Ma Tante N'Est Pas Pudique

Je m'appelle David, j'ai 34 ans et en règle générale, je ne suis pas sexuellement attiré par les femmes mûres. Mais il y en a une sur laquelle je fantasme depuis mon adolescence : ma tante Françoise. Je sais bien que je ne suis pas le seul, mais je pense que chez la plupart, cela doit disparaître avec l'âge. Et surtout son âge à elle ! En effet, quand la tante en question a 35-40 ans cela peut se comprendre, mais 15 ou 20 ans plus tard, cela peut paraître un peu plus étrange. En ce qui me concerne, je fantasme sur elle depuis que j'ai 15 ou 16 ans ! Elle avait à l'époque 37 ou 38 ans et était vraiment bien roulée ! Et depuis, ce fantasme ne m'a pas lâché, et alors qu'elle a 56 ans, j'ai toujours eu envie de me la taper. Mais bien sûr, c'est ma tante et je n'ai jamais osé faire quoi que ce soit pour lui faire comprendre clairement que j'avais envie d'elle. Les seules choses que j'ai toujours faites, ce sont des plaisanteries orientées, des allusions sur un ton de plaisanterie, mais qui l'ont toujours fait rire.
Un jour, il y a peu, je tchattais sur messenger avec elle, et la conversation a abouti sur la pudeur. Son credo était qu'elle était beaucoup moins pudique que moi. Elle avait raison : la nudité est assez naturelle pour elle, tandis que moi je suis un peu plus gêné. Mais je voulais la faire un peu tourner en bourrique… Je vous fais grâce du début mais je vous retranscris telle-quelle la discussion :
Elle : Tu es quand même beaucoup plus pudique que moi !
Moi : Je trouve ça un peu facile pour une femme de dire ça !
Elle : Pourquoi tu dis ça ? Tu sais bien que je ne suis pas gênée par la nudité.
Moi : Certes, mais ce qui est gênant parfois dans la nudité, c'est de montrer son sexe.
Elle : Et alors ? Je ne l'ai pas toujours caché. Je pense que tu as déjà du me voir nue, non ?
Moi : Oui, mais ce que je veux dire c'est qu'une femme nue ne montre pas son sexe, son organe sexuel, qui est caché. Alors qu'un homme nu a les organes sexuels qui sont apparents.

Moi aussi, je pourrais exhiber mes poils pubiens sans être gêné, si mon sexe était caché.
Elle : Je comprends ce que tu dis, mas je pense quand même que tu es plus pudique que moi.
Moi (un peu de mauvaise foi, j'avoue) : Avec les arguments que je t'ai développé, je n'en suis pas si certain.
Elle : Quand même. Combien de fois tu m'as vue nue en vacances, dans la salle de bains, ou quand je me change la porte ouverte ?
Moi : Plein de fois, c'est vrai. Mais Je n'ai jamais vu ton sexe, alors que toi, tu as déjà vu le mien.
Elle : Rarement. En général, tu le caches. Alors que moi, je ne cache rien.
Moi : En général oui, mais c'est déjà arrivé. Et plus je réfléchis, plus je me dis que je serai capable de te le montrer maintenant si nous étions face à face, alors que je ne pense pas que tu sois capable de me montrer ton sexe (et je ne parle pas de ton pubis).
Je sentais bien qu'elle avait une certaine fierté à ne pas être pudique, à l'être beaucoup moins que moi. Alors j'essayais de la titiller afin de voir jusqu'où pouvait aller sa fierté.
Elle : Tu crois ça ? Eh bien, sache que si nous étions face à face, je te montrerais que tu te trompes !
A ce point de la conversation, j'étais super excité. Je ne rêvais pas : ma tante étais en train de me faire comprendre à mots couverts que, pour dire les choses plus crûment, si j'étais en face d'elle, elle se mettrait à poil et écarterait les jambes pour m'exhiber sa chatte ! Je ne pouvais pas en rester là : j'attendais tellement un moment pareil depuis plusieurs années que je ne pouvais pas laisser passer une telle chance. Malheureusement, n'étant pas en face d'elle, il fallait qu'elle garde ça en tête pour la prochaine fois qu'on se verrait. J'ai donc continué :
Moi : Tu veux dire que, si j'étais nu en face de toi, le sexe à l'air, tu serais capable de me montrer visiblement ton sexe ?
Elle : Oui.
Moi : Vraiment ? Tu te rends bien compte que ça t'obligerait à être dans une position pas très "naturelle" ?
Elle : Bien sûr.
Quand je te dis que je ne suis pas pudique, c'est vrai.
Moi : Je serais curieux de voir ça. Pour l'instant ce ne sont que des mots…
Elle : Ce ne sont pas que des mots. La prochaine fois qu'on se voit, je te prouverai ce que j'avance.
Moi : Tu m'affirmes que la prochaine fois qu'on se voit tu me montreras ton sexe ?
Elle : Absolument. Tu verras si je suis pudique !
La conversation a continué encore un peu, mais sans rien de bien intéressant.

Je lui aurais bien proposé de passer la voir le soir même, mais nous habitons à 300km l'un de l'autre : malgré mon impatience, je me voyais tout de même pas dépenser tout ce fric juste pour voir ma tante Françoise écarter les jambes. Même si notre prochaine rencontre était loin.
Pendant quelques temps, à chaque fois que je tchattais avec elle, je refaisais allusion à cette conversation afin qu'elle n'oublie pas, et elle ne reniait en rien sa promesse.
Heureusement, il s'est trouvé rapidement qu'un copain habitant dans le même département que ma tante organisait une soirée pour son anniversaire et m'y invitait. Dès que j'ai eu cette invitation, j'ai contacté ma tante par messenger en lui disant que je passais pas loin de chez elle et je lui demandais si je pouvais passer la voir. C'est elle qui a ramené le sujet en écrivant :
Elle : Toi, tu as envie de voir ce dont je suis capable !
Moi : Évidemment !
Elle : OK. Passe quand tu veux. C'est quand ta soirée ?
Moi : C'est le samedi. Mais si je monte dès le vendredi soir, tu pourrais me loger la première nuit ?
Elle : Bien sûr.

Rendez-vous a donc été pris pour la date en question. Pendant tout le temps qu'il fallait attendre, j'y pensais tous les jours, et je revenais régulièrement sur le sujet avec elle dès que l'occasion se présentait : je ne voulais surtout pas me déplacer pour rien. Je voulais aller chez ma tante pour la voir m'exhiber sa chatte comme promis.

Le jour venu, je me suis enfin rendu chez elle.
Elle m'a rapidement proposé l'apéritif et j'ai vite amené la conversation sur le sujet qui m'intéressait, en reprenant un peu les arguments que j'avais déjà écrits sur messenger. Je me doutais bien que ma tante ne se déshabillerait pas tout de suite pour me montrer son entrejambe, et elle m'a d'ailleurs demandé si j'étais, moi, capable de montrer mon sexe. J'ai répondu que, comme je lui disais sur le tchat, j'en serais capable, et pour prouver ma bonne foi, je lui ai proposé de le faire le premier. Ce n'est pas très naturel pour moi, mais j'étais prêt à tout pour la voir écarter les jambes face à moi ! Alors, comme elle me semblait déjà un peu moins motivée que la dernière fois pour tenir sa promesse, je me suis déshabillé entièrement. D'abord le haut, puis le pantalon et le caleçon pour me retrouver complètement à poil face à elle. Elle a alors immédiatement commencé à se déshabiller également en disant : « Bien. Tu vas voir que je ne blaguais pas du tout l'autre fois. » Elle a enlevé le haut, son soutien-gorge, puis le bas, et enfin son slip pour se retrouver également complètement nue devant moi, ce qui me plaisait déjà beaucoup. Puis elle s'est assise dans un canapé face à moi et a écarté les jambes, qu'elle a levées pour poser ses pieds de chaque côté du canapé, ce qui m'offrait évidemment une magnifique vue de sa chatte bien écartée. Et pour la première fois, je pouvais la reluquer sans gêne, et même avec insistance, puisque c'était le but avoué et accepté de ma visite ! Tout en restant dans cette position, elle a dit : « Alors ? » En pensant à cet instant pendant les jours qui précédaient, je m'imaginais me jeter sur elle pour lui bouffer la chatte. Mais à ce moment là, malgré la position plus que provoquante, voire accueillante de Françoise, et la tentation énorme qui me possédait, je n'osais pas : c'était quand même ma tante, et malgré son exhibition, rien ne me prouvait qu'elle en avait envie et que mon geste ne provoquerait pas son indignation. J'ai donc tenté une approche progressive.
J'ai juste répondu : « Alors… Je ne suis pas mécontent d'être passé ! » J’ai souri, puis elle a souri également, et a ajouté : « Tu ne pensais pas que j'étais capable de faire ça, pas vrai? » J'ai répondu : « c'est pas totalement faux. Mais je l'espérais quand même. » Elle : « Tu l'espérais ? » Moi : « Ben oui. Si j'ai fait le détour chez toi, c'était parce qu'on avait eu cette discussion. » Elle : « Mais de toute façon, je l'aurais fait la prochaine fois qu'on se voit. » Moi, avec un sourire : « Mais l'un n'empêche pas l'autre : tu peux toujours le refaire la prochaine fois qu'on se voit ! » Nous avons rigolé, puis elle a dit : « Bon, je ne vais peut-être pas rester comme ça toute la soirée… » Moi : « Pourquoi ? Tu deviens pudique ? » Elle : « Mais non. Je ne te l'ai pas assez prouvé ? » Évidemment, je ne voulais pas qu'elle s'arrête. Au contraire, je voulais même aller plus loin ! Alors j'ai tenté : « Si, un peu. Mais en fait, même comme ça, on ne voit pas si bien que ça ! » J'ai essayé de le dire avec un ton léger pour faire passer la pilule. Elle a répondu : « Ah mais approche ! Tu verras mieux. » Je me suis donc levé et mis à genoux devant elle entre ses jambes. J'étais comme fou et j'avais une énorme érection. Elle m'a demandé : « C'est bon, là ? Tu vois bien ? » Moi : « Ah oui. On ne peut mieux ! » Elle : « Alors ? » Moi : « Alors… Si tu n'étais pas ma tante, je me serais déjà jeté sur toi ! » Elle : « Comment ça ? Tu aimes les vieilles, toi ? » Moi : « Non, mais… Dans une situation pareille, c'est impossible de résister ! » Elle : « Pourtant, tu résistes ! » Moi : « Oui, mais si ça continues, je ne vais pas résister longtemps ! Tu avais raison : il ne vaut mieux pas que tu restes comme ça toute la soirée. » Elle : « Bon, alors je vais changer de position. » Ma tante a alors avancé son bassin plus près de moi, a porté ses mains à sa chatte pour écarter ses grandes lèvres et a dit : « Voilà ! » Moi : « Je crois que je vais m'évanouir ! » Et j'ai commencé à feindre la perte de connaissance en tombant légèrement vers l'avant, en visant le sexe de Françoise. Comme elle n'a pas bougé, ma bouche a atterri contre son pubis. Je suis resté ainsi quelques secondes, et comme elle ne bougeait pas, j'ai sorti ma langue et ai commencé à lui lécher le clitoris. Elle a retiré une main qu'elle a posée sur ma tête, me signifiant que j'étais encouragé à continuer. J'avais tellement espéré cet instant ! J'ai donc bouffé la chatte de ma tante pendant un long moment, en introduisant des doigts dans son vagin pendant qu'elle gémissait de plaisir, puis elle a joui. Je me suis alors relevé pour la pénétrer, puis nous avons baisé pendant quelques minutes. La position que nous avions n'était pas des plus confortables alors je me suis retiré pour l'inciter à se retourner. J''ai pris Françoise en levrette, tout en lui caressant les seins et lui massant doucement le clitoris avec les doigts. Finalement, j'ai joui dans cette position.

Ce soir là, j'ai vraiment pris mon pied.

Nous avons dîné un peu plus tard, puis après le repas je l'ai suivie dans sa chambre pour baiser une autre fois. Cette fois ci, c'est elle qui a commencé en m'attrapant la bite pour la sucer merveilleusement, puis je l'ai incitée à faire un 69. Et nous avons terminé en faisant l'amour sur son lit en tentant de nombreuses positions.

C'était un fantasme, je l'ai réalisé. Mais je suis prêt à le refaire quand elle veut !

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