Tu Es Enfin Rentree Dans Ma Vie

Ma copine et moi venons tout juste de rentrer dans mon appartement, il est tard. C’est la première fois que je l’y amène car elle habite loin et que notre amour est neuf. Le tour des lieux est vite fait puisque je n’ai qu’une seule pièce. Mon appartement n’est pas très grand, mais l’a été suffisamment pour moi pendant ma longue année de célibat.

Sous la lumière tamisée de la lune, nous nous approchons doucement de mon lit. Je me tiens derrière elle, mes bras sont enroulés autour de ses hanches et ses mains sont posées sur les miennes. Nous sommes collés l’un à l’autre, jusqu’à nos jambes qui se déplacent ensembles. Je l’embrasse tendrement dans le cou, pendant qu’elle parcourt des yeux le lieu dans lequel on va vivre pour la première fois au quotidien ensemble.

Sur le sol du parquet, les murs sont blancs, dans un coin de la pièce, sous une fenêtre, mon lit double. Il fait nuit et le clair de lune filtre à travers les rideaux, éclairant d’une douce lumière bleue la couette chaude qui nous attend. Dans le coin opposé au lit, mon bureau. Y traîne un petit bazar de silhouettes sombres et le peu de lumière laisse supposer qu’un peu d’ordre règne quand même dans ce méli-mélo d’objets. Devant le bureau, un petit canapé siège sans accoudoir.

Nos pieds glissent sur le sol lentement pendant qu’elle poursuit son inspection, et nos pas synchronisés finissent pas nous amener au bord de mon lit. Je lui fait un dernier bisou sur le cou, puis lui mordille légèrement la peau du creux de l’épaule. Nos mains se lâchent, elle se retourne et nous nous embrassons. Une succession de petits bisous ou elle me mordille la lèvre. Nos bras caressent nos corps remplis de frissons. Pour toi, c’est la première fois avec moi dans un lieu inconnu de toi, pour moi, c’est la première fois chez moi, dans ma demeure, ma vie, mon quotidien.

Toujours enlacés l’un l’autre, nous finissons par nous asseoir sur le bord du lit. Nos baisés sont plus longs, plus intenses.

Je n’en peux plus, je veux de toi, de ton corps, et je sens que tu en as envie aussi. Mes mains descendent sur ses cuisses, et elle fait de même. Nos bustes sont face à face, mais nous sommes assis l’un a coté de l’autre. Je change de position pour mieux pouvoir la caresser. Je déplace ma jambe sur le lit, derrière son dos, je suis face à son profil et peux ainsi mieux apprécier ses formes, ses rondeurs, sa poitrine qui m’attire tant.

Par dessus son pantalon, je caresse fort son sexe de la paume de la main. Mon autre main est autour de son cou, car nous continuons à nous embrasser. Elle cherche de sa main mon sexe, et quand elle arrive sur mon entrejambe, constate que mon érection fait une bosse bien dure sous mon pantalon. D’une main experte, à l’aveuglette car nous ne nous quittons pas des yeux et des lèvres, elle descend ma braguette. Elle peut alors un peu mieux apprécier l’effet qu’elle me fait, en caressant et massant mon sexe par dessus la fine couche qu’est mon boxer. Mais je ne la laisserais pas faire. Un vrai gentleman ne se sert pas un verre avant d’en avoir servi un à sa dame.
Je masse donc encore plus vigoureusement son antre jambe et pousse de temps en temps un doigt un peu plus fort que les autres contre son vagin. Je détourne ma main de ses lèvres pour descendre le long de son cou que je lèche et mordille. Puis, brusquement, je glisse ma main non plus sur son pantalon, mais sous celui-ci. En appuyant très fort la paume de ma main sur son corps, j’arrive à glisser ma main sous sa culotte. Elle est déjà toute mouillée. Tandis que mes doigts caressent son clitoris gonflé d’excitation, sa main à elle s’est arrêtée sur mon sexe et ne fait plus guère de mouvements. Lorsque que d’un coup j’introduis deux doigts dans son vagin, sa main n’est même plus sur mon sexe. Tandis que je lance mes doigts le plus haut possible dans son vagin, elle se cambre et pousse un petit gémissement. Elle finit par trouver de sa main à tâtons ma jambe sur le lit, que je replie et relève pour fournir à son dos un appui.
Mes doigts effectuent un mouvement de va et viens à l’intérieur de son sexe humide et brûlant, tandis que de mon pouce je lui caresse le clitoris.
Mais je sens que mes mouvements sont limités par les vêtements. Je passe donc un bras derrière son dos, enlève ma jambe de soutiens et l’allonge sur le lit, toujours les jambes ballantes. Je l’embrasse tendrement puis fait courir ma main sur sa poitrine. Je masse son sein par dessus ses habits pendant quelques instants, puis glisse ma main sous son débardeur pour mieux apprécier la douceur de sa poitrine, le contact avec sa peau tendue et légèrement moite, (à moins que cela ne vienne de ma main encore couverte de sa mouille ?).
Je glisse mes deux mains vers son bassin tandis que ma tête accompagne de mouvement vers le bas, vers cet endroit qui m’avait paru si accueillant et chaleureux tout à l’heure. Mes mains saisissent son pantalon, et glissent le long de sa ceinture vers la porte d’ouverture de toutes les convoitises. Ses jambes se redressent automatiquement du bord du lit, pour s’allonger et faciliter le déshabillage. Je descends du lit pour ôter son pantalon et une fois fait, remonte entre ses cuisses nues, en une longue traînée de langue vers son antre jambe.
Je glisse une main pour écarter sa culotte et commence à lui lécher doucement du bout de la langue le clitoris. Je saisi les bords de sa culotte et de la même manière que le pantalon, je glisse le dernier rempart, l’ultime barrière de son intimité, le long de ses jambes. Je remonte en léchant l’autre cuisse vers ses lèvres intimes.
Tandis que je plonge entre ses cuisses, mes mains écartent délicatement ses jambes. Je me mets à lui donner de grand coup de langue, m’arrêtant de temps en temps pour lui mordiller le clitoris. Et je reprends de plus belle les coups de langue, ma salive et sa mouille se mélangent, son vagin ainsi lubrifié s’aperçoit à peine qu’un de mes doigts viens de s’introduire en elle. Puis, j’accélère les coups de langue, et mon doigt fait de rapides mouvements de vas et viens.
Elle se crambe, pousse de grands gémissement, de ses mains elle se cramponne à la couette. Quand j’introduis un deuxième doigt en elle, elle lâche la couette et cherche mes mains. Je lui tends ma main libre et elle s’y cramponne. Ca fait mal mais c’est bon de sentir monter le plaisir en elle qui lui fait resserrer ses doigts de plus en plus fort.
Ma tête se met à accompagner ma langue dans son mouvement, et je lui lèche le vagin à m’en faire claquer la langue. Mes doigts ressortent d’elle, je lui tends mon autre main, et elle s’y cramponne aussi avec force et douleur. Elle se met a hurler de plaisir, ses ongles s’enfoncent dans ma peau. J’arrête mes mouvements de tête pour faire claquer ma langue le plus vite possible sur ton sexe. Tu sens comme une étincelle allumer un gigantesque feu de foret en toi, tu jouie en poussant un grand cri, resserrais une dernière fois mes mains, donnais une ultime secousse du bassin. Elle n’est plus elle, tu es devenue elle et tu es tu.
Tu prends quelques secondes pour te remettre, pendant que je me retire hors du lit et de tes jambes. Tu remontes ton dos en t’appuyant sur tes avant bras et tu étouffes un petit gloussement de rire et de plaisir. « Je t’aime ». « Je t’aime aussi mon cœur ». Puis tu te remontes entièrement pour te ré asseoir sur le bord du lit. Je suis debout au bord du lit et toujours habillé mais mon pantalon est déjà déboutonné et ouvert, tu n’as donc pas de mal à le descendre pendant que j’enlève mon T-shirt d’une traite. Pendant que tu me masses la bosse que mon boxer cache, je me débarrasse tant bien que mal de mes chaussettes. Une fois fait, tu descends délicatement mon boxer et dès que tu vois sortir mon pénis, tu t’en saisi d’une main, pour te rendre compte qu’il est déjà bien ferme.
Tu te mets à me masturber doucement d’une main, pendant que de l’autre tu finis de faire glisser mes sous-vêtements par terre. Quand je l’évacue au loin d’une claquette du pied, tu es face à mon sexe en érection. Tu donnes quelques rapides coups de poignets sur mon sexe, pour t’apercevoir satisfaites que mon petit soldat est bien au garde-à-vous.
Puis tu commences à le lécher sur toute la longueur, des couilles au gland, que tu effleures du bout de la langue, puis dont tu lèches tout le pourtour. Mais ce n’est pas assez, ce n’est pas ce que tu veux. Tu veux sentir le goût de mon sexe. Alors, tandis que d’une main tu me caresses les boules, que de l’autre tu tiens mon pénis, tu me prends le gland dans ta bouche. Je gémi. Puis tu recules ta main plus loin sur la base de mon sexe, pour m’avoir encore un peu plus loin dans ta bouche. Tu aimes le goût que ça a, et quand tu te mets à entonner des mouvement de va et viens avec ta bouche, tu prends beaucoup de plaisir à entendre les petits soupirs et gémissement que je pousse.
De temps en temps tu arrêtes ton va et viens pour le reprendre avec la main sur la base de ma bite, tandis que tu me lèches le gland avec des mouvements circulaires, tout en me gardant dans ta bouche. Je suis parcouru de frissons, et je ne peux m’empêcher de pousser de longs gémissements de plaisirs. D’une main j’arrive à attr tes cheveux pour te les écarter du visage, afin que je te voie à l’acte. Tu es magnifique, ton visage et tes cheveux… nos regards se croisent un instant alors que tu relèves la tête, tes yeux pétillent de malice. Je sens le plaisir monter en moi quand tu fait toutes ces choses avec ta bouche, que tu m’aspire, me suce, me lèche, du bout des dents que tu effleures mon sexe. Je suis maintenant parcouru de spasmes, mes gémissements sont plus répétés, mon plaisir est énorme. Je sens le bas de mon ventre brûlant, je n’en peu presque plus. Je te repousse légèrement le front de la main et tu comprends sans un mot. Tu te retires de mon sexe et te lèches les lèvres. Tu remontes la tête, me regarde et me souris. « C’était bien mon amour ? ». « Mieux que ça, tu es une déesse mon amour !».
Tu t’allonges alors sur le lit, en enlevant ton débardeur et ce qu’il y a en dessous. Je m’allonge auprès de toi, je suis déjà entièrement nu. J’allume une petite lampe de chevet, car je veux te voir, apprécier ton corps, te contempler. Mais je ne tarde pas à loucher sur certaines parties de ton anatomie. Tu es sur le dos, je suis de coté, tourné vers toi, et une de mes mains se dirige prestement vers ta volumineuse poitrine. Je te caresse doucement, effleure du bout des doigts ton téton. Ta tête est tournée vers moi et on se couvre de baisés. Puis tu prend l’initiative, tu me veux en toi je le sais, et c’est loin de me déplaire. Tu me repousses sur le dos, je lâche du coup prise sur ta douce poitrine. Tu m’enjambe et te met à califourchon sur moi, face à face. Tu t’appuis sur mes épaules et descend ta tête vers la mienne pour venir m’embrasser. Puis tu saisi mon sexe encore tout dur d’excitation d’une main. Tu recules ton bassin vers ta proie et t’empales aussi sec non sans nous faire pousser à tout les deux un petit gémissement. Tu pousses ton bassin le plus profondément possible, puis remonte un peu et commence à le bouger de manière circulaire. Mes mains se posent alors sur ton bassin pour accompagner le cercle que tu fais. Je sens mon sexe à l’intérieur de toi forcer sur toutes les parois de ton vagin.
Puis tu arrêtes tes mouvements, j’en profite pour venir poser mes mains sur tes seins et les caresser. Tu fait alors des mouvement de haut en bas avec ton bassin, qui font presque ressortir mon sexe de toi, puis qui l’instant d’après, le plongent profondément en toi. Tes mouvements de bassins se font de plus en plus rapide, nos respirations sont haletantes, je t’aide en donnant moi même quelques coups de bassin. Tu n’en peux plus tu es en nage, tu appuis tes mains sur mon torse, et te laisses un peu retomber sur moi. Des deux mains je saisi tes fesses, et donne de violents coups de bassin, sec et rapides.
Je sens comme de violent spasmes dans mes boules peut avant de ressentir une immense sensation de bonheur, d’apaisement puis de plénitude. Mon sperme pars en toi et le jet te faire jouir à l’instant. Tu sens ton esprit se vider subitement, pour se faire submerger par une vague de plaisir. Tu cri de plaisir. Je reste en toi un petit moment, nos visages sont cote à cote et nos respirations sont fortes. Nos cœurs battent à un rythme d’enfer. Nos corps sont trempés de sueur. Puis quand tu reprends ton souffle, tu te retires, et t’affales sur le dos à mes côtés.
D’une main je saisi la couette et la rabats sur nous. Je m’allonge près de toi, une main sur ta poitrine, et je sens mon esprit s’échapper. Un mouvement non contrôlé de main me sorts doucement de ma rêverie, je la sens partir vers les profondeurs de la couette. Tu me tiens la main et la guide doucement vers ton sexe.
Tu en veux encore. Et oui elle est comme ça ma copine.
Cette histoire est une fiction, cependant elle a ceci d’amusant que dans peu de temps ce n’en sera plus une. Si j’ai écris cette histoire sur ce sujet, c’est parce qu’elle est pour moi importante la première fois où je pourrais faire l’amour à ma copine dans un lieu qui appartiens à ma vie et qui est fortement rattaché à mon être. J’aurais enfin la conviction qu’elle appartiens à mon histoire, ma vie, ce que je ne pouvais pas ressentir quand c’est moi qui rentrais dans sa vie à elle en allant chez elle ou ailleurs. Elle n’est plus elle, tu es devenue elle et tu es tu.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!