Iela Et Sa Bande

IELA ET SA BANDE ( I ).
( L’anniversaire d’Iela )

Après cet après midi un peu spécial, j’avais revu Eric avec lequel je m’étais entretenu plus longuement sur Iela et ses fantasmes.
En fait, elle avait un véritable cheptel de garçons et de filles à sa botte, qui lui étaient entièrement dévoués, voire soumis. Nul
n’avait le droit de s’afficher clairement avec elle, ou de se vanter de leurs relations. Elle avait l’exclusivité totale sur eux, ils devaient
lui obéir au doigt et à l’œil, et en particulier flirter avec ceux ou celles qu’elle leur désignait. C’est ainsi que j’appris qu’elle était bi,
avec une nette préférence pour les filles, et qu’elle se servait d’elles quand elle voulait avoir les faveurs d’un garçon.
En peine de confidence, Eric me raconta la journée d’anniversaire d’Iela, qui s’était déroulée peu de temps auparavant.
Comme ses parents étaient partis en week-end, elle invita son groupe, garçons et filles, à une fête dans la propriété parentale. En
venant, ils acceptaient expressément de faire tout ce qu’elle leur imposerait, sous peine de ne plus la revoir. Amoureux et
amoureuses comme ils l’étaient tous, il n’y eu aucune défection. Chacun des invités devait se présenter entièrement nu et épilé.
Dès leur arrivée, Iela prit chacun d’eux en photo, une première de pieds, et la seconde, leur sexe en gros plan et les cuisses bien
écartées, elle leur attribua ensuite un numéro en fonction de leur ordre d’arrivée. Elle était la seule à être vêtue, une jupe blanche
assez courte et très transparente, et un petit top de la même couleur largement échancré, laissant apparaître de magnifiques
seins qui n’avaient besoin d’aucun maintien. Elle plaça ses invités côte à côte les mains derrière la tête, et passa ensuite sa troupe
en revue. Elle caressa quelques seins et pinça un téton par ici, flatta plusieurs sexes fièrement érigés et cajola diverses bourses
par là.

Elle les obligea ensuite à se pencher en avant les mains posées au sol, puis continua son inspection côtés piles. Il sembla
qu’elle préférait ce côté de ses invités, car tous les fessiers eurent droit à un petit attouchement. Certains eurent même la
surprise de sentir un de ses doigts s’infiltrer un peu plus profondément entre leurs fesses.
- Cet après midi sera consacré à de nombreux petits jeux plaisants, annonça t’elle. A chaque fois vous vous mettrez dans l’ordre
des numéros que je vous ai alloué. Pour le premier jeu, l’un d’entre vous sera bien récompensé, et malheureusement un autre
devra être sanctionné. Dans tous les jeux, il y a un gagnant et un perdant.
Pour commencer, ils durent se mettre en file indienne, le premier sur le dos, le second à quatre pattes la tête au niveau du sexe
de sa ou son prédécesseur, et ainsi de suite en fonction de leur numéro. Les garçons plus nombreux, se retrouvaient parfois
avec un autre garçon devant eux, les filles eurent plus de chance, une seule se retrouva avec un minou face à elle.
- Le jeu est très simple, vous allez donner du plaisir au partenaire devant vous, vous n’avez le droit qu’à votre bouche, votre langue
et vos lèvres, l’usage des mains est interdit. Le ou la première qui jouira sera puni pour toute l’après midi, et le dernier qui aura
réussi à se retenir passera la fin du week-end avec moi.
Superbe récompense, mais gare à celui qui perdait, car l’imagination d’Iela en matière de punition était très fertile. Chacun
s’activait pour faire essayer de faire perdre son prédécesseur. Iela ne perdit pas de temps, et reprit des clichés de tous en pleine
action. Ces photos n’alimentaient pas uniquement sa libido torride, mais serviraient également à faire taire les plus bavards, ou
pourraient être utiles pour quelques pressions plus tard. Trois ou quatre minutes seulement après le début, un garçon nommé
Régis ne pu se contenir sous la langue experte qui le caressait.
L'inspiratrice reprit tout de suite la place vacante, pour essayer
d’éliminer un autre concurrent. Il était évident que ce serait un garçon qui perdrait, les filles étant plus longues à la détente. Près
d’une demi heure plus tard, ils ne restaient que deux filles en position de 69. Tout le monde regardait ce magnifique duo en pleine
action saphique. L’une d’elles se tortilla davantage et se raidit peu de temps après, elle enrageait d’avoir perdu si près de la
victoire. Gwela l’heureuse gagnante, se précipita dans les bras d’Iela qui l’embrassa amoureusement, certains disaient que c’était
sa favorite du moment.
- Et bien maintenant il est temps de s’occuper de notre perdant. Vous allez l’attacher contre un arbre, bien écartelé et de manière
à ce qu’il profite bien du spectacle, car il n’aura plus que le plaisir des yeux jusqu’à ce soir.
La punition ne semblait pas si terrible, encore que cela cachait peut être autre chose.
- A chaque fois qu’il perd la forme, vous irez ranimer son ardeur jusqu’à l’extrême, mais sans qu’il ne se lâche. Celui ou celle qui lui
aura donné trop de plaisir ira le rejoindre. Pour le deuxième jeu, venez avec moi les filles, pendant ce temps les garçons iront
donner un peu de vigueur à Régis.
En moment plus tard, les filles sont revenues harnachées d’un double god ceinture, une partie ancrée dans leur intimité, et l’autre
pointant fièrement devant elles.
- Nous allons faire le petit train maintenant, dit Iela en souriant. Mettez vous tous à quatre pattes l’un derrière l’autre. Dans un
premier temps, vous allez honorer le petit trou qui sera devant vous, en ne vous servant que de votre langue bien sûr. Je passerai
vers chacun de vous, et je veux voir votre langue enfoncée le plus profondément possible.
Un des garçons hésita un moment avant de se baisser, puis préféra déclaré forfait. Il repartit honteusement sous le regard noir
d’Iela, son avenir avec elle était joué, mais elle savait qu’elle se vengerait plus tard grâce aux photos.
Une fois tout le monde en
position, et comme elle l’avait annoncé, elle fit le tour de la colonne une badine à la main, et prit de nouvelles photos. Elle semblait
satisfaite de son petit train, hormis un ou deux fessiers qui reçurent quelques encouragements, et qui gardèrent les traces de son
mécontentement pendant plusieurs jours.
- Ce n’est pas mal, vous pourriez presque rivaliser avec la SNCF, maintenant que le train est formé, il ne reste qu’à accrocher les
wagons. Vous allez donc grimper sur votre prédécesseur, et le ou la prendre par derrière. Comme les garçons et les filles se
ressemblent de ce côté-là, vous verrez messieurs ce que l’on ressent dans cette position. Ce sera peut être un peu difficile pour
vous au début, mais faudra vous y faire.
L’un après l’autre ils escaladèrent leur voisin, les filles n’eurent pas l’air trop désemparées face à cette situation, elles pratiquaient
déjà toutes cette pénétration particulière. Il leur fut par contre un plus difficile « d’accrocher le wagon », elles n’avaient pas
l’habitude d’être dotée d’un attribut mâle. Pour les garçons ce fut une autre paire de manche, si la pratique leur était assez
courante, ce n’étaient généralement pas eux qui étaient la cible. D’autant que les sexes toys des filles affichaient une grosseur
assez honnête.
- Allons messieurs un peu de courage, appliquez vous, n’oubliez pas que vous êtes ici pour me faire plaisir : c’est mon
anniversaire aujourd’hui.
Il est vrai que certains faisaient une drôle de tête, car c’était la première fois qu’ils subissaient une sodomie, et l’olibos fiché entre
leurs reins n’était pas de taille courante. Dès que tous eurent pénétré leur voisin, elle alla s’asseoir sur son fauteuil style
Emmanuelle, et leur ordonna de faire avancer leur train en tournant autour d’elle. De temps en temps elle se levait pour aller faire
goûter de sa badine à ceux qui manquaient de conviction, ou prendre quelques clichés.

- Le train arrive en gare, il est temps de décharger les bagages. Messieurs pressez vous de vous libérer dans vos partenaires,
d’autres surprises nous attendent.
Tous les garçons se mirent à s’activer en cadence, le spectacle aurait pu être drôle en d’autres circonstances. Les premiers à jouir
restèrent fichés dans leurs condisciples, n’ayant pas reçu d’ordres, ils ne savaient pas s’ils pouvaient se retirer, les colères d’Iela
pouvaient être terribles. Dès que le dernier parvint à ses fins, elle leur ordonna à tous de se retourner et de nettoyer, toujours
avec la langue, l’objet qui venait de les prendre. Ce fut alors un concert de succion et de léchage infini, ils attendaient toujours la
directive de mettre fin à leurs calvaires. L’après midi était loin d’être terminé.

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