Découverte De L'Amour Avec Mon Gendre

Je m’appelle Denise j’ai 60 ans, je suis une vraie rousse,1m60 très mince, mal mariée à un homme qui ne m’a pas touchée depuis 30ans, 4 s, j’avais oublié les joies d’être désirée par un homme.
Mon mariage n’était pas une réussite. De 15 à 17 ans, je n'avais eu que très peu d'aventures, et elles furent très ordinaires et surtout faites de bisous et de frottement manuel au-dessus des vêtements.
En fait je me languissais que d’une chose, partir de chez mes parents, et trouver un bon mari, un bon père. A 17 ans j’étais mariée et enceinte. Jamais je n'aurais pensé que ne pas désirer l'homme qu'on épouse foutait un mariage en l'air dès le début. On a eu une ou deux bonnes années, un puis 2, 3, 4, mais je m'ennuyais. Il m'ennuyait.
J'aurais aimé sortir, rire, parler souvent, découvrir l'amour, se faire confiance, moi qui étais pudique mais qui ne demandais qu'a l'être moins.
Résultat, on faisait l'amour dans le noir, si on peut appeler ça l'amour. Les seules fois ou j'ai vraiment eu envie -de lui- c'était au début du mariage, et de faire l'amour tout simplement, c'était quand j'étais enceinte. (Une seule fois. Les hormones sans doute).
Mon mari fermait son livre, éteignait la lumière, je faisais de même, et j'attendais qu'il "finisse". Même s’il espérait me donner du plaisir. En fait j'appréciais la pénombre totale pour pouvoir grimacer à mon aise, de dégoût, mon pauvre mari n’étant équipé que d’un sexe de 8cm en érection et 4 cm en pause, et surtout très rapide en la besogne avec ses 4 allers retour.
Nous avions une villa agréable, loin du bruit et de l’agitation de la belle ville d’Aix-en-Provence, notre vie intime était réglée, rien d’exceptionnel à 30 ans, après 10 ans de mariage. Je voyais la routine s’installer et mon mari oubliait son devoir conjugal. Je l’ai trompé, une fois avec un homme qui faisait des travaux dans notre villa, mais rien de folichon. Il m’avait surprise alors que je lui préparais son repas de midi, en m’embrassant dans le cou tendrement, en passant ses mains sur mon corps puis en m’embrassant sur la bouche, il avait relevé ma robe, m’avait mise sur le ventre, sur la table de la cuisine, et avait baissé ma culotte, j’étais resté sans réaction tellement tout c’était très rapide et inattendu.

Il avait sorti son petit sexe et m’avait prise là sur la table, sans vergogne ni préliminaire. Chaque matin quand il arrivait pour travaillé, il baissait son pantalon pour que je lui fasse une pipe et le midi il me prenait en levrette dans ma cuisine Il passait son temps à me prendre rapidement (trop rapidement) en levrette, vite fait mal fait, rien de neuf par rapport à mon mari, ni la rapidité ni la taille de leurs petits sexes. Après deux mois de travaux nous en étions restés là. Il venait de temps en temps manger à la maison, avec sa femme, et je trouvais la situation cocasse.
L’inaction de mon mari m’a rapproché de mes s au point de devenir exclusivement une mère.
Je vais vous raconter ce qui est advenu de ma vie sexuelle grâce à mon gendre…
Ma fille aînée, à l’époque 26 ans, mariée depuis six ans, avec un sympathique jeune homme plein de vie, de muscle et de malice. Beau brun ténébreux, il a un sourire à faire hurler de supplice un couvent de bonne sœur. Il est très grand et très musclé. Jeune cadre dans une grande société, du haut de ses 26 ans il semble déjà vouloir ce qu’il veut. Il m’embrasse souvent avec délicatesse, ses lèvres très proches des miennes, toujours sa main dans mon dos, voir sur le bas du dos, caressant en douceur celui-ci. J’avoue que de temps en temps je l’allume un peu, en écartant les jambes plus que de mesure lorsqu’il se trouve en face de moi, ou lorsque je suis en maillot de bain et que j’enlève mon haut, dos à lui pour mettre mon paréo, transparent. Des fois j’aime bien jouer avec lui dans la piscine, faisant semblant d’essayer de le couler, pour pouvoir me tenir proche voire très proche de lui, sentant parfois une bosse dans son maillot de bain que je tâte avec mon dos de main, mon coude ou mon avant bras, et des fois mes fesses viennent se coller contre lui pour se frotter rapidement. Il me sourit toujours plein de tendresse.
Une après-midi, je me délassé nue, allongée sur un transat devant ma piscine, après une longue matinée chargée.
Heureuse de ce moment de détente, mes s ne devant pas rentrés avant 19h.
Tout d’un coup, ma fille de retour de ballade, vint me dire bonjour, me fait la bise et là, stupeur ! Son mari est avec elle et il l'a suivi ! Il vient me faire la bise.
Alors que d’habitude, je suis toujours en maillot de bain, là il me découvre entièrement nue. Je protège ma nudité de sa vue en posant mes mains sur mon sexe, essayant maladroitement de cacher ma poitrine (85B) avec mes bras. Je suis complètement nue, à la vue de mon gendre. Ma fille éclate de rire devant la situation, tournant les talons pour aller se mettre en maillot, mon gendre, face à moi avec un sourire contemplatif, des yeux admiratifs, me détaille encore de la tête au pied, au point de me faire rougir de honte.
A l’appel de ma fille il me dit :
Vous êtes vraiment très belle, c’est dommage qu’aucun homme ne puisse profiter, d’une telle beauté.
Qu’est-ce que tu en sais ? Tu n’as pas honte ! Je lui répondis.
Non, devant une femme aussi belle, je ne peu rester qu’admiratif !
Allez va rejoindre ma fille, c’est plus en rapport avec ton âge.
Je pense qu’à choisir, je prendrais plutôt la mère, votre belle poitrine n’a rien à voir avec les deux obus de votre fille.
Part ! tu me gênes.
Si votre sensibilité est en rapport avec vos bouts de seins qui pointent, je pense que cela ne vous déplaît pas.
Je n’ai pas l’habitude de m’exhiber devant des jeunes hommes !
Ah bon, vous ne faites ça que devant les vieux messieurs, vous avez tort, vous auriez un succès fou ! Inclinant la tête, pour me montrer une bosse énorme à travers son pantalon de toile.
S’il te plaît part ! !

Partant en marche arrière, pour continuer de me mater, il s’embronche dans la petite marche de la terrasse et se retrouve les quatre fers en l’air. J’éclate de rire à mon tour et j’en profite pour m’enrouler dans une serviette, il me semble que mon abricot à l’air humide.
J’ai évité avec beaucoup de soin de le rencontrer, les jours qui suivirent cet incident malheureux.

Plusieurs semaines après cet incident, nous sommes partis en week-end avec ma fille et mon gendre, au camping de Ste Maxime dans un mobile home. Les plus jeunes, sont partis direct à la piscine, pour retrouver leurs copains, ma fille m’a proposé de les accompagner à la plage. Connaissant les goûts pour le naturisme de ma fille, j’ai préféré refuser. Je suis partie de mon côté, à la plage du camping, où j’ai pu faire bronzette seins nus.
Lorsque je suis rentrée toute la troupe était déjà là. Les petits et ma fille aînée sont partis aux douches communes, mon gendre étant déjà sous la douche.
Alors que je rentrais dans le mobile home, il sortait de la douche, me voyant, il a souri et m’a demandé de lui apporter sa serviette qu’il avait oubliée sur le lit. J’avoue qu’au repos, son sexe était déjà long, plus long que celui de mon mari et ex-amant en érection, j’avais eu du mal a tourné mes yeux autre part. Alors que je lui tendais sa serviette, son sexe était en semi-érection, il commençait à prendre de belle proportion ! Il m’attrapa la main, m’attira vers lui et m’embrassa. Devant toute cette fougue, surprise, j’essayais maladroitement de me dégager, il me serra fort contre lui, me fit pivoter, dos à la paroi, j’étais coincée. J’essayais de me dégager en le repoussant, mais avec sa poigne il arrivait à me maintenir contre la paroi, sa langue essayant à tout pris de prendre ma bouche. Son sexe en pleine érection venant battre contre mon ventre, je lâchais la serviette, j’essayais de le repousser. Il était ferme, mais doux en même temps. Mon corps commençait à réagir positivement à ses caresses. Il a continué à m’embrasser dans le cou, puis il est revenu vers mes lèvres. A ce moment là j’ai craqué et je répondais à son baiser. Je pris son sexe dans ma main pour commencer à le branler. Cela faisait tellement longtemps que je n’avais pas ressenti ce désir. Sa main a lâché mon poignet pour s’emparer de mon sein, alors que son autre main était déjà dans mon maillot, titillant mon bouton d’or.
On s’est branlé mutuellement, sauvagement, en peu de temps il a joui sur mon tee-shirt, alors que peu de temps après je l’ai rejoint dans une jouissance que je n’avais jamais connue. Tremblante de toute part, je l’ai laissé m’enlever le tee-shirt, puis mon haut et mon bas de maillot. Il m’a embrassé tendrement, il est descendu doucement vers mes seins, il a pris en bouche mes tétons qui étaient déjà bien ériger, il les a aspirés, lécher, sucer, puis il est descendu doucement vers ma toison, me complimentant sur le fait que je n’étais pas rasée. Il m’a léché et aspiré mon bouton, pendant qu’avec ses doigts il me fouillait le vagin, j’ai mis peu de temps pour lui jouir dans la bouche, ni mon mari ni mon amant ne m’avait jamais fait ça !
J’ai repris mes esprits, je l’ai mis en dehors de la salle de bain et je me suis douchée.
Toute la soirée il n’a pas arrêté de me faire du pied sous la table, profitant du moindre moment ou nous étions seuls à l’intérieur, pour me caresser les fesses, les seins. J’étais entièrement à sa merci.
De retour à la maison, j’ai réfléchi à ce que j’avais fait, sous l’impulsion d’un démon intérieur oublié depuis longtemps, ce n’était pas flatteur pour moi.
Le lundi je reçus un bouquet de fleur magnifique de sa part. Le mardi une boite de chocolat avec une invitation à déjeuner. Après hésitation je n’y suis pas allé. Le mercredi, j’ai reçu un bouquet de fleur, avec une invitation à déjeuner. Il m’a appelé, mais je ne l’ai pas pris et je ne suis pas aller à son déjeuner. Le manège a duré un mois, j’ai tout fait pour l’éviter, même à la maison je prétextais du travail ou autre chose pour ne jamais être là
J’avoue que ce qu’il m’avait fait, m’avait secoué.
Entre-temps mon gendre m’avait offert un sexetoy pour mon clito, « un lapin pour me faire du bien », comme il dit. Je l’utilise régulièrement, j’avais de grande jouissance à chaque fois. Cela faisait six ans que mon corps de femme était en sommeil, une folle incartade l’avait réveillé.
Après trois mois de sollicitude, alors que je pensais qu’il allait s’essouffler, mon gendre à décider de passer la vitesse supérieure.
Un jeudi après-midi, alors que j’étais seule à la maison, les s à l’école, le mari au travail, tranquillement à la maison, je me délassais en peignoir, dans ma chambre, devant la télé. Je regardais un film, mon imagination s’égarait j’ouvrais en grand mon peignoir et je me caressais le clito d’une main, la poitrine de l’autre, les jambes bien écartées, j’accélérais le mouvement puis, je ralentissais. Je ne voulais que cela dure longtemps. J’utilisais mon sex-toy sur mon clito. Après de longues minutes de ces caresses infernales, je fermais les yeux car la jouissance arrivait. Je sentais une présence, mais je pensais que c’était ma libido ou le film, cela m’a excité encore plus, j’ai joui très fort.
En ouvrant les yeux je vis mon gendre devant moi, nu comme un vers en train de se masturber. Il s’est approché de moi, j’étais rouge pivoine, il est resté droit devant moi, n’en pouvant plu, je me suis approché j’ai pris son gros membre dans ma bouche et je lui ai pompé la queue jusqu’à ce qu’il me crache sa sève sur mes seins. Il m’a félicité pour ma performance, m’a embrassé à pleine bouche et il est descendu vers mon puits d’amour qu’il s’est mis lécher. Il m’a introduit un doigt dans la chatte puis dans le cul. Je lui ai dit que j’étais vierge de ce côté là et qu’il fallait être très doux. Il ma lécher et aspirer le bouton, j’étais comme folle, il m’a pénétré avec deux doigts dans chaque orifice, il m’a fait jouir, jouir, jouir. Son sexe ayant repris de la vigueur, il s’est mis une capote et l’a introduit dans mon sexe trempé, qui attendait d’être honoré depuis si longtemps. Il m’a prise avec beaucoup d’intensité, avec un va et viens très rapide, puis il m’a retournée sur le lit, mis à quatre pattes et il m’a prise, en levrette. Je n’ai pas résisté longtemps à ce traitement de choc et il m'a encore fait avoir un orgasme titanesque. Il m’a remise sur le dos, il a retiré sa capote et il est venu se glisser entre mes seins, se branlant avec énergie au milieu de mes globes, il a joui en m’envoyant sur le visage son sperme. Pendant que je récupérais, il m’a demandé si j’avais des petits secrets. Il m’a dit que ma fille pensait que le sexe et moi c’était fini depuis longtemps.

Sa performance m’a mise dans tous mes états, comment est-ce que j’ai pu me passer depuis si longtemps d’un tel bonheur. Je suis devenu folle de son sexe, et nos après-midis sont devenus régulières, il est très inventif et en peu de temps il m’a fait découvrir des choses inconnues, comme le cunnilingus, l’exhibitionnisme ou la sodomie qu’il pratique régulièrement avec mon gode dans la chatte, pour me préparer à la suite, me dit-il.

Nous, nous voyons souvent à l’hôtel, ou nous pouvons donner libre cours à notre passion. Il ne pouvait pas s'empêcher de me faire l'amour non sans m’avoir longuement léché le minou. Ça me rendait folle, mon mari ne s’étant jamais exécuter sur cette caresse précise.
Il m’a récemment prise debout, il faut dire qu’il est particulièrement costaud. Alors que nous rentrions dans la chambre, il m’a embrassé et déshabillé sur le pas de la porte, il m’a soulevé avec ses bras, il m’a collé contre le mur, tout d’un coup j’ai senti sa main se glisser sous ma jupe, me caressant les fesses. Ce geste me fit mouiller comme une folle, j’ai senti son majeur venir titiller mon bouton, puis son pouce prendre possession de ma chatte. Il me fit monter et de ses bras musclés me fit descendre jusqu’à m’empaler sur son sexe en érection. Il me fit aller venir sans discontinuer pendant un long moment, et je ressentis une décharge électrique comme jamais je n’en avais ressenti, mon gendre me faisait jouir entre ses bras. A la limite de l’évanouissement je le sentis jouir à son tour et je crus qu’il m’avait explosé mon minou.
Il m’impose maintenant de mettre des strings ou rien, c’est très excitant, mais parfois c’est un peu gênant.
En voiture, il profite tout le temps pour me caresser les cuisses, il en profite même pour me doigter et me faire jouir, il est terrible et surtout très efficace. Sur l'autoroute, il me demande de m'exhiber, chemisier ouvert et jupe enlevée pour le plaisir des routiers. J’ai un peu hésité au début, mais comme d'habitude il a su trouver les arguments pour me décider. Je lui ai même fait une pipe en roulant.

Un soir nous sommes sortis en boîte, avec ma fille, très étonnée de ma présence et des amis à eux. Nous sommes d’abord allés au restaurant où il n’a pas arrêté de me faire du pied, il a glissé son pied entre mes jambes, cela lui a permis de vérifier que je n’avais rien sous ma jupe. Pendant que ma fille était aux toilettes il a même profité de me pénétrer avec son gros doigt de pieds, il faut dire que je m’étais avancé sur le rebord de la banquette pour lui faciliter la tâche.
Nous avons rejoint leurs amis à l’entrée de la boite, une bande de black, que des mâles. Là il m’a présenté, Sam, un grand black qui est son ami d’enfance et avec qui, il partage tout, me glissa-t-il à l’oreille. Sur l’instant, je n’ai pas ment compris ce que ça voulait dire.
Au cours de la soirée, alors que je dansais avec mon gendre, je me suis aperçu que Sam, à côté de ma fille sur la banquette, était vraiment très collé à elle avec ses copains, et à certain moment ils avaient leurs mains qui baladaient, sur sa poitrine, ses jambes, son entrejambe, elle ne portait pas de culotte, par contre elle était rasée complètement.
Mon gendre avait l’air d’apprécier la situation. A un moment, il m’a attiré vers lui, on s’est dirigé dans un coin plus sombre, loin des autres, il m’a embrassé et il a commencé à me caresser. Le dos, les fesses, les cuisses, l’entrejambe, mon clito, c’était très excitant de se faire caresser, alors qu’il y avait du monde pas loin. Il m’a pénétré avec deux doigts, m’embrassant à pleine bouche, le pouce s’agitant sur mon clito. A ce rythme infernal, je n’ai pas mis longtemps pour jouir. Il m’a alors mis la main sur l’épaule, pour me faire comprendre ce qu’il désirait. J’ai ouvert se ceinture et sa braguette, je me suis accroupie, et j’ai pris son sexe en bouche. Ma langue allait et venait autour de son gland pendant que ma main le masturbait, j’accélérais le mouvement pour que cela ne dure pas trop, mais étonnamment il résistait. J’ai mis ma bouche pratiquement jusqu’au bout de sa verge, je l’ai aspiré comme si je le tétais, il a joui dans ma bouche.
Je lui ai dit que j’allais aux toilettes pour me réajuster. Là, dans les toilettes du fond, pas tout à fait fermée, une femme et un homme faisaient l’amour. Je me suis lavé les mains et rincée la bouche. Vu les bruits de sucions la femme tirait une pipe au mec. Excitée comme j’étais, je me suis approchée, comme je ne voyais pas bien j’ai entrouvert légèrement la porte, et là stupéfaction, ma fille était en train de sucer Sam, qui visiblement avait une queue encore plus longue et plus épaisse que mon gendre. Il me regarda et me sourit, très content de pouvoir me montrer son sexe. Je suis devenue toute rouge et je suis partie. J’ai raconté à mon gendre ce que j’avais vu, il m’a répété qu’il partageait tout avec Sam, et que ma fille appréciée son gros bâton noir. Devant mon étonnement, il m’a dit que si je voulais, je pourrais en profiter aussi.
Ma fille et Sam sont revenus peu de temps après l’air de rien. Une série de slow a commencé, mon gendre et ma fille sont partis danser, au moment ou j’allais m’asseoir, Sam m'a invité à danser. Nous, nous sommes retrouvés sur la piste. Il me serrait de près, ses mains me caressaient le dos, puis descendait peu à peu, je lui ai remonté ses mains, en lui disant que je n’étais pas du tout d’accord. On a continué à dansé, il s’est collé un peu plus, j’ai pu sentir sa verge en érection se frotter contre mon ventre, je me suis moi-même frotter à lui, mais je suis resté inflexible, je n’étais pas d’accord, même très excitée.
Pour le retour mon gendre m’a demandé de monter avec Sam, car il était seul. Il a bien essayé en route de me caresser les cuisses, il avait une grosse bosse que je voyais très bien à travers son pantalon, mais je n’ai pas accepté toutes ses avances, malgré l’envie qui me prenait le ventre de prendre cette queue dans ma bouche. Je n’allais quand même pas me jeter dans les bras d’un inconnu sous prétexte que mon gendre l’avait décidé. Arrivée devant chez moi, il a baissé son pantalon sa queue noire à jaillit et à percé l’horizon, énorme. Il m’a dit, si tu ne me suces pas je sors à poil et je fais du bruit pour que tes voisins me voient devant chez toi… Cette queue noire, je l’ai empoignée et je l’ai sucée, elle était belle dure longue et épaisse, c’était très agréable, ma main montait et descendait et il y avait encore de la place pour que je gobe le début de sa queue, son gland perlait de bonheur, après 5 bonne minutes il m’a jouis dans la bouche et m’a remercié, en me disant que ma bouche pulpeuse était aussi habile que celle de ma fille.
à suivre....

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