Ennui Mortel

J'étais toute excitée à l'idée de passer un week-end entier, seule, en compagnie de Pierre, mon chéri. Depuis que nous sortions ensemble, voilà bientôt 2 mois; il s'agissait du premier week-end que nous passerions en amoureux, dans la maison de ses parents, qui s'étaient gentiment absentés pour l'occasion.
Mais, mon amour, avait omis de me préciser qu'il était encore en période d'examens et qu'il avait un partiel de Droit Pénal à réviser pour lundi matin 9 h tapantes !
Je ne cachai nullement ma déception à l'annonce de cet impératif. Mais, la réussite professionnelle de mon bébé est importante à mes yeux, tout autant que la mienne.
Alors, je me résignai à faire une croix sur le week-end torride que je m'étais imaginé entre mon trésor et moi. Passablement déçue et contrariée malgré tout; je zappais négligenment de chaînes en chaînes, muni de la télécommande du téléviseur. De temps à autre, je jetais un coup d'oeil furtif à l'étage, en direction de la pièce où mon homme était quasi retranché et qui lui servait de bureau lorsqu'il travaillait ses cours.
Il faut dire que je m'ennuyais ferme. Que faire? Je décidai d'éteindre la télévision et saisi un magazine féminin qui traînait sur la petite table basse du salon. Je parcourais furtivement les pages sans réellement m'intéresser aux divers sujets évoqués. L'esprit ailleurs, je commençais à sérieusement me demander de quelle manière j'allais occuper ce week-end.
L'ennui, quasi mortel, me gagnait de plus en plus. Intérieurement, je maudissais presque Pierre d'avoir un examen à préparer. Je me levai d'un bond et me dirigeai vers la cuisine, d'où je revins avec un bol rempli de mousse au chocolat, que la maman de mon chéri nous avait préparé, sachant que j'adore le chocolat.
De nouveau installée devant l'écran de télévision éteint, je me demandais sérieusement ce que j'allais bien pouvoir faire pour m'occuper, tout en gobant ma mousse au chocolat.


C'est alors que mon esprit tourmenté se souvint que Pierre dissimulait des cassettes pornographiques dans sa chambre, au fond de sa penderie. Aussitôt, je me levai comme une furie en direction de sa chambre, d'où je revins bientôt muni d'une vidéo au titre évocateur : "Anal Festival".
Je m'installai de nouveau devant l'écran de télévision, où se mirent à défiler des scènes de sodomies aussi démentielles les unes que les autres. Je n'en pouvais plus de voir tous ces superbes pénis aller et venir sauvagement dans l'anus de l'actrice qui avait vraiment l'air de s'en réjouir, de s'en délecter. A chaque coup de boutoir qu'elle recevait entre ses belles fesses rebondies, je rêvais d'être à sa place, de me faire défoncer le cul par de beaux étalons, comme elle. J'étais trempée. Je déboutonnai prestement ma robe en fleurs et me mis à me caresser les seins. Mes doigts titillaient tendrement mes mamelons. Je promenais mes mains en un geste sensuel et langoureux tout autour de mes seins. Je descendis jusqu'au pubis. Je caressai d'un mouvement lent ma vulve, puis petit à petit, j'accélérai le mouvement. Je dégoulinais de plaisir. Mes doigts étaient trempés. J'étais noyée de sueur. Dans mon esprit, je m'imaginais en train d'hurler de plaisir à chaque coup de boutoir que je recevais dans l'anus. L'excitation était telle que je ne tardai pas à jouir, assise, entièrement dénudée, les jambes écartées sur le divan.

- Félicitations pour cette superbes scène de mabsturbation ma chérie...

Surprise, d'un bond je me retournai et découvris Pierre assis sur les marches de l'escalier, m'observant, un sourire malicieux aux lèvres.

- Je... Je... Commençai-je visiblement gênée d'être ainsi surprise en plein plaisir solitaire, par mon chéri.

- Ne prend pas cet air de petite fille fautive mon amour, c'était... comment dire... bandant de t'observer te procurer du plaisir.

- Je suis désolée... je...

- Pourquoi être désolée bébé? Puisque tu sembles d'humeur coquine depuis ton arrivée, je vais tâcher de te combler.
En fait, ça tombe bien, j'ai besoin de faire une pause. Le Droit Pénal ne rentre plus...

Sur ces paroles, il se planta devant moi, la braguette ouverte, juste au niveau de mon visage. Il me saisi tendrement par la nuque et dirigea doucement mon visage contre son entre-jambe gonflé à bloc. Je saisi à pleine mains son pénis raide et gonflé d'excitation.

- Va-y bébé, suce moi. J'en meurt d'envie. Tu m'as trop excité tout à l'heure... Souffla t-il.

J'introduisis son pénis dans ma bouche et me mis à le sucer goulûment comme s'il sagissait d'un sucre d'orge.

- Va -y. Ne t'arrête pas. Encore... M'encourageait-il.

J'accélérai le va et vient de mes lèvres sur sa queue, tout en caressant ses couilles. Je léchai également ses bijoux de famille.

- Hoooo... bébé, tu m'excites trop. Mets-toi à quatre pattes par terre... me demanda t-il.

Je m'exécutai sans broncher. Tout doucement, je sentis la queue de mon amour se glisser dans mon anus. C'était la première fois que nous pratiquions la sodomie ensemble. Je ressentis une légère douleur et le repoussai d'un geste de la main, le visage tout à coup crispé.

- Non, bébé... laisse moi faire... détend toi ma chérie... le plaisir viendra...

J'essayai tant bien que mal de me détendre. Au fur et à mesure qu'il effectuait des vas et viens dans mon anus, un plaisir nouveau, différent, insoupçonné, naquit en moi. Je commençai à aimer sentir sa grosse queue bien dure claquer contre mes fesses.

- Hooo...c'est bon chérie... Encore. Je gémissais.

Il allait et venait en moi en me donnant de temps en temps des petites tapes sur les fesses. N'y tenant plus, nous jouîmes ensemble dans un interminable râle...

- Tu me rend fou à lier... Me murmura t-il, trempé de sueur. Je t'aime mon amour. Ajouta t-il en déposant un tendre baiser sur mon cou.

- Moi aussi je t'aime mon chéri, lui répondis-je, éperdue de plaisir.



Kessia

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!