L'Asservissement De Miss Camping (Chapitre 4)

L’asservissement de Miss Camping

Chapitre 4

Après les mésaventures que je venais de vivre, il n’était pas questions de repartir aux douches pour me refaire une toilette ! J’avais trop peur de me faire tringler en cours de chemin. Je me suis donc lavé comme j’ai pu avec de l’eau en bouteille et du Sopalain, je me suis coiffée et maquillée, puis je suis partie à la recherche de Jean.

Pour rejoindre la plage, j’ai du traverser le camping de long en large, toujours totalement nue. Mais cette fois, je m’en suis tirée à peu de frais, avec quelques mains baladeuses sur mes fesses, mes seins et ma vulve. Elément nouveau, j’ai alors remarqué certains regards appréciateurs de jeunes femmes, mais sur le moment je n’y ai alors pas plus prêté attention que cela.

Arrivée à la plage, je longeai celle-ci afin de retrouver mon Jean. Le soleil étant de plomb, beaucoup de femmes avaient la poitrine à l’air et ne portaient qu’un string minimaliste. Vous pourriez penser que ma nudité se fondait plus dans le décor. Il n’en était rien : étrangement, ma chatte dénudée attirait tous les regards !
Au bout de 2 minutes de marche, j’aperçue au loin une de mes concurrentes du concours : Julie. Il faut dire que celle-ci ne passait pas inaperçue : une vingtaine d'années, grande, blonde aux cheveux bouclée, belles jambes soyeuses, belles cuisses pleines et puissantes, fesses rebondies bien mises en valeur par un string dont la ficelle lui rentrait complètement dans la raie du cul, deux obus à l’air libre en forme de pomme. J’étais bien consciente que je n’avais pu battre une telle beauté au concours qu’en mettant mes charmes à disposition de mes électeurs ! Ma concurrente malheureuse était en grande discussion avec une jeune femme élancée, brune à la peau mate, et aux longs cheveux, qui avait elle aussi la poitrine à l’air.
Un peu gênée de croiser le chemin de Julie, je continuai cependant d’avancer à la recherche de Jean.

Julie finit par m’apercevoir, mais continua sa discussion. Au fur et à mesure que j’avançais, la gêne que je ressentais se fit de plus en plus pressante. La brune, que je ne voyais que de dos, me rappelais quelqu’un. Son allure générale, sa façon de bouger, me mettais en alerte.
Je m’apprêtais à tourner à 90 degrés afin de ne pas passer à côté des 2 jeunes femmes, lorsque l’inconnue se retourna brusquement. J’en restais pétrifié sur place : il s’agissait de Laetitia, ma chef de rayon !
« Coralie . . . la chatte à l’air en public . . . qu’elle surprise ! », s’exclama t-elle d’une voix suave. « Mais je suis distraite : c’est vrai que tu as promis ton cul à tout le monde pour te faire élire Miss Camping ! »
« Non . . .C’est pas . . . », bredouillais-je.
« Vu ce que j’ai vu et entendu pendant le concours . . . c’est tout comme ! Mais si tu as un doute, nous pourrons revoir ce moment inoubliable sur mon camescope : j’ai tout filmé ! En gros plan ! . . . Un coup de chance ! », répliqua t-elle le sourier aux lèvres.
Mon cœur rata un battement. Je crus que j’allai m’évanouir. La salope ! La connaissant, elle allait se faire un plaisir de faire circuler ça sous le manteau au magasin ! J’allai devenir la risée de tous et toutes. Peut-être me faire renvoyer ! Elle qui prenait un malin plaisir à humilier son personnel, elle n’allait pas me rater !
« Et j’ai bien noté qu’il n’y avait pas de restriction dans tes engagements ma jolie ! », ajouta Julie en ma saisissant un sein à pleine main, « je vais donc profiter de l’occasion qui m’est donné de vérifier si c’était bien juste que tu l’emportes sur moi ! »
« Oh non, pas en public ! », couinais-je. Consciente des engagements que j’avais prise, il ne me venait pas à l’idée de me dérober, mais je ne voulais absolument pas me faire tripoter par une femme en public. Je me doutais bien qu’une telle nouvelle ferai le tour du camping et que le lendemain ce serait l’hallali !
« Et pourquoi, je ne te plauterai pas en public, ma salope ? Pour préserver ta pudeur ? Mais ça fait longtemps que tu n’en a plus aucune !’, lança Julie sur un ton venimeux.

« Allons Julie, il faut être compréhensif », dit Laetitia en me mettant la main droite sur les fesses. « Je suis d’accord que Coralie n’a plus de pudeur depuis longtemps . . . mais avec les hommes ! Se faire mater, plauter et tringler par un mâle, soit. Devant un public féminin, soit. Mais se faire mater, plauter, voire tringler par une femme, c’est nouveau ! . . . Il y a des dunes à quelques mètres. . . Autant aller derrière ou tu pourras profiter de Coralie en toute discrétion pour elle . . . et comme bon te semblera. »
Julie semblait hésiter. J’ai voulu forcer sa décision.
« D’autant qu’il n’y a pas de problème sur le principe, je tiendrai mes engagements. Mon corps est à votre entière disposition ».
Cela ma faisait drôle de vouvoyer une fille de mon âge. Mais, intuitivement, je savais que c’était la bonne attitude à prendre. Julie voulait prendre une revanche. Il fallait lui en donner pour son argent. De toute façon, je ne pouvais pas y couper
« Tu es vraiment une garce ! », me lança Julie, en me saisissant par le bras et en me tirant vers les dunes de sables. Arrivées derrière celles-ci, je vis que Laetitia fermait la marche. Elle jeta un gros sac au sol.
« Tu as oublié tes petites affaires Julie. »
« Merci », répondit celle-ci avec un sourire carnassier.
D’un geste brutal, Julie me jeta alors au sol. « A quatre pattes pouffiasse ! Je vais t’apprendre à voler les concours à celles qui valent mieux que toi ! . . . Cambre-toi mieux que ça et écarte les cuisses que l’on puisse admirer ta chatte de pute ! »
Mécaniquement, comme dans un état second, j’obéissais. J’entendis alors la fermeture éclair d’un sac s’ouvrir. La chair de poule couvrit mon corps.
C’est alors que le premier coup de baguette s’abattit sur mes fesses. Une baguette de coudrier. La baguette me mordit ma peau en pénétrant dans les chairs de mes fesses. Je retins mon hurlement de douleur et de détresse.
« Beugle si tu veux chienne ! », commenta Julie.
« Que du monde vienne voir le spectacle et ai ainsi l’idée d’en faire autant plutôt que bêtement te fourrer le con avec leur bites ! »
Les autres coups suivirent. Jusqu’à cinq. De plus en plus douloureux.

« Pitié . . . je ne vais plus pouvoir me retenir de crier . . . mon cul va exploser . . . », murmurais-je.

« Il faut être humain, Julie », enchaîna Laetitia. « Regarde, elle a le cul en feu ! Elle ne va plus pouvoir s’assoir de la soirée ! »

Eperdue de gratitude de ce soutien, je lançais un petit « Merci »

« Je m’étais promis de lui donner 10 coups de baguettes, et elle recevra 10 coups ! »

« Soit, mais tu peux donner les 5 coups restants ailleurs que sur les fesses ! », lança ma chef de rayon.

Un frisson glacé me parcouru le dos. La garce, c’est là qu’elle voulait en venir en me « venant en aide » !

« Mais ou veux-tu la corriger ailleurs que sur les fesses ? », demanda Julie.

Laetitia éclata de rire. « Ah, l’innocence de la jeunesse ! Avec un martinet, j’aurai pu lui cingler la chatte, mais avec une baguette de coudrier . . . les seins restent une possibilité ! »

« 5 coups sur ses pis de vache laitière ! Génial ! », s’écria Julie.

« Mais il faut que Coralie soit d’accord ! Après tout, elle peut préférer recevoir les 5 coups sur son cul en définitive ! », ajouta Laetitia.

« A genoux ! », commanda Julie. Puis après que j’eu obtempéré, elle demanda : « alors qu’elle est ta préférence ma jolie ? Cul ou seins ? »

Le choix était cornélien ! Je savais que vu l’état de mes fesses, de nouveaux coups de baguettes à cet endroit me feraient hurler de douleur et attireraient les campeurs. Mais j’étais bien consciente que les coups de baguettes sur les seins allaient être parfaitement visibles et . . . interprétés comme il se doit par les campeurs ! Mais les coups reçus sur les fesses allaient déjà l’être me dis-je. Et puis, le danger n’était pas pour tout de suite, alors que si je me mettais à hurler, c’est de suite que j’allai devoir affronter l’assemblée et peut-être la curée qui allait s’en suivre! Cela me décida.


« Sur les seins », bredouillai-je

« Alors, présente les moi ! », lança Julie, implacable.

En sanglots, je pris mes seins par en dessous et les lui présenta.

Le sourire aux lèvres, Julie abattit la baguette de coudrier sur la poitrine offerte. A 5 reprises, comme convenu.

A la fin de la correction, je tremblai de tous mes membres, mais j’avais réussi à ne pas crier.

« Nous voilà quitte ! », s’écria Julie.

Haletante, je me relevai, imaginant que j’allai pouvoir me libérer de mes tortionnaires.

« Et ou va tu comme ça, ma jolie ? », me demanda Laetitia en me voyant faire mine de partir.

« Je repart à la recherche de mon mari », répondis-je d’une toute petite voix.

Julie éclata de rire.

« Comme je suis bonne fille, je t-emmène : je sais ou il est », me lança t-elle.

Et, prenant son sac en main, elle partit à travers les dunes.

Je la suivis.

Laetitia fermait la marche.

Nous avons marché deux à trois minutes, tournés une dernière fois à gauche et débouché derrière une dune. Un homme était allongé. Une fille était sur lui. Accroupie, penchée en avant, elle s’embrochait avec frénésie sur sa verge en donnant l’impression d’être une grenouille !

« Ta femme ne t-a jamais fait ça, hein mon cochon ! . . . C’est ça . . . . va à fonds ! Bouffe moi les nichons. . . . ! », lança t-elle.

Bien que je ne voyais que son cul, la voix me permis de reconnaître Christelle, une des concurrentes malheureuse du concours.

« Oui . . . vas-y, lâche la purée . . . la prochaine fois tu me prendras par le cul mon salaud ! ».

S’agrippant brutalement aux fesses de la jeune fille, l’homme éjacula dans un râle d’agonie.

Christelle s’effondra sur lui, puis bascula sur sa droite. Je découvris que l’homme en question était . . . Jean, mon mari.

Un vertige faillit me faire tomber au sol, mais Laetitia me retint par un bras.

Jean me vit et se redressa en un mouvement.

« Coralie, je . . . », commença t-il.

Je vis rouge. Ma main partit sans que je m’en rende compte et je lui mis une gifle mémorable.

Laetitia nous sépara de suite.

« Allons Coralie, un peu de dignité . . . tu ne va pas me dire que tu es surprise ? »

Saisie, je la regardai sans pouvoir parler.

« Tu te ballade à poil dans le camping, tu te fait pelauter par tous les mecs que tu rencontre, sauter par certains, laissant ton mari seul. . . et tu compte qu’il restera de marbre devant un joli lot ? »

« Mais je n’ai pas voulu ça », bafouillai-je.

« Parce que quelqu’un t-a à prendre les engagements que tu as pris ? »

Pendant cet échange, Julie et Christelle s’étaient rapprochées de Jean pour finir par se coller à lui. Christelle lui prit la verge en main et se mit à le branler tout doucement Julie se mit à lui malaxer les bourses. Paralysé, Jean ne faisait rien pour se dégager. Il me regardait fixement. Laetitia regardait la scène et semblait trouver tout cela normal.

« Bref ma petite, si tu veux garder ton homme, tu ferais mieux de te montrer plus ouverte d’esprit et admettre que pendant que tu t-exhibe, que tu te fais fouiller et sauter, lui aussi peut saisir les bonnes occasions. »

«Oh, Jean . . . j’abandonne le bénéfice de ce concours idiot . . . que les choses redeviennent comme avant », dis-je entre deux sanglots.

« Coralie . . . tu as pris des engagements . . . et puis, je n’ai pas de quoi payer le camping », répondit mon mari en baissant les yeux.

Le salaud ! Le rapiat ! Il nous avait emmenés ici sans avoir de quoi payer, en connaissant dès le début l’existence de cet ignoble concours et en étant sans doute déjà décidé de me persuader à le passer !

« Et bien baise qui tu veux mon salaud ! », hurlai-je. « Pendant ce temps, je me donnerai à tous ceux qui voudront de moi . . . et, il ya du monde ! »

« Et si vous le voulez, pendant votre séjour ici, vous pouvez venir loger chez moi Coralie », me dit Laetitia. « Je loue un mobilum, et je vous trouverez bien une place . . . Cela vous épargnera de voir votre mari en trop bonne compagnie ! ».

Pendant que nous parlions, la verge de Jean s’était redressée. Julie s’agenouilla et se mit à la pomper avec énergie.

« Je vous suit », répondis-je à Laetitia par dépit, la voix étranglée par les sanglots, en n’ayant aucune idée de ce qui allait suivre.

Et sur ce, nous primes la direction de son mobilum.

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