Leon (2e Partie)

Fred a 19 ans, on se connaît depuis que ses parents sont venus habiter à côté de chez moi. Nous avions alors 5 ans. Nous étions dans la même classe, nous avons été louveteaux, puis scouts ensemble. Nous avons fait nos études dans le même établissement. Bref, on était comme des frères. Il venait dormir chez moi tous les vendredis soirs, j’allais chez lui le samedi. Ça arrangeait bien nos parents qui pouvaient se ménager une soirée rien qu’à eux.
D’un côté comme l’autre, il n’y avait qu’un lit, que nous partagions volontiers.
On partait souvent en vacances ensemble.
Nous avons tout découvert à deux. Les premiers émois pour une fille, souvent la même d’ailleurs. Les premiers poils pubiens. La première érection. On se matait, on se masturbait en face l’un de l’autre. On doit bien s’être touché le sexe une ou deux fois, « pour jouer ». Mais rien de plus. Des gosses normaux, quoi.
Même si depuis longtemps j’aimais le voir nu sous la douche. Je devais d’ailleurs faire de gros efforts pour ne pas avoir le sexe au garde à vous immédiatement. Je le trouvais beau. Pas trop musclé, mais fin. J’aimais ses yeux noisette. J’aimais la cambrure de ses reins. J’aimais voir son beau sexe pendant sous ses poils pubiens blond.
Je crois bien que j’en étais amoureux. Je me masturbait souvent le soir en pensant aux quelques fois où je l’avais vu nu, bandant et ou j’avais manoeuvré pour toucher son sexe. Il a une verge de longueur moyenne, 16 cm, mais très épaisse. Elle doit avoir plus de 5 cm de diamètre.
Mais je n’aurais jamais osé essayer quoi que ce soit. Pas avec un tombeur de filles comme lui.
Alors vous imaginez ma surprise

(Suite de l’histoire ’Léon’)

Je sursaute. J’allume. Je découvre Frédéric assis dans le noir.
« Tu... Tu ne dors pas ? »
« Non » répond t’il. « Je t’attendais. Je suis passé sur la route tout à l’heure pour aller te rechercher à la soirée mousse. J’ai pris le raccourci et je t’ai vu à poil sur les genoux de Léon, au volant de la camionnette.

Alors, je suis revenu ici pour t’attendre »
Je me sentais rouge de honte. « Écoute, je crois que j’avais bu un verre de trop, puis je sais pas... c’est pas mon habitude... je suis pas gay... »
Je ne savais plus comment me sortir de cette situation.
« T’inquiète pas, bonhomme » me lâche t’il. « Y pas mal de temps que le vieux Léon me saute et j’aime ça aussi »
« T’es bi ? Et tu n’as jamais essayé quelque chose avec moi alors qu’on se connaît depuis la maternelle ? »
Il me répond « Ben non, j’te croyais 100% hétéro. Mais tu n’as quand même jamais remarqué que je te matais quand tu te mets à poil devant moi. »
Je lâche « Non, c’est vrai »

Je ne sais plus quoi dire, je fais demi-tour et j’entre dans la mini salle de bain de la caravane résidentielle. Je prends une douche bien chaude. Je reste de longues minutes sous le jet relaxant. Je repense à Léon. Je sens encore son sexe en moi. Puis mes pensées vont vers Fred. Que va-t-il penser ? Puis après tout, il a dit qu’il l’avait fait aussi avec Léon. Je sors, je me sèche, je passe mon pyjama, en fait un caleçon et un t-shirt propres.
La lumière est éteinte. Fred doit s’être endormi. Je traverse la pièce pour aller dans la chambre de droite. Nous dormons là par habitude, dans nos lits superposés que nous utilisons quand mes parents sont là.
« Viens, on dort dans l’autre chambre cette nuit. »
Je m’arrête. Je ne sais quoi penser. Puis je passe la porte de gauche. Il fait toujours noir. Je m’approche du lit. Je soulève le drap et je me couche.
Nous restons ainsi, l’un à côté de l’autre sans un mot. Je suis gêné, je ne sais quoi lui dire.
Je le sens bouger et se mettre sur son côté. Il va dormir.
Soudain sa main se pose sur mon torse. Il bouge un peu et viens vers moi. Je sens maintenant son souffle contre mon visage. Sa main descend un peu vers mon ventre puis remonte sous le t-shirt.
« J’ai envie de câlins » lance t’il. « J’aimerais dormir nu à tes côtés.
Enlève tes vêtements »
Puis il se redresse un peu et ses lèvres courent sur ma joue à la recherche de ma bouche. Je tourne la tête et nos lèvres se touchent. Bien vite nos langues se rencontrent. Mes mains partent explorer le corps de mon ami. Je découvre bien vite qu’il est nu.
Nos bouches se séparent le temps de faire passer mon t-shirt par-dessus ma tête. Sitôt fait nos langues ont vite fait de se retrouver. Je crois n’avoir jamais embrassé une fille comme ça !
Ses mains caressent mon torse et mon ventre, mais sans chercher à descendre plus bas. Les miennes ne restent pas inactives non plus, elles caressent son dos, passent parfois sur ses fesses nues. Je sens ses mains accrocher l’élastique de mon caleçon. Je soulève le bassin et Fred tire le vêtement le long de mes jambes. Je reste étendu sur le dos, nu, les jambes légèrement écartées.
Mon sexe fatigué par Léon commence à reprendre un peu de vigueur. Fred vient se placer sur moi. Je sens maintenant sa verge tendue contre moi. Il recommence à m’embrasser. Je sens son bassin imprimer un lent mouvement et sa tige raide glisse contre mon entrejambe. Il n’en faut pas plus pour réveiller la bête... Une de mes mains passe dans ses cheveux courts, tandis que l’autre descend le long de son dos et part explorer ses fesses à la peau douce. Il frémit sous mes doigts. Mon index se fait explorateur et s’insinue entre les deux globes. Il glisse sur une matière visqueuse et glissante. Fred s’est enduit l’anus de gel, probablement pendant que je prenais ma douche.
Comme pour s’excuser, il me dit « j’ai envie de toi » et il descend sous les draps. Ses lèvres courent sur mon torse. Il mordille mes tétons au passage. Sa bouche arrive bien vite à hauteur de mon gland. De sa main droite, il me décalotte et avale mon sexe dressé.
Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Ce qui encourage Fred.
Lentement, sa bouche commence un va-et-vient humide le long de mon sexe raidi de plaisir.
Je le fais changer de position afin de lui rendre la pareille.

Nous rejetons les draps et nous nous plaçons en 69. Je sens l’odeur de sa grosse verge. Elle m’excite. J’ouvre la bouche et je lui aspire le bout pendant que ma main fait de lents allers retours pour le masturber en même temps.
Pendant quelques minutes, on n’entend plus que les bruits humides de nos bouches et les gémissements de plaisir.
« Je vais jouir », ma lance t’il pour me prévenir.
J’ai envie de goûter à son jus. Ma main le saisi plus fermement et accélère son mouvement.
Son bassin accompagne mes mouvements et bien vite je sens son sexe grossir et se raidir encore plus et ses mains se posent sur ma tête. Je sens bien vite sa semence chaude couler dans ma bouche en de longs jets. J’avale au fur et à mesure le jus salé et un peu amer de mon ami. Je le garde en bouche quelques instants, pour boire la dernière goutte. ça lui laisse le temps de récupérer un peu.
Il allume la petite lampe de chevet et se met sur le ventre, un coussin sous le bassin.
« Fais moi l’amour »
Je découvre son magnifique corps nu, offert. Je n’aurais jamais imaginé cette situation auparavant. Sans un mot, je me positionne entre ses jambes écartées, je place mon sexe contre ses fesses et je me laisse tomber contre son corps. Sous le poids, ma verge force le passage entre ses globes fessiers et bute contre son anus serré. Je commence néanmoins des mouvements du bassin et je me masturbe grâce à ses fesses, ma bite glissant facilement grâce au gel dont il s’est enduit. A chacun de mes mouvements, il remonte le bassin. Ses fesses s’écartent de plus en plus. Mon gland bute maintenant à chaque fois contre son trou qui, petit à petit s’ouvre.
Fred se met à quatre pattes et m’offre ses fesses et son anus. Je pose mon gland contre et je pousse doucement. Fred ferme les yeux. Je le sens se contracter autour de ma verge. Je ne bouge plus, mais bien vite la pression se relâche et je reprends ma poussée vers l’avant. Plus rien ne m’arrête jusqu’au moment ou mon pubis vient s’écraser contre ses fesses.
Je baisse alors les yeux et je découvre le spectacle de l’anus de mon ami dilaté par ma barre raide.
Je ne peux plus résister, je saisis Fred par les hanches et je lui fais l’amour.
Je fais de longs mouvements, ma tige sortant presque entièrement à chaque fois du fourreau chaud et glissant, pour y replonger aussi vite. Fred respire aussi vite que moi. Son anus est maintenant aussi dilaté qu’un vagin de femme. Parfois mon sexe sort complètement de sa gaine, mais il n’a aucun mal pour en retrouver l’entrée.
Après quelques minutes, je sens ma sève monter. Par politesse, je préviens Fred que je vais jouir.
« Fais le en moi, lâche ton jus le plus loin possible » m’ordonne t’il.
Je ne me prive donc pas, je pousse mon bassin le plus possible en avant, tout en tirant ses hanches vers moi et j’explose au fond de son ventre. 5 à 6 jets, malgré que Léon m’ai déjà vidé tout à l’heure. Je sens Fred se contracter et jouir une seconde fois en même temps. Son derrière m’aspire et me serre fortement, ce qui ne fait qu’accroître ma jouissance. Nous tombons allongés, l’un contre l’autre, mon sexe toujours dur entre ses fesses. J’embrasse son cou.
« Je... je t’aime ». C’est plus fort que moi, j’ai besoin de lui dire.
« Je t’aime aussi » répond t’il et je sens que ça vient du cœur. Nous restons dans cette position, ma verge enfichée dans ses fesses, je passe mon bras par-dessus son corps et ma main tombe contre son sexe qui perd peu a peu de son volume.

Avant de sombrer dans un sommeil réparateur, il me promet que les vacances seront réussies.
Et dit : « puis demain on ira voir si Léon n’a pas besoin d’un coup de main pour son jardin ».

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