Usurpation D'Identite

Elle dînait à la table voisine de la mienne, dans une brasserie du Vieux Nancy, l'air absent. Encore belle femme, blonde, strictement vêtue en noir, un collier de perles fines, des lunettes de vue cerclées d'or, une montre Cartier au poignet.
Le serveur s'inquiéta : " le plat du jour ne vous plaît pas ? "
" Si, si, bredouilla-t-elle, laissez-moi "
" Cela me rend triste de vous voir ainsi " lui dis-je, sans mesurer la portée de mon propos.
" Si vous vous faisiez plaquer, sans crier gare, par votre maîtresse, cela vous ferait plaisir ? " me répondit-elle sur un ton pas très sympathique. " Pour ne rien arranger, le dernier train pour rentrer chez moi est parti et les hôtels de la ville sont tous pleins."
Comme je n'aime pas rester sur un échec et qu'elle me faisait vraiment de la peine, je tentais de réamorcer la conversation.
Elle se laissa tenter par les profiteroles maison, nous bûmes le café ensemble et j'appris qu'elle était la maîtresse d'une notabilité de la ville. A l’évidence, elle n'avait pas vu le coup venir.
Je l'invitais à prendre un verre dans un café de la place Stanislas. Se sentant quand même en confiance, elle se laissa aller à quelques confidences. A l'évidence, outre son élégance, Christiane était cultivée et je me devais de ne point l'abandonner.
" Vous allez peut-être me trouver très hardi. Mais vous ne pouvez passer la nuit dehors et les cafés vont fermer. Je loge à l'hôtel voisin. Je peux tenter d'y obtenir une chambre pour vous, si cela peut vous dépanner ? "
" J'y suis passé avant de dîner, il est plein, plein "
" Dans ces conditions, je ne puis que vous proposer de partager ma chambre "
Elle réfléchit longuement, me regarda.
" Je ne puis accepter. Nous nous connaissons à peine, même si vous me paraissez sympathique et digne de confiance. "
Il suffisait d'insister un peu, me sembla-t-il et, de fait, après avoir encore bu deux cocktails maison, nous rentrâmes à mon hôtel.


La chambre n’était pas très grande et j'avais la chance d'avoir un grand lit !
Christiane demanda à se rendre dans la salle de bains en premier, ce que j'acceptais bien volontiers.
J'entendis qu'elle s'était faite couler un bain et aurais espéré voir ce qui s'y passait via la serrure. Manque de chance, elle était bouchée.
Au bout d'une petite demi-heure, Christiane revint, vêtue d'un splendide déshabillé noir en soie transparente, sous lequel elle portait un mini string et qui ne cachait rien d'une opulente poitrine. Elle s’était reparfumée avec un 5 de Chanel envoûtant.
" Excusez-moi, c'est tout ce que j'ai à me mettre pour la nuit "
" Mais vous êtes toute excusée, et je vous trouve magnifique "
" Bon, la salle de bains est libre. A vous. Je vais me coucher et dormir. Quel est votre côté préféré ? "
" Je n'en ai pas, mentis-je, et vous en laisse le choix. Bonne nuit donc "
Je me précipitais à la salle de bains, me pris rapidement une douche et ne tardais pas de peur que Christiane ne se soit vraiment endormie.
De retour dans la chambre, elle s’était installée en travers du lit et somnolais, dans la pénombre. Je me glissais délicatement dans le lit et commençais à déplacer discrètement ses jambes afin de me faire une petite place. Le contact de mes mains avec ses jambes fut comme électrique et je m'attardais le long de sa jambe droite cependant que Christiane émettait un petit râle de contentement. Je m'enhardis donc et poursuivais cette fois des deux mains tout en glissant mon corps le long du sien.
Christiane se retourna et se jeta littéralement sur moi
" Mon chéri, tu es là, je te croyais perdu, mon amour, oh comme tu es bon "
Et, joignant le geste à la parole, elle commença à me serrer très fort, à m'embrasser goulûment, à me mordiller les lèvres, à m'aspirer la langue. Ses doigts glissèrent le long de mes bras, de mon torse, elle commença à me griffer.
Dans un geste brusque, elle enleva son déshabillé et je sentis encore plus la chaleur de ses seins.
Ne lui restait donc que le petit string que je réussis à faire glisser avec mon pied gauche.
Mon tee shirt et mon boxer avaient valsé et mon érection surprise, mais bien compréhensible, n'avait plus de secret pour ma compagne de la nuit.
J'essayais de lui caresser les seins dont la fermeté me ravissait. Mais Christiane était littéralement collée à moi.
Bientôt elle descendit le long de mon corps et ses seins vinrent se lover dans mon entrejambe, excitant encore plus mon sexe qui commençait à couler. Christiane s'en aperçut et s'empressa de me laper le bonheur qu'elle avait généré. Elle me lécha le gland, descendit le long de la hampe, me suça, puis aspira les bourses avec une telle violence que cela devenait un peu douloureux. Elle du s'en apercevoir car elle continua à descendre le long de mon corps et à me lécher avidement.
Comme elle souhaitait poursuivre son chemin jusqu'à la dernière limite, elle se retourna et m'enfourcha.
J'eus alors une vue imprenable sur ses fesses, magnifiques, pulpeuses à souhait.
Je pris l'initiative de les écarter afin de découvrir son intimité. Deux splendides lèvres gonflées par le plaisir, sur lesquelles pendaient deux anneaux d’or. Son système pileux semblait assez développé, mais bien soigné. Je m'enhardis à lui caresser les lèvres et à pénétrer son intimité déjà bien lubrifiée par le bonheur. Un doigt, puis deux, puis trois, pour titiller au passage son clitoris en pleine érection, puis aller au plus profond de son sexe. C’était tellement sensuel, agréable, que j'en oubliais ma propre jouissance. Soudain, je sentis de douces petites giclées et me précipitais pour en recueillir le maximum dans ma bouche. Ceci ne fit qu'augmenter l'excitation de Christiane qui se mit à hurler au risque de réveiller tout l’hôtel. Au bout de l'excitation, elle se laissa tomber sur le lit, essoufflée, m'embrassa à nouveau goulûment, et me susurra à l'oreille : " mon chéri, tu ne m'as jamais si bien fait l'amour. "
Et soudain, elle découvrit avec surprise qu'elle n’était pas avec son amant mais avec un inconnu, ou presque, moi en l'occurence .
...
Confuse, elle se réfugia sous la couette, et partit d'un petit éclat de rire
" Hé bien vous alors, et vous êtes un champion ! "
Joignant le geste à la parole, elle descendit le long de mon corps et m'entreprit une fellation de feu. Malgré ma tentative de maîtrise, je ne tardais pas à jouir abondamment dans sa bouche. Elle ne me quitta pas, voulant recueillir tout mon bonheur, jusqu'à la dernière goutte. Puis elle entreprit de me mordiller le gland avec avidité, ce qui réanima mon érection.
" Ah, non, nous sommes quittes, gentilhomme, il me semble que nous sommes ici dans ce lit pour dormir."
Et elle me tourna le dos, dans un grand éclat de rire
A suivre .....

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