Manifestations Sonores

Rien n'est plus désagréable qu'une femme qui se laisse prendre comme un légume, sans aucune réaction apparente. J'aime les femmes actives qui participent vigoureusement à une partie de baise. Une des choses qui me font particulièrement de l'effet, c'est leur façon de manifester leur plaisir. Il y a, bien sur, les mouvements du corps, le sourire crispé par la jouissance, la bouche ouverte, les yeux brillants de plaisir cochon. Mais ce que je préfère, c'est les manifestations sonores. Et s'il y a une certaine similitude entre les femmes, en fait, chacune a une façon particulière de jouir.
Au début de notre mariage, mon ex-femme, par exemple, commençait par des ahhh ! Discrets au début et finissait par une soudaine accélération. Quelques mois plus tard, tous ses ahhh! étaient beaucoup plus lascifs et elle les entrecoupait de commentaires crus et cochons, à faire rougir un régiment de fantassins.
Travaillant dans des bureaux où une foule de femmes étaient employées, j'ai eu de très nombreuses occasions de baiser ces dames. C'étaient presque toujours des femmes mariées en quête de sensations coquines qui les changeaient du train-train conjugal. Pour éviter tout attachement ces liaisons étaient assez courtes. Parfois on tirait un coup une seule fois, mais en général on baisait 5 ou 6 fois avant de changer de partenaires. Là encore, elles jouissaient différemment. Une d'elle poussait de petits cris aigus très courts et très rapprochés. L'autre poussait des râles comme si elle rendait l'âme. L'une d'elle ne pouvait être baisée que le soir quand tout le monde était parti. On se mettait au sous-sol, aux archives car elle gueulait littéralement, une vraie furie.
Toutes ces manifestations sonores m'excitent terriblement. Celles qui m'ont le plus fait de l'effet sont celles d'une collègue avec qui je me suis mis en ménage pendant huit ans. On était ensemble depuis environ un mois quand, un samedi après-midi, son comportement a changé.

On était à poil sur le lit et on se pelotait, allongés sur le côté, face à face. Puis elle a passé sa cuisse par dessus ma hanche, découvrant sa croupe et ses fesses. Je lui ai caressé le cul et tout naturellement mon doigt est passé sur son anus. Réaction immédiate...frissons... forte excitation. J'ai bien sur accentué la caresse, puisant avec mon doigt dans sa chatte juteuse pour lubrifier le petit trou. Lorsque j'ai commencé à introduire un centimètre de mon majeur, elle s'est mise à jouir d'une façon extraordinaire, une façon que je n'avais jamais connue avec une autre femme. Une sorte de feulement très doux et rauque à la fois. C'était plutôt caverneux, comme si cela venait du fond de sa poitrine, du fond de son ventre, de ses entrailles. Je bandais comme un fou! Un moment le muscle anal a été pris de contractions, de spasmes très rapides. Le doux feulement s'est tout de suite transformé en rugissement de plaisir. Ma lionne a eu un formidable orgasme, un des plus fort de sa vie selon ses aveux. Inutile de préciser que nous en sommes très vite arrivés à la sodomie, pratique que j'adore. Nous l'avons pratiquée durant huit ans avec délice…