La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1412)

L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1409) -

… c’est Felix qui les tire, et il finit par me jeter par terre comme une merde, aux pieds du Maitre … Je suis allongée par terre sur le ventre, aux pieds du Maitre. Malgré l’envie, je n’ose relever la tête pour Le regarder. Felix m’a jeté dans une flaque de boue, à même le sol et j’ai légèrement relevé la tête pour ne pas garder la face enfoncée dans la terre boueuse et je patiente ainsi, immobile, frissonnant de froid. Je vois le pied du Noble s’approcher de moi, et s’arrêter juste devant ma tête. C’est de Son pied, qu’il m’écrase un peu plus la tête dans la flaque de boue pendant quelques secondes avant de me laisser la relever. Monsieur le Marquis commence à tourner autour de moi et à me parler.

- Une esclave puante, une souillonne si sale et si crasseuse, une véritable petite merde, voilà ce que tu es ! Regarde-toi chienne en chaleur, tu pues le cochon ! Une vraie cochonne tout droit sortie d’une porcherie…

C’est en finissant sur ces mots que le Châtelain pose Son pied sur mon cul, s’appuyant dessus tel un chasseur sur son trophée de chasse, ce qui fait que maintenant, c’est tout le bas de mon corps qui s’enfonce dans la boue. Je ne peux bouger et échapper à ce traitement infligé par le Maitre.

- Bonjour mon esclave salope, en tombant dans cette flaque de boue, tu as éclaboussé et sali Mes chaussures, espèce de sale la chienne. En punition, tu resteras ici le temps que je l’aurai décidé, et tu n’as pas intérêt à bouger ! Il est seulement 8h du matin et nous avons encore toute la journée devant nous, sale souillonne ! Je reviendrai quand bon me semblera, et quand je reviendrai, je te sifflerai, comme je siffle un chien et tu viendras à Mes pieds en rampant pour Me nettoyer Mes chaussures que tu as salies, la sale chienne esclave

C’est sur ces mots que le Maitre tourne les talons et s’en va me laissant ainsi dans la flaque de boue.

Je comprends qu’à nouveau Monsieur le Marquis met mon obéissance absolue à l’épreuve. Je suis allongée aplatie dans cette flaque de boue, et je pue la truie, avec l’interdiction de bouger. C’est avec toutes la difficulté du monde que je reste immobile et ma tête que je surélève légèrement commence à me faire mal, je rêve de la poser, de reposer les muscles de mon cou, mais si je le fais, mon visage en plus de tout le reste de mon corps trainera encore plus dans la boue. Je me sens déjà assez sale, et je le suis, ce qui me fait le plus possible forcer sur mes muscle pour tenir ma tête en l’air, dans l’espoir que le Maitre reviennent, dans l’espoir de pouvoir avoir la chance d'être à Ses pieds, de me doucher. Pourtant rien n’arrive et je suis ici seul, mais je me doute que le Maitre m’observe même si moi je ne le vois pas.

C’est seulement quand je n’en peux vraiment plus que je baisse la tête et mon visage tombe dans cette infâme boue, que j’entends Monsieur le Marquis me siffler, suivi d’un laconique ‘‘Aux pieds la chienne’’. Je me mets donc à ramper dans cette terre boueuse comme exigé par le Maitre jusqu’à arriver à Ses pieds où je me prosterne et commence à lécher Ses chaussures pour les nettoyer. Je ne sais combien de temps je suis restée allongée, mais la boue qui a éclaboussé les chaussures du Noble à commencer à sécher, ce qui rend ma tâche bien plus difficile, et pourtant je prends plaisir à avoir l’honneur de les nettoyer, telle une bonne petite esclave avilie qui a pour seul but de servir le Maitre, et de lui apporter satisfaction et plaisir. Il m’a fallu un bon bout de temps pour réussir à rendre les chaussures du Châtelain propre et j’ai espoir que malgré tout le Maitre et fier de moi, j’en ai la langue toute fourbue et le désagréable goût de terre mouillée s’infiltre dans ma gorge.

- Bien Ma chienne, suis-Moi, on va aller te rincer, ensuite tu prendras une bonne douche. Exceptionnellement, tu auras le droit à l’eau chaude. De plus, je vais te faire servir un ‘bon petit déjeuner nourrissant’ bien mérité et on pourra continuer le reste de notre journée…

C’est un claquement de doigts qui me fait mettre à quatre pattes et suivre le Maitre vers un robinet au long tuyau, pour le jet d’eau, situé dans la cour.
Apres m’avoir rincé abondamment, le Noble me dirige vers une salle de bains, où je prends une bonne douche chaude et salvatrice afin que je sente bon le gel douche à la lavande et en me retirant cette puanteur de truie. C’est donc toute propre que je suis, à quatre pattes, le Noble dans Son bureau où deux gamelles sont situées par terre dans un coin… C’est seulement avec l’autorisation du Maitre que je me dirige vers ces gamelles. Une des deux gamelles est remplie d’eau claire et la deuxième remplie d’une bouille épaisse et nourrissante à base de céréales. Je dois reconnaitre qu’après avoir avalé la nourriture des cochons dans les mangeoires, je me sens chanceuse de manger dans une gamelle. C’est affamée que je commence à laper ma gamelle à base de céréales, je ne m’en rends même pas compte mais je mange vite, pressée de pouvoir servir le Maitre. C’est Monsieur le Marquis, qui comme très souvent, quand je mange trop vite me rappelle à l’ordre, et cette fois-ci, c’est de plusieurs coups de, je ne sais quoi, sur mes fesses arrondies que je suis rappelée à l’ordre.

- Je t’ai déjà dit plus d’une fois de manger doucement, de prendre le temps de mâcher, il va de soi que cette exigence est effective surtout en Ma Présence. Arrête de manger pour le moment …

Sur ces mots, Monsieur le Marquis s’approche un peu plus devant moi et je le vois avec Sa ceinture en main, ce qui me fait comprendre que c’est avec ça que les coups sur mes fesses m’ont été donnés. A quatre pattes, la tête baissée devant le Maitre debout devant moi, je me sens tellement petite, minuscule, et encore plus avec Son regard dominant sur ma petite personne... Et pourtant, en cette position servile, je me sens pleinement à ma place. Je vois le pantalon ainsi que le caleçon du Noble tomber à Ses chevilles, et Son gros sexe dressé tel un I devant moi. Je souhaite le prendre en bouche, donner du plaisir au Maitre, mais je n’ose pas le faire sans Sa permission… Le Châtelain commence à balader Sa grosse queue aux veines saillantes sur mon visage, me donnant encore plus envie de l’avoir en bouche.
Il prend son temps baladant doucement Son épaisse Verge sur toute la surface de mon visage et Il me gifle longuement avec Sa bite en tapant Son Vit sur mes joues. Puis Il dépose Ses couilles sur mon front, je les vois qui pendent juste devant mes yeux et cela me donne tellement envie de les gober, de les lécher, que tout naturellement je sors ma langue le plus loin possible et la lève jusqu’à mon nez dans l’espoir utopique de lécher la base de ses testicules…

Au bout d’un moment, le Noble présente Sa Verge droite devant ma bouche où sans préambule, Il enfonce Son gros sexe dur et long dans ma cavité buccale. Je commence donc à le sucer, j’y mets comme toujours, tout mon entrain dans l’espoir le plus sincère de satisfaire le Maitre, de lui donner le plus de plaisir possible. Monsieur le Marquis passe son bras au-dessus de mon épaule et recommence ainsi à me donner des coups de ceinture sur mes fesses pendant que je le suce, parfois des coups plus forts que d’autres, et ça m’excite tellement. Le Maitre att ma tête et il m’enfonce Sa volumineuse bite bien profondément dans ma gorge, et me maintient fermement la tête ainsi durant quelques secondes en appuyant sur ma nuque. Apres quelques secondes à donner du plaisir au Châtelain, j’espère recevoir Son précieux nectar dans ma bouche. Mais pourtant le Noble commence à se masturber avec Sa mains, pour finir par éjaculer dans ma gamelle encore à moitié pleine.

- Bien, maintenant tu peux continuer à manger, et tu as intérêt à savourer Mon précieux nectar ! Et à manger doucement, salope

Je replonge donc ma tête dans ma gamelle et continue à manger, à laper ma bouillie de chienne, qui maintenant a le gout du précieux nectar du Maitre. Je mange cette fois doucement. Je compte les secondes dans ma tête que je mets à mâcher, et attends quelques autres secondes avant de remettre à manger.

- Bien, Mon esclave salope, c’est ça mange doucement, rien ne presse. Si c’est Ma précieuse semence dont tu as besoin dans ta gamelle pour manger doucement, tu l’auras à chaque repas que tu mangeras au Château, je t’en donne ma parole ! Bien, je retourne travailler et quand tu auras fini de manger tu viendras en quadrupédie te prosterner à Mes pieds et passera sous Mon bureau.
Et je t’interdis de manger vite, car même si je ne suis pas derrière toi, je te surveille la chienne !

C’est sur ces mots que j’entends les pas du Maitre s’éloigner, pour aller s’assoir à Son bureau à quelques mètres pendant que je continue à laper à quatre pattes ma gamelle, pleine du savoureux sperme du Maitre…

Un gros quart d’heure après avoir fini ma pâtée-bouillie, je vais me présenter à quatre pattes devant Monsieur le Marquis et je me prosterne à Ses pieds, passant sous le bureau, comme exigé. Mon cul dépasse de dessous le bureau et mes fesses arrondies offrent une vue imprenable sur mes parties intimes. Alors que je pensais que je devrais le sucer sous le bureau, il en n’est rien, car le Noble, sans un mot, se lève et s’accroupit pour caresser délicatement mon visage avec douceur et tendresse. Je baisse les yeux par pure soumission tout en savourant ce geste d’amour quand ensuite j’aperçois qu’Il présente un carton d’environ 30 cm de chaque côté, au-dessus de ma tête. Le fond de ce carton ayant un trou circulaire étudié pour que je puisse y passer la tête, le Châtelain met donc entièrement ma tête dans ce carton. Je n’y vois plus rien et je peux respirer uniquement par les deux petits trous placés proches de mes narines. Ensuite, Il m’att mes mains placées devant moi et il les menotte solidement. Puis, le Maître vient se placer derrière moi et m’attache chacune de mes deux chevilles à un pied de Son bureau. Me voilà donc menottée, en position prosternée en levrette, un carton me cachant la vue et les chevilles attachées... Position humiliante mais ô combien excitante, je l’avoue.

Quand tout d’un coup, je sens une première fessée qui claque sans ménagement et m’arrache un cri de ‘‘Aïe !’’ de surprise, plus que de douleur. Il s’ensuit toute une série de fessées qui, à ne pas douter font très certainement rougir mon cul. Les fessées qui chauffent mon cul alternent avec des caressent lentes et baladeuses, jusqu’à parfois un fouillage prononcé de ma chatte en feu. Je me sens doigtée dans le vagin, masturbée sur le clitoris, fouillée profondément, caressée les lèvres intimes et fessées sur le cul et ainsi de suite… Mon excitation est alors grandissante quand je sens des coups plus aplatis et plus bruts sur la peau de mon cul déjà meurtrie. Je comprends alors que le Maître utilise une raquette de ping-pong pour frapper mon fessier… Une fois mon cul bien frappé, les coups s’arrêtent et un silence subit s’impose dans mon immobilité totale. De bonnes minutes passent ainsi quand soudain, je sens un énorme godemichet qui se présente entre mes lèvres intimes. Il me parait énorme et je ne sais pas si mon vagin va pouvoir l’engloutir. Le Maître pousse d’un coup le volumineux sexe factice et étant tellement trempée, il entre comme dans du beurre. Il joue avec en faisant des va-et-vient sans modération. Ensuite, il rajoute à chacune de mes lèvres intimes une pince à poids qui me font tordre de douleur mais qui m’excitent aussi. Le Maître passe sur le côté du bureau pour me faire légèrement relever mon buste pour y rajouter par dessous une pince à linge à chaque téton de mes seins.

Le Maître revient derrière moi et recommence à faire manœuvrer le gode en mon sexe en des allers-retours rapides et profonds, ce qui m’approche un peu plus de l’orgasme lequel je lutte pour ne pas fauter via un orgasme non autorisé. Tout d’un coup, je sens cette fois une chose froide se présenter sur la rondelle de mon anus et je comprends qu’il s’agit d’un épais rosebud en train de s’enfiler dans mon cul, ayant encore le god dans ma chatte… Et c’est en activant ensemble, par des vigoureux va-et-vient, les deux sextoys dans mes deux orifices largement remplis que j’entends le Maître m’ordonner ceci :

- Jouit, maintenant la chienne, je l’exige ! …

(A suivre …)

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