Léon

C’est l’été. Mes parents travaillent encore 15 jours, puis ils viendront me rejoindre. En attendant, j’ai la caravane et j’ai pu inviter un copain. Elle est située sur un terrain privé dans les ardennes. C’est tennis, foot et bronzage toute la journée. Le week-end, nous sortons. Justement, ce vendredi, une soirée « mousse » est organisée à quelques kilomètres d’ici. La soirée se passe bien, sauf qu’une petite dispute éclate entre Fred, mon copain d’études, et une fille. Il a bu un petit verre et il prend mal les remarques qu’elle lui fait. Je n’ai pas le temps de le calmer, il sort et monte dans sa voiture, me laissant en plan. Je me dis qu’il va se calmer en roulant et qu’il va revenir dans quelques minutes. Que nenni, je ne le vois pas revenir. La caravane n’est pas trop loin, je retournerai bien à pied. J’étais allé à la soirée en bermuda. Sur la piste , il y a de la mousse continuellement projetée. C’est amusant, sauf que les danseurs en ressortent mouillés jusqu’à la taille. Je regrette de na pas avoir pris ma peugeot...
3 h, il est temps de me remettre en route. J’ai 6 km à faire à pied. L’endroit est calme, il fait doux et la lune brille. Je sors du village, puis je bifurque sur un chemin plus étroit qui me fera gagner3 kilomètres par rapport à la grand route. Mes vêtements mouillés me collent au corps et me donnent des frissons. Comme il fait doux et que le chemin est désert à cette heure- ci, je décide de les retirer et de ne garder que mon caleçon. C’est un caleçon « américain » un peu flottant, pas un boxer près du corps.
Merde, des phares... Une voiture arrive derrière moi. Pas moyen de me cacher, le chemin passe entre deux murs. Tant pis, je fais comme si de rien n’était. Le véhicule ralenti. Pour passer à côté de moi sur le chemin étroit. Il me dépasse, C’est une grosse camionnette. puis il s’arrête quelques mètres devant moi. J’ai un peu peur... les images d’s enlevés me passent par la tête. Puis je reconnais le vieux Léon, qui habite à quelques centaines de mètres de la caravane.

Je suis soulagé.
Léon à 60 ans, veuf, il est retraité et vit toute l’année dans la région.
« Julien », crie t’il, « tu veux que je te dépose ? »
Quelle chance ! bien sûr que je veux. Je monte à côté de lui.
Il me lance « c’est une drôle de tenue pour se balader la nuit ». Je lui explique alors pour la soirée mousse. Il sourit. Je me sens regardé de haut en bas.
Je pense que je ne suis pas mal, 1m82, 71 kilos, sportif, peu poilu, avec des cheveux courts blond foncé et des yeux gris.
Nous n’avons toujours pas redémarré. Léon prend son temps pour allumer une cigarette. Je le regarde aussi. Je remarque sa tenue. Il est en salopette genre tenue de garagiste. Celle-ci est ouverte sur le devant.
Je lui lance : « vous avez été dépanner un copain ? »
« Non, non », me répond t’il. « J’aime cette tenue, je suis à l’aise dedans »
Je remarque alors son torse poilu. Il ne porte pas de t-shirt sous sa salopette.
En regardant mieux, je vois qu’elle est ouverte jusqu’au ventre et que je peux même deviner la couleur des poils de son ventre. Je me sens rougir. Heureusement, il fait assez sombre, l’habitacle étant seulement éclairé par la petite ampoule du plafonnier.
Léon a allumé sa clope. Il s’appuie maintenant sur son dossier et tend un peu le corps, comme pour se relaxer d’une longue période de conduite. Se faisant, la salopette s’écarte un peu plus.
Je devine le buisson sombre de ses poils pubiens. Il ne porte pas de sous vêtements non plus !
Cette vision m’électrise. Je sens mon sexe devenir incontrôlable. Doucement, mais sûrement, mon caleçon se tend. Léon le remarque. Il ne dit rien, mais je vois à l’éclat dans ses yeux que le spectacle lui plait. Bah, si il veut mater, je n’y vois pas d’inconvénient, je suis d’ailleurs fier de mon corps et un peu exhibitionniste. Ça payera le voyage de retour.
Il fume toujours en silence. Il me regarde. Ça me plait de plus en plus.
Je le regarde aussi.
Nous restons ainsi quelques instants, à nous regarder, à essayer de deviner le corps nu de l’autre. Il ne dit rien, ne demande rien.
Après quelques minutes sans bouger, j’ouvre la portière, je sors.
Il me regarde un peu surpris. Je suis debout à côté de la camionnette.
Lentement, je me penche. Je mets mes mains autour de mes hanches. Je saisis l’élastique de mon caleçon et je le baisse doucement. Au moment où mon sexe sort, il se dresse tel un diable sortant d’une boîte. Je lâche mon caleçon celui-ci glisse tout seul le long de mes jambes jusqu’au sol et je me redresse. Je mets mes mains dans le dos.
Je suis maintenant nu, debout à côté de la portière, le sexe de 16 cm tendu vers l’avant, offert au regard de Léon. Ce dernier reste impassible. Il ne bouge pas, ne dit rien.
Il ne se touche pas. Il ne fait pas mine de vouloir me caresser. Rien !
Je remonte dans la camionnette. Me serais-je trompé sur son compte ?
Voulait-il simplement récupérer un peu avant de faire les derniers kilomètres ?
Je laisse mon regard glisser sur son corps.
Je remarque tout de suite un changement : au bas de l’ouverture de sa salopette, là ou je devinais ses poils pubiens, il y a maintenant un gland rose qui dépasse et qui vient s’appuyer contre son nombril. Il doit avoir un sexe assez long.
Je suis rouge de confusion. Puis tout le reste de ma réserve s’en va.
Je tends la main et je la pose sur son torse. Toujours pas un frémissement de sa part.
Je laisse descendre mes doigts sur son ventre et bien vite je rencontre son gland.
Ma main glisse encore de quelques centimètres. Je sens maintenant sa verge dressée contre ma paume. Mes doigts se referment dessus et involontairement je commence un mouvement de va-et-vient lent. Après quelques mouvements, je le décalotte complètement.
Cette situation m’excite au plus haut point. J’ai le sexe tendu à en avoir mal. De ma main gauche je commence à me caresser un peu. Lui ne bouge toujours pas.
Il rallume une cigarette. Il regarde ma main faire ses lents mouvements de haut en bas. Lors d’un de ses mouvements, je tire sa peau tellement vers le bas que je fais sauter les deux derniers boutons de la salopette. Son sexe est maintenant offert à ma vue.
J’avais raison, il a un sexe très long mais très mince. À vue de nez, 22 cm sur 4.
Je ne peux plus résister. Doucement, je me penche. Mes lèvres s’approchent de son bout rose.
Je sens maintenant son odeur virile près de mon visage, mélange de musc, d’odeurs de sperme et très légèrement d’urine. Cette odeur m’excite au plus haut point.
Mes lèvres touchent maintenant sa verge. Elles s’écartent un peu. Je fais passer la langue pour lécher ce bonbon rose. Lentement je le fais entrer dans ma bouche. Je sens sa verge tendue contre ma langue. D’un seul mouvement, je le prends au fond de ma bouche. Il ne bouge toujours pas. Je sens son gland buter dans le fond de ma gorge. Lentement, je fais remonter ma tête. Je le laisse ressortir, puis je l’aspire a nouveau. De ma main droite, je saisis ses boules et je tire en même temps sur la peau de son sexe pour le décalotter un maximum.
Pendant quelques minutes on n’entend plus que le bruit de ma bouche, suçant, léchant, imprégnant sa bite de salive. Ma mince queue est maintenant trempée de salive et raide comme jamais. Mais Léon n’a toujours pas bougé. Je n’en peux plus, je veux qu’il me fasse l’amour. J’ai l’anus qui frémit de désir tellement j’ai envie de sentir son très long dard dans mon ventre. Discrètement pendant que je le pompe, je me doigte le trou. Je suppose qu’il va ben finir par réagir. Eh bien non. Son seul mouvement est pour allumer une cigarette. Je le pompe encore quelques minutes. Pourtant je suce bien d’après certains copains, il est difficile de me résister longtemps. Et bien Léon reste de marbre. Il ne m’a même pas caressé. Ce qui ne fait qu’augmenter mon désir. Ma queue est tellement raide de désir qu’elle me fait mal. J’ai envie de lui.
.. je me suis bien doigté, mais j’ai envie de plus. Tant pis, je me lance. Il termine sa cigarette.
Ma bouche lâche sa bite dégoulinante de salive, je me redresse. Je passe une jambe par-dessus ses jambes. Je prends son sexe en main et je le dresse vers mes fesses. Doucement, je me rassois. Très vite son bout touche ma fente. Sous le poids de mon corps elles s’écartent pour laisser le passage au pieu du conducteur. Plus besoin de tenir son sexe. Mes mains écartent mes fesses. Son gland est contre mon petit trou. Je me laisse descendre. Le bout force mes muscles. Je m’étais bien préparé et mon anus est bien dilaté. Il n’y a presque pas de résistance. Son gland est maintenant entré. Je ne bouge plus. Enfin Léon fait un mouvement. Il pose ses mains sur mes hanches et remonte son bassin. D’un mouvement régulier, il pousse son dard en avant, sans s’arrêter jusqu’à ce que ses poils touchent mes fesses.
J’en ai le souffle coupé, non pas par la douleur, j’ai déjà eu des bites beaucoup plus épaisses dans mon trou, mais par la sensation d’avoir une barre de fer jusqu’au milieu du ventre. C’est uen sensation étrange... J’ai l’impression que son gland touche mon estomac. Je me laisse tomber sur lui et il parvient encore a faire entrer un centimètre de plus. Nous restons ainsi quelques instants, le temps que je reprenne mon souffle. Merde, des phares... tant pis, pas le temps de bouger. La voiture arrivant en face passe rapidement à côté de nous. Ma bite, qui s’était un peu ramollie, reprend de la vigueur. Je prends la main droite de Léon et la bouge de ma hanche vers ma tige dressée.
Enfin Léon reprend vie. Je sens son bassin s’activer derrière moi. Il respire vite, je sens son souffle chaud contre ma nuque. Je me soulève un peu pour qu’il puisse bouger entre mes fesses.
« viens derrière,y a un matelas », me lâche t’il dans l’oreille.
Je ne fais ni une ni deux, je me bouge, je passe entre les deux sièges.
Il me suit. Il allume un plafonnier. Je découvre que l’arrière de la camionnette est aménagé en lit. Il me dit de me retourner, ce que je fais. Je découvre alors contre une paroi, des menottes fixées près du plafond. Il me saisis les mains et me les attaches en hauteur. Puis il passe derrière moi. Il se penche, m’écarte les fesses et me lèche le trou. Quand il l’a bien mouillé, il repasse devant moi et me donne son sexe a sucer. Je l’enduis de salive. Sans un mot, il se positionne derrière moi, m’écarte les fesses, pose son gland contre mon anus et me pénètre d’un long mouvement. Comme tout à l’heure, il ne s’arrête que quand il est a fond. J’aime ça !
Il le sent. Ma queue a retrouvé toute sa vigueur et pointe devant moi. Sans bouger entre mes fesses, il la saisis et me masturbe. Je gémis de plaisir. Puis lentement, il commence des mouvements. Puis il accélère. Il sort sa tige presque entièrement à chaque fois, pour le remettre au fond aussitôt. Quel bonheur de sentir cette barre chaude m’enculer a fond. Il me branle toujours. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps tellement je suis excité. Encore quelques mouvements, puis je sens mon sperme monter dans ma verge. Elle se tend encore plus, me muscles se ferment et emprisonnent sa bite ans mon ventre. Je ne me contrôle plus, je serre son sexe très fort avec mon sphincter. Sa main serre ma queue et je jouis, mon sperme va s’écraser sur la paroi devant moi. Il s’enfonce le plus loin possible dans mon ventre. . Je sens son liquide chaud jaillir. Un jet, deux, trois... puis 10. J’ai l’impression qu’il ne va plus s’arrêter de jouir. Enfin ça s’arrête. Nous avons le souffle court. Il reste en place.
Incroyable, je ne sens pas son sexe mollir. Il recommence a bouger en moi. Je sens son jus servir de lubrifiant. Puis il se retire me fait me pencher et commence a lécher le sperme qui coule hors de mon trou. Après quelques minutes, je suis de nouveau raide. il me libère des menottes, je m’allonge sur le matelas .Il change de position, passe devant moi et me pompe longuement jusqu’à me faire jouir. Il se laisse tomber à mes côtés pour reprendre son souffle. Nous nous caressons sans rien dire. Quelques minutes plus tard, toujours sans un mot, il remet sa salopette qu’il avait enlevée en passant à l’arrière. Je ramasse mon caleçon à côté de la portière et je le remets. Il met le contact et me ramène à la caravane. Sans un mot, je descends. Je sais que nous nous reverrons bien vite.
Je le regarde partir. Je vois la voiture de Fred garée un peu plus loin. Il est rentré. Il n’y a plus de lumières. Il doit dormir. Je rentre sans faire de bruit et sans allumer. Je vais directement dans ma chambre. Avant d’avoir pu allumer, une voix vient du lit :
« Il t’as bien baisé le vieux Léon avec sa queue de 22 centimètres ? »

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