Perversions Entre Cousins ( Petits Jeux Sans Consequences )

Mon cousin et moi avons toujours été proches. Depuis l’enfance jusqu’à l’adolescence où nous avions pour habitude, quand les circonstances le permettaient, de regarder des films pornos. Puis à 18 ans, nous avons commencé à nous masturber côte à côte en voyant ces créatures splendides se faire empaler de tous les côtés par des étalons virils. Les fins de soirées étaient chaudes. La télé retranscrivait les scènes de sexe avec une fièvre, une démence et surtout une excitation malsaine qui s’emparait très vite de nous. Mon sexe commençait par frissonner des bourses au gland, tout en commençant à gonfler. Cet état d’excitation de mon membre à moitié bandé, flottant encore dans mon caleçon, et de mon cerveau qui emmagasinait les fellations, cunnilingus et autres sodomies dans une spirale perverse de jouissance future me transcendait littéralement. Allongés devant la télé, les premières caresses étaient discrètes, question de pudeur, ou d’hypocrisie, qu’importe. Ma main droite passait en douceur sur le tissu de mon pantalon laissant entrevoir une trique terrible. L’incendie s’étant amplement propagé dans mon bas ventre, une seule solution permettrait d’y mettre fin. Les images à l’écran devenant de plus en plus obscènes, c’est la bouche de plus en plus sèche, le souffle de plus en plus court et la bite de plus en plus raide que nos pantalons tombaient sur nos chevilles, dévoilant l’un à l’autre un besoin insatiable et incontrôlable de satisfaire nos petites envies coquines. Sans quitter l’écran des yeux, ma main rencontre mon sexe en effleurant le gland du bout des doigts. Guénolé, mon cousin, commence déjà à s’astiquer le manche. Je vois son sexe, petit mais mignon, luire de sécrétions pré-éjaculatoires. Il ne me voit plus, ni ne prête attention à aucun de mes gestes. Son esprit est divisé entre une belle cochonne subissant une sodomie brutale et sa jouissance immédiate apportée par les va et viens incessants de ses doigts sur un sexe de plus en plus mouillé et dur.

Je le regarde, le scrute, tout en me caressant le sexe, les bourses. Il a des jambes d’athlète, et un ventre légèrement proéminant de bon vivant. Une touffe abondante de poils bruns entoure une belle queue d’où m’arrivent des odeurs acres et épicées, alchimie sublime des odeurs masculines. Son torse est dégarni de poils, et est déjà tout humide de transpiration. Ses aisselles ruissellent, et tout son être m’envoie des ondes d’une sensualité et d’une intimité partagée des plus bandantes. Le canapé tremble de spasmes, et c’est le moment choisi pour entamer ma petite masturbation crapuleuse teintée de voyeurisme. Mon bras commence son manège autour de mon sexe bandé à mort, relayé par une main crispée et énergique. Je commence alors à ressentir au fin fond de ma tête la douce torpeur et le plaisir d’une bonne branlette bien cochonne. L’air du salon est chaud, humide et acre. L’ambiance est électrique, et seuls nos râles rauques viennent perturber la double pénétration du film auquel d’ailleurs aucun de nous ne prête encore attention. Son regard est rivé sur moi, profond et insistant, tandis qu’il continue sa savante masturbation avec seulement trois doigts, afin de retarder le moment suprême. De mon coté, je m’astique le manche à pleine main, tout en ayant soin de le mater ostensiblement, avec un regard de salope. Je fais rouler mes lèvres autour de ma langue en soupirant longuement, arrêtant de tant en tant mon effort pour lui montrer mon sexe dressé, mes bourses soyeuses. Ca l’excite de plus en plus, et il me dévore du regard en se branlant à une allure phénoménale. J’aperçois son sexe violacé par intermittence, et au vu de la quantité de liquide séminal perlant sur son gland, il ne va pas tarder à cracher tout le foutre accumulé dans ses couilles au cours de la soirée. En voyant mon cousin se déhanchant comme une trainée sur le divan en couinant son plaisir, c’est mon propre rythme cardiaque qui s’envole. J’halète sauvagement, la main droite en plein travail masturbatoire, tandis que de la gauche je me caresse les tétons, le ventre, les cuisses puis les fesses.
Quel plaisir ! Quelle sensation de braver les interdits moraux ! Mon cousin me matant avec de plus en plus d’insistance et étant moi-même passablement excité par la situation, je me lève dans un mouvement de hanche long et suggestif, lui tournant le dos quelques instants afin, qu’il puisse détailler mon petit cul en cachette. Je le sens complètement affolé par la vision de mon cul, aussi je m’assois sur le fauteuil en face du canapé, et plongeant un regard aussi vicieux que coquin dans ses yeux, je m’attèle à achever ma jouissance. Nous nous masturbons sans rien dire l’un en face de l’autre, l’un pour l’autre, dans une osmose inexplicable. Soudain, les signes précurseurs de l’orgasme arrivent : mon sexe se durcit encore plus, mon gland menace d’exploser et des frissons me parcourent le corps. J’ai à peine le temps de sentir le sperme passer dans le conduit urinaire que dans un hurlement, des étoiles dansent autour de mon regard, ma verge se contracte puis se détend en de longs soubresauts de plaisir, expulsant de longues giclées d’un sperme brulant sur mon torse et mon ventre. Mon cousin expulse sa semence à peu près au même instant, dans un gémissement plaintif et coupable, mais ô combien libérateur. C’est seulement à ce moment que l’on revient à nous, tant la fièvre et la fureur sexuelle nous avait hypnotisés. Nous nous regardons encore de longues minutes, finissant de vider notre réserve de sperme, notre réserve de plaisir. Nos torses sont luisants, dégoulinant d’un foutre épais, laiteux. Je me caresse en m’enduisant le buste de cette crème chaude et gluante, puis je me lève, vais fumer une cigarette exceptionnellement bonne, et je vais me doucher, mais ça, c’est une autre histoire.

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