L'Orage

Bonjour,
Je m'appelle Kostia.on me dit plutôt beau gosse .1,95 pour 120 kilo de muscles .brun aux yeux bleus j'ai 28 ans et je fais de la muscu depuis 10 ans .
L'été dernier, je profitais de quelques jours de vacances pour aller récupérer aux environs de Sète le camping-car de mes parents qui était tombé en panne .le temps était lourd et au loin l'orage grondait. Je pris l'autoroute mais quelques kilomètres plus loin il me rattrapait !
Arrivé au péage de Montpellier on m'informait que l'autoroute était fermée!!!La nuit commençait à tomber et la pluie devenait de plus en plus violente. Je cherchais donc un coin où me poser pour la nuit sachant par ma mère que les placards étaient suffisamment garnis pour passer une semaine sans faire de courses.
Après avoir parcouru quelques kilomètres roulant au pas avec de l'eau jusqu'au milieu des roues je vis une aire de pique-nique.
Elle était un peu surélevée ce qui me mettrait à l’abri des inondations s'il devait continuer à pleuvoir comme ça.
Le terrain étant plat, l'installation fut rapide et je commençais à fouiller dans les placards pour trouver quelque chose à me mettre sous la dent. une boite de salade à base de thon et une boite de ravioli feraient l’affaire.
Le dîner une fois prêt je mis la table et je commençais à manger.
À ma grande surprise quelqu'un frappa à la porte !
Je me levais et j'ouvris .devant moi ce tenais un beau mec blond 20/22 ans 1.85 et 70 kilo complètement trempé.
-je peux rentrer s'il te plait ?
- entre bien sur !
Je fouillais dans mon sac et je lui tendis une serviette.
Il s'essuya.
-merci me dit-il en claquant des dents.
Je m'appelle thomas.
-tu veux des fringues pour te changer ?
-oui s'il te plait j'ai trop froid.
Revisite du sac et je lui donnais un survêt. Il se déshabilla sans faire de chichi et une fois à poil il reprit la serviette, finit de s'essuyer et enfila le survêt.


Je lui demandais ce qui lui était arrivé.
-comme l'autoroute était fermée j'ai pris cette route mais en voulant traverser à un croisement l'eau était plus haute que je croyais et ça a complètement noyé ma voiture et ça fait 2 kilomètres que je marche sans avoir vu personne et quand j'ai vu la lumière j'ai su qu'enfin je pourrais trouver de l’aide.
-tu veux boire quelque chose pour te réchauffer ?
-oui je veux bien !
Je dénichais une bouteille de pastis et une autre de vin.
Après 3/4 d’heure d’apéros bien corsés la température était montée de plusieurs degrés.
Dehors l'orage redoublait de violence et les rafales de vent secouaient le camping car.
On passa à table et la salade et les raviolis ont vite disparus.
Comme dessert une tablette de chocolat.
Tom semblait avoir oublié son infortune et devenait de plus en plus bavard. On parlait de tout et de rien. il allait être étudiant à Montpellier et il était venu chercher une chambre.
Je lui dis comment je me trouvais là. On parla sports, musique, filles ....
-tom tu veux faire quoi, retourner à ta voiture ou coucher là mais je te préviens y'a qu'un lit !
-si ça t'embète pas je voudrais bien coucher là. On verra d'ici demain comment les choses s’arrangent.
-ok pousse toi un peu s'il te plait.
J’installais le lit et j'ouvris en 2 mon duvet afin que chacun puisse avoir un peu de chaleur.
- je te préviens lui dis-je je dors à poil !
-moi aussi pas de problème.
On se mit à poil et tom se jeta sur le lit.
Je finissais de me déshabiller
-putain t'es bien foutu comme mec !
Je me retournais il était allongé sur le duvet les mains croisées derrière la tête en me regardant de ses jolis yeux bleus.
-tiens ! Tu fais du naturisme et en plus tu te rases les couilles ?
Il n'avait pas besoin de lunettes le bougre !!
Je lui ai juste souri en guise de réponse et je me suis mis sous le duvet sentant mon érection monter .
j'éteignis la lumière et tom me souhaita une bonne nuit .il éternua 2/3 fois.
-tu peux pas te mettre sous le duvet comme ça tu auras chaud !
Et dire que je lui avais dit ça sans arrière pensé !!!
-j'ai les pieds gelés dit-il en me les posant sur les miens en fait je suis gelé de partout et en se retournant il s'appuya de tout son dos contre le mien.
Mon érection commençait à me passer mais du coup ma bite me faisait mal tellement elle était tendue.il y eut quelques coup de tonnerre plus proche que les autres et tom se mis à trembler comme une feuille.
-c'est con je sais mais j'ai peur de l'orage !
Je me retournais en prenant garde qu'il ne sente pas ma bite en érection que je coinçais entre mes cuisses et je me collais contre lui en passant un bras par dessus son épaule.
-merci!
C’était trop bon de le sentir contre moi. Dans un demi sommeil il me caressait le bras machinalement tout en se collant de plus en plus contre moi ses fesses appuyant sur mon pubis.
Commençant à avoir des crampes je me mis sur le coté il se retourna et je pus sentir son érection tout contre mes fesses.
Je ne bougeais plus. Il passa un bras par dessus ma taille et ne bougea plus. Je lui pris la main et je la posais sur ma bite pour toute réponse j'eus droit à un bisou dans le cou.
Je me retournais et je pus voir grâce aux éclairs qu'il souriait.
Sans mot dire j'approchais ma bouche et nous échangeâmes un long et tendre baiser plein de fougue et de passion.
Il se mit sur moi et commença à me lécher le cou, les oreilles descendit pour me téter les seins, me les pinça et tout en continuant à descendre il arriva à ma bite qu'il suça jusqu'a ce que je jouisse n'ayant rien pu faire ou dire pour l'en empêcher.
Mais pour être franc je n'en avais pas du tout envie.
Il remonta et m'embrassa à pleine bouche et j'eus la surprise de goutter à mon sperme qu'il avait gardé.
À mon tour je lui fis une pipe et je voulais lui rendre la pareille mais il se retourna et se mit à me pomper.
En quelques secondes ma bite avait repris toute son ampleur. Je le suçais en lui bouffant les couilles que lui aussi rasait, je lui caressais les fesses, et je lui bouffais la rondelle en y faisant entrer ma langue le plus profond possible.
-oui vas-y baise moi!
Je le fis mettre à 4 pattes sur le bord du lit et doucement je commençais à entrer. Il recula brusquement pour s'empaler complètement sur ma queue.
Je le limais un moment dans cette position puis je l'étendis sur le dos et ses jambes sur mes épaules. je le pris un moment dans cette position et je me mis à cheval sur sa bite il mouillait tellement de la queue et moi du cul que j'eus à peine mal quand je le sentis complètement en moi je fis durer le maximum notre plaisir mais on allait bientôt jouir. tom demanda à se retirer à mon grand désespoir on se mit tête bêche et on se suça jusqu'à ce qu'on jouisse chacun dans la bouche de l'autre presque en même temps . On se remit face à face et on s'embrassa en mélangeant sperme et salive.
Et on s'endormit dans les bras l'un de l’autre.
Le lendemain il pleuvait toujours autant. Autour de nous de l'eau de partout !nous étions sur une île ! De temps à autre un hélicoptère nous survolait. On prit le café et on refit l'amour.
Vers 13 heures nous entendîmes des voix. On mit le nez à la fenêtre et on vit 2 pompiers qui s'approchaient de nous. Je leur ouvris la porte et ils entrèrent. Je me renseignais pour savoir s'il était possible de bouger, tom leur demanda des nouvelles de sa voiture ce qui les soulagea car ils croyaient que le courant l'avait emporté. Les routes étaient encore bloquées. La voiture de tom remorquée chez un garagiste et un des pompier nous proposa de repartir avec eux et qu'il nous logerait chez lui car l'école était pleine de réfugiés comme nous.
J’échangeais un regard furtif avec tom qui m'a juste souri et on a accepté avec joie cette offre.
Mais cela est une autre histoire !

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