Ma Prof Devant Moi

Ma prof d’anglais


J'ai fantasmé très tôt, en primaire, sur une instit, je la suivais discrètement quand elle allait aux toilettes et je regardais sous la porte, je ne voyais pas grand chose à part sa culotte baissée sur les chevilles, elle ne mettait que des jupes, le pantalon ne se portait pas par les instits à l'époque et je l'entendais faire son pipi, cela m'excitait beaucoup mais je ne savais pas encore me masturber ce qui me laissait dans un état de frustration.
Plus tard, j'ai fantasmé sur une prof d'anglais de mon collège professionnel où j'étais en pension, je me masturbais en fantasmant sur elle, une petite blonde, mignonne, avec une forte poitrine et un cul rebondis, elle était de la même région que moi et un vendredi, alors que j'allais à la gare prendre mon train, elle m'a proposée de me ramené dans mon bled qui était sur sa route, j'étais gêné parce que les potes de classe me regardaient lui parler, mais comme il pleuvait dru, elle m'a pressée de monter dans sa voiture et je me suis laissé faire le cœur battant.
Sur la route, elle m'a parlée de mon attitude en classe avec elle, me demandant pourquoi je lui parlais mal parfois et aussi qu'elle m'avait vue regarder sous sa jupe en cour, avec le fameuse coup du stylo qui tombe par terre.
J'ai senti que je devenais tout rouge mais en même temps, je me disais que c'était une allumeuse parcequ'en cours, elle laissait remonter sa jupe quand elle était assise à son bureau et que je voyais bien sa culotte et ses collants car le bureau était ouvert devant.
On avait fait une cinquantaine de km quand elle me dit qu'elle devait s'arrêter pour un besoin pressant, mon cœur fit un bon, une femme me parlait de son intimité, je commençais à bander sérieusement.
Elle se gare dans un petit chemin hors de la route et descend de la voiture en me disant qu'elle n'en a pas pour longtemps et que je ne dois pas regarder, petit cochon, rajoute t’elle.
J’ai une gaulle d’enfer mais je ne regarde pas, du moins pas exprès, elle est passée derrière la voiture et je la voie dans le rétroviseur, elle vas sur le talus, inspecte à droite et à gauche et relève sa jupe pour baisser son collant et sa culotte, elle est presque face au rétroviseur et le spectacle est bandant à souhait, j’ai envie de sortir ma verge coincée dans mon pantalon et de me taper une branlette mais elle risque de revenir rapidement, je n’aurai pas le temps.


Elle descend lentement sa culotte de coton blanche, je vois que l’entre- jambe reste collé à sa fente velue, elle n’est pas complètement blonde, ses poils pubiens sont plus sombres et fournis, elle écarte les cuisses et le tissus s’échappe de sa moule entrouverte, j’ai le temps de distinguer le rose de ses lèvres vulvaires.
Elle ne s’accroupie pas mais fléchie les jambes légèrement et tend ses fesses en arrière, le jet de pipi fuse d’entre ses cuisses, entouré de vapeur car nous sommes en hiver, je me régale de mater sans être vu, cette belle prof que je ne connais qu’habillée, m’offre un spectacle torride sans le savoir.
Sa miction dure quelques minutes et au moment de s’essuyer, elle s’aperçois qu’elle n’a pas son sac à main, elle remonte sa culotte et son collant, rabaisse sa jupe et revient à la voiture, je m’imagine le tissus trempé par sa vulve humide, j’ai très chaud et ma queue me fait mal, emprisonnée dans mon futal.
Elle ne remonte pas au volant mais vient frapper à mon carreau, je le baisse pour savoir ce qu’elle veut.
- Vous pouvez me passer les mouchoirs en papier qui sont dans la boîte à gants, s’il vous plait, je n’en avais pas sur moi.
- Oui, j’ai vu, ah le con, je viens de me vendre.
- Comment vous le savez, vous m’avez regardé faire pipi ?
- J’ai pas fais exprès, c’est le rétro !!!
- Quoi le rétro, je vous avais demandé de ne pas regarder, vous êtes un cochon, vous vous êtes rincé l’œil, je devrais vous punir en vous laissant là, au bord de la route, mais j’ai une autre idée, vous allez m’essuyer les fesses.
- Comme vous voulez Madame
Elle me tend le paquet de mouchoirs, remonte sa jupe, rebaisse collant et culotte et avance son bas ventre vers moi en s’appuyant d’une main à la portière, je vois le fond de sa culotte mouillée, ses parfums intimes me parviennent aux narines, je suis rouge de confusion, jamais je n’ai fais ça.
- Allez, essuyez moi bien comme il faut, dans les recoins aussi
- Madame, vous êtes belle, vous me plaisez beaucoup
- Ah oui, quand je fais pipi, ça t’a plus au moins, ce que tu as vu ?
- Oui, je lui réponds en lui passant le mouchoir entre les cuisses, je suis hésitant et je n’ose pas enfoncer mes doigts trop profondément dans son sexe.

- Attend, je vais t’aider et elle s’écarte elle-même les lèvres pour faciliter l’essuyage
- Tu vois comme c’est mouillé, met bien tes doigts dedans
Tellement elle est mouillée, que le papier est trempé, mes doigts glissent et par moments, ils sont en contacte avec ses chaires, je suis gêné, elle se laisse faire et avance sa vulve à la rencontre de ma main, elle a fermé les yeux et murmure
- Frotte, frotte encore, tu essuies bien, jettes le papier
Je jette le mouchoir, maintenant, mes doigts la touchent directement, elle est trempée, ça ne s’arrête pas, ce n’est plus du pipi mais sa mouille qui dégouline
- Essuie dedans aussi, rentre tes doigts, Hummm
- Comme ça Madame ? Et je lui enfile deux doigts dans le vagin
- Ohhh oui, encore plus profond et ton pouce, sert t’en aussi
- Mais comment Madame ?
- Regarde, il y a un gros bouton devant, frotte le, elle guide mes doigts sur elle et en elle, elle m’apprend à masturber une femme, je m’applique à lui donner du plaisir.
- Ouiii, vas y, encore, frotte, frotte, tu vas me faire jouir
Elle est agitée de soubresauts, elle s’empale sur ma main et se trémousse la motte sur mon pousse
- Encore un doigt dedans, me commande t’elle, j’obéis et rajoute l’annulaire, elle pousse un râle de plaisir et je vois qu’elle passe une main sur ses fesses, elle se caresse la raie et parfois sa main vient toucher la mienne, elle est comme folle de caresses, je me risque à lui passer une main sous le pull, je caresse son ventre et remonte vers ses seins, elle ne porte pas de soutif, je lui touche les bouts, les pince.
- Ouiii, comme ça, je viens, je viens
Je me concentre sur mon branlage en lui astiquant la vulve et le clito le mieux que je peux et son orgasme me surprend, elle a un râle violent et des giclées de liquide que je prends pour du pipi m’arrosent la main, le prof se crispe sur moi, me prend par les cheveux et colle ma tête contre son ventre agité de spasmes.

Nous restons un moment comme cela, sans bouger ni parler, je sens son odeur de femelle et ma bite demande grâce, enfin, elle se décolle de moi.
- Tu sais que tu as bien fais jouir ton professeur ?
- Tu as été très gentil avec moi et cela mérite une récompense
- J’oublie pour tout à l’heure, ta désobéissance et je rajoute un bonus, ça doit être en ébullition la dessous.
Et joignant le geste à la parole, elle me met la main au paquet, caressant mon sexe à travers le tissus, elle évalue l’effet de son attouchement en me fixant dans les yeux.
- Oh mais c’est tout dur la dedans, il faut aérer ça, allonge toi, je vais m’en occuper.
Je m’étale en travers des deux sièges et aussitôt, elle défait ma ceinture, ouvre ma braguette et rentre sa main dans mon slip.
Elle prend ma verge à pleine main et l’extrait de sa prison, la prof se penche en avant et dépose une bise sur mon prépuce.
- Belle pièce que tu as là, tu dois faire des heureuses avec un morceau comme ça ?
- Tu ne réponds pas, tu n’es pas puceau au moins ?
- Heuuu, non Madame
Elle me caresse la tige, me branlotte mais sans me décalotter, elle approche sa bouche et prend le gland entre ses lèvres, elle me masse la queue ainsi, en formant un anneau, elle descend et remonte, je suis aux anges, elle veut me toucher les testicules mais le pantalon gêne, alors elle me le baisse sur les chevilles.
- Alors, plus à l’aise maintenant ?
- Oui Madame
- Ferme les yeux et laisse toi faire, je vais m’occuper de toi en douceur.
Et là, à ce moment, je me suis demandé si j’allais résister longtemps car c’était la première fois qu’une femme mure allais me faire goûter à son savoir sexuel.
Elle me reprend en bouche, une main me masse les couilles et l’autre me décalotte, sa bouche suit la descente de la peau, jusqu’à la base de mon sexe, la sensation est terriblement sensitive, je ne vais pas tenir, déjà, elle entame un branle en me suçant et sa main entre mes jambes remonte dans ma raie, j’ai un sursaut car on ne m’a jamais touché à cet endroit.

- Ah, par contre, tu es vierge de ce côté il me semble ?
- Ben, c’est gênant, je ne suis pas homo
- Pas besoin de l’être tu vas voir, laisse toi faire et tu vas aimer te faire caresser cet endroit par une femme, tu sais tout à l’heure, quand tu me donnais du plaisir avec tes doigts, je m’en suis mis un dans les fesses, ça vas très bien ensemble et beaucoup d’hommes hétéros aiment ça aussi,
- Aller détend toi.
Elle sait très bien sucer, elle me fait une fellation magique, je n’ai jamais été sucé comme cela, une experte de la pipe, une bouffeuse de dard, le plaisir que j’y prends me fait me détendre et ses doigts dans ma raie participent à ce plaisir, elle alterne les caresses, tantôt sur ma bite, tantôt sur mes bourses qu’elle lèche, à un moment, une caresse devient plus précise, c’est un doigt qui touche mon anus, je me laisse faire.
Elle me remonte les jambes et les écartes, je la voie descendre entre mes cuisses et sa bouche se pose sur mon trou de balle, je n’ose plus rien dire, je savoure ce moment avec une belle prof, cela ne ce reproduira peut être pas de sitôt, elle me lèche l’anus, sa langue essaye d’y pénétrer, c’est agréable, je me mets à apprécier cette caresses, elle se redresse, un doigt remplace sa langue, il appuie sur l’anus par petits coups
- Pousse me dit –elle, comme aux WC et tu n’auras pas mal
Je pousse, le doigt m’envahit, lubrifié par la salive qu’elle a déposée sur ma rondelle, elle me branle la verge plus vivement et son doigt commence des vas et viens dans mon sphincter, j’ai eu une petite sensation de douleur mais elle me la fait vite oublier en m’astiquant la bite, les deux plaisirs fusionnent et je sens monter de mes entrailles une jouissance inconnue, je découvre la sodomie en donnant mes fesses à ma prof qui me fouille profondément de son doigt et qui me masturbe d’une main ferme.
Mon orgasme est arrivé sans que je puisse le retenir, j’ai crié et de longues giclées de sperme ont arrosée la prof, elle m’a prise en bouche pour avoir le reste et à tout avalée.
J’ai mis un moment à émerger, terrassé par la jouissance, puis je me suis relevé pour me rhabiller et aller pisser, elle me la tenue pendant que je faisais et m’a dit que si je voulais, ont referais la route ensemble, elle avait d’autres choses à me faire et elle voulait goûter à ma queue plus profondément, quelle bonne prof.

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