Le Couronnement

J’ai 19 ans et je viens juste d’être couronnée impératrice d’Europe. Depuis bien des décennies le monde a bien changé. Les Etat Unis se sont effondrés à cause de la Chine. Il s’en est suivi une guerre mondiale qui n’a laissé personne indemne. La Chine fut ruinée et la puissance fut récupérée par la Russie. L’Europe, elle aussi fut emportée dans la guerre et dus subir une profonde refonte qui vit l’avènement des impériaux. Ainsi voila trois générations que ma famille règne sur l’Europe.

Depuis que je suis toute petite je suis formatée à la gouvernance. Depuis le début, l’Europe est mon avenir. Mon caractère c’est de me donner corps et âme à ma nation.
A genou devant le Pape à Rome, mon esprit est en effervescence quant il me pose la couronne impériale sur la tête.

Nous sommes en plein été et à part ma couronne, ma cape en hermine et une longue tunique en tulle transparente je ne porte rien. L’empereur doit se présenter nu devant son peuple. Je sors alors de la basilique St Pierre devant une foule en liesse. Près de 20 siècles plus tard nous avions recrée l’empire de Rome.

Après mon discours la tradition veut que je me confesse. Tous cela est en réalité un prétexte mit en place lors de la fondation de l’empire pour que l’église récupère un peu de pouvoir. Mais je m’y plié. Je me retirai dans une pièce discrète de la basilique.

Le Pape m’y attendait. Jean XXXXVI était une jeune Pape. 52 ans, une forme olympique, il avait parfaitement récupéré la tradition impériale pour donner à l’église Romaine plus de pouvoir. Il avait d’ailleurs été élu pour ça car il démontré une énergie considérable à une époque charnière.
Je m’agenouiller une fois de plus devant lui.
« _Pardonnez moi car j’ai pêché.
_Chère Impératrice d’Europe que compte tu faire de ton règne ?
_Tous d’abord je compte stabiliser mon peuple. La guerre laisse encore des séquelles qui doivent être réparer…
_Non, je ne te demande pas ça.

Je connais en partis ton plan politique et je n’es rien à y redire. Non ce que je veux savoir c’est qui tu es vraiment.
_Je ne comprend pas…
_Allons ! Tu pourras suivre tous les programme politique que tu veux, sa ne changera jamais à la pédagogie que tu utiliseras pour mettre ne place ces programmes. Je me demande à quelque point es-tu prête à régner ?
_Je me donnerai corps est âme pour mon peuple !
_Ha oui… Prouve le moi donc, et donne ton corps.
_Que ?
_Déshabille toi !
_Mais !
_Je suis le Pape et je peux toujours déclarer, au sortir de cette confession, que ton âme est trop noir pour gouverner. Alors ? »

Piéger ! Je venais de comprendre à qui j’avais à faire. Je défie donc la broche de ma cape. Je posai soigneusement ma couronne et je défi le nœud qui maintenait ma tunique. J’enlevai mes ballerines et me voila nue. Pour cette cérémonie j’avais été précautionneusement préparé. Parfumé, maquillé, épilé, coiffé, même mon sexe n’avait pas été oublié du fait ma nudité publique.

Je regardais autour de moi et décida de me mettre en position de levrette contre un pupitre dans un coin. Mes cuisses étaient bien ouvertes. Il voulait se servir et je n’avais d’autre choix que de lui obéir si je voulais rester reine. Ma vulve dépassée, bien charnue et mes petites lèvres se laissées a peine voir des deux renflements de ma chaire.
Sa sainteté n’avait pas attendus pour se déshabiller. Il était déjà dans un sacré état, comme près à me prendre à tous instant.

D’abord il posa son gland entre mes lèvres. Il le guidait avec une main pour me caresser pendant que l’autre parcourait mon corps jusqu’à ma poitrine. Pris de frisson il me malaxait d’une main mes tétons dures et de son gland, mon clitoris qui se mouillait un peu plus à chaque passage du sexe pontificale. Ma respiration se faisait petit à petit au rythme de ses mouvements mes mains empoignées le pupitre pour comme y transmettre tous le stresse qui s’évacué de moi à mesure que je m’existait.

Il s’arrêta pour me laisser un répit. Ce ne fut que de courte durée car après son pénis se fut sa langue qui explora le très fond de mon âme. Ses mouvements plus soutenus, cette fois me faisait vibrer contre mon gré. Je me rendis compte que j’étais à sa mercie. Ma volonté entièrement soumise je ne demandais que du sexe, encore et encore ! Ses mains possédaient mon corps me provoquant des frissons qui trahissait l’envie pécheresse de ma chaire voluptueuse.
« _Viens. »
Un seul mot d’ordre et j’étais a ses pieds empoignant son membre pour l’avaler. Je faisais ma bouche charnue et accueillante, ma salive excessive facilitait le massage de mes lèvres le long de son appendice existé. Le goût fort de son sexe me donnait encore plus envie d’être prise. Son sexe bien tendus et bien brillant le rendait encore plus attractif, j’étais véritablement en chaleur devant cet organe à plaisir. Je le voulais !
Ne tenant plus je me relevais pour lui présenter à nouveau mon intimité. Sa sainteté n’en pouvait plus non plus et enfonça directement la totalité de son sexe en moi, brutalement, impoliment. Un flot incontrôlable d’émotion m’obligea à crier, je me rendais compte avec la pénétration que mon intimité était plus que prête pour l’accueillir. Je ne demandais que ça.
Le pénis coulissait en moi allant et venant provoquant toujours plus de frissons et de vibration dans tous mon corps offert et soumis à la volonté de mon dominant. Ma respiration devenait un gémissement. Je m’ouvrais de plus en plus à mesure que son coït me possédait. Ses bourses claquaient sur mon clitoris qui en voulait encore. Jean m’attrapait convenablement aux hanches. Ainsi il contrôlait tous nos mouvements. Il accélérait me faisant frôler l’orgasme puis il ralentissait, me frustrant au plus haut point. Il m’avait réduite en esclave et je ne pouvais rien faire. Je lubrifiais tellement que je sentais des coulures le long de mes jambes. Une telle effervescence de sexe généré des odeurs abondantes et excitantes.
Puis il accéléra encore pour me faire effleurer les étoiles, mon corps répondait érotiquement à tant d’attentions. Je ne cachais plus mon plaisir et gémissais avec libération aux allaient et venus de mon hôte. Mon sexe semblait parfaitement adapter au sien et nous ne formions qu’un dans notre étreinte obscène. Soudain j’eu un éclaire de lucidité. Il fallait que je sois dominante. Il fallais que je lui montre qu’elle impératrice j’allais être. Il fallais que prenne l’initiative ! Il me fallu un grand courage et beaucoup de prise sur moi-même pour stopper les assauts enivrants de mon partenaire. Sa queue était complètement humide de mon liquide. Je sortis cette bitte de moi pour la faire rentrer a nouveau, mais dans mon anus…

Je n’avais pas vraiment l’habitude de la sodomie mais j’y avais déjà était confronté. Sa sainteté participa avec engouement en poussant avec son membre pour forcer que passage que je ne contrôlais pas. Petit à petit je m’ouvrais à lui et il s’enfonçait de plus en plus. Dans mes fesses il me semblait bien plus gros que dans mon vagin. Il était plus dur et moi plus sensible. L’anneau de mon anus se refermé totalement autour de lui alors qu’il était presque totalement enfoncé en moi. Mes ongles s’enfonçaient littéralement dans le bois du pupitre. Mes yeux se fermés, tous mon visage était crispé sous la douleur. Mon corps était tendu et recevait la sodomie avec douleur et bonheur. Le coït recommença alors de plus en plus vite, j’avais l’impression que je l’exister et que ma prise d’initiative lui convenait parfaitement. Peu à peu de l’étreinte la douleur baissait et le plaisir augmentait. Les mouvements plus sauvages de la sodomie avaient peu d’amplitude du fait du resserrement de mon cul autour de lui. J’arrivai à débloquer une de mes mains pour la faire descendre entre mes jambes afin de combler mon clitoris qui réclamer un orgasme. Mes caresses faisaient parfaitement alliance avec la dominance du Pape sur moi. A chaque mouvement de retrait qu’il faisait mon corps sombré dans un délire de bien être et de délivrance.
Mon excitation me provoqué presque des orgasmes à chaque changement de mouvement de sa part. Ma main cochonne brutalisait mon sexe qui en demandait toujours plus de vibrations, frissons, impression, bonheur, bien être je me faisait sauter comme une vrai salope que j’aimais ça ! Mes émotions sont à leur maximum, Je me redresse petit à petit sur la pointe des pieds, mon visage se contracte de plus en plus, mes seins se fond tous dures et frissonneux ma première main broie le bois alors que la seconde violente mon intimité pour lui arraché plus de plaisir encore. Afin mon anus se ressert encore plus autour du pénis du Pape. Ce dernier augmente la vitesse de ses mouvements en même temps qu’il en réduit l’amplitude. Bientôt ce n’est plus qu’une vibration dans mon trou refermé qui emporte mon corps dans la folie d’un orgasme arraché au prix d’une violente libération ! Mon crie impériale est accompagné du ralle de plaisir pontificale. Je sens les giclés de sperme remonter dans mon anus. Le liquide chaud forma une boule en moi qui s’écoula d’un coup entre mes fesses et mes jambes quant il se retira.
La pièce embaumé de sexe et de sperme. Je restais les jambes écartaient jusqu’à ce que tous le sperme qui me possédait se soit écoulait de mon petit trou dans une sensation très gênante.

Je me sentais épuisé la seule chose que je voulais faire s’était dormir. S’était peu être la dernière soumission qu’il m’offrait, car la journée était loin d’être fini.
Nous sortîmes ensemble de la basilique quant il déclara à la foule que j’étais pure !

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