fouillé à l’aide de son fabuleux pal...

Pour les deux amants, l’après-midi se passa dans un sentiment de frustration ; chacun des deux imaginant maints subterfuges lui permettant de réitérer ces instants d’intense sensualité qui les avaient réunis vingt quatre heures plus tôt. Seuls leurs regards les réunissaient par instants dans lequel, chacun pouvait lire le désir que l’autre éprouvait.
Les heures défilant, bien trop vite au grès des deux complices, vint le moment où il fallut quitter le malade. Sachant que sa tante ne conduisait pas, Robert s’empressa de se proposer :
-- Comment es-tu venu ? Demanda-t-il, connaissant par avance la réponse.
-- En car !
-- Si tu veux, on te ramène…
-- C’est vrai ? Cela ne vous gêne pas ? Questionna Jeanne, ravie au fond d’elle-même de demeurer quelques instants supplémentaires avec son jeune amant, la présence de Maggy ne la gênant pas particulièrement.
La réponse vint de cette dernière :
-- Pensez voir !... C’est avec plaisir que nous vous déposerons Tatan.
-- Dans ce cas là, j’accepte…
Après un dernier baiser au malade qui les regarda s’éloigner avec tristesse, le trio quitta la chambre, chacun donnant son avis sur l’état du malade.
Ils atteignirent rapidement le parking où était garée la « 307 » de Robert dans laquelle ils prirent place. Pendant les premiers cent mètres le silence régna dans l’habitacle de la voiture, chacun étant plongé dans ses pensées. De temps à autre Robert jetait un coup d’œil au rétroviseur intérieur afin de communiquer avec sa tante par miroir interposé.
Complice, Jeanne profitait que Maggy installée à la place du « mort » ne pouvait la voir pour sourire franchement à son jeune amant, heureuse de profiter de ces derniers instants avec celui qui l’avait révélée sexuellement vingt quatre heures plus tôt. La première qui rompit le silence fut Maggy :
-- Je pense à une chose tatan, pourquoi ne viendriez vous pas passer la nuit à la maison… Ce n’est pas bon de rester seule chez vous à ruminer…
Robert, s’il fut surprit par la proposition de son épouse n’en pensa pas moins que l’idée était extraordinaire, aussi s’empressa-t-il de renchérir :
-- C’est vrai ça… Tu seras mieux à passer la soirée avec nous, que de te retrouver toute seule chez toi…
A cette suggestion, Jeanne sentit son cœur s’affoler : pouvoir passer la soirée près de son cher neveu la comblait de bonheur, même si elle savait pertinemment que rien ne pourrait se passer entre eux deux, du fait de la présence Maggy. Mais elle pourrait au moins être près de lui, lui sourire, le frôler et peut être sentir ses mains effleurer son corps… Cela suffisait à son bonheur.
-- Je ne voudrais pas vous déranger, tenta-t-elle de protester d’une voix peu convaincante.
-- Mais vous nous dérangez pas du tout, lui répondit Maggy… Vous savez bien que nous avons une chambre d’amis toujours prête, en plus de celle réservée au bébé…
-- Mais je n’ai rien pour la nuit, rétorqua Jeanne…
-- Ce n’est pas grave, je vous passerai un pyjama ou une chemise de nuit… Allez, c’est décidé… Robert vous ramènera chez-vous demain matin !…
-- Nous pourrons même passer à l’hôpital chercher Tonton, appuya Robert ravi de l’aubaine.
Contrairement à Jeanne, Robert pensait bien profiter de l’occasion pour, à l’insu de son épouse, amorcer quelques jeux érotiques avec sa sensuelle tante. Tout à son contentement, il jeta un rapide coup d’œil dans le rétroviseur en direction de son amante. Ce que le miroir lui renvoya le conforta dans l’espérance d’une soirée des plus agréable. Jeanne, l’air extrêmement ravie lui souriait largement. Dans un mouvement des lèvres plein de tendresse elle lui envoya même un baiser.
Au bout d’une bonne heure de route, la « 307 » stoppa enfin devant la demeure de Robert et Maggy : une villa à un étage jumelée de chaque coté à d’autres maisons toutes identiques, dans un lotissement, comme il y en a de plus en plus dans les périphéries des grandes villes. Les deux femmes pénétrèrent dans la maison alors que Robert allait garer la voiture au garage.
La voiture rentrée, la porte du garage refermée, Robert pénétra à son tour à l’intérieur de son logement. A son habitude, il retira ses chaussures. Les pieds nus dans de vieilles savates, il se dirigea alors en direction du bruit de conversation venant de l’étage où Maggy et Jeanne devaient faire la chambre que sa tante allait occuper pour la nuit. Désirant les rejoindre, il se lança à l’assaut de l’escalier en bois aux marches craquantes. Arrivé à la chambre d’amis il s’immobilisa dans le chambranle de la porte, appréciant le charmant spectacle qui s’offrait à lui. Les deux femmes se faisant face, de chaque coté du lit, s’activait à border les draps, Maggy lui faisant face. Jeanne par contre lui tournait le dos et penchée en avant pour tendre les couvertures, elle lui offrait sans le savoir l’affolant spectacle de sa large croupe que sa position penchée arrondissait outrageusement. La jupe du tailleur plaquée sur les rondeurs charnues du fessier laissait apparaître les contours de la culotte qui renfermait les globes jumeaux de l’opulent derrière. La vision du relief du sous-vêtement intime de sa tante et amante suffit à faire renaître le désir dans le bas-ventre de Robert.
Cependant, maintenant son ventre alourdi par huit mois de grossesse, Maggy interpella son mari :
-- Plutôt que de rester la à bailler aux corneilles, vas donc mettre la table, pendant que l’on prépare le dîner avec ta tante.
-- Ça me gêne de vous procurer tout ce travail, tenta de protester Jeanne. Surtout toi Maggy, dans ton état !
-- Ne vous faites pas de soucis, tantine. Je vais très bien. Un peu fatiguée, mais ça ira… Pour ce soir, j’ai des tranches de jambons au frigo et quelques œufs, nous pourrons faire une omelette et j’ai du fromage… Je pense que cela fera l’affaire…
-- Ce sera très bien. Tu sais je ne mange pas grand-chose le soir, tint à préciser Jeanne… Tiens hier au soir je me suis contentée d’un poireau en vinaigrette, ajouta-t-elle en jetant un regard complice à son neveu.
Tous trois quittèrent la chambre. Mais au moment où ils allaient emprunter l’escalier Maggy s’exclama :
-- Il faut que j’aille aux toilettes !
Et plus particulièrement pour Jeanne :
-- Depuis mon huitième mois de grossesse je n’arrête pas de faire pipi…
Laissant la future mère pénétrer dans les WC, Jeanne et Robert descendirent jusqu’au rez-de-chaussée. Arrivée au pied de l’escalier Jeanne se retourna pour faire face à son neveu qui la suivait :
-- Je suis heureuse de passer la soirée avec t… vous, lui murmura-t-elle.
-- Moi aussi, je suis ravie de t’avoir près de moi, répliqua Robert se montrant plus direct dans ses paroles.
Profitant de leur intimité passagère, le jeune homme agrippa sa tante par les hanches pour l’attirer contre lui :
-- J’ai envie de toi, lui murmura-t-il à l’oreille.
Et pour que sa tante se rende vraiment compte combien son désir était fort, il agrippa de ses deux mains la large croupe de sa parente qu’il plaqua contre lui, forçant cette dernière à appuyer son bas-ventre contre la protubérance que faisait son membre viril en état d’érection.
-- Oh ! Gémit doucement Jeanne en sentant l’énorme pal de chair lui meurtrir le ventre.
A percevoir à travers sa jupe l’extrême dureté de la verge de son compagnon, Jeanne ressentit une bouffée de chaleur l’envahir, tandis qu’une sueur érotique lui poissait les seins. Au plus secret de son sexe soudain en émoi une vanne céda, libérant un flux de cyprine bouillonnante. En un instant sa vulve fut copieusement inondée, et sans qu’elle ne puisse contenir ce raz de marée vaginal, elle sentit ses petites lèvres intimes s’entrebâiller pour laisser jaillir une source chaude et abondante. Une pensée fugace lui traversa l’esprit concernant les dégâts que cette inondation subite allait avoir sur l’entrejambe de sa culotte. Oubliant alors toutes ses pudeurs, tous ses interdits sexuels, se laissant emporter par ses sens affolés, Jeanne entama une sensuelle danse du ventre immobile, afin de sentir cette affolante virilité rouler contre son bas-ventre, et même contre son pubis, en se soulevant sur la pointe des pieds.
-- Comme tu es dur, gémit-elle… Dommage…
Bien qu’elle n’ait pas terminé sa phrase, Robert comprit ce à quoi sa tante faisait allusion.
-- Qui sait ! Lui murmura-t-il à l’oreille en agitant à son tour son bas-ventre, frottant avec insistance l’excroissance qui déformait le devant de son pantalon contre le ventre de son amante.
La vulve inondée par un déferlement de plus en plus abondant de liqueur amoureuse, Jeanne se prit à rêver : sentir à nouveau ce merveilleux membre la pénétrer, la fouiller. Sentir à chaque pénétration, le volumineux gland venir lui frapper l’utérus, déclenchant dans tout son corps ces extraordinaires ondes voluptueuses qui l’avaient si rapidement menée à l’orgasme vingt-quatre heures plus tôt. Robert lui avait fait découvrir une jouissance que jamais en plus de vingt ans de mariage elle n’avait connue. Jamais, Pierre son époux, malgré tout l’amour qu’il lui portait, ne l’avait amené, n’avait su l’emporter au firmament du plaisir, comme l’avait fait Robert la veille.
Mais le bruit d’une porte que l’on manoeuvre, accompagné par le son d’une chasse d’eau qui se vide força les deux amants à se séparer vivement. Tachant de remettre un peu d’ordre dans sa tenue que les mains impatientes de son jeune amant avaient quelque peu malmenée, Jeanne souffla :
-- C’est malin, je suis toute mouillée, et je n’ai pas de culotte de rechange…
Maggy faisant son apparition au bas de l’escalier empêcha Robert de répondre. Se détournant précipitamment afin de cacher à son épouse l’inopportune bosse qui déformait sa braguette il lança :
-- Bon, je vais mettre les couverts !
Laissant les deux femmes s’activer à la cuisine, Robert entreprit donc de dresser la table de la salle à manger. Disposant les couverts sur la nappe brodée, il s’arrangea pour placer celui de sa tante face au sien, Maggy en tant que maîtresse de maison devant se placer en bout de table. Puis pris d’une idée maligne, il alla choisir dans sa cave une bonne bouteille de Bordeaux.
-- Voila !... C’est prêt annonça-t-il, enfin.
-- On arrive, lui répondit Maggy.
Les deux femmes ne tardèrent pas à apparaître, Maggy, se déplaçant lentement derrière son ventre affreusement arrondi portait un plat où étaient alignées tranches de jambon et de saucisson, accompagnées de quelques cornichons. Jeanne suivait portant la panière à pain remplie de tranches fraîchement coupées et le beurrier sur lequel reposait un pain de beurre demi-sel. Une fois leurs plats déposés sur la nappe, les deux femmes s’installèrent face à leurs couverts, Maggy s’installant naturellement en bout de table, comme l’avait espéré Robert.
Le repas commença dans la bonne humeur, chacun pensant à calmer la faim qui commençait à se faire sentir. Robert s’était empressé de remplir les verres et surveillait que ceux-ci, surtout celui de Jeanne soit toujours pleins. Pour les deux amants se faisant face, les échanges de regards, d’abord timides, se firent de plus en plus insistants, complices. Robert tachait de mettre dans le sien tout le désir qu’il éprouvait pour sa tante, alors que dans celui de Jeanne on pouvait y lire, certes un certain désir, mais surtout énormément de passion pour ce neveu qui avait si bien su la combler sexuellement.

Comme elle répondait à Maggy sur la meilleure façon de préparer une omelette, Jeanne sentit, avec un certain émoi, un des pieds de son vis-à-vis frôler son mollet, puis s’y attarder dans une caresse persistante. Sans cesser sa discussion culinaire avec l’épouse de son amant, elle jeta un rapide coups d’œil à ce dernier afin de lui faire comprendre qu’elle était extrêmement ravie de son audace. Message que Robert dut certainement comprendre, car aussitôt elle sentit le pied indiscret de ce dernier remonter le long de son mollet, atteindre son genoux, et tenter de s’infiltrer entre ses cuisses resserrées. Un long frémissement de désir lui parcouru le bassin.

A sentir la douceur des chairs intimes de sa tante sous ses orteils, et ça à l’insu de son épouse placée à quelques centimètres de lui, procura à Robert un plaisir d’une intensité jamais connu. Allongeant un peu plus la jambe, il força les cuisses à s’écarter. Ce qu’elles firent de bonne grâce. S’étant ouvert le passage, Robert atteignit du bout du pied, le rempart de nylon qui protégeait ce sexe qu’il avait découvert vingt-quatre heures plus tôt et qui depuis cet instant le poursuivait dans ses songes. Sans cesse, depuis la veille, lui revenait à l’esprit l’affolante vision de sa tante impudiquement écartelée sur la table de cuisine, un énorme poireau planté dans la chatte. Légume qu’il avait lui-même enfoncé avec un plaisir pervers lorsque, ayant exploré de ses doigts le sexe de sa parente, il avait découvert surpris les dimensions extraordinaires du vagin qu’il fouillait. Durant près de deux heures il avait vécu avec sa tante des instants d’une lubricité démesuré. Il avait obligé sa parente à accepter ses désirs les plus fous, ses perversions sexuelles les plus impudiques. Et sa tante qu’il avait connue si prude, si sérieuse, s’était prêtée de bonne grâce à toutes les décisions perverses qu’il lui forçait à accomplir, les anticipant même. Victime de nouveau d’une érection monumentale, Robert entreprit de frotter ses orteils à l’entrejambe du vêtement intime qui protégeait ce sexe tant désiré, tachant tant bien que mal d’agacer le clitoris de sa sensuelle parente, qu’il savait extrêmement sensible.

Sous ces frôlements terriblement voluptueux et agaçants en même temps pour ses sens en effervescences, Jeanne sentit de longs frissons voluptueux lui parcourir tout le corps. Depuis le bas-ventre et le creux des reins des vagues successives la submergèrent, sans qu’elle ne puisse les contrôler. Au niveau de sa poitrine, ses mamelons se gonflèrent tandis que ses tétons, tels deux petites bites se raidissaient, s’irritant au contact du nylon de son soutien-gorge. Au plus intime de sa vulve ses glandes de « Bartholin » libéraient des flots de cyprine qui ne firent qu’aggraver encore l’état de sa fine culotte. Sous cet insidieux plaisir que lui procuraient les attouchements désordonnés des orteils de son pervers neveu, le désir se fit de plus en plus impérieux dans son bas-ventre. Aussi se laissant emporter par ses sens en ébullitions, Jeanne écarta le plus possible ses jambes afin de faciliter l’indiscrète exploration. Poussant subtilement sa croupe sur sa chaise, elle avança son entrejambe complètement liquéfié au devant du pied qui tentait maladroitement de la branler. La gorge sèche et nouée par le désir, elle avala précipitamment le contenu de son verre, sans se soucier que le vin ne pouvait qu’accroître encore la fièvre qui la travaillait.

-- Vous ne reprenez plus de jambon ? Interrogea soudain Maggy, tirant les deux amants de leurs songes érotiques.
-- Non merci, bégaya Jeanne, dont les entrailles torturées par le désir se liquéfiaient littéralement.
-- Toi non plus mon chéri ?
-- Non, merci… Je me réserve pour la suite, répliqua Robert en jetant un regard complice à sa tante dont les joues avaient particulièrement rosies sous l’effet conjugué du vin et de l’excitation.
-- Bon, eh bien je vais faire l’omelette, décida Maggy.
-- Attend, je vais t’aider proposa Jeanne en repoussant discrètement le pied nu de Robert d’entre ses cuisses.
Alors que les deux femmes quittaient la table pour se rendre de concert à la cuisine, Robert alléché suivit du regard les deux croupes qui s’éloignaient en ondulant. Si les fesses de son épouse paraissaient plus rondes, plus fermes du fait de leurs jeunesses, celles de sa tante par contre, bien que plus larges et plus opulentes, dégageaient une sensualité certaine. Se levant à son tour de table, il alla rejoindre ses deux compagnes à la cuisine.
Maggy et Jeanne discutaient autour de la poêle où cuisaient doucement les œufs.
-- Huumm, c’est appétissant ce que vous faites, complimenta Robert en encerclant de ses bras les tailles des deux femmes.
-- Prépare donc le plateau de fromages, l’interpella Maggy.
Laissant glisser sa main le long de la hanche de sa tante, en une caresse furtive, Robert alla s’acquitter de sa mission, sans pour autant cesser de contempler les postérieurs aguichant de ses deux compagnes.
-- Tatan, je vais vous laisser surveiller l’omelette, s’exclama soudain Maggy. J’ai encore envie de faire pipi !
-- Vas ma chérie, je m’occupe de tout.

A peine son épouse eut-elle entamée l’escalade de l’escalier qui menait à l’étage où se trouvaient les toilettes que Robert abandonna sa tâche pour se rapprocher de sa tante. Se plaçant dans le dos de celle-ci il lui saisit la taille, et se plaqua étroitement à elle.

Jeanne ne fut pas spécialement surprise de sentir les mains de son neveu lui encercler la taille. Dès qu’elle avait vu Maggy quitter la cuisine, elle s’était doutée que Robert viendrait la rejoindre. Mais lorsqu’elle sentit la raideur de la virilité de son jeune amant tenter de s’incruster dans la raie de ses fesses, elle ressentit une bouffée de chaleur lui irradier le creux des reins. Ne pouvant abandonner la surveillance dont elle avait été investie, elle lança sa main gauche dans son dos afin de refermer ses doigts autour de cette protubérance qui lui meurtrissait les fesses. De nouveau elle demeura stupéfaite en constatant la longueur et la dureté du membre viril que son cher neveu s’ingéniait à lui faire sentir.
-- Huumm, comme elle est grosse… Comment fais-tu pour être toujours aussi dur ?
-- Comme si tu ne le savais pas, murmura Robert.

Conscient de l’effet érotique que sa verge gonflée produisait sur sa sensuelle amante, Robert, que le désir affolait, remonta ses deux mains jusqu’à la volumineuse poitrine qu’il entreprit de malaxer fiévreusement. La veille, en devenant l’amant de sa tante il avait appris combien cette dernière était réceptive à ce type de caresse.
-- Cesse, gémit Jeanne complètement chamboulée par la palpation de ses seins et le contact de l’affolante virilité qui se frottait contre ses fesses… Tu me rends folle… Je suis toue mouillée…
Cette dernière précision de la part de sa victime déclencha chez Robert une convoitise subite. Pressant plus sensuellement les lourdes mamelles, il lui murmura à l’oreille de sa victime.
-- Donne moi ta culotte !
-- Hein !... Tu es fou, s’esclaffa Jeanne !
Sachant que le temps lui était compté, Maggy pouvant apparaître à tout moment, Robert profita que sa tante avait les deux mains occupées, pour la trousser jusqu’aux reins.
-- Que fais-tu s’affola Jeanne, tentant de se débattre afin d’échapper aux audaces de son entreprenant neveu.
-- Laisse-moi faire, grogna Robert réussissant à glisser ses doigts sous l’élastique du slip de nylon.
-- Non, arrête, gémit Jeanne… Tu es fou ! Si Maggy arrive…

Occupée à surveiller la cuisson des œufs, Jeanne, tenta par quelques mouvements des hanches d’empêcher son jeune amant de lui retirer son vêtement intime, sans beaucoup de résultat. Avec émoi elle sentit sa fine lingerie descendre le long de ses cuisses, riper sur ses genoux, glisser sur ses mollets pour enfin atteindre ses chevilles. Vaincue, elle n’eut plus qu’à lever les pieds, l’un après l’autre pour être débarrassée de sa culotte à l’entrejambe trempé :
-- Tu te rends compte de ce que tu me fais faire, gémit-elle… Tu n’as pas honte à obliger ta tante à se promener les fesses à l’air, continua-t-elle ironique ?
-- Pas du tout, répliqua Robert. Au contraire, ça m’excite...
-- Salaud !
Enthousiasmer par sa victoire, Robert écarta la fine lingerie de dentelle pour la porter à ses narines, telle une relique sacrée Humant l’entrejambe ren, il s’exclama à l’adresse de sa tante qui le regardait faire, quelque peu gênée :
-- Hum, quel parfum !
-- Ca ne doit pas sentir si bon que ça, répliqua Jeanne… Elle doit être trempée… par ta faute !
-- Ce n’en est que meilleur… Tu oublies que j’ai déjà goûté à ta liqueur hier, et je me suis régalé…
Comme il portait le tissu à sa bouche pour en goûter les saveurs, Jeanne, victime d’un reste de pudeur s’exclama :
-- Non, Robert, c’est sale !
Un bruit de porte fermée à l’étage ramena vivement les deux amants à la réalité. Glissant précipitamment le chiffon de nylon à l’intérieur de son pantalon, Robert murmura à l’attention de sa tante :
-- Si tu veux récupérer ta culotte tantine, il faudra que tu viennes la chercher !
L’apparition de Maggy empêcha Jeanne de répondre.

L’omelette enfin cuite, tout le monde repris sa place autour de la table. Alors que Maggy la questionnait sur l’avenir médical de son mari, Jeanne éprouva soudain un choc émotionnel : le pied de Robert, comme elle l’avait d’ailleurs espéré venait de frôler à nouveau sa cheville, et insidieusement remontait le long de son mollet. Alors, sans plus réfléchir, elle ouvrit largement le compas de ses cuisses pour faciliter la progression de son jeune amant en direction de sa chatte béante. Lorsque l’orteil de Robert frôla les grandes lèvres de sa vulve, une onde de désir se répandit dans son bas-ventre. L’excitation, qui depuis le début de la soirée l’avait submergée devenait de plus en plus insoutenable. Jamais elle n’avait ressenti une telle envie de faire l’amour, un tel besoin de sentir un membre masculin la pénétrer, la fouiller. Seule une pénétration pourrait calmer le brasier qui lui consumait le vagin, songea-t-elle avec envie. Une pensée lui effleura l’esprit : si jamais elle devait aller se coucher avec cette fièvre sexuelle au fond des entrailles, il lui faudrait réapprendre ses caresses d’adolescente. Discrètement, elle avança ses fesses sur sa chaise, afin que son jeune amant puisse la toucher plus intimement.
Lorsque l’orteil explorateur écrasa les grandes lèvres de sa vulve congestionnée, elle ressentit une onde voluptueuse la submerger. Le désir qui la faisait abondamment mouiller s’accentua encore dans son bas-ventre affamé. D’un rapide coup d’œil elle tacha de faire comprendre à son pervers neveu combien son attouchement la comblait.

Inconsciente du ballet érotique qui se jouait à l’abri de la table entre son mari et sa tante, Maggy menait une discussion auquel les deux amants ne s’intéressait que moyennement. Robert s’efforçait de frôler les grandes lèvres sexuelles de sa complice à l’aide de son gros orteil. Bien qu’ayant appris combien sa tante pouvait ruisseler sous le désir, l’abondante humidité qu’il percevait sous son doigt de pied l’excita au plus haut point. Réussissant à appuyer fortement son orteil le long de la vulve chaude et abondamment humidifiée, il sentit avec joie les chairs intimes du sexe s’écarter sous sa poussée. Tendant sa jambe au maximum, il poussa son pied dans l’entrecuisse accueillant. A la tiédeur qui enveloppa soudain son orteil, il comprit avec émoi qu’il venait de pénétrer dans le réceptacle intime de son amante. Un plaisir instinctif le saisit. Le même plaisir qu’il avait ressentit lorsque adolescent, il avait, pour la première fois, osé glisser une main dans la culotte d’une fille, dans laquelle il avait tâtonné maladroitement à la recherche de cette fente mystérieuse qui faisait tant fantasmer les garçons de son âge.

Le visage penché sur son assiette, ne s’intéressant à la discussion que lorsqu’elle y était obligée, Jeanne se laissa envahir par une torpeur voluptueuse créée par les attouchements dont sa chatte était l’objet. Même si l’orteil ne pouvait la fouiller aussi profondément qu’elle l’aurait désiré, il lui procurait quand même un plaisir insidieux, qui prenant naissance au plus profond de son sexe, investissait son bas-ventre et le creux de ses reins par ondes successives. Malgré elle, Jeanne dut reconnaître que ce plaisir qu’elle ressentait était encore accentué par le fait que l’épouse de son jeune amant se trouvait à quelques centimètres d’elle ; et qu’à chaque moment celle-ci pouvait, en se penchant, découvrir l’occupation de son mari.
Eprouvant une réelle volupté à être ainsi caressée, avec la menace d’être surprise, Jeanne se décida à faire partager cette euphorie à son extraordinaire neveu. Aussi se déchaussant discrètement, elle étira sa jambe droite pour tenter d’atteindre l’entrecuisse de son amant. Mais ce mouvement l’obligea à modifier sa position sur sa chaise, ce qui eut pour résultat d’éjecter de sa faille sexuelle rendue glissante par l’abondance des sécrétions qui s’y échappait, l’orteil qui s’y activait. Glissant hors de sa fente, le doigt de pied de son vis-à-vis ripa sur son clitoris qui depuis un moment déjà avait émergé de ses replis vulvaires. Sous ce choc inattendu, Jeanne fut traversée par une brusque décharge sensuelle qui lui irradia les entrailles, la tétanisant sur sa chaise.
Comprenant alors qu’elle ressentait là les prémices d’une jouissance imminente, Jeanne resserra frénétiquement ses cuisses parcourues de milliers de frémissements, enserrant et immobilisant le pied qui s’y activait. Affolée à l’idée d’être victime d’un orgasme mal venu, elle fit appel à toute sa volonté pour stopper la jouissance qu’elle sentait poindre. Mais malgré sa volonté et ses efforts désespérés, une onde voluptueuse l’enveloppa telle une aura, la submergea depuis le bas-ventre jusqu’à la poitrine, lui bloquant les reins. Serrant les dents pour ne pas se trahir, elle laissa cette houle dévastatrice se calmer d’elle-même, ce qui se fit assez rapidement ; cette orgasme ayant été moins violent qu’elle ne l’avait craint au départ. Peu à peu tout son corps se relâcha. Une question de Maggy la tira de sa torpeur sensuelle.
-- Ca ne va pas tante, vous êtes toute pâle soudain ? Vous ne vous sentez pas bien ?
-- Non, non ce n’est rien, se dépêcha de rassurer Jeanne… Juste un coup de fatigue, suite aux évènements passés…
-- C’est vrai que tu as l’air toute bizarre, s’empressa de renchérir Robert avec un sourire complice, ayant deviné ce qui avait provoqué le soi disant malaise de sa tante.
-- Vous allez vous reposer sur le canapé pendant que Robert et moi allons débarrasser, commanda Maggy… Allez chéri, lève toi et viens m’aider…
-- Non, ça va aller… Je tiens à vous aider… Je me reposerai après !

A trois, la table fut rapidement débarrassée, la vaisselle lavée, essuyée et rangée. Profitant des va-et-vient occasionnés par le rangement de la vaisselle, Robert profita, chaque fois que l’occasion se présentait, pour coincer sa tante dans un coin et la palper sans vergogne.

Malgré la crainte d’être surprise par sa nièce, Jeanne se prêta de bonne grâce aux agressions sexuelles de son jeune amant, y éprouvant même un immense plaisir. C’était soit un frôlement d’une hanche au passage, une caresse d’une fesse, la saisie furtive d’un sein. A un moment, alors que Robert l’avait coincé dans un recoin, pour se coller à elle afin de lui faire sentir la dureté de son désir, elle n’avait pas hésité à porter une main curieuse en direction de cette raideur affolante. Elle avait bien dû se rendre à l’évidence, son jeune amant était victime d’une érection magistrale. Cette constatation l’avait alors excité au plus haut point, et cela malgré son récent mini orgasme.

Enfin, lorsque tout fût rangé, la table nettoyée, tout le monde passa au salon.
-- Que voulez-vous regarder ce soir, demanda Robert à ces deux femmes. Sur la Une il repasse un vieux film, sur la Deux il y a Sébastien…
-- Ta tante à peut-être envie d’aller se coucher, protesta Maggy.
-- Non, non, ne vous en faites pas pour moi, je resterais avec vous, s’empressa de rassurer Jeanne. Pour une fois que nous passons une soirée ensemble.
-- Dans ce cas, installez-vous, je vais mettre la Deux, les numéros de music-halls de Sébastien sont assez divertissant. Ça te changera les idées, tantine.
Chacun pris place sur le canapé face au poste de télévision. Robert, qui tenait à continuer ses attouchements érotiques sur la personne de sa tante, s’arrangea pour s’asseoir entre les deux femmes... Une fois installé, dans un geste plein d’affection, il entoura les épaules de ses deux compagnes de ses bras. Mais si sa main gauche resta sagement posée sur l’épaule de son épouse, il n’en fut pas de même de la droite. Insidieusement celle-ci glissa dans le dos de Jeanne, pour habilement s’insinuer entre le torse et le bras droit de cette dernière.
Ne rencontrant aucune résistance de la part de sa tante, celle-ci ayant même écarté son bras pour faciliter le passage de sa main exploratrice, Robert put alors refermer ses doigts sur le volumineux sein, objet de ses convoitises. Avec un plaisir extrême il pressa la lourde mamelle, la pétrissant avec volupté.

Jeanne, qui avait espéré une telle initiative de la part son neveu et amant, éprouva un plaisir certain lorsque les doigts de ce dernier se refermèrent sur son sein droit. Bougeant imperceptiblement sa jambe gauche, elle colla sa cuisse contre celle de son ardent voisin, appréciant la chaleur qui se dégageait de cette dernière malgré le rempart de leurs vêtements... Quelque peu inquiète quand même, du fait de la présence proche de Maggy, elle jeta un discret coup d’œil en direction de celle-ci. La jeune femme, la tête reposant sur l’épaule de son époux, fixait l’écran de télévision, inconsciente de ce qui se passait entre son mari et sa tante. Rassurée, Jeanne se concentra alors sur le plaisir que lui occasionnait cette main qui lui malaxait doucement le sein. Le désir, que son mini orgasme, avait quelque peu apaisé, s’était de nouveau réveillé, et dans le secret de son sexe une chaleur bien connue commençait à irradier ses entrailles. Au fil des minutes qui passaient, sous les pressions de plus en plus fermes de la main masculine sur son sein gonflé, elle se laissa gagner par cette torpeur voluptueuse qu’elle connaissait si bien. S’abandonnant complètement, elle se laissa envahir par cette langueur avec une réelle délectation. La main qui enserrait son sein se faisait de plus en plus pressante, plus audacieuse, réussissant parfois à pincer son téton malgré les tissus qui le protégeait.

Robert dont le désir, non seulement n’avait pas faibli, mais au contraire devenait de plus en plus exigeant, jugea que les palpations de ce fruit de chair encore enrobé de son écorce de tissu ne pouvaient le contenter entièrement ; même s’il lui procurait énormément de plaisir. Il lui fallait autre chose : il avait besoin de sentir la chair nue sous ses doigts. Abandonnant alors le sein qu’il malaxait depuis un instant, il laissa descendre sa main le long de la hanche de sa tante, atteignit la cuisse, sous laquelle il glissa ses doigts dans l’intention d’atteindre les fesses de sa parente.

Comprenant immédiatement les intentions de son neveu, Jeanne se souleva légèrement du canapé afin de faciliter la progression de cette main baladeuse. Avec émoi elle sentit les doigts se faufiler adroitement sous sa jambe, remonter le long de sa cuisse pour atteindre enfin sa croupe. Devinant les desseins de son pervers compagnon, elle s’arrangea pour s’asseoir que sur une fesse seulement, de façon à laisser toute liberté à son jeune amant pour mener à bien ses explorations lubriques.

Ayant atteint son but ; pouvoir placer sa main sous la croupe charnue de sa tante, Robert éprouva un tel plaisir, que dans son slip son membre viril lâcha quelques gouttes de liquide séminal, signe d’une excitation maximale. Le contact contre sa paume des rondeurs fermes et élastiques de son amante avait créé un véritable choc émotionnel au niveau de son membre viril terriblement dardé. Seule la présence de son épouse à sa droite le retenait de laisser libre cours à sa lubricité ; sachant pertinemment que sa sensuelle tante devait attendre ses attouchements. Jetant un coup d’œil à sa femme dont la tête reposait sur son épaule, il constata avec ravissement que celle-ci, vaincue par la fatigue occasionnée par sa grossesse avancée, s’était légèrement assoupie. Rassuré par cette somnolence qui lui permettait d’assouvir sans crainte ses désirs, Robert entreprit alors de tirer sur la jupe qui l’empêchait d’accéder aux chairs pulpeuses qu’il percevait à travers le tissu.

Quelque peu inquiète par les gestes de plus en plus précis de son jeune amant, Jeanne jeta un rapide coup d’œil en direction de Maggy. Constatant à son tour que la future mère assoupie sur l’épaule de son mari était bien incapable de se rendre compte des activités de ce dernier, elle se décida alors à venir en aide à son pervers neveu. Les mains posées à plat sur ses genoux, afin de maintenir sa jupe en place sur ses cuisses, elle souleva légèrement sa croupe épanouie, permettant ainsi à son pernicieux partenaire de retrousser son vêtement sur ses fesses. Aussitôt elle sentit avec un plaisir évident, un doigt inquisiteur fureter dans le profond sillon séparant les deux rotondités de sa croupe. Lorsque celui-ci stoppa tout contre son orifice secret un frisson sexuel la traversa toute. Dans l’attente de la pénétration qui allait s’ensuivre, elle relâcha au maximum les muscles de son conduit anal afin de permettre à ce doigt explorateur de venir s’enfoncer dans le corridor secret de ses intestins.
Mais contrairement à ce qu’elle avait espéré, le doigt qui furetait entre ses fesses, après un léger tâtonnement de son œillet déjà palpitant, continua son chemin jusqu’à sa chatte dans laquelle il s’enfonça sans aucune difficulté. Vu l’abondance de secrétions qui depuis un moment engluait les parois de son vagin, le majeur, savamment téléguidé, n’eut aucune peine à se glisser dans ses chairs intimes abondamment lubrifiées. Avec un plaisir immense, Jeanne apprécia l’exploration dont sa vulve était l’objet. Les yeux fixés sur l’écran de télévision, elle agita imperceptiblement son bas ventre, accompagnant les prospections du majeur dans les replis de son sexe trempé. Depuis le début de la soirée ses glandes de « Bartholin » fonctionnaient à plein régime, secrétant un flot continu de cyprine, qui s’échappant d’entre ses grandes lèvres venait lui souiller l’intérieur des cuisses. Jamais elle n’avait autant mouillé et surtout aussi longtemps.
Craignant soudain de laisser des traces compromettantes sur le tissu du canapé, elle tenta de stopper son obsédé neveu :
-- Arrête, murmura-t-elle dans un souffle afin de ne pas réveiller Maggy… On va tâcher le canapé…

Ignorant les recommandations de sa partenaire, Robert continua de plus belle ses explorations digitales. La paume de la main placée en coupe sous la vulve ruisselante, le majeur fiché dans le cratère féminin rejetant sa lave brûlante, il prenait un véritable plaisir à fouiller ce sexe juteux. Lors de son initiation amoureuse, quelques années plus tôt, il avait découvert qu’il éprouvait un bonheur incroyable à offrir du plaisir à sa partenaire, alors que serait dû être le contraire. A l’abondance de secrétions qu’il recueillait dans le creux de sa main, il était évident qu’il réussissait dans sa mission. Sa tante ruisselait littéralement, comme si une digue avait soudainement cédée au plus profond de cette grotte de chair qu’il fouillait.
Tout en continuant d’agiter vivement son majeur dans le vagin bouillonnant, il réussit à glisser son pouce entre les opulentes fesses de sa sensuelle complice, à la recherche du second orifice qui s’y cachait. Grâce à la quantité de cyprine rejetée par le sexe en fusion, il ne fut pas spécialement étonné en constatant combien l’anus convoité était humidifié. Aussi il n’eut pas à forcer pour faire pénétrer la totalité de son pouce dans le conduit anal copieusement trempé.

Sous cette nouvelle exploration à l’intérieur cette fois de ses intestins, Jeanne relâcha immédiatement ses muscles, s’offrant complètement aux fantaisies sexuelles de son pervers neveu et amant. Se contraignant au silence, malgré le bien être qu’elle ressentait à être doublement pénétrée et doublement fouillée, elle agita doucement ses hanches, aidant ainsi aux palpations affolantes dont elle l’objet ses deux orifices secrets. Soudain, une onde voluptueuse d’une intensité exceptionnelle la traversa toute, la faisant se cambrer dans un spasme incontrôlable. Robert venait de refermer ses doigts à l’intérieur même de son corps, pressant du même coup les parois de son vagin et celles de son rectum, tout en frottant ses deux phalanges l’une contre l’autre. C’était la première fois qu’elle subissait ce type de double masturbation et elle dut reconnaître que les effets sur sa libido étaient des plus affolants. Le plaisir qu’elle ressentait était étrange ; à la fois violent et onctueux en même temps. Elle dut faire un terrible effort pour stopper le gémissement qui faillit jaillir de sa gorge. La respiration soudainement accélérée, elle se souleva légèrement du canapé afin que Robert puisse fouiller ses cavités intimes à son aise.
Le désir qui de nouveau l’avait envahi était tel qu’elle se prit à espérer que son jeune amant, puisse dans la nuit, venir la rejoindre dans son lit, et de sa lance magique éteindre le brasier qu’il avait allumé dans ses entrailles.

Un mouvement soudain du coté de Maggy tira les deux complices de leurs jeux érotiques. Vivement Robert retira sa main d’entre les cuisses de sa tante, et d’un geste naturel la porta à hauteur de ses narines pour la humer. Jeanne à qui ce geste n’avait pas échappé se rassit commodément sur le canapé sans souci de ses fesses humides.
-- Je crois que je vais vous laisser, annonça Maggy dans un bâillement… Je suis crevé, je préfère monter me coucher…
-- Je vais peut-être y aller aussi, annonça Jeanne sans beaucoup de conviction.
-- Non, non, restez si vous le désirez tantine, d’ailleurs ça m’étonnerait que Robert vienne se coucher tout de suite.
-- C’est vrai renchérit aussitôt Robert qui ne tenait pas spécialement que sa tante se retire… Attend la fin de l’émission…
-- Bon, moi je vous laisse. Bonsoir à tout les deux, lança Maggy en se dirigeant péniblement en direction de l’escalier de bois qui menait aux chambres.
Alors que son épouse disparaissait dans l’escalier, Robert saisit la main de sa tante et la posa sur l’énorme protubérance qui déformait sa braguette.

Jetant un rapide coup d’œil en direction de l’endroit d’où venait de s’en aller Maggy afin de se rassurer, Jeanne referma ses doigts sur la formidable bosse que formait la virilité gonflée de son neveu. Avec un émoi évident elle dut se rendre à l’évidence, Robert était bien victime d’une érection phénoménale. Le cœur battant, elle pressa l’énorme excroissance, revivant les moments où elle avait découvert cette virilité aux dimensions impressionnantes :
-- Mon pauvre chéri, murmura-t-elle attendrie. Tu dois être mal… Je peux peut-être faire quelque chose pour toi, maintenant que ta femme est partie se coucher !
-- Je pense bien, répliqua Robert en l’enlaçant… J’ai tellement envie de toi !
-- Moi aussi, j’ai envie de toi, murmura Jeanne dans un souffle… Tu m’as tellement excité toute la soirée… Je suis trempée…
-- Ça je m’en suis rendu compte.
-- Tu es un véritable démon, renchérit Jeanne en frottant doucement sur toute sa longueur l’incroyable bourrelet.
-- C’est un reproche ?
-- Oh non !... J’aime trop ce que tu me fais… Même si c’est défendu… Il y a si longtemps que je n’avais connu un tel bonheur… Je crois bien en fait que tu m’as révélée, jamais mon corps ne s’était conduit comme ça, même au début de notre mariage, ton oncle et moi…
Robert dont le désir était à son paroxysme jugea que le temps des frôlements, même si ceux-ci étaient agréables, devait cesser. Il avait un besoin pressant d’attouchements plus précis, plus intimes. Vivement, il entreprit de déboutonner son pantalon sous le regard intéressé de sa tante. Découvrant un bout de sa culotte dépassant du slip de son neveu, Jeanne s’exclama amusée :
-- Il me semble bien que ceci m’appartient !... Ce ne serait pas ma culotte par hasard ?
-- Si tu la veux, viens la récupérer, proposa Robert.

Ne se le faisant pas répéter, Jeanne, dont le désir était aussi impérieux que celui de son jeune partenaire, repoussa le slip qui emprisonnait sa lingerie intime, mais qui surtout lui cachait cette virilité extraordinaire. Libérée, tel le génie de la fable, la verge monstrueusement gonflée se redressa orgueilleuse, offrant aux yeux ébahis de Jeanne son gland violacé entièrement décalotté :
-- Oh quel morceau, s’exclama-t-elle hypnotisée par ce pal de chair démesuré.
Comme la veille lorsqu’elle avait découvert, impressionnée, les dimensions étonnantes de la virilité de son neveu, elle demeura un long moment à contempler ce pieu de chair hallucinant.
-- Tu peux la toucher, tu sais. Elle ne va pas te mordre, l’encouragea Robert impatient.
-- Je sais qu’elle ne va pas me mordre, répliqua Jeanne en refermant ses doigts autour du membre viril tendu. Mais je sais aussi qu’elle peut cracher, j’en ai quelques souvenirs…
Activant sa main le long de la colonne de chair, elle entreprit alors de la branler doucement, délicatement, avec une sorte de tendresse maternelle :
-- Comme elle est belle, chuchota-t-elle, en fixant le gland violacé qui apparaissait hors de sa main refermée chaque fois qu’elle le décalottait… Je n’en reviens toujours pas que tu possèdes un sexe d’une telle taille… Pourtant quand tu étais , et que je te faisais ta toilette tu m’as toujours semblé normalement constitué… Il est donc possible que cette partie de l’anatomie d’un homme puisse changer à ce point.
Mais devant ce membre dressé et qui semblait la narguer, Jeanne ne put résister davantage. Avide de goûter de nouveau à ce bourgeon de chair velouté, elle s'empressa d'aspirer l'extrémité cramoisie de la verge frémissante. Goulûment elle aspira le gland congestionné au fond de sa gorge, tachant d’absorber entièrement l’impressionnante queue rigide dans sa bouche. Avec gloutonnerie, elle entreprit de sucer l'énorme pal de chair dont l’extrémité venait lui frapper la glotte, la forçant à déglutir fréquemment. Tout en faisant coulisser ses lèvres le long de la longue hampe de chair, elle referma ses doigts sur les couilles velues et gonflées qu'elle pressa délicatement, pinçant mesurément les noyaux durcis.
A sentir le membre frémir dans sa bouche, Jeanne ne tarda pas à percevoir dans son corps d’incontrôlables frémissements de toute sa chair. Ses mamelons se gercèrent tandis que ses tétons se raidissaient comme si une bouche amoureuse les avait sucés. Entre ses cuisses, sa fontaine intime, loin de se tarir avait encore augmenté de débit. Que n’aurait-elle donné pour que son jeune amant la prenne, là à même le canapé, sans se soucier de la présence de Maggy endormie au premier étage.
Alors qu’elle s’ingéniait à agacer le gland congestionné en le fouettant à l’aide sa langue, elle sentit son jeune amant la saisir par les cheveux et lui tirer vivement la tête en arrière, l’obligeant à lâcher sa proie.
-- Pourquoi, s’inquiéta-t-elle ?... Tu n’aimes pas ?
-- Au contraire, c’est trop bon… Je préfère jouir dans ton ventre…
-- C’est vrai, s’exclama Jeanne ravie !
-- Viens sur moi !
-- Mais… Maggy ?
-- Ne t’en fais pas, on l’entendra si elle quitte la chambre, le parquet des escaliers grince.

Rassurée, Jeanne s’apprêta à s’installer à califourchon sur les genoux de son neveu, comme ce dernier lui avait demandé, lorsqu’une pensée lui traversa l’esprit.
-- Enlève ton pantalon, conseilla-t-elle à son jeune amant…Avec tout ce qui coule de ma chatte je risque fort de le tacher !
Comprenant le bien fondé de la demande de sa tante, Robert se souleva du canapé afin de faire glisser son pantalon le long de ses cuisses. Pendant ce temps Jeanne retroussait largement sa jupe, dénudant son ventre que l’âge avait quelque peu alourdi et au bas duquel moussait une abondante toison brune, et sa croupe vaste et charnue.
-- Vines maintenant, implora presque Robert, dont le membre se dressait orgueilleusement au dessus de ses couilles gonflées par le désir.

Fixant avec une convoitise non feinte l’agressive virilité, véritable pal de chair monstrueux, qui l’avait fort impressionné vingt-quatre heures plus tôt lorsqu’elle l’avait découvert pour la première fois, Jeanne s’empressa de chevaucher son bien aimé neveu. S’installant confortablement au-dessus du bas-ventre de celui-ci, elle ondula de la croupe afin de placer sa vulve à la verticale du dôme de chair turgide. Puis glissant une main entre ses cuisses, elle s’empara de la longue verge pour la maintenir solidement au-dessous de sa chatte d’où s’écoulait une chaude rosée. Sentant le gland bouffi frôler les grandes lèvres de sa féminité, elle se laissa alors tomber de tout son poids, s’empalant avec force sur le pieu de chair rigide. Le choc du dôme volumineux contre son utérus lui arracha un râle de plaisir :
-- Oh mon Dieu !... Je sens ta queue jusqu’au fond de mon ventre… C’est terrible !... J’ai l’impression d’être embrochée…
Et afin d’habi son vagin à cette énormité plantée en lui, Jeanne s’immobilisa, le corps arqué, les mains crochetées dans les épaules de son jeune amant.

Ressentant la fournaise du sexe féminin envelopper son pénis, Robert en éprouva un tel plaisir qu’il dut faire un effort considérable pour s’empêcher de jouir et de lâcher sa semence à l’intérieur du vagin torride. Agrippant les hanches de sa volcanique partenaire, dans lesquelles il crocheta ses doigts, il l’immobilisa pour qu’il puisse retrouver un semblant de calme.

Cependant au bout de quelques minutes, Jeanne, qui s’était habituée à cet impressionnant appendice planté dans son ventre, commença à remuer doucement sa croupe. Avec douceur elle entreprit de faire coulisser les grandes lèvres juteuses de sa vulve le long de la verge qui la pénétrait. Une douce euphorie l’enveloppa peu à peu au rythme de sa lente chevauchée.
-- C’est merveilleux, murmura-t-elle à l’intention de son jeune partenaire… Je suis bien… Je sens ton gros bout jusqu’au fond de mon ventre… Et toi, mon chéri, tu es bien aussi ?

Pour toute réponse, Robert qui luttait de toute sa volonté pour freiner la jouissance qu’il l’envahissait inexorablement ne réussit qu’à émettre un grognement.

Prenant ce borborygme pour un acquiescement de la part de son partenaire, Jeanne accéléra alors sa sensuelle chevauché. Telle une fière Amazone lancée sur son fringant coursier elle agita sa vaste croupe en un galop effréné.
-- Oh oui !... C’est bon !... Oh mon chéri, c’est merveilleux… Oh ! Tu me remplis toute !…

Robert qui avait un mal fou à contenir l’embrasement de ses sens, se trouva de nouveau projeté dans un début d’extase auquel il se refusait encore de céder. Saisissant sa fougueuse amante par les fesses qu’il enserra fermement, il la contraignit à calmer ses ardeurs :
-- Doucement, grogna-t-il… C’est trop bon… Tu vas me faire jouir si tu continues comme ça !
-- C’est vrai, s’extasia Jeanne au comble du bonheur ?

Fermement drivée par son ardent neveu, Jeanne passa du galop endiablé à un trot plus langoureux. Les fesses fiévreusement malaxées, elle laissa Robert lui imposer le rythme de leur voluptueux accouplement.
Malgré le ralentissement de la chevauchée que lui imposait Robert, elle dût se rendre à l’évidence ; elle éprouvait autant de plaisir, même si celui-ci était plus diffus, au va-et-vient affaibli du volumineux bourgeon de chair à l’intérieur de son vagin. Chaque nouvelle pénétration lui procurait un frémissement incendiaire dans le bas-ventre ; déclenchant une onde sensuelle qui depuis l’intérieur de ses entrailles se propageait dans tout son corps, lui irradiant le creux des reins. A l’intérieur des balconnets de son soutien-gorge ses seins s’étaient peu à peu gonflés, rendant leurs prisons soudain trop étroites. Au centre de ses aréoles qui s’étaient largement boursouflées, ses tétons s’étaient raidis, tel deux minuscules verges, doublant de volume.
-- Hum ! C’est bon, gémit-elle à l’intention de son jeune amant !
-- C’est pas meilleurs comme ça ? Ironisa Robert, continuant à diriger l’allure des ébats.
-- Hum…
Les deux rythmes convenaient également à Jeanne. Si celui que lui imposait actuellement son jeune partenaire la ravissait, elle n’aurait pas été contre qu’il accélère quelque peu son allure, afin d’être pistonnée plus sauvagement.
Mais les ondes voluptueuses se faisant de plus en plus persistantes au niveau de sa poitrine, Jeanne lâcha les épaules de son amant auxquelles elle se cramponnait. Vivement, en des gestes impatients, elle s’attaqua aux boutons de son chemisier, les dégrafant rapidement. Puis son vêtement entièrement déboutonné, elle agrippa les bonnets de son soutien-gorge qu’elle tira à elle, libérant ses seins enflés par l’attente. Les volumineuses mamelles soudainement dégagées de leurs prisons de dentelles, retombèrent lourdement sur le torse étroit : deux outres à la chair laiteuse sillonnées de fines veinules bleutées, et outrageusement gonflées de sève.
Saisissant ses deux seins dilatés dans ses mains refermées en coupe, Jeanne les présenta alors à son amant :
-- Embrasse-les, quémanda-t-elle d’une voix suppliante… Tu voulais toujours les toucher lorsque tu était gamin, se rappela-t-elle.

Sans lâcher l’opulente croupe qu’il malaxait de plus en plus fiévreusement, à mesure que le plaisir se développait en lui, Robert se jeta tel un nourrisson affamé sur l’un des mamelons boursouflés. Avec une gourmandise sensuelle il suça les larges aréoles mauves à la chair granuleuse.
Passant de l’un à l’autre des seins que sa sensuelle tante lui offrait, il lécha et suça les opulents fruits à la chair moite. Comme il lâchait l’un des mamelon pour se saisir se son jumeaux, ses dents se refermèrent plus violemment qu’il ne l’eut voulu sur le téton dressé. Aussitôt sa sensuelle partenaire se cambra violemment, faisant saillir sa lourde poitrine.

-- Encore, gémit-elle sourdement.
Robert, sans le savoir venait de dénicher l’un des points secrets de sa sensualité. Depuis sa puberté, sa poitrine et plus particulièrement ses tétons avaient été le centre de son plaisir, au même type que son clitoris. Assez souvent il lui était arrivé, lors de sa jeunesse, de jouir, lorsque son amoureux du moment, dans une salle obscure d’un cinéma, lui pince simplement le bout des seins.
Une nouvelle morsure, un peu plus appuyée que la première la fit tressauter subitement. Elle comprit que son habile neveu avait enregistré qu’il tenait sous ses dents une zone érogène de son corps. Agrippant la tête de son talentueux amant, elle la pressa fiévreusement contre ses seins gonflés. Et comme Robert occupé à lui mâchouiller les tétons avait relâché son étreinte au niveau de ses fesses, elle en profita pour agiter furieusement sa croupe. Avec une rage érotique elle s’empala sur le mandrin de chair qui la pénétrait, pressée d’atteindre enfin cet orgasme qui la libérerait de ce brasier qui lui ravageait les entrailles. De ses mamelons sensuellement torturés par la bouche gourmande de son jeune partenaire, des ondes voluptueuses se propageaient dans tout son corps par vagues successives.
Les reins arqués, gémissante de bonheur, Jeanne sentit tout à coup une vague de plaisir déferlée dans son corps, un véritable raz de marée, impétueux et incontrôlable la submergea, la tétanisant de la tête aux pieds. Se mordant les lèvres pour s’empêcher d’extérioriser l’intense plaisir qu’elle ressentait, elle subit le violent orgasme dans une semi inconscience. De son vagin en fusion une lave brûlante s’écoula, lui trempant l’entrecuisse avant d’asperger le bas-ventre et les couilles de son amant.

Percevant autour de son gland extrêmement sensibilisé par l’incessant frottement auquel il était soumis, cette soudaine fournaise, Robert comprit immédiatement que sa sensuelle tante avait atteint cette jouissance après laquelle elle aspirait tant. Incapable alors de se contenir davantage, il cessa de lutter et dans un grognement guttural, il lâcha sa semence à qui gicla par salves successives à l’intérieur du vagin torride de sa volcanique parente.

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