Un Reve De Réalité Exhaussé

Il vous arrive autant qu'à moi de dormir les yeux ouverts, de voir et de sentir ce désir de baiser si fort qu'il en devient presque trop vrai. Nous sommes en été, il fait chaud et humide. Je rentre d'une soirée alcoolisée et ne vie que l'ivresse dans ma chambre d'hôtel. Je regarde un porno en me masturbant doucement comme je l'aime après avoir bu du champagne. Ma main caresse ma verge qui gonfle au battement de mon coeur excité par ce film à la couleur de chair. J'att mes boules et les bercent au gré de la fantaisie de mes mains. Mon pénis demande plus et encore, et comme pour le punir je ne fait que l'effleuré pour rendre mon excitation grandissante. Mon corps est chaud, je le regarde dans le miroir de cet hôtel pourpre. Ca m'excite encore. Je veux me branler. J'imagine que cette orgie à l'écran est bien là en face de mes yeux. Je n'arrête pas de me toucher, mes yeux se ferment alors et comme si à ce moment je ne pouvais plus me contrôler je prends en main mon manche que j'astique avec une ferveur instinctive et soudaine. De mon autre main j'att mes boules me touche le cul et continue ce vas et viens. Puis stop. Je me décalotte, regarde le film enduis mon gland de bave et me caresse excité par ce remue ménage.
Soudain j'ai l'impression que ma main est une bouche, j'imagine alors cette femme qui rêve de se faire prendre. Son vagin humide en demande se répand sur mon corps. Et là j'ouvre les yeux et me rends compte que j'étais en train de dormir bourré comme un coin en train de me faire sucer par une femme. Je suis à mis sommeil et ce viol nocturne nourrit de porno devient de plus en plus fort. Je vois alors cette autre jeune fille arrivée qui me lèche le cul pendant que l'autre s'empale sur moi sans même vraiment me réveiller. Après quelques vas et viens j'ai les yeux bien ouvert et réalise ce qui se passe. Deux femmes sont dans ma chambre à me violer la bite la porte ouverte.
L'avais-je oublié, peut importe. Elles se roulent des pelles, elles se godent pendant que j'empale cette inconnue de toute ma ferveur retrouver.


Les cris de plaisirs exacerbés dans la lumière de la nuit s'annoncent comme une prière hurlante dans la ville appelant ses fidèles. Je prend le gode lui enfonce dans le cul pendant que je la baise, en même temps l'autre me fout sa chatte dans la bouche. Je sens sa chatte, je sens le gode qui touche ma bite a travers sa parois vaginale.
Viens!!!!!! Dit elle et je continu un rythme d'enfer à soulever mon bassin pour porter avec mes hanches ma cavalière au galop.
A la porte un jeune homme passe ébahi par ce spectacle peu commun. La fille qui se gode alors se jette sur l'inconnu et lui suce sa bite sur le palier. Ils viennent très vite se coller à nous, nos mains s'entremêlent dans tout les sens... Il me touche aussi, ne sachant plus qui est qui et peu importe. On ne forme qu'un groupe effleurable à la jouissance proche. J'éjacule je jouis, quelle force quel moment. Mais rien ne s'arrête. A trois dans ma chambre ils continuent. Je fume une clope à regarder ces trois jeunes corps en pleine fusion de jouissance. Une femme choqué passe devant en me regardant à poil mater mes camarade de jeux baiser comme des chiens sur mon lit. J'en rigole encore. Mon ami masculin jouit alors à son tour. On commande une bouteille de champagne ferme la porte. Ne parlent pas. Les femmes ont jouis aussi. Sans mots dire on s'observe. L'une des filles prends la tête du dernier arrivant et la place sur ma bite. Et là tout recommence et une mêlé de langues entrent dans tout les sexes....... Quelle nuit.
Le rêve est proche de la réalité, merci à ces nymphes et cet apollon. Si un jour on me demande où cela s'est passé, je dirais en grèce. Mais quand ?

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