Je Suis Un Vrai Soumis Heureux

(Je me trouve seul avec Christiane pendant que ma femme baise dans le salon avec son amant...)

Nous entendions clairement ma femme crier dans le salon, dominée par son amant au sexe long et vigoureux. Il l'insultait et la fessait allègrement et j'adorais l'entendre prendre son pied sans voir directement ce qui se passait.
Pour ma part, je lavais ma maîtresse Christiane qui m'avait ordonné de lui lécher le cul pendant qu'elle se branlait avec force la chatte. Elle gémissait fortement et soudain elle me demanda "Enfonce moi ta petite queue dans le cul, David, viens vite, vite, vite, pilonne moi, je veux jouir et je veux que tu pisses au fond de mon trou, que tu me donnes tout... oui... oui.... vite viens...oh oui...ouiiiiii...."
Je devais obéir tout de suite à ses ordres et je n'ai eu aucune difficulté à m'introduire dans son anus bien dilaté par ma langue. Elle cambrait ses reins et je fus au fond d'elle rapidement. C'était chaud et humide. Ses râles se faisaient précis et forts. Elle agrippa mes couilles et les serra bien fort à me faire presque mal. "Pousse toi au fond, encule moi profond et lâche toi, remplis moi de ta pisse... J'ai envie d'être rempli maintenant...Aah...ouiiii..."
Je ne me fis pas prier et je sentis ma pisse envahir son gros cul bombé. Du coup, je ne pus jouir, mais elle, par contre, s'envoya en l'air d'être pleine de liquide. Je sortis de son cul, elle serra les fesses, s'accroupit sur le bord de la baignoire et me présenta ses fesses ouvertes. Je dus, sous ses ordres, placer ma bouche contre son cul et elle me versa tout le contenu liquide - le mien - de son cul... J'étais souillé, soumis, heureux, et j'ai eu le droit de me laver à la condition de remettre mon tablier et de suivre docilement Christiane pour une "surprise"...

Elle me conduit près de X...
Ma femme était allongée près de lui, les fesses à l'air, du sperme sortant du cul et exténuée. Pour la première fois, il me parla, mais rudement : "Alors, petite cochonne, montre moi ta petite bite de minable ! (Je m'exécutais tout de suite, par peur.

..) Elle est pas foutue de satisfaire Madame depuis si longtemps, heureusement que je suis arrivé, n'est-ce pas ?"
"Oui, monsieur, heureusement"
"Ta femme, tu dois la respecter et obéir à tous nos ordres. C'est OK ? Fais voir ton cul de soumis ?"
(Je me tournais, j'avais les fesses à l'air. Il pris mes fesses, me pencha et m'écarta les deux fesses. Il enfonça un doigt dans mon anus et resta ainsi. "Tu vas me sucer, petit soumis, parce que ma femme est fatiguée et j'ai envie de me faire sucer par le mari de ma nouvelle femme ! Dorénavant, je t'appellerai "salope", OK ? Tourne toi et suce mon gland. Vite!"

Je regardai Christiane, qui s'était installée en face et buvait un verre de rosé en se doigtant le con. Elle me fit signe d'obéir. Je m'agenouillais devant lui et pris sa grosse bite dans ma main. Elle banda vite beaucoup - il avait envie d'une bonne léchouille. Je pris le gland entre mes lèvres et fit tourner ma langue et mes lèvres en le prenant en bouche. Il écarta les jambes, grogna et me prit la tête pour me baiser la gueule et faire des va et viens rapides. J'avais des hauts le coeur mais j'étais totalement soumis et ma femme et Christiane se caressaient de plus belle. Il se leva et ma tête au niveau de son entre jambe me permit de lécher et avaler une puis l'autre couille. Je sentais sa bite trembler. Il me traitait de traînée et de faible mais il aimait ce que je lui faisais. Ma première fellation... Je dus lui sucer le cul puis reprendre son sexe en bouche. Il accéléra le mouvement et je sentis sa bite gonfler, la délivrance n'était pas loin. Moi-même je bandais énormément mais ne pouvait me caresser. J'avais agrippé ses fesses et j'enfournais son sexe en bouche en le serrant de plus en plus. Soudain, il se raidit et déchargea de petites quantités de foutre sur mon visage (il avait déjà donné beaucoup à ma femme et Christiane !!!) et ma poitrine.
Il me repoussa sur le tapis et s'affala sur le canapé près de ma femme.
Nous sommes restés ainsi pendant quelques longues minutes, chacun heureux de son rôle et de son plaisir. Moi, je voulais quand même jouir mais je devais encore attendre...