J'Ai Fait L'Amour Avec L'Amie De Ma Femme

L’histoire que je vais vous livrer est arrivée il y a maintenant plusieurs mois, à l’occasion d’un week end passé dans un centre de vacances réservé aux fonctionnaires. Nous avions décidé avec trois autres couples d’amis, de passer une semaine à la plage avec les s et, pour être tranquilles, nous avions loué 3 bungalows dont un spécialement réservés à nos cinq s. Chaque bungalow avait deux chambres et tout naturellement, les quatre couples s’étaient partagés les 4 chambres des 2 bungalows restants.
Nous avions l’habitude de nous réunir dans l’un des bungalows et de préférences dans celui des s afin d’avoir un œil sur eux.
Certains soirs, les femmes nous abandonnaient pour aller se coucher, sans aucun doute lassées de nous voir jouer avec les s aux jeux vidéo ou nous entendre raconter nos exploits de chasse ou de pêche.
Dès que nous nous retrouvions entre hommes (après avoir expédiés tous les gosses au lit), nous nous accordions quelques digestifs en poursuivant tranquillement nos discussions et ils n’étaient pas rare que terrassés par la fatigue (et l’alcool) nous passions la nuit dans les canapés du salon, loin de nos femmes respectives.
Un soir où nous avions particulièrement abusés de ces fameux digestifs, je me réveillais en pleine nuit affalé sur l’un des canapés et, décidait de rejoindre mon épouse. A moitié endormi, je me glissais dans le bungalow en essayant de faire le moins de bruit possible, et rejoignait le lit conjugal.
Il faisait nuit noire, pas le moindre rayon de lune éclairant la chambre. Ma femme adorant être réveillée au beau milieu de la nuit pour des câlins torrides, je me place au bas du lit et tire doucement sur le drap pour la découvrir et pouvoir accéder à sa petite chatte.
Je ne la vois pas mais à la position de ses jambes, je sais qu’elle dort, une fois n’est pas coutume, sur le dos. Je rampe doucement vers son ventre en écartant ses jambes et commence à lui lécher l’intérieur des cuisses, en remontant vers sa fourche.

J’atteins rapidement un petit string que je m’étonne d’ailleurs de trouver là car habituellement elle dort totalement nue. Sans me poser de questions, je l’écarte doucement et plaque mes lèvres pour un baiser profond.
Ma langue s’insinue entre ses lèvres intimes qui sont encore sans réaction. De mes mains, je soulève ses cuisses afin de me permettre un accès plus facile à sa grotte. Ma femme se laisse faire et replie ses jambes n’opposant aucune résistance.
Elle ne parle pas mais j’entends à sa respiration qu’elle s’est réveillée et qu’elle apprécie ma langue dans sa petite chatte.
De plus en plus excité, je tire sur son string afin de l’écarter au maximum et plonge ma langue au fonds de son intimité, comme pour lécher l’intérieur de sa grotte. Elle se cambre et tire sur ses jambes pour me permettre de la posséder plus profondément.
Elle est maintenant trempée de mouille. Je glisse un puis deux doigts dans sa vulve, tout en continuant à lui lécher l’entrée de la chatte, en essayant d’y faire également pénétrer cette langue qui l’affole.
Aucune parole n’est prononcée. Nous faisons l’amour en silence. Seule sa respiration saccadée m’indique qu’elle va bientôt jouir.
Ma tête est encore dans les brumes de l’alcool mais je sens sa jouissance arriver au galop alors que je lui tête comme une petite bite son bouton d’amour qui est extraordinairement gros entre mes lèvres et sous ma langue.
En posant mes mains de chaque côté de sa chatte pour l’ouvrir encore plus, je réalise qu’elle a enfin décidée de se raser entièrement le sexe, plus aucun poil ne semble avoir résisté à son envie de me faire plaisir.
Au summum de l’excitation je la sens se cabrer, tandis que son vagin enserre dans un étau mes doigts revenus se loger au fonds de son ventre. Ma femme jouit dans un râle que je ne lui connaissais pas. Un long ouiiiiiii qui me fait réaliser que ce n’est pas elle qui est en train de jouir sous ma langue mais Elodie, la copine de mon épouse.

Malgré les brumes de l’alcool, je réfléchis à la vitesse grand V. Tout se bouscule dans ma tête. Quoi faire ? Le scandale. Que va dire ma femme et Bernard le mari d’Elodie. Il faut mieux ne rien faire et surtout ne pas parler, attendre puis s’éclipser doucement en espérant qu’Elodie reste persuadée que c’est son mari qui l’a fait jouir.
Le silence s’installe. Cela ne dure que quelques secondes mais il me semble interminable. Je suis toujours entre ses jambes lorsque tout d’un coup, je la sens se relever dans le lit pour se mettre à genoux en me tournant le dos.
Elodie me souffle alors :

- Mon cœur, j’ai envie que tu me prennes. J’ai envie de te sentir en moi.

Je ne peux que m’exécuter, de peur qu’elle n’allume la lumière et découvre qui lui a dévoré la chatte.
Je pose mes mains sur ses hanches, m’approche de ses fesses, et doucement, pose mon gland à l’entrée de sa chatte. Dans ma tête, les images se bousculent. Je m’apprête à faire l’amour à une copine alors qu’elle est persuadée que c’est son mari qui va la pénétrer. Je l’ai déjà fait jouir mais sans savoir que c’était elle alors que là, maintenant, c’est tout à fait consciemment que je vais glisser mon sexe dans celui d’une autre femme que mon épouse.
Je pousse doucement, ses chairs déjà inondées par une première jouissance, m’accueillent sans problème. Je m’enfonce sans coup férir jusqu’à la garde. J’apprécie la progression à sa juste valeur. Pour être franc, c’est un délice. Jamais je n’aurais cru qu’Elodie était aussi bonne. Il est vrai que mes sensations sont sans doute décuplées par la situation et la transgression d’un interdit.
J’ai des fourmillements qui m’ébranlent des bourses jusqu’à la racine de mes cheveux. Je commence à bouger dans le ventre d’Elodie. Je perds le contrôle rapidement en même temps que le plaisir m’envahit. Toute ma volonté est concentrée dans mon sexe et l’accouplement qui commence.
J’ai envie de lui dire combien elle est bonne mais je sais qu’une seule parole me trahirait immédiatement aussi je reste silencieux.

Je la lime de plus en plus profondément. Elle halète, me demande d’accélérer, de ralentir, de la faire jouir. Elle m’inonde de paroles, de mots d’amour puis tout naturellement m’invite à la sodomiser en disant :

- J’ai envie de toi dans mon cul. Mon amour, je t’offre mon cul, tu en as envie depuis si longtemps. Vas-y doucement pour la 1ère fois.

Je ne me fais pas prier. Je me retire et commence à lui lécher son petit anus. A deux mains, j’écarte ses fesses et plonge ma langue dans le sillon offert. Elodie, pousse des petits soupirs de satisfaction. Elle m’encourage en m’affirmant que c’était bon et qu’elle avait envie de sentir mon gland lui perforer l’anus.
Je ne réponds surtout pas, me contentant de lui ouvrir encore plus de ma langue ses chairs intimes. Je ne peux rien voir mais je devine en pointant ma langue que son petit trou est maintenant bien dilaté. Il va pouvoir accueillir la tête de mon gland.
Je me redresse et après avoir de nouveau plongé entièrement ma queue dans sa chatte bien lubrifiée, je plonge mon index lui aussi lubrifié à la hâte dans le même orifice, dans son cul. Mon gland suit mon doigt pour le remplacer rapidement.
Je pousse doucement tandis qu’Elodie me souffle :

- Mon cœur, je sens ta bite qui m’ouvre les fesses. Vas-y doucement, c’est vachement gros par là.

J’arrête ma progression pour qu’elle s’habitue à l’intrusion mais Elodie proteste.

- Bernard, continues. J’ai envie que tu m’ouvres le cul et sentir ta grosse queue entièrement entre mes fesses. Tiens-moi par les hanches en même temps çà m’excite de me sentir à ta merci. Je suis ta petite pute.

A ces mots, j’appuie plus fermement sur sa rondelle qui s’ouvre complètement sous la poussée. Mon gland passe pour se frayer un chemin entre les chairs de cette chère Elodie. Jamais je n’aurais imaginé pouvoir la tenir au bout de ma queue. Jamais je n’aurais imaginé la sodomiser en qu’en plus, elle le réclamerait.

La sensation est énorme. Je m’enfonce doucement mais surement. J’ai l’impression que ma queue n’a jamais été aussi raide et dure sauf peut-être la 1ère fois où ma femme m’a offert son anus.
Enfin enfoncé jusqu’aux couilles, je m’arrête. Je sens les sphincters d’Elodie qui bougent, me serrent la queue. C’est elle qui imprime le premier mouvement alors que je lui flatte les flancs et les fesses comme pour la remercier du cadeau qu’elle me fait. En s’empalant elle-même par des va-et-vient réguliers, Elodie qui semble apprécier ma présence entre ses fesses, me parle :

- Tu fais vraiment dans la douceur ce soir, j’adore. Dommage que çà ne soit pas toujours comme çà. Continue de me perforer, j’adore aussi, c’est trop bon de sentir un truc aussi gros dans ma petite porte. Tu peux accélérer un peu maintenant.

Ses désirs sont des ordres. Je l’agrippe solidement par les hanches et commence à la besogner de plus en plus fermement. La possession devient plus ferme et Elodie semble apprécier la vigueur de mes coups. Elle ponctue chaque perforation en me soufflant :

- Oh ouiiiiiiiii, mon cœur. Tu me fais du bien. N’aie pas peur. Vas-y franchement, c’est énorme. Je prends mon pied, tu me casses le cul mon amour mais surtout ne t’arrêtes pas.

Ses paroles m’excitent. Ma femme n’est pas très volubile pendant l’amour. Elodie par contre, n’arrêtes pas de parler. Çà m’arrange bien d’ailleurs car je ne peux évidemment pas le faire moi-même. Elle continue ainsi alors que je la prends maintenant sans ménagement. Me retirant presque entièrement pour replonger dans les chairs que je sens béantes, offertes à mon vit.

- J’aurais dû t’offrir mon cul plus tôt.. Oooouuuuuiiiiii, c’est trop bon. C’est dingue mais je vais jouir. Je sens que çà arrive. Continuuuueeee, plus fort.

Tout à coup, sans jamais avoir sollicité son bouton d’amour, je sens Elodie se ramasser sur elle-même, me forçant à raffermir ma prise sur ses hanches, se raidir de tous ses muscles et laisser échapper le même long râle de jouissance entendu quelques instants plus tôt.
Ses contractions déclenchent mon propre orgasme alors que son corps tout entier est pris de tremblements impressionnants. Elle se laisse aller sur le flanc pour déplier ses jambes qui n’arrêtent pas de trembler tandis que je m’agrippe à ses hanches pour me vider en elle.
La position est inconfortable mais qu’importe, l’intensité de cette jouissance offerte par Elodie, était une source de satisfaction autrement plus gratifiante que mon propre plaisir.
C’était la 1ère fois que je sentais une jouissance aussi forte et j’étais vraiment secoué d’en avoir été pour quelque chose.

Je laissais Elodie récupérer, toujours emmanché entre ses fesses, en lui caressant le ventre et la partie de ses fesses restée accessible. Je l’entendis me dire :

- J’ai senti ta queue se vider entre mes fesses pendant que je jouissais. C’était beaucoup plus fort que par devant. Merci, on recommencera quand tu veux.
Puis :

- Tu es bien silencieux ce soir… mais j’aime bien. J’aime aussi te sentir dans mon cul mais je suis crevée maintenant. Bonne fin de nuit mon cœur.

Sur ces mots, je la sentis caler son oreiller comme il faut et se positionner pour continuer sa nuit.
Je restais un moment sans bouger, laissant ma queue sortir d’elle-même de ce conduit que je ne savais pas si accueillant. Je pensais à Bernard, certainement en train de dormir à poings fermés dans le bungalow des s mais, qui allait bientôt pouvoir profiter d’un plaisir nouveau avec son épouse.
Dès que la respiration d’Elodie devint régulière, je me glissais hors du lit pour récupérer à tâtons mes vêtements, m’éclipser du bungalow et rejoindre ma femme qui dormait comme Bernard à poings fermés.
Je ne pouvais m’empêcher de penser que peut-être Bernard s’était aussi trompé de bungalow et qu’il avait profité des faveurs de ma chère épouse. Cela m’aurait bien arrangé et certainement quelque peu déculpabilisé auprès d’eux.

Le lendemain, tout le monde se réveilla d’excellente humeur et la journée se passa comme d’habitude entre la plage, les jeux avec les s, la partie de pêche et la promenade à pieds en groupe.
Toute la journée je n’ai cependant pas pu m’empêcher d’observer Elodie à la dérobée, admirant ce petit corps parfait mettant en valeur un maillot de bain à la brésilienne du plus bel effet. Je ne m’étais jamais aperçu qu’elle était si ravissante et si désirable.
Elodie sentit à plusieurs reprises mon regard sur elle mais loin de s’en offusquer, elle semblait s’en amuser.
Tout naturellement, nous nous sommes retrouvés tous les deux à préparer les entrées pour le repas du soir. Seuls dans la cuisine alors que nous pouvions voir nos conjoints et les autres amis attablés dans le jardin, je l’entendis me dire tout doucement sur le ton de la confidence pour être sûre que personne ne pouvait l’entendre :

- C’est la 1ère fois que tu me mates comme çà pendant presque toute une journée. Allison pourrait ne pas apprécier.

Je ne pouvais décemment pas nier l’évidence et reconnut qu’effectivement je la trouvais particulièrement désirable, tout en m’excusant de mon insistance déplacée, ce qui la fit rétorquer :

- Ne t’excuses pas Kev. C’est agréable de se sentir désirée d’autant que Bernard ne semble pas s’apercevoir que sa femme peut suscitée le désir même chez ses copains.

J’acquiesçais. Lui accordant qu’il faut être attentif lorsqu’on a une femme comme elle.
Elodie, sembla hésiter un moment puis me glissa encore plus discrètement :

- Au fait, j’espère que tu as apprécié cette nuit la petite séance de cette nuit.

J’étais en train de couper une tomate en tranches lorsque ses derniers mots résonnèrent dans ma tête. Je faillis m’en couper un doigt. Je m’arrêtais net dans mon geste, le couteau dans une main, un morceau de tomate dans l’autre, pétrifié par cette phrase sans équivoque.
Je tournais mon visage vers le sien, ne sachant quoi répondre. Une gifle en pleine figure aurait eu le même effet. Elodie, visiblement contente de l'effet produit me décocha un sourire ravageur, ses ravissants yeux verts plantés dans les miens, tandis que je balbutiais difficilement :

- Tu savais ?

Elle me lança :

- Ce matin j’ai trouvé tes 3 copains affalés dans le bungalow des s. Il n’y avait que toi qui manquais à l’appel. De plus, tu ne penses pas sérieusement qu’une femme n’est pas capable de faire la différence entre son homme et quelqu’un d’autre.

Je restais sans voix, attendant la suite, incapable de donner une quelconque explication. C’est elle qui reprit la parole, après avoir jeté un œil vers nos époux respectifs et nos amis :

- Quand tu m’as fait jouir avec ta bouche, je ne me suis rendu compte de rien. J’ai cru avoir affaire à Bernard mais lorsque tu m’as pénétrée, j’ai tout de suite senti la différence. Tu dois te demander pourquoi je t’ai laissé me prendre alors que je m’étais rendu compte qu’il ne s’agissait pas de mon homme. Et bien c’est tout simple en réalité, Bernard a souvent insisté pour que je me donne à un autre homme en sa présence et j’ai cru qu’il était dans la chambre à écouter ce que j’étais en train de subir.
- Tu m’avais déjà fait prendre mon pied bien plus fort qu’avec lui lorsqu’il me lèche aussi je me suis dit qu’après m’avoir sucé puis t’être introduit en moi, je pouvais me laisser aller et lui accorder son fantasme. De toute manière tu connaissais déjà le goût de ma chatte et tu étais figée au plus profond de mon ventre lorsque je me suis rendu compte de mon erreur alors….
- Mais il n’était pas là. Je m’étais trompé de bungalow. Et s’il était arrivé !
- Je pensais que c’était lui qui t’avais envoyé dans mon lit.
- Mais tu m’as laissé te sodomiser.
- C’est vrai j’ai adoré. Je ne lui avais jamais accordé çà. Quand j’ai senti que tu étais moins gros que lui, j’y ai tout de suite pensé. En plus, pensant qu’il était dans la chambre, je voulais le faire enrager de m’avoir donné à un copain sans m’en parler avant.
- Mais tu savais que c’était moi ?
- Comment aurais-je pu le savoir avec le noir total qu’il y avait cette nuit. J’ai pensé à toi car vous vous entendez bien tous les deux et il m’a déjà parlé de toi pour son fantasme, du coup j’ai commencé à fantasmer moi aussi sur toi.
- J’ignorais totalement. Pour moi tu es la femme d’un copain. Jusqu’à cette nuit, je n’aurais jamais osé te manquer de respect. Je ne savais pas que Bernard voulait te voir jouir avec un autre homme. J’ai adoré te faire l’amour. Si j’osais, je te demanderais bien de recommencer.
- Bernard a tout plein de fantasmes comme çà. Pour recommencer, je ne sais pas. C’était un accident tu sais. Mais saches que je n’ai jamais joui comme cette nuit. Je ne savais même pas pouvoir jouir autrement que… enfin tu sais quoi. J’ai adoré que tu me fasses l’amour et je ne regrette pas que tu te sois trompé de bungalow. Allison doit se régaler au lit, j’espère qu’elle en profite bien.
A cet instant, deux de nos amis se levèrent pour nous rejoindre ce qui fit cesser nos confidences.
Nous n’avons jamais refait l’amour depuis cette nuit mais souvent, nos regards se croisent et, se parlent bien plus que nous pourrions le faire avec de simples paroles. Une complicité incroyable s’est installée entre nous sans que personne ne se soit aperçu de quoi que ce soit.
Dernièrement Elodie a profité d’un des rares moments où nous nous trouvions seuls, pour me dire qu’elle n’avait jamais raconté à Bernard ce qui s’était passé entre nous, même si elle était sûre que cela lui plairait et le mettrait dans tous ses états.
Elle me confia également qu’elle n’avait toujours pas accordé à Bernard ce qu’elle m’avait permis ce fameux soir alors qu’elle ne pouvait s’empêcher d’y penser depuis cette première fois et qu’elle en avait de plus en plus envie. En me serrant tendrement la main, elle m’avoua qu’elle avait décidé d’accorder à Bernard son fantasme en lui précisant que c’est elle qui choisirait parmi les candidats potentiels qu’il lui proposerait. Elle rajouta alors, avec des yeux plein de malice qu’elle était sûre que je serais sur cette liste pour en avoir déjà parlé avec son mari.
J’attends avec impatience le moment où Bernard m’appellera pour boire un café comme nous le faisons régulièrement et, qu’il me proposera de bien vouloir faire l’amour avec sa femme devant lui.
Je bande déjà en pensant au moment où Elodie, m’ouvrira ses cuisses pour m’inviter à glisser mon sexe dans son si doux fourreau puis après quelques va-et-vients, se retournera en écartant ses fesses à deux mains pour m’offrir son adorable anus à la pénétration.
Bernard regrettera peut-être son fantasme en voyant ma queue s’engouffrer dans l’étroit conduit anal, il regrettera certainement encore plus de m’avoir offert sa femme en l’entendant jouir sodomisée jusqu’à la garde mais ce sera son choix, et pour ma part, je serais le plus heureux des hommes en lui permettant de le réaliser.
A suivre…

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