La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1411)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1405) -

Puis, le Maître fixa ma laisse au collier à mon cou et m’entraîna vers le Château … à une allure assez soutenue et nous nous dirigeâmes jusqu’au perron du Château où aux travers des hautes fenêtres, je devinais le hall d’entrée parfaitement éclairé. Monsieur le Marquis héla son Majordome pour savoir où en était les préparatifs de Sa soirée et si tout se passait comme Il l'avait exigé précédemment. Walter arriva ainsi promptement :

- Alors mon bon Walter, ou en sont les préparatifs, tu sais que Mes soirées sont très attendues et appréciées par tous les membres de notre Cercle. Je reçois du beau monde ce soir, Monsieur le Préfet, Monsieur le Sénateur et le commandant des pompiers ainsi que de nombreux notables triés sur le volet. Je ne peux donc pas me permettre de les décevoir. Je te fais entièrement confiance pour que tout soit prêt à temps. Tu sais qu’à tour moment, tu peux sévir pour que Mes Exigences soient respectées afin que tout soit prêt à temps… Par ailleurs, est-ce que ma commande a pu être livrée à temps, pour la soirée ?... Si oui, mes invités et Moi-même pourront ainsi bien se distraire. Tu n'oublieras pas de préparer mes chiennes et chiens, recommanda le Noble pour conclure

Le Majordome après un silence, prit la parole et Lui répondit avec respect et déférence :

- Monsieur le Marquis, toutes Vos exigences ont bien été respectées. Ne vous inquiétez pas tout sera prêt en temps et en heure, je m'en porte le garant. La livraison de Votre commande est bien arrivée en ce début d'après-midi midi. Tout a été installé dans la salle de réception pour la soirée. J'ai distribué quelques coups de cravache quand certains membres de Votre Cheptel n’allaient pas assez vite ou bien traînaient un peu trop la patte, à mon goût. J'ai fait préparer tout ce qu’il fallait dans la pièce que nous avons convenu. Vos premiers Invités ne vont pas tarder à arriver dans une heure, tout au plus.

Vous voulez peut-être aller vous préparer à les accueillir ? Si Vous l’exigez, je peux m'occuper de votre chienne pour qu'elle soit prête à l'heure, conclut le Majordome d'un ton aimable mais à la fois empli de respect et de considération.

Le Noble tendit alors ma laisse de chienne de Sa main droite à son Majordome puis en s'en allant :

- C'est vrai tu as raison, je n'ai pas vu le temps passer. Il faut que je me dépêche si je ne veux pas faire attendre mes Invités. Oui, prépare Ma chienne …, dit-il en s'éloignant.

Je suivais ainsi Walter étant toujours tenue en laisse à travers les couloirs et les différents escaliers de cette immense et vaste Demeure. Après quelques minutes, nous nous arrêtâmes devant une pièce qui était comme un vestiaire, entièrement carrelée du sol au plafond. Il me laissa ainsi quelques minutes, quitta, puis revint. Je pouvais entendre ses bruits de pas résonnant sur le parquet. Il revint à ma hauteur et exigea d'un ton sec et froid :

- Enfile ce corset la chienne, c'est ce que le Maître veut. Ce vêtement bien serré fera ainsi bien ressortir ta généreuse poitrine de salope et te rendra encore plus excitante. Bien assez parlé, ne perdons pas plus de temps. Mets-toi à genoux, mains sur la tête et ne bouge pas, m’ordonna-t-il d'un ton autoritaire

Je me mis à genoux et le Majordome m’enfila le corset, serra assez fortement le lacet dans mon dos, tout juste pour me laisser respirer. Le corset me moula ainsi d'une manière sublime mon corps de salope faisant ressortir ma poitrine de manière obscène, dressant mes tétons déjà excités et mettant en valeur mon fessier nu et arrondi.

- Voici les Directives pour ce soir. Une fois dans la salle réception au Château, tu devras rester immobile à genoux, sans bouger tant que l'on ne t'aura pas appelée et tant que les convives n'auront pas fini de manger. Après ceci, une surprise et un nouvel objet que Monsieur le Marquis et les Invités se feront un plaisir de tester avec toi, mais tu en sauras plus le moment voulu, rajouta Walter.


Walter tira alors sur ma laisse puis m'enjoignait à le suivre à quatre pattes entre les différents couloirs et les escaliers de ce grand Château. Après quelques instants de progression, nous arrivâmes à la salle de Réception transformée pour l'occasion. Il y'avait bien sûr la longue et massive table ainsi que différentes chaises, mais aussi au milieu de cette pièce, différents carcans. Cette salle pouvait presque ainsi ressembler à un donjon. Je restais immobile à genoux, la tête baissée dans un coin de cette vaste pièce qui commençait à se remplir et après quelques longues minutes, tous les Invités étaient en place. Les plats furent servis les uns après les autres, les Invités échangèrent entre eux dans une joyeuse ambiance festive. Tout en mangeant, certains se faisaient sucer par une soumise ou un soumis agenouillé sous la table. Certaines Dominantes se faisait aussi lécher le sexe par un (e) dominé (ée). C'est alors que le dessert arriva et qu'une fois celui-ci servi et dégusté, Monsieur le Marquis d'Evans se leva et s'adressa à ses Invités qui s'étaient tus pour l'écouter :

- Mes chers amis, si je vous ai invité ce soir c'est pour que nous puissions utiliser Mes chiennes et chiens et les vôtres. Si vous le voulez, sur des carcans que j'ai fait installer dans cette salle de Réception et que vous apercevez. Ainsi, vous pourrez tout à loisir les utiliser, comme vous le voulez, les prendre par les trous ou bien utiliser différents instruments mis à votre disposition pour faire rougir les peaux, dit le Noble d'un air tellement ravie...

Son discours fut accueilli par de nombreux applaudissements. Il appela ensuite son Majordome, resté en retrait pour lui dire quelque chose à l'oreille. Ce dernier hocha la tête et quitta discrètement la pièce. Le Noble debout reprit la parole faisant un geste afin d’inciter les convives à rester assis quelques instants supplémentaires pour qu’on puisse écouter ses dernières paroles avant que les festivités commencent :

- Mais avant que vous soyez, disons actifs, à prendre mille plaisirs physiques et orgiaques avec ces carcans, et afin de digérer tranquillement ce bon repas de Marie, ma cuisinière, je vous propose, avant, une autre distraction où vous serez simplement, disons passifs, un moment, c’est-à-dire juste spectateur d’une délicieuse surprise laquelle je vous convie de suite !

A ce moment-là, Walter revint par une porte dérobée, se rapprocha de moi, tira sur ma laisse de chienne et me sortit de la pièce où, au même moment, j’eu le temps d’apercevoir un immense écran de cinéma se dérouler automatiquement et descendre contre un des larges et hauts murs, alors que toutes les lumières s’éteignîmes.
Une séance de cinéma à laquelle je n’étais pas conviée… du moins, c’est ce que je pensais ! Le Majordome ne m’emmena pas très loin, juste dans une pièce à côté. Voici ce qu’il me dit dans le couloir devant la porte de cette pièce, en me bandant les yeux et avant de me faire entrer dans cette pièce attenante à celle des Invités :

- Je te bande les yeux, et je vais te faire entrer seule dans cette pièce. Tu vas être filmée en direct et vue sur le grand écran par tous les Invités. Tu te déplaceras doucement afin de ne pas tomber et suivras à la lettre les Exigences que tu entendras par les haut-parleurs installés comme les caméras dans toute cette pièce. Soit digne du Maître à obéir à tout ce qu’il t’exigera, n’oublie pas que tu es vue par tout le monde. C’est une espèce de colin-maillard version Domination-soumission que tu es appelée à vivre … Je compte sur toi…

Puis sans un mot de plus, Walter ouvrit la porte, me poussa doucement à l’intérieur et referma derrière moi, me laissant ainsi seule. Aveugle, je tendis les bras en avant et restais un moment immobile quand j’entendis le Noble m’ordonner dans les haut-parleurs :

- Avance tout droit et doucement chienne, et fait attention de ne pas tomber. Dès que tes mains toucheront quelques choses, tu t’arrêteras, tâteras au toucher et feras ensuite ce que je te dirai. Exécution, salope !

J’avançais donc doucement les bras en avant dans le vide. Après avoir fait environ 2 bons mètres, je sentis du bout des doigts un torse nu. Au touché, ce devait être un homme. Je m’approchais doucement pour mieux le toucher et à tâtons je devinais qu’il était debout, immobile et qu’il avait les mains liées dans le dos. Mes mains touchaient son visage bâillonné, puis ses épaules nues (je ne doutais pas une seconde de sa totale nudité), sa poitrine et son ventre, quand …

- Agenouille-toi et suce-le avec avidité. Et ordre de le faire éjaculer dans ta bouche, tu as 5 minutes pas plus pour y arriver, sinon tu seras sévèrement punie.
Et bien entendu tu avaleras tout son foutre de chien soumis.

J’obtempérai, m’agenouillant en me tenant à ses hanches pour ne pas tomber, n’y voyant absolument rien du tout. Je fus surprise de le trouver déjà en érection quand mes mains touchèrent son sexe dressé. Je me doutais alors que ce soumis avait dû être en cage de chasteté assez longtemps pour être si excité à bander si vite à avoir les couilles bien pleines et que le Maître lui offrit une occasion de se vider lesdites couilles. M’activant avec énergie, je le branlais et j’entendis déjà ses gémissements, de plaisirs, étouffés par son bâillon. Je le pris en bouche et fis des va-et-vient avec celle-ci. Il ne fallut pas 3 minutes pour que sa queue vibrant dans ma bouche lâcha son foutre avec abondance et je crus m’ en avaler au fur et à mesure que je sentais le sperme s’épandre dans ma cavité buccale, alors que le soumis râla de plaisirs par des bruits étouffés.

- Bien, continue à l’identique, tu vas sur ta droite, et ainsi de suite et tu fais pareil car il y a au total 5 soumis alignés à 1 mètre d’intervalle à vider leurs couilles bien remplis…

Je m’exécutais de nouveau et réussis à faire jouir rapidement tous les soumis en manque d’éjaculation pour cause d’un préalable et long encagement de leur sexe. Une fois que j’eus avalé l’abondante semence du dernier soumis, le Maître m’ordonna :

- C’est bien Ma salope, maintenant, tu vas à tâtons, te coucher sur le dos au sol. Pour cela, tu trouveras, encore à 1 mètre sur ta droite, un matelas. Tu relèveras les genoux et écarteras bien tes cuisses de chienne en chaleurs. Puis quand je te l’exigerais, tu changeras de position tout en restant bien sur ce matelas. Et ensuite branle-toi et montre bien à Mes Invités, comment tu te masturbes, comment une chienne salope en chaleurs se branle. Une caméra prépositionnée zoomera ta chatte qui apparaitra en gros plan sur l’écran géant afin que l’on se délecte tous, au mieux de ce spectacle. Exécution ! Et donne-toi du plaisir mais sans jouir car le plaisir, celui des yeux, est uniquement pour Mes Invités !

- Une fois positionnée sur le matelas, excitée je commençais donc à me caresser, imaginant les regards vicieux, pervers et gourmands des Invités sur moi, alors que je n’y voyais rien, les yeux toujours bandés. Mon excitation montait crescendo et plus mes doigts branlaient mon réceptif clito, plus je me doigtais profondément, plus j’en bougeais le bassin qui se soulevait avec mes fesses, tellement je me sentais en chaleurs, lubrique, salope, chienne et regardée attentivement. Je savais que je n’étais pas autorisée à jouir et il me fallait redoubler d’efforts pour ne pas céder à l’orgasme, quand la voix du Châtelain retentit de nouveau :

- La même chose, mais cette fois en levrette, chienne.

Je me retournais donc en levrette, relevant mon cul bien exhibé à la caméra que je supposais bien placée pour que les Invités ne ratent rien du spectacle. J’écartais largement mes genoux et recommençais à me branler frénétiquement, comme invitant à venir me prendre, tel un véritable appel à la bite ! Quand je sentis une présence derrière Moi. Je compris que j’allais être pénétrée ainsi sur ce matelas, et sous le regard pervers des Invités. Une volée de fessées claqua sur mon cul arrondi et on saisit fermement mes hanches me tirant en arrière. Puis d’un coup, je senti un énorme sexe me prendre d’un coup de reins vif, puissant, viril dans ma chatte trempée. L’homme me besognait sans ménagement, il n’a à aucun moment fait preuve de douceur, mais plutôt de rapidité inouï dans ses violents va-et-vient profonds, cadencés sans considérer si je prenais du plaisir ou pas. Je n’étais plus qu’un trou, un vide–couilles et rien de plus. Je compris alors qu’il s’agissait là encore d’un soumis en manque venant se vider en moi. Il ne tarda pas à éjaculer au fond de mon vagin. Quand un autre prit instantanément sa place et ainsi de suite. Une dizaine de soumis en manque défilèrent et vinrent me besogner, me baiser telle une chienne de rue, me prendre de la sorte lâchant pour chacun d’eux leur flot saccadé de foutre abondant. L’envie de jouir me tiraillait mais je réussis à tenir malgré cette forte envie de jouissance qui augmentait à chaque saillie bestiale, animale. Une fois le dixième soumis vidé des couilles, il ne se passa rien durant une bonne minute, alors j’imaginais les commentaires salaces des spectateurs dans la salle de Réception. J’entendis la porte s’ouvrir, puis après quelques pas en ma direction, des mains fermes me relevaient et me tiraient à l’extérieur de la pièce. Une fois dans le couloir, l’homme m’enleva le bandeau des yeux et je vis le Majordome qui me fixant droit dans les yeux m’ordonna laconiquement :

- Suis-moi en quadrupédie, salope, dit-il en me tirant par la laisse.

Immédiatement, je progressais à quatre pattes à sa suite et en silence. On entra dans la grande de Réception sous le regard avide des Invités, ne lésinant pas sur leurs propos lubriques me concernant. Puis sans un mot, on s'arrêta au milieu de la pièce, il me releva en tirant sur la laisse et m'attacha au carcan puis s'éloigna. J'entendis comme un brouhaha avec de nombreuses chaises qui bougeaient et des personnes qui se levaient….

(A suivre …)

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