Découverte De L'Homosexualité Masculine

Le petit bois
Pour renter de l’école j’étais obligé de passer par un petit bois. A cette époque, j’étais adolescent, je commençais à regarder les filles, comment il faut embrasser, on en parlait entre copains, comment se branle, qu’il fallait se branler pour que du sperme jaillisse de ma bite. En cachette de mes parents je me branlais tout les soirs dans les toilettes, le plaisir montait en moi et un soir une gicler de sperme inonda ma main et la porte des toilettes, j’étais fier et heureux.
Un jour que je rentrais plus tôt de l’école, un homme en costume, pissait le long d’un arbre.Quand je suis arrivé à sa hauteur, il s’est tourner vers moi la bite a la main, j’avais déjà vu les bites de copains, mais celle la étais plus forte, droite comme un I majuscule et le gland violet sans peau autour. Surpris je me suis arrêté, je ne pouvais détacher mes yeux de se sexe, l’homme fit monter et descendre sa main sur ça queue, me sourit et s’éloigne.
Trois jours plus tard il flânait dans le chemin, quand je suis arrivé à sa hauteur je n’ais pu m’empêcher de regarder sa braguette, il ma sourit, s’est caressé le sexe a travers le pantalon en me regardant dans les yeux et a continué sont chemin.
Apres quelques pas, je nais pu m’empêcher de me retourner, il continuait son chemin. J’ai pris l’habitude de le croiser dans le petit bois, à chaque fois il me sourit en se caressant le sexe a travers son pantalon, ou il est derrière un arbre entrain d’astiquer sa bite.
Puis un jour, il ma dit « suis moi » il s’est dirigé vers des buissons, curieux je l’ai suivit jusqu'à l’intérieur un buisson, il ma regardé en souriant, s’est approché de moi, ma pris par la taille, ses lèvres ont effleurées mon cou, puis elles sont remontées sur ma joue il m’a embrassé sur la bouche, j’avais la chair de poule, des frisson me parcouraient tout le corps, cru que j’allais m évanouir.
Il s’est écarté de moi et m a dit « a demain »
Le lendemain j’ai scruté les buissons, mais je ne l’ai pas vu, c’est quelque jour plus tard qu’il a quitté le chemin loin devant moi et s’est dirigé vers les buisons.

Je le suis a bonne distance, il s’enfonce plus profondément dans le bois, longe un grillage passe a travers un trou se dirige vers une cabane de jardin abandonné ouvre la porte et disparaît. L’intérieur est sombre, je le distingue a peine, puis plus du tout quand il referme la porte. Je sens sa bouche sur la mienne les mêmes frissons me parcours le corps quand sa langue entre en contact avec mon palais je me sens mollir mes bras entourent ses épaules.
Ses mains caresse mon sexe, il me repousse un peu, ces lèvres abandonnent ma bouche.
Il ouvre ma braguette, dégage mon sexe et me branle avec douceur, j’aime sentir ces doigts
sur mon sexe, mes jambes deviennent moles, je jouis avec violence.
« C’est bien » il me sourit et disparaît.
Je ne connais rien de lui sauf qu‘il a 40ans, qu’il est très doux avec moi, Je le retrouve toujours avec plaisir. Le plus souvent dans un vieux fort abandonné, là il me demande de me
déshabiller, il pli mes affaires, lui reste toujours habillé le sexe et les couilles hors de son pantalon. Je reste nu devant lui et attends qu’il me prenne dans ces bras, qu’il m’embrasse me caresse.
Souvent il s’approche de moi le sexe tendu le glisse sous mes couilles et le fait coulisser entre mes cuisses tout en m’embrassant. J’aime sentir ce sexe raide, doux, et chaud coulisser entre mes jambes. Quand sa liqueur inonde mon entre cuisse, je suis ravi de lui donner du plaisir.
J’aime moins quand il dit « Tu as un beau cul » et qu’il me claque le derrière et rigole.
Parfois il me demande de m’allonger sur le ventre, il masse mes épaules, puis son sexe
coulisse le long de mes cuisses il me branle doucement en me flattant jusqu’à ce que je jouisse. Ou bien, il se tien derrière moi fait coulisser entre mes jambes son gland qui écrase et arrose mes testicules, tout en me pinçant les tétons et me branlant
De temps a autre il me propose de l’argent ce que je refuse vexé ou il me fait de petits
cadeaux.

Ces rendez-vous secrets nus en pleine nature m’existe, de donner du plaisir a cet homme me
rends euphorique De temps en temps il me suce et me demande de le branler. J’aime faire glisser ma main sur cette tige dure et chaude, sentir sa liqueur visqueuse glisser entre mes doigts, l’entendre gémir de plaisir.
C’est dans cette position, qu’un bruit nous fait sursauter, il se rajuste prestement me dit
« rhabille-toi » et disparaît.
Je n’ai pas le temps de me rhabiller qu’un jeune homme vêtu d’un blouson noir clouté, avec
des chaînes autour du cou me regarde.
« ôte tes mains que vois ta bite » « tu as quel âge ?»
Je ne sais pas pourquoi’ je lui dis 18 ans !
« tu ne les fais pas » « je ne vais pas te demander tes papiers »
il met son pied sur mes affaires « je t’ai vu avec le vieux tout à l’heure »
« si tu les veux »
« tu te montre bien gentil »
Je me trouve grotesque devant cet inconnu, qui me regarde sévèrement.
Il me fait peur.
« A genoux ! Sort ma queue ! »
Pris en flagrant délit, je me sentais pour la première fois idiot et coupable.
« Aller PD a genoux » il sort de son pantalon une bite fine et longue et
m’oblige a me mettre a genoux en me tirant les cheveux.
« Aller PD suce »
Son gland appui sur mes lèvres.
« Suce »
Malgré mon dégoût j’ouvre la bouche et englouti son gland.
Elle est bonne ma queue ?
Il me tire les cheveux et enfonce son gland au fond de ma bouche.
« Pompe, pompe salope »
Son gland passe ma glotte, j’ai des hauts de cœur, des larmes au yeux mes lèvres touche son
ventre je suffoque.
Il me laisse reprendre mon souffle.
« Suce l’a a fond salope » il prend ma tète entre ces mains et fait aller et venir ca bite dans ma gorge.
Je ne sens plus mes lèvres, un jet chaud, âcre envahi ma bouche surpris, je m’étrangle.
« Avale, avale PD » « C’est bon? Il m’oblige à avaler sa liqueur jusqu’à la dernière goutte Il essuie son gland sur mes joues.

Je crois en avoir fini mais il me demande de me lever et de m’allonger en travers d’un tronc.
J’essuie ma bouche, et m’allonge soulagé, le contact rugueux du tronc contre mon ventre me
procure du plaisir je bande.
« Tu as un beau cul » « relève le un peu »
Tu aime montre ton cul ? « oui »
« Remonte un peu que je le vois bien »
Il me caresse les fesses je me détends.
« Cambre-toi » « c’est ca » « encore un peu » « C‘est très bien »
Ca te plaît ? « Oui »
Je ne pense à rien ces mains écartent mes fesses je me laisse aller.
« Tu veux que je te la lèche la pastille ? » Je n’ai pas le temps de répondre que sa langue
remonte ma raie et titille ma rondelle.
C’est très agréable. Je ferme les yeux, tout à mon plaisir.
Ces mains écartent un peu plus mes fesses, un tison ardent déchire ma rondelle.
Epinglé comme un papillon je ne peux plus bouger. Je cri ma douleur. Les fesse écartelées par ce pieu de chair.
« C’est ça gueule ! »
« Mais écoute »
« Tu te promène à poil ! »
« Tu me présentes tes fesses ! »
« je me dis, il veut se faire péter la pastille »
Il saisit mes hanches et commence à aller et venir, a chaque il s’enfonce un peu plus.
« La première fois ça fait toujours un peu mal »
Détends-toi ! et ça ira mieux !
Je griffe le tronc d’arbre, je cris, j’hurle, ce qui existe encore plus mon bourreau.
Tu la sens bien ma queue ?
« Je vais t’élargir la rondelle » « après ça va coulisser tout seul »
Ca te change des vieux ? T’as mal a ton petit cul ? Ca va se passer !
Son ventre écrase mes fesses, une main glisse le long de ma cuisse et saisit mes couilles.
Il reprend son va et vient. Anéanti par ces assauts vigoureux. Je gémis.
Tu prends ton pied ? J’aime tes petites couilles d’enculé ! C’est ça relâche tes muscles que je t’encule a fond !
Il sort sa queue et d’un coup la plonge jusqu’à la garde dans mes reins.

Je sens plus ma rondelle je ne pense qu'à ce gland qui cogne le fond de mon rectum avec une
régularité de métronome.
Tien prend ça dans cul ! Et encore ça !
Mon cul n’est plus qu’un brasier, Honteux de ma faiblesse je jouis.
Il me presse les couilles enfermées dans ça main jusqu’à la dernière goutte. Il exulte. Putain je joui ! Il s’écroule et reste un long moment immobile. Je sens son souffle sur ma nuque, je n’ose pas bouger puis il se retire. Je reste cloué au tronc d’arbre il me donne une petite tape sur les fesses.
Tu en veux encore ? Aller retourne-toi ! C’est fini !
Je me retourne ça bite est toujours raide, il retire la capote et y fait un nœud.
Je vais la garder en souvenir de ton petit cul !
Tu veux tes vêtements ? Et bien vient me lécher la bite enculer !
Avant tu étais un PD ! Maintenant tu es un PD qui s’est fait enculer !
Mieux un PD qui joui quand on l’encule ! Méprisant lèche-moi la bite et casse toi. J’ai pris
son gland dans ma bouche il avait un goût mélangé de plastique et de sperme et je lai sucé. Il m’a tendu mon pantalon. Tu n’as plus besoin de slip ! Casse toi enculé !
Je suis rentré chez moi rassuré que mes parents et copains ne remarquent rien. Trois jours plus tard je suis retourné au même endroit.
Un homme était la, il m’a regardé il a passé sa main sur sa braguette et dit "suis moi."
Je lais suivi avec appréhension dans un fourré sans un mot il a sorti sa queue, baissé mon
pantalon ma enculé et il est parti.
J’étais déçu mais rassuré de ne pas avoir eu mal.

KADO...

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