Le Quotidien D'Anne-Sophie.

Je me levais un matin étourdi par la nuit que j’ai passée avec Eléonore. Quelqu’un frappa à la porte.
« _Entrez. »

Mon père entra, je relevai alors ma nuisette qui découvrait mes seins depuis que j’étais revenu de Russie il ne s’était pas montré. Je lui en voulais pour tous ça, après tous c’était à cause de lui. A son arrivait Eléonore s’agenouilla devant lui par respect et sortit de la chambre sans se rhabiller.
« _Que venez vous faire ici ?
_J’ai une lettre pour toi. De la part de Salantas. Tu n’aurais pas du répondre aux provocations. Tu aurais dû te soumettre.
_Comme vous l’avez fait ?
_Crois-tu que c’était par choix ? Crois-tu que s’était avec plaisir que ta mère a passée toutes ses nuits dans le lit du Tzar ? Alors prend cette lettre et reprend toi l’Europe à besoin de toi ! »

Il me donna la lettre de Salantas et sortit. Presque à ce moment Eléonore revint. Ces derniers temps elle savait que j’avais besoin de soutien et elle passait toutes ses nuits avec moi.
« _Qu’est ce que c’est ?
_Une lettre de Salantas… Il dit que nos communications sont coupées et que notre détachement militaire…Gloups… Notre détachement a été détruit…
_Majesté…
_Amira s’y trouvait… S’était cette nuit l’attaque sur les forces Russe… Salantas m’ordonne de me rendre au palais de L’viv.
_Que comptez vous faire ?
_Y aller ! Je ne veux pas d’une guerre en Europe ! »

Dans mon avion en route pour L’viv, je décidais de déroger à la règle et je m’habillais de vêtements opaques et couverts. Je descendis de l’avion, Salantas m’attendait à la descente contrairement à la dernière fois. Mon regard était sèvres le sien était sûr de lui. En bas je m’agenouillais devant, sans parole attendant qu’il me demande de me relever.
Nous montâmes en voiture. Et je restais silencieuse.

« _Vous vous êtes résignez ?
_Ai-je le chois ?
_Non mais vous auriez pu le comprendre plus tôt.


_Qu’est-il arrivait à mes hommes ?
_Sachez que c’est là le dernier de vos soucis maintenant.
_Qu’allez vous faire de moi ?
_Vous apprendre les bonnes manières jeune effrontée ! »

C’était le soir dès notre arrivée au palais Salantas m’avait montré mon nouveau bureau depuis lequel j’allais administrer l’Europe maintenant. Une grande pièce boisée. Un bureau au milieu.

« _Voici votre nouveau lieu de travail majesté.
_C’est un peu vide…
_Ne vous en faites pas. Par contre je vous demanderai de faire toujours honneur à votre tradition vestimentaire. »

Ce qui voulait dire totalement nue et que je n’avais droit qu’aux bijoux symboliques du pouvoir d’Europe. Salantas avait décidé de m’humilier en public, de faire de moi sa chose, d’avoir à ses pieds l’impératrice d’Europe. Qu’elle honte, je ne pouvais laissé faire ça.

Dans mon désespoir je n’étais pas seule, Eléonore était avec moi, elle partageait ma couche et mes angoisses. Le soir nous discutions pour trouver quelque chose afin de prendre le dessus de la situation. Mais la solution ne nous apparaissait pas et en attendant je devais subir les contraintes du Tzar et m’y plier sans rébellion.

Une fois Salantas nue aussi, arriva dans mon bureau, il interrompue mon travail me fit me pencher sur la table. Je m’aperçue que son sexe était complètement lubrifié et excité. Il le frotta à mon entre jambe et m’enfonça son pénis dans mon anus sans rien dire, sans prendre aucun soin. Ses mains sur mes hanches suffisaient à contrôler mon corps sensible à sa présence.
Mélange de douleur et de tristesse d’abord l’excitation arriva malgré moi très vite mon vagin déversant des flots continus de plaisir entre mes jambes. Je ne contrôlais pas mes gémissements ni les ondulations perverses de mon bassin soumis.
De mon petit trou écartelé je sentais la peau de son pénis puissant, en moi il avait un effet dévastateur sur mes sentiments à vifs.
Mon sexe était excité en sentant les mouvements produits dans mon anus. Je me sentais outragée et violée par sa présence en moi écartée ainsi je n’avais plus de secret pour lui. La douleur persistait mais elle faisait partie intégrante du plaisir à la sodomie, ses mouvements toujours plus hardis ne me permettaient aucun repos, aucune accoutumance à notre acte sexuel. Mes mouvements calqués sur les siens, mon visage baissé et mes mains agrippant mon bureau de toutes mes forces. Mon corps allongé sur la table froide, mes pieds dressaient sur les orteils et mes jambes serraient je ne me débattais pas de l’assaut auquel j’étais e. Mes fesses serrées refermaient mes chairs autour de lui me donnant encore plus de sensations, encore plus de plaisir. Mes lèvres ressées elles aussi étaient frappées régulièrement par les bourses de Salantas. Les vas et viens en moi me soumettaient totalement, son gros pénis prenait toutes la place disponible en mon intérieur je pouvais le sentir palpiter le long de mes parois Je sentais qu’il allait arriver au bout des choses. Ses cris se faisaient plus aigu et exténués et les miens étaient toujours aussi excités et plus soumis.
Attrapant mes hanches solidement il donna quelques violents à coups et mon conduit anal fut remplit de sperme par une succession de giclées chaudes et visqueuses.
Dans son orgasme Salantas s’effondra sur mon dos sous le coup de la fatigue. Il sera immobile soufflant sur mon dos sa respiration haletante. Nous étions trempés et fatigués, je cru qu’il s’était endormis. Je n’osais pas bouger. Son sexe toujours en moi était mou à présent et je pouvais toujours sentir la masse de liquide flasque en moi.
Au bout d’un moment il se leva sans rien dire, sans me regarder comme si j’étais une simple poupée qu’il aurait remplit. Il se retirât et sortit.

A se moment Eléonore rentra dans la pièce le regard plein de compassion. Je ne bougeais pas, j’étais brisée. Elle se plaça docilement derrière moi quant je sentis le bout de sa petite langue parcourir la totalité de mon entre jambe.
Le qui sperme coulait abondement de mon orifice, elle s’empressait de l’avaler pour me nettoyer comme à chaque fois que le Tzar venait me rendre visite.

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