Sur La Route...

J’ai 35 ans. Je suis commerciale (ou apparenté) ; autant dire que je fais pas mal de route.
C’était un jour de juin, je rentrai chez moi en toute fin d’après-midi, par l’autoroute, comme tous les jours. Une voiture
blanche, style monospace, qui roulait à peine plus vite que moi, me dépassa. J’ai eu le temps de voir que le conducteur
était plutôt mignon. Il s’éloigna ; puis au bout d’un moment, sans que je n’y prête vraiment attention, c’est moi qui le
rattrapai et le dépassai. En le doublant, je tournai la tête afin de le regarder. Puis, il me doubla à nouveau. Lors de ce
dépassement, il tourna lui aussi la tête et je lui fis cette fois un petit sourire. C’est bien la première fois que je « drague » en
voiture, que je souris à un inconnu, comme ça, sur l’autoroute. Mais mon imagination et mes fantasmes ont commencé à
me titiller. Et je me suis dit : pourquoi pas ? Après tout… J’avais très envie de sexe, et d’émotions fortes, il était plutôt
mignon, et je ne le reverrai pas ... Tout en roulant je me suis rangée devant lui à une allure telle qu’il me suivit de près et
qui l’empêcha de me doubler. Première aire de repos, je mis mon clignotant, et vis dans le rétroviseur qu’il fit de même. Je
m’arrêtai, encore hésitante de ce que je m’apprêtai à faire. Puis je descendis de la voiture, et n’étant pas sure que mes
intentions soient réciproques, je jetai un coup d’œil dans sa direction, toujours avec un petit sourire lui montrant que j’avais
bien vu qu’il était là, et fis mine de chercher quelques choses dans mon coffre. Il sortit de la voiture et s’avança vers moi.
« -C’est bien vous qui m’avez doublé à plusieurs reprises ? » dit-il. Il était vraiment mignon, et apparemment relativement
bien bâti sous sa chemise blanche. Il devait avoir mon âge.
« -Oui, je vous ai trouvé plutôt mignon, comme une sorte d’attirance furtive… »
Il a rougi et m’a retourné le compliment.


« Ecoutez, je n’ai pas vraiment l’habitude de faire ça, lui dis-je en le regardant bien dans les yeux, mais il se trouve que j’ai
très envie de faire l’amour, et que vous représentez l’occasion rêvée d’assouvir mes envies, si vous étiez d’accord, bien
sûr : votre charme ne me laisse pas indifférente, encore une fois j’ai très envie de faire l’amour, le fait que vous soyez un
inconnu m’excite d’autant plus, et quelque part ça n’engage à rien, nous repartirons comme si de rien n’était,
anonymement et sans lendemain. Qu’en dites-vous ? » . « Ca ma paraît très bien hésita-t-il, vous êtes tellement bandante,
ça ne m’est jamais arrivé, mais finalement pourquoi pas ? »

Il me proposa de reprendre chacun notre voiture et de sortir de l’autoroute afin d’y trouver un lieu tranquille ; je le suivis.
Première sortie, puis petite route de campagne, puis chemin. Je ne savais pas vers quoi je m’engageai mais j’étais de plus
en plus excitée ; Je mis un préservatif dans ma poche puis descendis de ma voiture, il me proposa de monter dans la
sienne, je n’y tenais plus. Je l’embrassai, ses mains rejoignèrent ma nuque, mes cheveux, mon visage. Ce parfait inconnu
était d’une douceur, je ne regrettai rien jusque maintenant. Sa voiture était une commerciale, c’est-à-dire que deux places
à l’avant, et un coffre immense, vide visiblement. De ses mains délicates il m’allongea à l’arrière de sa voiture, on avait de
la place, c’était un vrai bonheur. Je commençai à déboutonner sa chemise, il caressa mes jambes en remontant
doucement entre mes cuisses. Nos respirations s’accéléraient. Il m’embrassa le décolleté, et d’une main déboutonna le
petit haut que j’avais. Ses caresses étaient exquises. Je mis ma main sur son sexe que je sentis si dur et si gros ; j’ouvris
son pantalon, descendis la braguette et plaça ma main dans son slip. En effet, ce que je devinai l’instant d’avant était réel.

Il était dur ! Ma main le fit gémir légèrement. Il dégraffa mon soutien-gorge, et caressa mes seins de façon divine : mes
têtons bandaient eux aussi, c’était d’une excitation telle, ils étaient durs et ses caresses les durcissaient de plus belle !.. ;
Sa main vint caresser mon sexe ; sa lenteur, sa douceur et la sensualité de la situation ont fait que je mouillais beaucoup,
et que dès qu’un de ses doigts s’écoula dans ma fente, je lâchai un gémissement, c’était trop bon ! « j’ai envie de toi !! ».
mon excitation augmentant, j’accélérai un peu le rythme de l’effeuillage, sa main me carressant le sexe en même temps.
Le voici entièrement nu et moi je n’avais plus que ma jupe. Sa tête vint s’y trouver, entre mes cuisses, et sa bouche, sa
langue me léchèrent les lèvres et l’entrée du vagin. « Mmmmh, ce que c’est bon !!!... » Je gémissais, c’était très fort, mais je
retenais mon orgasme en lui indiquant que je voulais son sexe en moi. Je lui proposai le préservatif ; il le mit et me
demanda de me retourner et de me mettre à 4 pattes. Ce que je fis ; Il souleva ma jupe sur mon dos, je l’imaginai face à
mes fesses et sentis d’un coup son sexe me pénétrer lentement, ses mains sur ma taille accompagnant ce va-et-vient
exquis et si habile. Il accéléra le mouvement ; je sentais sa verge entrer et sortir, puis entrer et sortir encore et encore.... Je
criai tellement c’était bon, ah oui, oui, et lui gémit quand son orgasme arriva, en même temps que le mien : « Oui !!! ».
On s’écroula sur le sol, en chien de fusil, ses mains sur ms seins, son sexe encore en moi, on transpirait, on reprit notre
souffle. Je me tournai, et l’embrassai à nouveau tendrement ; Je lui chuchotai « merci pour cet instant magique, bonne
route ! ».
Il n’avait pas repris ses esprits (ni moi du reste) qu’il me vit disparaître avec mes vêtements aux bras. Je me rhabillai vite
fait dans ma voiture, et m’éloigna, toute retournée et enrichie de cette aventure, toute nouvelle pour moi…

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