Retrouvailles

Nous avions été amants. Elle avait fait un mariage d'argent avec un riche industriel qui lui avait fait trois s,
l'avait trompée avec sa secrétaire. Cela s' était terminé par un divorce. Banal, certes. Et le hasard faisait que, 20 ans
plus tard, nous nous retrouvions. Je me rappelais les jolis seins bien fermes de Marie-Hélène. Qu'en serait-il vingt
ans plus tard ? Les gros seins me font toujours fantasmer. Mais les femmes fortes ne sont pas trop ma tasse de thé !
Je suis allé la retrouver chez elle, dans son nouvel appartement du XVIème, un magnifique bouquet de roses rouges
à la main. Quand elle m'ouvrit la porte, je retrouvais le même visage, le même regard, mais, à l' évidence, l'âge et les
maternités aidant, elle avait pris quelques kilos ! Habillée très classique, elle portait un chemisier blanc de soie qui
laissait supposer une forte poitrîne. Une jupe noire droite cachait plus ou moins quelques rondeurs . L' émotion des
retrouvailles aidant, nous bûmes beaucoup. Quelques whiskies soda, le temps de récapituler nos vies réciproques.
Marie-Hélène a toujours été bonne cuisinière. Un dîner fin , arrosé d' un délicieux Bordeaux, finit de détendre l'
atmosphère. Le champagne accompagna un gâteau au chocolat d'un grand pâtissier parisien. Et, après le café ,
servi au salon, nous continuâmes au champagne. Un peu grisés, nous nous installâmes sur un magnifique canapé
napoléonien . Très vite, nos corps se rapprochèrent, s'enlacèrent. Je fus surpris par la chaleur qui se dégageait de
ses seins et ne put m' empêcher de passer la main sous son chemisier. Marie-Hélène n'oppposa aucune résistance
et dégrafa discrètement son soutien - gorge . J' accédais ainsi à ses seins, volumineux certes, bien chauds, qui se
laissèrent tomber une fois sortis du soutien-gorge et sur les aréoles desquels pointaient deux tétons en érection.
Vingt ans plus tôt, nous avions été de bons amants, mais sans grande expérience.

Une telle poitrîne aussi chaude ne
pouvait me laisser indifférent et je m'empressais de caresser , malaxer, soupeser ses seins, tout en titillant ses tétons
de la langue. Marie-Hélène lâcha soudain un petit cri , puis elle se retira de moi en me glissant au creux de l'oreille :
je reviens dans 5'. Entre-temps, les lumières du salon avaient diminué d'intensité et mon hôtesse revint seulement
vetue d'un déshabillé de soie, sous lequel elle ne portait qu'une culotte de soie. Sans même me demander la
permission, elle entreprit de me déshabiller avec beaucoup de dextérité, tout en reservant le champagne. Et je me
retrouvais seulement vêtu de mon caleçon qui ne cachait rien de mon érection. Elle s' en aperçut, avec un grand
sourire, versa un peu de champagne sur mon sexe et entreprit de me le caresser. Afin de ne pas être en reste, je lui
ouvrais le déshabillé et passais la main sous sa culotte. A l' évidence, elle ne s'épilait pas et je caressais sa toison
déjà mouillée par l'excitation. J'arrivais ensuite sur l'entrée de son intimité et ne manquait pas de saluer comme il se
doit son clitoris. J'avais mis dans le mille, puisque, sous l'excitation, elle m'arracha le caleçon pour mieux me
caresser le sexe . J'en profitais pour lui faire glisser sa culotte. Je découvrais un ventre bien en chair, rebondi, et,
bizarrement, j'appréciais la sensualité qui s'en dégageait, même si, l'âge aidant, ce n' était pas un corps de star ! C'est
quand même la vue de ses énormes seins qui m' excitait le plus. Elle s'en aperçut et commença à jouer avec, de
façon très provocatrice. Je la balançais donc sur le canapé et , après avoir logé ma tête entre ses deux seins, j'y
glissais mon sexe, non sans avoir auparavant arrosé de champagne la vallée en guise de lubrifiant. Marie-Hélène
se prit au jeu et ne manqua pas de me lécher le gland à chaque fois que ma bite s'approchait de sa bouche.
En me
redressant, je mis la main droite progressivement dans son sexe, tout en caressant ses seins de l'autre. Son
excitation grandissant, j' étirais ses tétons jusqu'à la faire crier . Etait -ce sous la douleur ou le bonheur ? Comme elle
ne cessait de me dire : prends-moi, prends-moi, je la pénétrai et en profitai pour aspirer ses tétons dans ma bouche.
Je ne pus m' empêcher de les mordiller à nouveau, ce qui enclencha chez Marie-Hélène une immense giclée interne
sur le bout de mon sexe. Vous ne pouvez pas savoir comme c ' était bon. Elle me fit ensuite sortir de son sexe et me
conduisit entre ses deux seins où perlait une abondante transpiration. Avec ses deux seins, elle entreprit de me
masturber la bite de plus en plus rouge violacée sous l'excitation. Et, soudain, je me mis à jouir de façon explosive.
Marie-Hélène ne voulut rien manquer de mes giclées et entreprit conscienceusement de récupérer mon sperme
dans sa bouche. Ensuite , nos corps s'enlacèrent et nous nous embrassâmes avidement en jouant avec mon sperme.
... Quel dommage que je n'avais pas retrouvé Marie-Hélène plus tôt !

A suivre !

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