Coupe Du Monde

Le foot a toujours pourrit notre relation.
Bien sur les femmes s’intéressent à ce sport depuis le 12 juillet 1998. Mais, contrairement à ce que les hommes s’efforcent à croire, la plupart d’entre nous se passionnent uniquement pour une finale de coupe du monde si nos bleus y sont. Le reste du temps, ça nous ennui terriblement.
Seulement voilà, Vincent est un fan. Pour éviter les brouilles, nous avons tous deux fait des efforts. Il sélectionne les matchs télévisés et je le laisse les regarder.
Mais là, il m’a fait un vrai coup de vache. Monsieur a pris ses congés pendant la coupe du monde et donc pas avec moi.
Je n’ai rien dit mais j’avais la ferme intention de lui bousiller sa coupe du monde. Il avait à loisir de regarder les matchs en journée, je l’autorisais aussi lorsque la France jouait mais le reste du temps, c’était hors de question.
Finalement, il n’avait pas à se plaindre car au début des matchs interdits, je me présentais fasse à lui dans une tenue provocante, le chauffait pour finalement m’offrir à lui. Il ne pouvait quand même pas me refuser une partie de jambe en l’air pour un match sous peine d’une rupture définitive.
Ce soir là, à la télé, il y avait Pays-Bas Argentine. J’avais décidé de faire le grand jeu. A peine rentrée du sport, je suis montée dans la salle de bain, sans même aller l’embrasser dans le salon. Après une douche salvatrice, je m’apprêtais de sorte à le mettre dans tous ses états. Décidée à lui donner ce qu’il désirait depuis longtemps, j’ai dessinée sur chacune de mes fesses un B. Pour ceux qui ne connaissent pas la blague, il s’agit de former le prénom BOB avec l’orifice anal dilaté par une pénétration composant le O manquant.
Habillée d’une robe courte et de ses dessous préférés, je me dirige vers le salon, déjà très excitée.
Là, une mauvaise surprise m’attendait. Mon salaud de mari, non content de bousiller mes vacances, avait invité un ami pour s’assurer de voir le match.

C’était mal me connaître.
Je me suis postée au milieu du salon, devant le poste de télévision. Je me suis tournée, soulevée ma robe et lui dit :
- Voilà, ce que j’étais prête à t’offrir ce soir mais tu en as décidé autrement. Tu as peut-être raison finalement d’avoir invité de la compagnie. On va voir s’il choisit le match, lui.
Décidée à rendre la pareille à mon homme, j’ai fait glisser la fermeture éclair de ma robe et l’ai laissée tomber à mes pieds.
Je me suis assise sur une jambe de son invité. Celui-ci étant en short, je sentais sa peau contre la mienne. Remarquant la bosse formée dans son short, je me tournais vers Vincent :
- Tu vois, je ne suis pas sure qu’il s’intéresse vraiment au match, maintenant.
Je dégrafe le soutien gorge rouge et présente à notre hôte mes seins gonflés par l’excitation. Je lui prend les mains et les posent sur ma poitrine. Devant cette offrande, celui-ci ne se gène pas et s’en empare. Je sens mon bas ventre réclamer des caresses et je me frotte, comme un chien, sur sa jambe.
Le coup d’envoi a été donné mais le spectacle est ailleurs et personne ne s’intéresse plus au match.
- Regarde comme il bande, elle est belle sa queue.
En disant ça, j’ai sortie ce sexe et me suis mise à le caresser.
- Je vais le sucer maintenant, j’ai envi de goûter à cette bite.
Vincent était estomaqué de voir sa nana ainsi. De mon côté, j’ai vraiment envie de me faire baiser maintenant. Le sexe qui gonfle dans ma bouche me rend folle de désir. Je pivote vers Vincent et me met à le sucer. Avant de ne plus pouvoir parler, je regarde notre invité et lui dis :
- Baise moi, j’ai envie de te sentir en moi.
Il s’approche, retire mon string et me pénètre. A genou, lui derrière, il a une vue sur les 2 B sur mes fesses. Je sens un doigt s’introduire dans mon anus qui se dilate doucement. Je marque un temps d’arrêt à ma succion et en regardant Vincent :
- Ce n’est pas toi, espèce d’idiot, qui aura la primeur de mon cul.

Ainsi, je donnais le feu vert à cet inconnu de me sodomiser pour la première fois. Celui-ci ne se gêna pas. Après une divine préparation, j’ai sentie son gland investir mon orifice vierge.
J’étais pour la première fois sodomisée et je prenais avec bonheur ce nouveau plaisir. Il ne ménageait pas ses efforts et je ne pouvais même plus prendre Vincent dans ma bouche. L’homme se retira une première fois et j’en ai profitée pour m’empaler sur le sexe de Vincent.
Après quelques vas et viens qui m’emmenèrent aux paradis, je m’adressais à l’homme.
- Mets la moi dans le cul, j’ai envie de vous avoir tous les deux.
Le sandwich fut particulièrement excellent. Les deux hommes avaient trouvé le rythme et j’étais vraiment plus sur terre. Jamais je n’avais connu une telle jouissance. J’ai sentie l’homme se vider à l’intérieur de mes fesses. J’ai alors sentie un orgasme me terrasser. Je me suis affalée un instant sur Vincent qui me possédait encore. Puis, je me suis mise à quatre pattes sur la moquette et lui ai demandé d’investir le O de BOB. Vincent se précipita pour me sodomiser à son tour.

J’avais ma vengeance sur le foot et en plus en prenant le plus grand pied de ma jeune expérience !

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