Heures Supplémentaires Bien Rémunérées

Je m'appelle Sophie. Je suis depuis quelques années secrétaire médicale dans un cabinet spécialisé. J'ai 3 patrons, dont un qui depuis le début me fait peur : il est très autoritaire, et du haut de sa connaissance, sait montrer aux autres, et bien sur à moi qu'il est supérieur.
A la moindre erreur (oublie de prendre un numéro...) j'ai le droit à une engueulade en bonne et du forme....

Un matin, quelques dizaines de minutes après mon arrivée au bureau il vient me voir et me dit qu'il veut me voir à la fin de la journée, que c'est très important. Inutile de dire que toute la journée durant j'ai eu très très peur... je craignais déjà un renvoi...

Le soir venu, je frappe donc à la porte de son bureau et j'entre. Je tremble de tout mon corps, la respiration saccadée, je dois être rouge comme une tomate de par ma timidité...
Il me dit de m'asseoir, et me parle d'un dossier de la veille... je répond brièvement à ses questions, l'angoisse me tétanise, j'en perd la parole...

S’apercevant de mon trouble, il fait le tour de son bureau, me regarde dans les yeux et me demande pourquoi je me met dans cet état en sa présence.... je balbutie qu'il me fait peur....
et la il me dit :
-" mais enfin cela ne tient qu'à vous de ne plus avoir peur si vous voulez je peux même vous mettre en confiance et vous promettre un petite augmentation... après tout vous êtes finalement une très bonne assistante..."
Sur ces mots il me prend la main et me fait lever de mon siège... puis il commence à glisser sa main le long des mes reins.... je suis tétanisée, je sais ce qu'il va se passer, mais je ne veux pas.... cependant j'ai tellement peur de lui que je n'ose pas résister...
- "vous savez si je vous ai engagé c'est que depuis le départ vous me faites bander Sophie... je pensais que vous souhaiteriez une promotion au bout de quelques mois, mais vous n'êtes pas gourmande.... donc c'est moi qui vais vous la faire d'office.

.."
Il déblaya son bureau d'un geste de la main et m'étala dessus d'un geste brusque, j'étais pétrifiée je n'osais bouger, ne sachant comment réagir... je suis célibataire et à vrai dire pas très porter sur le sexe... plutôt coincée quoi...
Il releva ma jupe et baissa ma petite culotte..... Je serrais les cuisses un maximum pour ne pas qu'il entre dans mon intimité, mais en vain : il passa sa main dans mon entre jambe en forçant le passage. De son autre main, plaqué sur ma poitrine, il me maintenait allongé sur le bureau.
J’aurais du crier.... j'aurais voulu mais je ne le fit pas. Dans un sens le respect que je lui vouais était certainement une forme d'attirance également...
Il baissa son pantalon et sorti un membre à la mesure de son savoir : il était énorme, surtout pour moi qui n'avait connu qu'une aventure de jeunesse avec un jeune homme bien moins membré.
Il présenta son gland au bord de mon pubis, écarté par sa main.
Je réussi enfin à parler :
- ne faite pas ça, je ne suis pas consentante !
- mais voyons vous ne voulez donc pas d'une petite promotion ? Vous préférez être renvoyé dès demain ?
- je ....
Je ne savais que dire... j'avais trop besoin de mon job pour protester !
Il enfonça donc violemment son pénis dans mon vagin étroit qui n'était même pas lubrifié. La douleur m'emplie ainsi que la honte...
Il commença à faire de violents aller et retour, en poussant des rugissements bestiaux, tous le bureau était secoué avec vigueur, on aurait dit qu'un cyclone s'abattait dans la pièce.
Il me remonta les jambes sur ses épaules, ce qui amplifia le degré de pénétration je sentais à présent ses couilles battrent sur mes fesses.... en même temps la chaleur s'empara de mon corps. Je commençais à aimer cela.... des frissons me parcouraient à présent le corps : sa grosse bite raclait ma chatte qui commençait à mouiller... mais alors que je commençais à prendre du plaisir, il se retira aussi brusquement qu'il m'avait pénétré : je regrettais presque son étreinte.
... quand il refit un mouvement en avant, et sans même avoir préparer le coup, il m'embrocha son pieu viril dans mon petit anus vierge.
Je ne pus retenir un hurlement de douleur. Heureusement qu'il n'y avait personne dans le cabinet à cette heure tardive.
- "ça te fais mal hein ma salope ?! Tu viens de te prendre 200€ net de plus pas mois ! ça te plait ?"
Je ne pu répondre, les larmes coulais sur mes joues, il avait enfoncé sa bite jusqu'à son extrême maximum, ça me brûlait le trou, m'écartelait la chair. il fit des aller retour, de plus en plus rapide, de plus en plus fort, il poussait des gémissements et des cris rauques, tel un animal en rut.
Puis je senti un liquide chaud et épais dans mon ventre, sa bite fit plusieurs soubresauts dans mon cul. A peine eut il fini d'éjaculer dans mon cul, qu'il se retira. Il remit en hâte son pantalon, me jeta ma culotte et ma jupe à la figure et il me dit de sortir de son bureau....

Je sortie toute penaude, sur ma faim... car oui j'avais commencer à aimer ce "viol", mais cela n'avait pas durer assez longtemps pour que je puisse moi aussi prendre mon pied....

Cependant j'aurais à l'avenir l'occasion d'augmenter considérablement mon salaire... et ma soif de plaisir....

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