Le Vieux Cochon Nous Raconte. (1)

Lorsque nous avons quitté le gîte rural de Hub et MT, le père Antoine qui était venu pimenter notre première soirée, avait donné son n° de tel à Jeanne en lui disant que si nous le voulions nous pourrions revenir le voir sans en parler à nos hôtes du gîte, il lui promettait que nous ne serions pas déçus.

De retour à Paris, Jeanne me dit qu'elle avait bien envie de retourner voir le père Antoine, car elle avait beaucoup aimé ses pratiques perverses et son sexe noueux et si épais.

Quelques semaines plus tard, nous avions l'occasion de prendre deux jours de congés collés à un week-end, je téléphonais au père Antoine qui nous dit que nous serions les bienvenus, mais qu'il ne fallait pas s'attendre à trouver le même confort qu'au gîte. En revanche pour la cuisine une jeune nièce par alliance s'occupait de tout dans la maison.

Nous prîmes donc la route de la bourgogne ce samedi matin et vers midi nous étions devant la ferme du père Antoine. Entrés dans la cour nous fûmes accueillis par une jeune fille de 18 ou 19 ans qui nous dit être la nièce du père Antoine qui l'avait chargé de nous recevoir.

Elle nous fit entrer dans une grande pièce comme il y en a souvent dans les fermes, une grande cheminée au fond, au centre une grande table rustique et de chaque coté un banc, avec une chaise à chaque bout. Le coté rustique de la bâtisse ne peut nous échapper, mais quand on connaît Antoine cela va très bien avec le personnage.

La jeune fille qui est ravissante, a un visage de madone, mais de la façon dont elle nous reluque laisse deviner que le vieux a déjà du faire son éducation, elle est aussi grande que Jeanne avec des petits seins en poire qui pointent sous sa légère robe d'été. Lorsqu'elle passe devant nous pour nous montrer la chambre nous voyons en transparence dans la lumière ses jambes longues et fuselées au travers de sa robe.
Il me semble même deviner qu'elle est à poil dessous, en tout cas aucun soutif n'enserre sa poitrine juvénile.



Elle déclare d'emblée qu'il n'y a qu'une grande chambre et nous demande si cela ne nous dérange pas de dormir dans la même pièce que son oncle et elle. Je vois immédiatement que la chambre ne possède que deux lits de deux personnes. Devinant mes pensées, elle déclare qu"elle dort dans l'autre lit quand elle est seule avec tonton Antoine mais qu'elle peut dormir avec lui étant sa bonne à tout faire ! ! ! ! !

Lorsqu'elle se penche pour ouvrir notre lit, nous sommes derrière elle et elle nous découvre une adorable paire de fesses qui me font saliver. Jeanne profitant aussi de la vue, s'approche de Claire (c'est son prénom) et lui met carrément la main au cul, lui passant le tranchant de la main entre les fesses. Claire se retourne et lui roule une pelle à lui décrocher les amygdales.

Elle se recule ensuite, nous demandant d'attendre tonton Antoine qui ne serait pas content que nous commencions sans lui, il ne va pas tarder, il est parti au marché pour faire le ravitaillement.

A ce moment nous entendons la voix grave du maître des lieux qui signale son retour.

Pour dire bonjour à Jeanne il ne s'embarrasse pas de préliminaires, il lui roule un patin et remonte sa jupe pour vérifier si elle est bien venue avec l'abricot qui l'avait tant fait bander lors de notre dernière visite.

Il déballe ensuite ses courses qui se composent de fruit et légumes, tous ou presque de forme phallique et de grosseurs différentes. Nous voyons Claire saliver devant cet étalage, je devine qu'elle est aussi végétarienne ! ! ! ! !

Nous retournons dans la salle et commençons à discuter à batons rompus, la discution dévie vers le sujet qui nous a amené ici, le sexe. Le père Antoine nous dit alors que plus tard après déjeuner et après nous être dit bonjour correctement, il nous racontera ses frasques de jeunesse et après.

Cela fera l'objet de la partie 2.

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