Gerard, Premiere Rencontre

J’ai 36 ans, je n’en ai pas l’air, mais je suis pédé. J’aime les hommes, être et coucher avec. J’aime les odeurs de mâles actifs et le goût de la bite...

Cela fait maintenant six ans que cela dure. Je n’ai pas un physique extraordinaire : 1,67m pour 72 kg. Un peu de bide donc et des poignées d’amour. Châtain aux yeux bleus et poilu. Mais je plais quand même, et il m’arrive parfois de me faire draguer. Et si le mec me plaît et que je suis libre, je dis bingo. Je ne laisse que rarement passer une occasion. J’avoue que je suis un mec facile : pas besoin d’être amoureux un tant soit peu pour coucher. Mais hors ghetto, ce n’est pas toujours facile de trouver un mec. Surtout depuis mon déménagement il y a trois ans. Je suis resté dans la même ville, mais j’ai perdu le contact avec mes potes d’avant. On se retrouvait régulièrement dans des soirées gays, ou en tout cas, entres gays. Les relations et rencontres ne manquaient donc pas.

Par lassitude, j’ai pris mes distances, rompus le contact. Pendant un temps, les relations se sont faites plus rares. Jusqu’au jour où je me suis décidé à passer une annonce sur Internet. L’annonce était simple : « mec 35 ans, passif, cherche actif pour plan, rencontre, relation….. ». Cela m’a valu plusieurs rencontres, plusieurs lapins aussi. Quand un mec me contactait, je lui répondais simplement que j’avais envie de me faire baiser. Je répondais aussi parfois à certaines annonces. Je ciblais de préférence des hommes de plus de quarante ans. Je les trouve plus séduisants, plus attirants, plus intéressants. Et au lit, s’ils sont actifs, ils savent s’y prendre avec les passifs comme moi. J’ai donc rencontré pas mal de mecs via Internet. C’était parfois banal, parfois génial. Pendant deux ans, ma sexualité a dépendu d’Internet. Ce que j’aimais dans ce type de rencontres, c’est leur côté furtif. J’aime bien les parties de baises furtives, celles où je me laisse baiser par un mec croisé dans un bar, sur Internet, sans rien savoir de lui.

Celles où je me fais baiser sans attendre de lendemain et en attendant la surprise de la taille de la queue du mec, la surprise aussi de comment il baise. Néanmoins, j’ai revu certains mecs croisés sur le net. Aucune relation sentimentale n’en n’a suivie, tout une plus une relation d’amitié.

Ces deux dernières années, deux rencontres m’ont marquées. La première, celle avec Gérard. Il y a deux ans de cela. Cela s’est passé un vendredi soir. Je rentrais chez moi après le boulot en prenant le métro. Il était assez tard, vers 22h00 environ. J’étais fatigué, nous venions de terminer un lourd dossier assez important. Il y avait peu de monde dans le wagon. J’aperçus néanmoins un homme plutôt séduisant. Dans la quarantaine, pas très grand, les cheveux grisonnant. Je jetais un œil dans sa direction, dans l’espoir d’attirer son attention. C’est que je partagerais bien un moment avec lui. Je commençais à sentir ma queue frétiller dans mon pantalon rien qu’à chercher à deviner la taille de sa queue ! Je suis timide de nature, et déjà dans un endroit gay, je n’ose pas trop draguer un mec même si je sais pertinemment qu’il est au minimum bisexuel. Alors là, dans le métro, ce n’était même pas la peine de penser une seconde que je pourrais draguer un mec aussi attirant puisse t-il être. Et lui, attirant l’était vraiment dans son costume cravate ! Cet homme me plaisait vraiment.

Il me fallait prendre une correspondance pour arriver chez moi. Lui aussi, et je l’ai senti me suivre dans les couloirs du métro jusqu’au quai suivant. Il s’est assis près de moi une fois installé dans le second métro alors qu’il ne manquait pas de place. J’en étais légèrement troublé. Il a engagé la conversation. Il s’appelait Gérard et était divorcé. Il fut surpris quand je lui ai annoncé que j’étais célibataire et même pas en couple à mon age. Avant de nous quitter il m’a laissé sa carte en me demandant de l’appeler quand je voulais. En insistant bien sur le quand je voulais. « Si tu t’emmerdes, n’hésite surtout pas.
» Le tout avec un grand sourire et en me levant pour descendre du métro il a franchement posé une main sur une de mes cuisse.

Arrivé chez moi, j’ai ressorti sa carte et me suis branlé comme un malade. Cet homme, Gérard, avait un charme fou et le peu de temps que nous avons passé ensembles ont suffit pour qu’il m’hypnotise. Je n’affiche pas mon homosexualité, mais ne la refoule pas. Le sourire que je lui avais envoyé au moment où il avait sa main sur ma cuisse devait lui en dire long. Et en rentrant chez moi, j’avais une très nette envie de cet homme. Comme rarement j’ai désiré un homme !

J’ai pris une douche, avalé un plat de pâtes vite fait. J’avais en mangeant sa carte sous les yeux. Je mourrais d’envie de l’appeler ; mais n’osais pas. Habituellement, quand j’ai la chance de me faire draguer par un homme ou seulement de rencontrer un homme qui me plaît, ça doit se faire de suite. Sinon, je passe à autre chose. Mais là, c’était différent. L’occasion était trop belle, je ne pouvais la louper. J’ai pris mon téléphone et ai composé son numéro.

- Gérard ?
- Oui ?
- C’est Christophe. Tu m’as donné ton tel tout à l’heure dans le métro…
- Ah oui. Déjà rentré ?
- Oui. Toi aussi on dirait.
- Oui. Tu es seul ?
- Oui.
- Moi aussi. Alors tu t’emmerdes déjà ?
- Oui. Je viens de manger, je n’ai pas sommeil.

S’ensuivit une discussion banale. Mais il semblait enchanté de mon appel. Puis, est devenue plus « sérieuse ».

- Alors comment ça se fait que tu vis encore seul à ton âge ?
- Disons que je n’ai pas trouvé ma moitié. Et puis, ça me permet de rester libre.
- C’est important d’être libre.
- Oui.
- Comme ça tu peux draguer qui tu veux !
- Exactement.
- Dis moi, je peux te poser une question indiscrète ?
- Oui, vas-y.
- Tu es gay ?
- Oui.

J’ai répondu à sa question sans hésitation aucune.

- Depuis mon divorce, je ne baise quasiment qu’avec des mecs.

- Par souvenir pour ta femme ou par plaisir ?
- Par plaisir…. Rien ne vaut le cul d’un mec pour que je prenne mon pied. Et ton cul a l’air pas mal.
- Merci….
- De rien…. J’étais au début de l’excitation quand je marchais derrière toi tout à l’heure.
- C’est flatteur.
- C’est la vérité. Avec des fesses pareil, tu as du t’en prendre des coups dans le cul ?
- Quelques-unes un oui, répondis-je en souriant.
- Et tu aimes ça ?
- Oui.
- Dis le moi avec tes mots à toi que tu aimes ça. Que tu aimes les mecs !

J’ai hésité un bref instant, pensant sur le coup qu’il se contenterait d’un dialogue au téléphone. Mais je lui ai répondu sans gêne :

- J’aime les mecs, j’aime les odeurs de mâles actifs et le goût de la bite. Me faire défoncer les fesses ; recevoir un coup de bite dans le cul.
- Moi je suis un homme. 46 ans, poilu, viril actif qui cherche un mec plus jeune pour m’éclater sexuellement. Je reçois sans tabous.
- On devrait pouvoir s’entendre. J’ai envie de toi.
- Tu habites où ?
- Dans le 12ème. Tu viens ?
- Non, c’est toi qui viens. Je suis à Nation.
- J’att un taxi et j’arrive.
- Ok. Ramène tes fesses. Je t’attends. Tu ne vas pas t’ennuyer, je vais bien m’occuper de toi.

Sur ce, il me file son adresse. Excité comme une puce, j’enfile un jean assez moulant, juste ce qu’il faut, avec un string dessous. J’étais complètement sous le charme de cet homme qui semblait sûr de lui. Dans le taxi, l’excitation montait. Ce n’était pas la première fois que je me rendais chez un mec pour me faire sauter. Mais, là, l’homme en question, Gérard, me montait au cerveau. J’avais eu envie de lui dès que je l’avais vu dans le métro. Et comme lui ne semblai pas en reste ! Je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait, mais je comptais bien en profiter. Et me sentais prêt à m’offrir à lui.

Arrivé en bas de son immeuble, je sonne à l’interphone et il me guide jusqu’à sa porte.
Sa porte qui est entrouverte. Je rentre timidement, il m’appelle. Je le vois dans le salon, en caleçon, assis dans un canapé. Torse, cuisses et bras poilus.

- Bonjour….
- Vas y rentre. Ne fais pas ta timide. Fous toi à poil. Tu es venu pour ça non ?
- Oui.

Je me fous à poil, ne gardant que mon string. Quand il l’a vu, il ma demandé de le garder en disant que « ça, c’est bien le signe d’une salope ». Je me suis approché de lui. Aussitôt, il m’att par les fesses, les tâtent et me les malaxe et joue avec la ficelle de mon string entre mes fesses. Je me sens alors comme un jeune puceau qui va se faire ramoner pour la première fois.

- Ça remonte à quand ta dernière fois ?
- Deux semaines environ….
- C’était bien ?
- Banal….
- Ok… Tu me plais toi aussi. Ta gueule et ton corps m’excitent. Mais je te préviens : c’est moi qui prends les choses en main. Ok ?
- D’accord.
- Avant que je te déchire le fion, tu vas me pomper. Tu vas me montrer ce que tu sais faire.

Je suis tombé à genoux, à ses pieds. J’ai posé mes mains contre ses cuisses, posé mes lèvres contre son gros paquet déjà en érection. J’ai mordillé sa bosse à travers son caleçon, lui caressant en même temps le haut des cuisses. N’y tenant plus, j’ai sortis le morceau. Et là, mes craintes sur son âge se sont envolées : un queue de vingt centimètres, déjà bien raide et bien épaisse, dans les 6 centimètres de diamètre. Un beau gland bien dégagé, et des couilles bien velues comme je les aime ! Un braquemart, que dis-je, une vraie matraque, un démonte cul comme on en rencontre rarement.

Après deux ou trois coups de langue sur son gland, je me suis enfourné sa bite raide et dure comme un esquimau. Sa bite chaude et dure m’emplit la bouche, me la distend. Il me laisse faire, je le sens se caler au fond du canapé en lançant un « - Oui… Voilà…Comme ça ! Hum… ». Je prends soin, malgré sa queue énorme, de le pomper à fond de gorge. A ma surprise, j’arrive à en avaler un bon morceau. Je reprends de temps à autre ma respiration en lui léchant les couilles, avant de repartir de plus belle. Ma bouche s’habitue à sa queue. Je bande à fond dans mon string qui m’écrase la bite. Je le pompe comme ça jusqu’à ce qu’il me jouisse à pleine bouche. J’ai tout avalé, j’adore le foutre, et Gérard était généreux de ce point de côté-là, à l’image de sa queue.

Après lui avoir bien essuyé le gland, je me relève et viens m’asseoir sur lui. Il en a profité pour me retirer mon string.

- Tu suces à merveille !
- Merci…. Tu me plais tellement…. J’ai tellement envie de toi….
- Toi aussi tu me plait ! J’espère que ton petit cul est aussi bon que ta bouche.
- Tu me diras ça. J’ai envie de te donner un maximum de plaisirs.
- J’y compte bien. Et pour ça, tu dois être une véritable salope. Ma salope.

Il voulait que je sois sa salope, sa chienne…. J’allais l’être. Je ne me sentais pas pouvoir lui refuser quoique ce soit. Je ne le connais pas, il pourrait être mon père, mais je l’écoute. Plus que sa queue, c’était cet homme que je désirais, il m’hypnotisait et bientôt il allait me posséder comme jamais un homme ne m’a possédé. Alors je lui réponds :

- Je suis ta salope. Tant que tu voudras de moi.

Sur ce, il m’a penché en arrière sur le canapé s’allongeant sur moi. Il a posé ses lèvres contre les miennes, sa langue a l’entrée de ma bouche et s’est enroulée autour de la mienne. Un long baiser s’en est suivi. Je lui caressai le bas du dos, les fesses, mes jambes l’encerclaient. J’étais aux anges, me laissait complètement aller. Sa langue dans ma bouche autour de la mienne, son corps nu contre le mien, tout contribuait à me donner un maximum de sensations. Il a libéré ma bouche pour m’embrasser, me mordiller le cou. Une zone assez érogène chez moi, d’autant qu’il me le mordillait franchement. Il est descendu à hauteur de mes tétons. Il s’est levé, « ne bouge pas » et est revenu avec un rasoir et du à raser et il s’est mis à me raser le torse ! J’en fus surpris, mais ne dis rien. Une fois sa besogne terminée, sans un mot, il est revenu sur moi, m’écrasant de tout son poids.

- La prochaine fois, veille à avoir un torse nickel !
- Oui Chéri….

Il a commencé à me lécher les tétons, les mordiller, les étirer. Je les ai très sensibles, je penchais la tête en arrière. Il y allait franchement, provoquant un raz de marée de sensations que je n’avais encore jamais ressentis. Etait-ce du plaisir ou de la douleur ? Les deux… ? Je le laissais faire, ne pouvant nier le plaisir ressentis malgré la douleur. Je lui susurrais même des petits « oui » de satisfactions. Il a fini par lâcher mes seins pour une nouvelle pelle langoureuse. A ce moment là, j’ai compris que le temps passé avec Gérard ne ressemblerait à rien de ce que j’avais connu jusqu’alors. J’avais bien saisi qu’il voulait que je sois sa pédale, sa pute, sa salope et j’acceptais de l’être. Après tout, être salope, je savais faire. Mais Gérard rajoutait quelque chose : il voulait me dominer, et il me dominait. Et ça aussi, j’étais prêt à l’accepter. Car plus qu’une envie de mec et de me faire mettre ce soir là, je désirais Gérard pleinement. Il me montait au cerveau, j’avais vraiment envie de me donner à lui. De m’abandonner. Sa façon de m’embrasser me disait que lui aussi me désirait vraiment.

Il se leva, me demanda de le suivre et m’entraîna dans les toilettes. Il me fit mettre à genoux et se saisit de sa queue, me demandant de ne pas bouger et la coince entre mes lèvres.

- Tu l’aimes ma queue hein ?
- Oui…. Répondis-je en caressant son gland avec ma langue.

C’est là que j’ai perdu le peu de dignité qui me restait. D’un coup je sens un léger chaud dans ma bouche. Il n’a pas jouis pourtant ! J’avale ce qu’il me donne. D’un coup je toussote et marque un court moment un sentiment de révulsion. Mais quand je comprends qu’il me pisse dessus, je me contiens.

- Hum… tu aimes ça hein ?

Je suis tellement excité par cette situation assez humiliante, par ce jet chaud qui me coule dans la bouche, je lui dis oui de la tête. Je veux le faire jouir de tous ses membres. Sa queue ne bouge plus, elle reste immobile entre mes lèvres. Je laisse le liquide chaud coulé dans ma bouche. Je l’avale tant bien que mal, sa pisse me coule aussi sur le visage et dans le cou telle une caresse. C’est humiliant, mais j’aime ça. Je sens qu’il prend vraiment possession des opérations, et que je ne peux dire non. J’aime cette situation qui m’excite de plus en plus ! Je veux qu’il se serve de moi comme un jouet. Il continue à pisser comme si de rien n’était. Je suis excité comme rarement je ne l’avais été auparavant. . Je suis dans une telle osmose que je suis prêt à tout accepter de lui, ses envies, ses fantasmes, ses délires… Je ne sais pas à quoi je pense, mais j’adore sa queue. Une fois terminé, il me lance :

- Lave toi le visage et va t’allonger sur mon lit.

Je me suis lavé, et ai pris la direction de sa chambre attenant au salon. Quand je suis arrivé au salon, il était devant son ordinateur. Mais j’ai pris place sur son lit sans un mot. Il m’a fait attendre de très longues minutes avant d’arriver. Je l’attendais impatiemment allongé sur son lit complètement à poil. J’avais hâte qu’il me rejoigne, mais même trouvant le temps long, je n’osais l’appeler. Pourtant j’avais envie de lui crier « Qu’est ce que tu fous bordel ? » Mais je n’osais pas. Je savais qu’il viendrait. Et qu’il m’enculerait. J’en avais tellement envie ! Je voulais le sentir en moi, l’avoir près de moi…. Je n’avais rarement rencontré un mec avec un sexe du calibre de celui de Gérard. Mais cela ne me faisait pas peur. Bien au contraire.

Il a fini par arriver en se frottant les mains.

- Je ne t’ai pas trop fais attendre ?
- Si un peu.... j’ai tellement envie d’être près de toi...
- T’occupe.... c’est moi qui décide quand tu me pompes et quand je t ‘encule. Quand et comment. Ok ?
- D’accord.....
- Alors qu’est ce que tu attends pour te foutre en position pour que je puisse t’engrosser ?

Sans un mot, je me retourne et me fous à quatre pattes sur son lit. J’écarte bien les cuisses et relève bien le cul. J’adore me retrouver dans cette situation un brin humiliante : être à quatre pattes, à poil prêt à me faire enculer par un mec. Surtout quand le mec en question va me prendre pour la première fois : comment va t-il s’y prendre ?

Il a pris place sur le lit derrière moi. Il s’est collé de suite à moi, prenant soin de bien appuyer sa queue toujours raide contre mes fesses. Il a posé ses mains sur mon dos et j’ai compris pourquoi il se frottait les mains en arrivant dans la chambre : il s’était enduit les mains d’une huile.... Je frissonnais de plaisir rien qu’au toucher de ses mains sur ma peau.

- Tu la sens ma grosse queue qui va t’exploser ton petit cul de pédé mon mignon ?
- Oui, je la sens....
- Je vais te baiser au jus. Ok ?
- D’accord Chéri...
- Ça, c’est une réponse de salope. J’aime.
- Je suis une salope. Ta salope.

Il m’a massé légèrement le bas du dos, puis ses mains sont descendues jusqu’à mes fesses. Il me les a massées fermement quelques secondes. Puis d’un coup, sans prévenir, j’ai senti un grand coup s’abattre sur mes fesses. Puis deux. Je tressautais, mais ne protestais pas. Il me claquait les fesses, il a fini par m’administrer une véritable fessée.

- C’est pour calmer ton impatience et te rappeler qu’ici, c’est moi qui décide.

Comme lorsqu’il s’était attaqué à mes seins tout à l’heure, il m’infligeait un nouveau supplice, contre mes fesses cette fois ci. Je ne bronchas toujours pas, le laissait faire. On m’avait déjà claqué les fesses et j’ai toujours aimé ça. Mais, là, avec Gérard, c’était le cran au-dessus. Je grimaçais à chaque fois que sa main s’abattait sur mes fesses en feu, la douleur était certaine. Mais une douleur qui laissait place au plaisir. Sensation étrange, mais réelle. Mais la encore, le plaisir l’emportait sur la douleur. Plaisir de la sensation physique, celle de se recevoir ce contact sur mes fesses. Celle aussi d’être soumis et d’être considéré de la sorte. Il voulait que je sois sa pute, sa salope, sa chienne. Et ça m’allait. Quand il arrête le supplice, ce fut pour pointer un doigt contre mon trou. Son doigt huilé est rentré sans sourciller. Il l’a bien fait vriller, puis il a rentré deux doigts.

- Tu as un sacré cul, tu me fais triquer !
- Merci.... Mon cul est à toi.... Je suis à toi.

Il m’a doigté longuement, plaçant trois, puis quatre doigts dans mon cul. J’avais le droit à une dilatation digne de ce nom. Il me massait carrément de l’intérieur. Il a retiré ses doigts, et de la langue, il m’a léché les poils du cul, du scrotum jusqu’au bas du dos. Rarement j’avais eu droit à une attention aussi sexy de la part d’un de mes partenaires. C’est aussi pour ça que j’ai une très nette préférence pour les hommes plus âgés que moi. Ils savent plus que quiconque comment rendre fou les mecs bien passifs comme moi. Avec Gérard j’étais servi !

- Tends moi ta chatte !

Il y en a à qui ces mots ne plaisent pas. Moi, c’est tout le contraire. Ça me rend fou ! Je relève bien le cul, écarte les cuisses. Mon fion lubrifié est une cible pour sa queue. Il pointe son gland contre ma rosace, une main plantée dans mes fesses douloureuses. Son gland a violé l’entré de mon cul sans sourciller. Il a donné un premier coup de rein faisant rentrer sa queue en moi. Il a commencé par une pénétration, sensuelle, ses mains dans mes fesses. Quand sa queue a commencé à coulisser dans mon cul, là, il a planté ses doigts dans les hanches et donné un coup sec et violent. Je n’ai pu m’empêcher de pousser un cri, en même temps que je comprenais que cette fois sa bite était vraiment dans mon cul. Il s’est mis a m’enculer comme un forcené pendant de très longues minutes, ses râles de plaisirs se mêlaient à mes couinements. Je me suis retenu pour ne pas hurler comme une chienne en chaleur. Putain, je sens maintenant toute sa queue enfourrée dans mon cul, mon pauvre petit anus. Je me resserre au maximum comme pour l’. Je me déhanche pour le cajoler. Et toi... lui, continuait de progresser, il continue ses coups de hanches, qui se font de plus en plus violent. Ce furent de véritables coups de boutoirs. Je sens son bassin contre mes fesses, tout mon corps est agité sous tes coups répétés. Sa bite bat la cadence entre mes cuisses. Mon intimité anale me brûle, je suis déchiré, distendu, écartelé par sa chair conquérante. Ses "Han !" De bûcheron qui accompagnaient chacun de ses coups de rein accompagnaient mes couinements à peine dissimulés. Gérard fait parti de ces mecs endurant. De fait, je ne sais combien de temps à durer cette sodomie. Mais cela m’a paru durer une éternité ! Il n’a ralenti la cadence que pour me gicler au fond de mes entrailles. Le plaisir en fut indescriptible : il n’ y a rien de tel qu’une baise au jus ! Quand il se retire, je m’écroule sur le lit, épuisé. Mais Gérard, haletant, me remet à quatre pattes et se mets à me bouffer le cul. Sa langue me pénètre carrément mon trou béant et gluant et me procure de nouveau un plaisir incommensurable. Il fini par venir s’allonger près de moi et on se pelle nos corps collés l’un contre l’autre.

- Tu es vraiment une sacrée salope, j’adore ça !
- J’adore comment tu me baises. Alors, je suis ta salope. Et j’aime être ta salope.
- Parfait.

Quelques minutes plus tard, nous avons fini par prendre une douche. Sous la douche, Gérard m’a à lui tailler une nouvelle pipe. Son attitude était toujours autoritaire : il m’a à me mettre à genoux et m’a foutu sa queue dans ma bouche. Je l’ai pompé docilement jusqu’à recueillir toute sa semence au fond de ma gorge. Nous avons ensuite mangé un morceau vite fait.

Il était trois heures du matin, mais Gérard en voulait encore. Il s’est planté devant moi et m’a fait m’allonger sur le dos sur la table du salon. Il en voulait encore, et je n’avais rien contre ! Quand il a pris place entre mes cuisses, j’ai instinctivement écarté et relevé les cuisses qu’il m’a aidé à poser sur ses épaules. Il m’a attiré vers lui en me tenant par les hanches et en rien de temps, je me suis retrouvé empalé sur sa queue d’un coup sec. Je me suis de nouveau offert à lui. Il m’a limé furieusement en me regardant. Je m’agrippais comme je pouvais, ne pouvant cette fois réprimer mes couinements de femelle. Il s’est arrêté un moment pour se pencher sur moi. Je l’ai enlacé et il m’a embrassé. J’avais sa grosse queue au fond de mon cul, mes cuisses serrées contre ses fesses et sa langue se tortillait autour de la mienne. Nous ne faisions plus qu’un. Il se redressa et se remis à me niquer de plus belle. Au moment où il allait jouir, il a retiré sa queue de mon cul et m’a attrapé fermement pour m’allonger sur le sol. Il est venu s’asseoir sur mon torse m’écrasant de tout son poids. Il a pointé son gland au niveau de ma bouche et s’est branlé vigoureusement. En un rien de temps, son jus m’inonda les lèvres, le visage, la gorge. Coulée de crème onctueuse et abondante que j’ai avalé avec ferveur. Après lui avoir bien essuyé la queue, il a laissé son gland au-dessus de ma bouche.

- Ouvre la bouche, j’ai envie de pisser ma salope.

J’ai gardé ma bouche ouverte et il s’est mis à me pisser dedans me prenant pour un urinoir. J’avalais autant que possible sa pisse. Je me sentais humilié, rabaissé, mais ça m’excitait et j’aimais cette situation. Quand il eu fini de se soulage, il s’est assis de tout son poids sur mon torse et m’a giflé le visage avec sa queue. Il a fini par se relever pour me demander d’aller faire un brin de toilette. Lui, est allé se coucher. Il dormait quand je l’ai rejoint. Je me suis glissé dans son lit et me suis lové contre lui pour m’endormir immédiatement.

Il m’a demandé de le pomper sitôt réveillés. J’ai pris place entre ses cuisses et me suis occupé de sa queue avec ferveur pendant qu’il me coinçait la tête avec ses cuisses. Nous avons pris une douche, pris un petit déjeuner. Il m’a expliqué qu’il avait à faire ce week-end et que je ne pourrais rester avec lui. Je lui ai laissé mon numéro de téléphone à sa demande.

- Qu’as tu penser de cette nuit passée avec moi ?
- Géniale. J’ai rarement ressentis autant de plaisir. Et rarement jouis autant.
- Ça prouve que tu es une bonne salope. Et j’aime les salopes de ton genre. Ta gueule me plaît, ton corps m’excite. Bref, tu me plais.
- Si je veux rebaiser avec toi, c’est moi qui t’appelle. Ok ?
- D’accord.
- Si je t’appelle, tu ne devras pas refuser, sinon, je serais très déçu.
- Je ne pense pas que je refuserais de te revoir.
- Très bien ! Et si on rebaise ensemble, tu devras rester aussi salope que cette nuit. Je t’aime bien, mais il ne faudra pas me décevoir !
- Je ferais en sorte de ne jamais te décevoir.
- Si tu restes aussi docile, ce sera parfait !
- Je ferais tout pour continuer de m’offrir à toi sans retenues.
- Tu as tout compris.

Sans me rendre compte, avec cette discussion, nous venions de poser les bases et le cadre de notre relation à venir. Nous nous sommes embrassés et habillés. J’ai du le pomper une dernière fois avant de partir. Nous sommes partis de chez lui ensemble. En bas de son immeuble nous avons croisés un de ses voisins. Pendant que Gérard échangeait quelques mots avec lui, celui-ci me dévisageait des pieds à la tête. En repartant, Gérard me dit :

- Il sait que tu es une bonne tapette.
- Ah oui ?
- Oui. Il sait qu’un mec qui repart de chez moi au matin, c’est que c’est une pédale. Ce que tu es non ?
- Ce que je suis. Oui.

Nous avons pris un café ensembles sur une terrasse. Nous avons discutés de tout et de rien. Avant de nous quitter, il m’a demandé mes horaires de travails. Je suis donc rentré chez moi, l’odeur de sa queue et de son foutre plein la bouche. Le fion bien dilaté, béant et gluant. La raie bien humide, je sentais encore son foutre dans mes entrailles.

J’avais passé une nuit fabuleuse. Avec un mec qui m’avait attiré dès que je l’ai vu dans ce métro. Et je voulais remettre ça au plus vite. J’avais déjà ressentis cette sensation de manque, cette sensation que d’être en chaleur et d’avoir envie d’un mec. De n’importe quel mec pour assouvir mon désir de sexe. Mais là, c’est de Gérard dont j’avais envie. Envie d’être avec lui, de parler avec lui, de me donner à lui. Ce n’était pas que sexuel, c’était un peu plus que ça. J’espérais donc qu’il me rappellerait. Et vite. En attendant, je me suis couché. Comblé et exténué.

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