Massage Ayurvedique

Expérience indienne 1
Tout d’abord, je me présente, 62/170/75. Et oui, je ne suis plus tout jeune mais je suis encore très salope et craque pour des mecs, asiatiques en particulier. Cette histoire tout à fait authentique s’est passée il y a 4 ans au sud de l’inde dans l’état du Kerala. Dans le cadre d’un voyage organisé en circuit, étaient inclus quotidiennement des massages ayurvédiques (médecine indienne). L’offre étant alléchante sans compter que le parcours était très intéressant, j’ai donc entrepris ce voyage (un de plus en Asie).
Après un exposé sur la philosophie ayurvédique, je suis reçu dans un complexe attenant l’hôtel par un superbe jeune homme indien de 25 ans avec un large sourire aux dents éclatantes de blancheur sous sa moustache, des yeux à faire tourner n’importe quelle tête ainsi qu’un corps gracile. Il est vêtu comme tout le monde dans le sud de l’inde, d’un sarong (pièce de tissus nouée autour de la taille descendant jusqu’aux genoux) ainsi que d’un T-shirt. Il faut préciser qu’en Inde, les femmes massent les femmes et les hommes massent les hommes. Celui qui a eu cette idée doit ici être remercié. Il me fait entrer dans une pièce où est placée une table en bois, légèrement oblique, il me fait signe de me dévêtir et sort de la pièce. Ne sachant pas comment cela se passe, je garde mon slip moulant.
Mon beau masseur revient quelques instants plus tard, ferme la porte à clé et me fait comprendre qu’il faut enlever le reste, ce qui me comble de bonheur. Il me fait asseoir sur un tabouret. Mes jambes écartées, il entreprend de me tapoter le sommet du crâne pendant quelques minutes tout en s’avançant entre mes jambes. Ma main effleure sa jambe gauche poilue et remarque une légère bosse à l’endroit que nous aimons tous. Au bout d’un moment, je lui caresse la jambe. Il s’avance encore plus contre moi et je constate que cette fameuse bosse a grossi. Pour ma part, mon sexe se gonfle. Je passe ma main sous son sarong, remonte lentement le long des cuisses velues, palpe son sexe en érection par-dessus son slip.

Je lui descends son slip sur les chevilles, remonte son sarong. Son sexe circoncis couleur chocolat est en complète érection, long et fin, il remonte contre son abdomen. Je contemple ce bel outil se terminant par un gland fin, écarlate et rosé à sa base. Une jolie paire de couilles de moyenne grosseur est légèrement pendante. Son pubis est peu poilu.
J’entreprends de le pomper doucement en commençant par le sommet du gland puis en descendant jusqu’aux couilles. Il lâche un long soupir. Je bande à mort. Ma main tient les couilles tandis que l’autre parcours tout en douceur sa fente humide et chaude. Tout en lui massant l’anus, je continue de le pomper. Il ne dit rien. Sa verge se gonfle encore et soupire plus encore tout en rejetant sa tête en arrière. Je sens qu’il va bientôt venir. J’arrête de le pomper pour mieux contempler le spectacle. Ma tête entre ses mains, je le suce de plus belle. Sentant l’extase arriver, je le branle lentement et tout d’un coup m’envoie au moins trois grands jets de son sperme bien chaud sur mon visage. J’aime sentir l’odeur du foutre et l’étale partout. Il râle discrètement et reste immobile quelques secondes puis me fait me relever avec son beau sourire. Nos lèvres se rencontrent et je lui roule une pelle interminable. Mon érection me fait mal.
Puis il m’installe sur la table de massage, face contre terre. Il prend soin de m’écarter les jambes. Mon sexe toujours en érection est maintenant écrasé par le poids de mon corps. Il répand de l’huile chaude aux herbes odorantes sur mon dos et sur les jambes. Il masse d’un seul trait de la nuque aux pieds pendant de longues minutes et vice-versa. Quel bonheur de ce faire tripoter par ce mec, me dis-je, mais j’aimerai bien qu’il s’occupe de moi comme je l’ai fait pour lui avec tant de passion. Quelques instants plus tard, ses longs doigts s’approchent de plus en plus de mon anus. Ce geste me fait réagir pour le plaisir qu’il procure. Finalement, il introduit ses deux index dans mon fion avec toute la douceur qui se lit sur son visage.
Ce manège dure au moins cinq minutes. Je bande à nouveau grave. Il me fait me retourner sur le dos et continue son massage. A nouveau, ses doigts frôlent les couilles. J’ai de l’huile partout, même sur le visage et ne peux ouvrir les yeux. Curieusement, il n’a pas massé ma queue et pour cause. Il se saisit de mes testicules et je sens sa langue titiller mon gland pour engloutir le tout longuement. Sentant la sève monter, il arrête un moment pour reprendre la pipe à plusieurs reprises. Jambes et bras écartés, j’explose en partie dans sa bouche et sur mon abdomen alors que deux de ses doigts font le va et vient dans mon cul. Il me parle doucement dans sa langue du Kerala. Je ne comprends évidemment rien. Mais il y a des attitudes et des regards qui en disent long. Nous ne bougeons plus pendant un bon moment.
Reprenant nos esprits, il m’emmène vers une douche. Avec du savon mélangé à du sable, il s’emploie scrupuleusement de me laver partout. Bichonné comme un bébé, nous nous embrassons à nouveau et je constate qu’il bande à nouveau. Je ne résiste pas (et lui non plus) au plaisir de lui faire à nouveau une gâterie buccale. Nos ébats sont interrompus brutalement par une de ses collègues qui l’appelle en frappant derrière la porte (quelle conne). Peut-être fait-il trop long avec moi ? Je me rhabille. Il me demande de revenir le lendemain. Hélas, nous devons poursuivre notre circuit. Je sors de cette pièce en plein soleil, il fait chaud, j’ai soif, la tête tourne. Etendu au frais dans mon bungalow, je n’ai pas encore bien réalisé ce qui venait de m’arriver. Les autres massages ont été tout à fait conventionnels mais muni d’un pagne...
Dans une prochaine histoire vraie, je vous raconterai une deuxième expérience dans le cadre du même voyage.
Si cela t’a plu, mets-moi un message. Merci
Serge.

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