Les Plaisirs Humides

J'ai toujours été troublée par la vision d'un homme qui urine et le bruit des mictions dans les w.c aussi, un jour , mon mari faisait de l'enduis à la maison et a été pris d'une furieuse envie de faire pipi mais comme il avait les mains sales, il m'a demandé de lui sortir la verge du pantalon et de la tenir pendant qu'il faisait, j'ai accepté à cause de l'enduis qu'il avait sur les mains, il a uriné devant moi, au début, gênée, je ne regardais pas mais le jet est partit de travers et j'ai arrosé le sol, c'était aussi à cause de son long prépuce qui déviait la giclée, il m'a dit de le décalotter, ça irait droit, je lui est tiré la peau en arrière et ça coulait mieux mais il s'est mis à avoir une érection, la vision de son sexe bandé et urinant ma excité et j'ai sentis que je mouillais ma culotte.
Les dernières gouttes tombaires et il me demanda de lui essuyer le bout avec la langue, sa queue dure me faisait envie, ma chatte réclamait son plaisir et rouge de honte, je me suis penchée en avant pour le sucer, le goût ne ma pas gênée, au contraire et j'ai même aspiré pour avoir un peu de pipi dans la bouche, lui, a passé sa main sous ma jupe, elle a baissé ma culotte trempée et il m'a doigté le sexe et l'anus, avec ma mouille, un doigt s'est glissé dans mon sphincter et les autres me branlaient, je lui pompais le dard comme une furie et nous avons jouis en même temps.
J’ai eu envie de faire pipi tout de suite après et il m’a regardé faire accroupit sur le sol et il m’a essuyé avec sa langue, il en restait un peu, je lui ai giclé dans la bouche, de le voir recevoir mon pipi, plus son cunni, j’ai jouis une deuxième fois, après j’ai eu honte d’avoir fait ça et il ne fallait pas qu’il m’en parle où je me mettais en colère.
Mais le fantasme est revenu, je me masturbais en cachette en pensant à son jet sur moi et je me suis mise à avoir des jeux uros toute seule, sous la douche ou aux toilettes, je me faisais dans la main en me touchant, j’ai même commencé à prendre du plaisir à faire dans ma culotte mais il me manquait la présence de mon homme et de sa verge dégoulinante, des tas d’images uros me passaient par la tête, je voulais les vivre en vraie et je n’osais pas le lui dire.


Heureusement un jour, il me donna l’occasion d’assumer mon délire, j’étais rentrée plus tôt que prévu du boulot, j’avais une furieuse envie de faire pipi, il ne m’avait pas entendu arriver et je l’ai surpris dans la salle de bain en train de se masturber en léchant un de mes slip sale.
- Tu ne préfère pas boire à la source, je lui ai demandé ?
- Tu le ferais pour moi ?
- Oui, si tu te laisse faire et que tu ne pose pas de questions
- Ho merci chérie, j’en rêve depuis l’autre fois
- D’abord tu me lave la moule avec ta langue, tu vas aimer son parfum, je n’ai pas eu le temps de lui faire sa toilette ce matin, allonge toi à poil par terre.
- Tout ce que tu veux mon amour, et il se déshabille en un clin d’œil, je vois qu’il bande, il se couche à mes pieds.
Je trousse ma jupe, enlève ma culotte qui porte à l’entre jambe, les traces de ma journée à l’hygiène négligé, je suis allée plusieurs fois aux WC et je ne me suis pas essuyée, parfois cette odeur de crevette m’excite pour mes délires masturbatoire et je laisse mes culottes trainer car je me doute qu’il les renifle, celle là est bien pour lui, les deux orifices ont laissé leurs marques, je la pose en évidence sur le sol, il voit son état et se saisit le sexe pour se branler.
- Attend un peu, lui dis-je en m’accroupissant au dessus de son visage, renifle moi ça, une vulve de salope ? le mot « salope » m’a échappé et en même temps, c’est comme cela que je me vois en ce moment, je sais que je suis sale des fesses, que je veux qu’il me lèche et que je vais faire sur lui, je vis complètement mon fantasme.
- Hummm, tu sens bon dit-il, tu sens la femelle en rut, donne moi ta fente à manger.
Je ne me fais pas prier, je lui colle ma chatte parfumée à l’urine sur le nez, je me frotte sur sa bouche, sa langue glisse partout, même dans les replis intimes, il m’écarte les fesses et me lèche la raie, je pousse un peu pour ouvrir mon anus et lui faire profiter de son odeur, ça lui plait, il me rentre sa langue en pointe dedans, quelle sensation exquise une langue dans le petit trou, maintenant, j’ai aussi envie de me faire sodomiser, je pose mes doigts sur mon clitoris et le pince, aussitôt, le besoin de me vider la vessie revient, je le préviens.

- Ouvre la bouche chéri, tu vas me boire jusqu’à la dernière goûte et je pose mes lèvres intimes sur les siennes, je saisis aussi sa tige qui me nargue, tellement dure, je le décalotte et décide de lui caresser le gland presque à sec, je sais qu’avec ce traitement, lui aussi ne tardera pas à pisser.
Je me retiens encore un peu pour que le jet soit plus puissant sur lui, je me courbe en avant devant sa bite, la bouche ouverte pour boire son jus.
Ca y est, je ne me retiens plus et pousse pour faire tout sortir, j’entends le chuintement de mon urine qui sort violement du méat et celui caverneux, de la cascade dans sa bouche, je jette un regard en arrière entre mes cuisses, le liquide déborde, il n’arrive pas à tout avaler, je soulève un peu mes fesses et lui asperge tout le visage, je tremble de contentement, la vision est torride de perversion et d’érotisme , de plus, il vient de me rentrer son pouce dans l’anus et je frotte ma vulve sur son nez et sa bouche, je vais jouir, j’ai un premier orgasme.
Mon branlage à sec sur son gland porte ses fruits, un jet puissant m’éclabousse, je rectifie la trajectoire et l’urine vient dans ma bouche, elle est chaude, sucrée- salée, j’en avale de pleine gorgées, j’ai honte, je suis comme une truie et j’aime ça, j’ai envie de sa queue dans mon cul alors je change de position, me met à cheval sur son bassin, il m’arrose la moule un instant et je m’enfile son dard en pleine miction dans l’anus, je m’empale d’une traite, je veux me faire remplir de verge et de liquide.
Je ne bouge plus, je serre les fesses pour tout garder, je ne pisse plus non plus, ai-je finis où en reste t’il, l’urine me remplie, mon ventre se ballonne.
C’est mon mari qui se met à bouger le premier, il commence à me pilonner la rondelle, sa verge dans mon sphincter fait un bruit de clapot et de sussions, à chaque poussée, le liquide sort de mon anus, nous sommes comme des bêtes, pataugeant dans notre pisse et maintenant se rajoute l’odeur immonde du lavement qui déborde de mon boyau culier, il passe une main entre mes jambes et me doigte la fente en branlant mon clito.

D’un coup, je ne peux plus rien retenir, la jouissance explose de tous mes orifices, des grandes giclées sortent de ma vulve et de mon anus, mon mari crie qu’il éjacule en moi en me ramonant le conduis anal de quelques ruades, nous sommes comblés de plaisir.
Je me relève précipitamment car je sens que mon ventre vas se vider, j’essaye de serrer les fesses pour ne pas faire sur lui et filer aux WC, nous n’en sommes pas encore là, les plaisirs scatos ne sont pas encore un fantasme.

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