Aventures D'Ados (Suite 8 )

8.
La dernière fois je vous ai raconté mes aventures avec mes copains. Voici la suite
La semaine suivante, Audrey m’appelle, m’invite à venir passer la soirée chez eux, entre amis, elle en profitera pour me rendre le bout de tissus que j’ai oublié. C’est elle qui fera la cuisine. Le soir convenu, après le boulot, je vais chez eux.. J’ai pris le bus au centre commercial J’ai prévenu mes parents de ne pas m’attendre pour dîner. Lorsque j’arrive, elle est seule, tout est prêt, il n’y a plus qu’à mettre les pieds sous la table. Elle me sert un apéritif sans alcool, il y a des amuse-gueule. Elle met un disque, une musique d’ambiance agrémente la soirée. On discute, j’aime cette nana, elle est très intéressante. Son mari doit rentrer tard, il est parti en province pour son boulot. Je me sens bien avec elle. Il est 9 h, voilà Bob qui arrive, nous embrasse, est content de me voir, n’était pas au courant. Il se douche, on se met à table. Audrey est vraiment bonne cuisinière, les hors d’œuvre sont bien présentés, le plat servi est excellent, pour en apprécier toute la saveur, Bob insiste pour que je boive un peu de vin. Ce n’est pas dans mes habitudes, mais je me laisse convaincre, bois un verre en mangeant. On en est au dessert, je la félicite, la remercie, il va être 11 h, je demande à Bob de me raccompagner. Audrey s’est assise sur le canapé, elle m’invite à la rejoindre, rien ne presse, donne-lui le temps de tout ranger. J’ai chaud, le vin me tourne un peu la tête, je me mets à côté d’elle, ferme les yeux. Innocemment, elle pose une main sur ma cuisse, je ne réagis pas. Elle m’embrasse, met sa main sur un sein. Je me laisse faire, ouvre les yeux. Son mari nous regarde, débarrasse la table, fait la vaisselle. Audrey déboutonne mon chemisier, l’enlève, met ma poitrine à l’air, suce mes tétons, les étire, caresse mes seins, je les sens durcir, j’ai l’impression que je mouille ma culotte. Je la trouve gonflée, se comporter de la sorte devant son mari.

Il continu à s’activer dans la cuisine, n’a pas l’air de s’intéresser à nous. J’ai de plus en plus chaud, je ne tiens pas l’alcool, et en plus elle m’excite en jouant avec mes seins. Je me souviens qu’elle m’avait fait un 69 génial l’autre soir, avant de se faire empaler par mon copain. C’est d’ailleurs à ça qu’elle veut en venir, car soudain je me retrouve allongée, je perds mon jean et ma culotte. Je n’ai pas le temps de réagir, je suis nue, elle aussi, elle est étendue sur moi, me bouffe la chatte. La sienne est à ma portée, je lui rends la pareille, aspire son clito, lèche les nymphes, enfonce deux puis trois doigts dans son trou. On se gouine, j’ai chaud. Elle fait un signe à son mari, il lui passe quelque chose. Elle m’ouvre la fente bien large, enfile deux doigts dans mon vagin, les fait coulisser, les remplace par un objet qui me dilate sérieux, froid, dur, ça vibre, mon sexe est ouvert, trempé. Elle fait entrer et sortir cet engin qui me fait du bien.
Oh là là ! Je rêve. Je n’en crois pas mes yeux ! Bob a fini ses travaux ménagers, nous regarde. Il est à poil, mandrin à l’horizontal, il l’astique, il me semble plus long, le gland plus gros et plus rouge que d’habitude. Il passe derrière sa femme, monte sur le canapé. Elle cambre les reins, relève le cul, j’écarte les poils, ouvre sa vulve bien large, il y présente son pieu, l’emmanche direct. Oh oui, vas-y, j’aime, c’est bon, défonce-moi, crie t’elle en l’accompagnant dans ses assauts ! Elle a lâché le vibro qui continue de m’envahir. Je le tiens d’une main, le fait aller et venir jusqu’au au fond de moi, le ressort. Son braquemart commence à me faire envie. Je prépare mon sexe pour que, lorsque sa femme demande grâce, ce soit à mon tour d’y avoir droit. Je le vois s’activer, la tige luisante entre et sort du sexe d’Audrey, les couilles passent au-dessus de moi. Je les veux pour moi. De ma main libre, je les prends, les caresse, les accompagne au rythme du pilonnage, relève la tête, passe la langue dessus.
Il sort sa queue du sexe de sa femme, la prend en main, la dirige vers moi, fourre le gland violacé dans ma bouche qui est juste au-dessous. Je l’ouvre en grand, mais Il est tellement gros que j’ai du mal à le sucer, il est enduit de cyprine, c’est âcre, pas terrible comme goût.
On sonne à la porte. Bob l’abandonne, met une serviette autour de la taille, va ouvrir. C’est un voisin, célibataire je crois, ami du couple. Ils discutent un peu, Bob l’invite à entrer. Nul doute qu’il va se joindre à nous. Ils viennent tous deux devant le canapé. Le nouvel arrivant regarde ses proies potentielles, demande à Bob laquelle il peut s’envoyer ? On se croirait au marché !
- Tape-toi celle qui est au-dessus, le cul en l’air. J’étais dedans, elle est prête à être emmanchée.
Et c’est reparti pour elle.
Moi ça m’arrange, j’ai de plus en plus envie de la bite de son mari, elle est énorme, droite, vivement qu’elle entre en moi, je ne peux plus attendre. Le mec se fout à poil vite fait, jette ses vêtements sur une chaise, son vit est raide, énorme, il bande dur, pas besoin de le branler ! Il l’att à bras le corps, la soulève, elle se débat, ses pieds s’agitent dans le vide, elle lui dit :
- Laisse-moi tranquille, je ne veux pas que tu me baises, occupe toi de l’autre !
Il la dépose debout face à la table, l’incline vers l’avant, elle est aplatie au dessus. Il la tient, lui écarte les jambes en lui repoussant les pieds avec les siens, elle est en levrette, pliée en deux, abandonne, se laisse faire. Son sexe est en attente, exposé. Il met sa main dans l’entrejambes, enfonce son pouce dans le trou. Il écarte les poils qui dissimulent la fente, l’ouvre en grand, y glisse son mandrin, l’enfourne direct. Elle pousse un cri quand il entre, arrive au fond. D’amblée il la pilonne terrible, s’enfonce jusqu’à la garde. Ses seins se balancent, suivent la cadence, les gémissements sont de plus en plus forts, elle se cambre pour mieux l’accueillir, donne des coups de reins, suit le rythme.

Bob et moi venons d’assister à la mise au mâle de sa femme. Il est obnubilé par le spectacle, on dirait que c’est la première fois qu’il la voit se faire baiser. Il faut dire que le mec est monté comme un étalon et lui en file un sacré coup ! Maintenant qu’elle est dans l’action, elle a l’air d’apprécier la bite qui la défonce. Tout en les regardant, je continue à m’entretenir avec le gode. Pour qu’il s’intéresse à moi, je tends le bras, vire la serviette, att sa queue, la tire vers moi. Il bande dur le salaud ! Surpris par mon geste, il se penche sur moi, me retourne sans ménagement, je me retrouve sur le ventre, je serre les jambes, cambre les reins, remonte le cul. Je suis prête, ma vulve est trempée. Il enlève le gode qui est coincé dans moi, m’ouvre la vulve, le remplace par sa queue qu’il enfonce d’une seule traite au plus profond de mon vagin. Ah !Ah ! oui ! oui ! J’ai enfin ce que j’attends, sa queue ! Elle me dilate la gaine, je la contracte, sens le frottement tout au long de la paroi, serre bien les cuisses, j’adore ! Je n’étais pas venue pour baiser, et voilà comment ça se termine! Il ondule sur moi, dans moi, il va vite, je vais venir, je le sens, ça y est, je chavire, c’est sublime, je décolle, Ouiiiiiiii ! Il sort sa tige, me prend sous le ventre, tire, je suis en levrette, sur les épaules, le cul en l’air. Il m’écarte les cuisses, m’embroche de nouveau, me burine dur, va loin, me transperce. Vas-y- défonce-moi, ma tête est ailleurs, j’en veux encore. Il me descend du canapé, me met debout, me pousse et m’amène auprès de sa femme. Il me retourne face à lui, me soulève, m’assoie sur la table, m’écartèle en me tenant par les mollets. Mon sexe est ruisselant, béant, exposé. Sa bite pénètre à fond, coulisse librement tellement je mouille, je resserre mon vagin, l’emprisonne, je veux son jus. Il m’enfourne jusqu’aux couilles, je les sens battre mon cul. Il fait signe à son copain, lui dit :
Elle est prête, je te la laisse !
Le voilà qui quitte Audrey, et sans attendre, m’att les jambes, repousse Bob qui vient de sortir de moi, m’enfile profond.
Je n’ai pas eu le temps de sentir le changement de queue, ses coups de butoir sont agressifs, je gémis, j’ai de plus en plus chaud, la pression monte, j’accompagne.
Bob est passé dans sa femme, elle non plus n’a pas eu le temps de souffler. Comme l’autre, il l’enfile en levrette, elle resserre ses jambes pour coincer la queue, mieux la sentir, couine à chaque coup de piston.
Le mec me remet debout, me pousse vers le canapé, s’allonge dessus, me tire par un bras, j’ai comprit. Je passe au-dessus de lui, me retrouve à califourchon face à lui, ses mains m’agrippent les hanches. Je prends son pieu en main, le guide, descends doucement dessus. Je suis embrochée, m’active, monte et descend, il en a une longue et grosse, je mouille, il va loin, je contrôle.
Cette soirée n'est pas terminée. Lire la suite (9 )

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