Suite Et Fin De L'Histoire D'Annick Racontée Par Jocelyne

"Tiens, pendant que l'on papote" me dit-elle "As-tu déjà essayé des trucs sado-maso ?"
"Une fois… je te raconterais."
"Tu as aimé ?"
"Je ne sais pas trop, c'est bizarre… sur le coup c'est terrible ! Être à la merci complète de gens qui veulent plus ou moins vous faire souffrir… accepter d'endurer leurs sévices je ne sais même pas pour qui ou pourquoi ! Puis finalement cesser de lutter espérant que le côté sexuel vienne vite. Par contre quand il vient… c'est très fort, très, très fort…."
"Tu es prête à recommencer ?"
"Franchement, je ne sais pas. Guy aimerait… il m'a déjà parlé d'une dominatrice…. Il ne doit pas y en avoir des tas dans notre ville… j'ai bien peur qu'il s'agisse de la tienne ! De ce que tu viens de m'en dire, cela me fait un peu froid dans le dos."
"Moi, je crois que je ne pourrais pas. Cela me fait trop peur. Je me demande si je ne suis pas la seule parmi notre petit groupe…. Nathalie a essayé, je le sais… d'ailleurs, tu la connais, elle est comme toi, il faut qu'elle essaye tout ! Marie-Agnès je pense qu'elle aussi a au moins essayé. Peut être même quelle continue… ce ne serait pas étonnant vu le goût de son mari pour la fessée…. Elle n'a jamais rien voulu me dire bien qu'elle m'ait avoué, au minimum, avoir assisté à certaine de ces soirées. D'après elle, c'est pour me laisser la surprise…. Mais questionnes-là, toi, elle t'en dira peut-être plus."
Je me promis de le faire. Annick continua son bavardage.
"Par contre il y en a une pour qui je sais. Florence… tu sais qu'il y longtemps que nous ne l'avons pas vue ? Eh bien il parait que son ami, Marc, l'a prêtée un oncle ou un cousin, je ne sais plus trop. Tu te rends compte, prêtée !... et cela pour deux ans ! Il parait que ce type est un fervent adepte de tout ce qui est du genre sado-maso et qu'il traite ses conquêtes comme des esclaves et qu'ils les emmène dans des endroits spécialisés ou dans des soirées infernales dans des donjons.

La pauvre… elle doit déguster !"
"Tu as raison, mais je pense qu'elle est d'accord… au moins sur le principe de départ."
"C'est certain, si Fred me demandait cela, je le quitterais, je crois… et toi ?"
"J"avoue que je ne sait pas…."
"Tiens, en parlant de Fred, tu ne sais pas comment il est devenu mon ami ? Attends, je vais te raconter !"
Elle reprit son récit.
Comme je te l'ai dit, après ma rupture avec Franck je me retrouvais bien esseulée. Il s'ensuivit une belle déprime. Je croyais tellement avoir rempli mon existence. Mes fantasmes de vie débauchée, de X, d'orgies et de partouzes reprirent peu à peu. A la différence près que, cette fois, je savais comment cela se passait… avec plusieurs hommes et même avec un couple. Comme tu t'en doute, en fait je n'attendais qu'une occasion, une belle occasion. Par contre, je voulais quelque chose d'un peu trouble, comme ma liaison avec Franck. L'occasion vint sous la forme d'un coup de téléphone. Laurent, oui, Laurent celui à la grosse… oui, lui, qui m'appela un soir me demandant si je me souvenais de lui. Tu sais combien, et pourquoi il est difficile à oublier…. Il me dit être au courant de ma rupture et que Franck avait peut être mal choisi son affaire en acceptant les proposition de sa mère. Quoiqu'il en soit, il me rappela que j'avais finit par accepter de poser. Son patron cherchait justement un modèle dans mon genre. Laurent lui avait parlé de moi. Si je le souhaitais, il m proposait de m'emmener pour une séance d'essai. Il précisa gentiment "des essais seule, mais peut être aussi avec moi". j'eux brusquement un coup de chaud. Je fis semblant d'hésiter. En fait je sautais sur l'occasion… Laurent … Laurent et sa formidable pine ! Puis donnais mon accord. Il passerait me chercher le samedi après-midi suivant. Je posais quand même quelques questions, vêtements ? Maquillage ?
"Une paire de bas suffira ! Pour le maquillage et la coiffure nous avons une spécialiste" me fut-il répondu… l'affaire était entendue !
Il vint me chercher comme convenu, m'embrassant légèrement sur les lèvres pour me dire bonjour et me rassurer en disant :
"Ne soit pas inquiète tout se passera bien et puis avec toi … ce ne sera pas uniquement professionnel….
"
Je me demandais quand même comment tout cela se passait. En arrivant au studio, je fus un peu surprise. Je m'attendais à avoir des monstres pervers. Pas du tout, il y avait là deux hommes tout à fait ordinaires. Dans la rue, je ne sais pas si je les aurais remarqués. Il y avait JT le patron et son assistant, José. Il y avait aussi une jeune femme blonde plutôt jolie, la maquilleuse. Laurent me la présenta comme sa copine Stéphanie…. J'avoue avoir été déçue, je pensais faire de Laurent mon nouvel amant… raté ! Elle m'invita à m'asseoir pour me préparer. Elle fit cela bien, elle était douée. En me regardant dans le miroir, je me trouvais pas mal. C'est vrai qu'elle avait utilisée une palette de couleurs différentes des miennes pour me maquiller. C'était bien aussi. Laurent et JT trouvèrent aussi le résultat satisfaisant.
"Allons y !"
Dit simplement JT. Je me trouvais au pied du mur. Il me fallait me mettre nue devant tout le monde. Je pris mon courage à deux mains, et puisque après tout j'étais là pour cela je me déshabillais. Les regards convergèrent vers moi et JT et son assistant parurent soulagés par leur examen. La séance commença. Portrait tout d'abord sous différents angles, puis je dus prendre un air prometteur, puis sortir ma langue et me lécher les lèvres. JT était très pro et faisait tout pour me mettre à l'aise, me complimentant, me rassurant. Il me fit prendre toutes sortes de poses puis décida de me photographier plus intimement. Il fit quelques clichés de ma chatte et décida d'en rester là. Nous fîmes une pause pendant laquelle un peu surprise, je vis Stéphanie en train de masturber Laurent. José crut bon de me préciser :
"Elle le prépare, il va faire quelques clichés avec toi…."
Effectivement, il était bien "préparé" et bandait comme un taureau. Ce que voyant JT réclama :
"Allons-y les s !"
Laurent me prit par la taille et me fit pivoter face au photographe. Il se mit dans mon dos et m'embrassa dans le cou tout en me caressant les seins.
Le flash brilla quatre ou cinq fois. JT donnait des ordres :
"Bon, allez la pipe maintenant ! Annick la langue d'abord…. Sur le gland, ouiii comme ça… bien ! LE dessous maintenant… ok … toujours avec la langue…. Bieeennnn les couilles aussi !"
Cela me faisait tout drôle de me laisser guider et de ne pas prendre d'initiative. Mais bon, je m'exécutais. Ah oui un détail… je vis que depuis la dernière fois Laurent était épilé complètement. Je sus plus tard que c'était la mode chez les hardeurs et comme de toutes façon, il n'était pas extrêmement velu…. En attendant c'était tout doux ! La séance se poursuivit, je pus enfin le prendre dans ma bouche mais sans faire trop de mouvement pour éviter le flou. JT continua de nous diriger :
"Laurent tu la prends maintenant… un peu de tout, tu as l'habitude…."
Il me pénétra délicatement dans plusieurs positions. Il y eu même des gros plans. JT décida de conclure la séance :
"Bon on finit ! Allez l'éjac ! Annick, Laurent éjacule sur ta figure ok ?"
"Ok !"
Je m'agenouillais devant lui. C'est lui qui se branla devant moi. Pas question que je le suce, il ne fallait pas abîmer le dessin de mes lèvres. Il me souffla :
"Ça vient !"
J'ouvris la bouche en grand. Il m'arrosa le bas du visage. Un ou deux gros plans supplémentaire et la séance se termina. Stéphanie me tendit un kleenex et un peignoir. JT vint vers nous et prit la parole :
"Je crois que ce n'est pas mal ! Il faut que voit cela attentivement mais ça me paraît bien ! ça a été pour toi ?"
"Oui, oui pas de problèmes !"
"Je t'appelle pour te dire si c'est bon pour moi et je t'envoie une série. Si tu es ok nous pourrons faire d'autres séries. J'ai beaucoup de demandes en ce moment. Laurent t'as mise au courant ?"
"De….?"
"Ce n'est pas ment avec lui que tu poseras. Parfois il y aura deux ou trois acteurs, peut être aussi des femmes cela ne te gêne pas ?"
Je fis une moue voulant signifier que cela me convenait.
J'avais fait cela par fanfaronnade. En fait je pensais ne faire cela qu'avec Laurent….
"Ah et pour le tarif ! Laurent t'as dis aussi ? Non !... voilà il y a deux tarifs. Un tarif haut, je suis propriétaire des clichés et les vends ou je veux y compris internet. Un tarif bas ou les photos ne sont diffusées qu'un cercle restreint de personnes. Si j'ai besoin d'en publier, je demande l'autorisation au modèle. Tu as une préférence ?"
Comme je ne faisais pas cela pour l'argent, je choisis la seconde solution, comme toi. JT ajouta quand même :
"Bon ok ! C'est comme tu veux ! Remarques, elles sont souvent meilleures… plus hard !"
Tout me paraissait bien ordonné. J'escomptais sur cette occupation nouvelle pour me faire des relations, plus durables. Je m'étais rhabillée et Stéphanie me proposa de me démaquiller, ce à quoi Laurent s'opposa arguant que "j'étais très belle ainsi !". Avant de me raccompagner ils me proposèrent de venir prendre un pot chez eux. Une fois installés, nous reparlâmes de la séance de photos. De l'avis de Stéphanie, habituée, JT avait content de moi. je me sentais un gênée devant elle. Elle s'en aperçut et en riant me dit :
"Arrête de faire cette tête, je ne suis pas jalouse depuis le temps ! J'ai même vu que tu avais envie de le sucer, et après sacrément envie de te faire sauter… je ne me trompe pas ?"
Je fus obligée d'admettre. Elle me dit "qu'elle avait l'œil" et elle voulut "me confier quelque chose". D'après elle, Laurent en avait également copieusement envie. Il ne trouva rien de mieux que de confirmer. Tout cela prenait une drôle de tournure jusqu'à ce que Stéphanie clarifie les choses.
"Bon !... on ne tergiverse pas ! Annick en a envie, Laurent en a envie… et je ne suis pas contre, alors ! Vas-y Annick, suce-le… tu l'as déjà fait il m'a tout raconté !"
Il y eu un moment de silence, bien long… bien lourd…. Doucement, Laurent s'approcha, me passa un bras autour de la taille et m'attira à lui pour m'embrasser. Je me laissais faire lâchement. Tout en m'embrassant il me prit la main et la posa sur sa braguette. Je la défis et sorti son sexe. Quel membre quand même !... il posa sa main sur ma nuque…. Je compris et voulu m'incliner. Stéphanie nous arrêta :
"Attends Laurent !... ça ne va pas ! Pas comme cela !... déshabilles-là au moins !"
En moins de temps qu'il faut pour le dire mon chemisier me fut enlevé. Laurent me fit mettre debout devant lui, fit glisser ma jupe et me déposa un baiser sur le pubis. Se mains pesèrent ensuite sur ma taille. Je compris et m'agenouillais tournant le dos à Stéphanie. Je me mis à piper la grosse bite. Au bout de quelques minutes je sentis des mains se poser sur mon dos. Puis un corps se coller contre moi. Ce corps était féminin, il avait des seins. Il avait des seins et était nu. Visiblement Stéphanie en croquait aussi…. Elle mit à me caresser les flancs, passa les bras sous moi pour s'occuper de mes seins avec talent. Une de ses mains vint même se faufiler entre mes cuisses pour vérifier ma moiteur. Elle me fit délaisser le sexe son ami pour me faire tourner la tête et ma rouler une pelle bien goulue, bien comme je les aime…. Elle m'encouragea ensuite à l'absorber à fond, appuyant bien sur ma tête. Jugeant que je pouvais m'améliorer elle me fit une démonstration de ce qu'elle pouvait faire. Diable !... je me demandais jusqu'où cela pouvait lui rentrer…. Elle m'exhorta à en faire de même. Je fis de mon mieux…. M'attirant tendrement à elle me demanda si je voulais me faire baiser. Comment donc ! Elle m'invita à le chevaucher. Dieu que c'était bon de se faire emmancher ainsi ! Surtout qu'elle n'était pas inactive. Debout derrière moi elle m'embrassait ou me suçait la langue. Par-dessus mon épaule, elle faisait pareil à Laurent. Sa bouche et ses mains descendaient ensuite le long de mon dos. S'agenouillant elle manipulait ou léchait les bourses de son chéri. Sa langue vint même s'immiscer dans ma raie et un doigt fut encore plus précis et s'enfonça en moi. C'est ce qui me fit jouir une première fois ajoutant un peu de perversion à mon désir trop longtemps contenu. Assisté par elle et chevauchant Laurent je pris une autre fois du plaisir avant qu'il ne se répande en moi en grognant.
"A moi maintenant !"
C'est ce que j'entendis, à peine eus-je quittée le sceptre impérial. Elle me renversa sur le canapé en se mit en sur moi la tête entre mes jambes… et inversement. Un tourbillon de jouissance nous emporta dans ce délicieux soixante neuf. J'y prenais vraiment goût….
Quand je te vois, je sui bien contente d'y avoir goûté… embrasses-moi….
Après cet échange, je me sentais bien détendue, presque dolente. Stéphanie vint me prendre dans ses bras :
"Tu sais que Laurent t'aime bien ? Il me l'a dit. Pourtant il a un regret !"
"…"
"Mais si… cherche un peu ! Il voudrait ton cul !"
"Impossible !... vraiment… nous avons essayé… il est trop gros !"
"C'est parce que tu étais trop nerveuse…. Essaye encore, je t'aiderais ma chérie…."
Laurent se joignit aux requêtes, précisant au surplus, que lors des séances de photos la sodomie allait de soit… et qu'il me faudrait en endurer des, au moins, aussi grosses… alors ! Alors, je me laissais amadouer pour une tentative. Ils m'emmenèrent dans leur chambre et Stéphanie officia. Langue, doigts, un, deux puis enfin trois m'élargirent. Elle me dilata bien comme il faut et lui annonça :
"Vas-y elle est prête ! Fais doucement quand même !"
Il fit comme demandé et de plus très, très lentement, marquant des temps d'arrêts. Le mon sphincter avait résisté puis vaincu avait abandonné le terrain à l'ignoble hampe de chair. Doucement il avançait en moi. il eut deux ou trois à coups un peut plus sec comme s'il voulait me faire savoir qu'il m'enculais à fonds et ne bougea plus. Stéphanie me congratula, je l'avais pris entièrement dans le cul. Je regardais sous moi… effectivement ! Le reste fut plus classique, tu sais comment cela se passe. Il se mit en mouvements qui allèrent crescendo, Stéphanie me taquinait le bouton. Là aussi je jouis deux fois avant d'avoir la peur de ma vie au moment ou lui aussi atteignait le plaisir. Il enfla tellement que je crus la dernière heure de mon conduit arrivée. Plein le cul… comme je ne sais plus qui, je n'emploierais plus cette expression. Ou alors en pensant bien à ce jour. Quand il décula je crus qu'il me manquait un morceau de moi-même. Ils étaient radieux tous les deux. Je l'étais aussi et usée…. Je les revus deux jours plus tard. Ce furent eux qui amenèrent les photos. Stéphanie tint à ce Laurent perfectionne son entrée en matière. Ce soir là il m'encula deux fois et me fit crier… de bonheur.
Les photos n'étaient pas mal du tout. En fait j'avais presque du mal à croire c'était moi. Une carte accompagnait le tout. JT était convaincu et allait me contacter de nouveau. Il eut une séance avec Laurent, puis une avec Laurent et Stéphanie qui de temps à autre posait un peu. La troisième fois il y eut deux inconnus très membrés comme il fallait s'y attendre. J'eu droit à un double…. La quatrième il y avait un des deux derniers plus un autre homme velu comme un singe et une femme. C'est là que fis connaissance de Marie-Agnès, une habituée des photos et aussi des vidéos. Ce fut très fatiguant et tendu car en plus des habitués il y avait deux hommes qui observèrent le tout. Cela m'embêta. Pourtant ce fut l'un deux qui me raccompagna. En me déposant chez moi il me dit avoir été ravi d'avoir fait ma connaissance et qui espérait me revoir un jour peut-être. Il eut le tact de ne pas parler de ma prestation photographique. Je lui en sus gré… si bien que deux jours plus tard j'acceptais son invitation à dîner. Il m'avait téléphoné9 et je faillis ne pas le reconnaître, il s'était présenté ainsi "Bonjour Madame… Docteur D….Docteur Fred D… je vous ai raccompagné l'autre soir…."
Il m'invita chez Hervé…ambiance propice garantie…. Fred se montra sous un jour particulièrement brillant. Enjoué, charmant, charmeur…je ne pus faire autrement que de lui proposer un verre quand il stoppa devant chez moi. Il hésita puis accepta. Je le fis passer au salon et allais à la cuisine chercher verres et glaçons. Je revins avec un plateau et j'allais passer l'embrasure de la porte quand j'entendis :
"Stoooooop !"
Interdite je m'immobilisais et dévisageait Fred.
"Chère Annick, vous plaisantez…. Vous faites une faute de goût terrible ! Vous avez toujours votre robe ! Enfin !... a quoi pensez vous ? Quand une femme invite un homme a prendre un verre, c'est nue qu'elle doit revenir…. Voulez vous bien vous magner…. Allez vite !... à poil, vous m'entendez…. A POIL !"
Il avait dit cela d'une manière sans réplique et avait haussé le ton pour terminer. Statufiée par tant d'audace, j'obéis sans réfléchir et défit ma robe. Devant mon hésitation, il continua de plus belle :
"Oui… bien !... allez, le reste ! Pressons, pressons !"
Mécaniquement je fit sauter l'attache du soutien gorge et l'ôtais puis je passais les pouces dans la cordelette de mon string et fit de même.
"Ça ira comme ça ! Vous pouvez garder le reste !"
Comme je restais ainsi comme une idiote, les bras ballants, pas encore revenue de ma surprise, il m'apostropha :
"Alors ce verre… reprenez vous ! Venez vite nous servir !"
Je le ramassais et vint le servir. Je me servis à mon tour et il me fit signe de venir près de lui. Il porta à un toast " A notre rencontre et à nos amours… qui seront torrides…. Croyez-moi !". Il me parlait comme s'il avait déjà fait ma conquête. Mais qu'est ce que je raconte, il avait DEJA fait ma conquête ! Je m'étais rendue compte que j'aimais bien, en fait, me laisser dominer par un homme. Avec lui c'était encore pire. Il m'avait déjà asservie avant de me toucher. Note bien après ce qu'il m'avait vu faire chez JT…. Il n'empêche que très tranquillement, il se leva ouvrit son pantalon, sortit son sexe et laissa tomber laconiquement :
"Suce !"
Effectivement, pas besoin d'en dire plus. Moi qui me faire des relations…. Je mit un soin particulier à bien faire ma bouche se fit douce, ardente, complexe… ma langue se fit velours, enduisant bien cette belle bite de salive pour qu'elle coulisse parfaitement entre mes mains. Bref je fis cela bien ! M'ayant laissé faire un instant, il anticipa :
"Je vais te jouir dans la bouche !"
"Oui… donne moi tout !" Réclamais-je.
Je fus servie et bien servie. Déjà qu'il était bien monté, oh, pas comme Laurent et ses collègues, mais quand même au dessus de la moyenne, il éjaculait abondamment, même au bout de plusieurs fois. Un peu comme Bertrand. Tu as raison de dire qu'il sont un peu jumeau quelque part. quand j'eu tout avalé, il me prit dans ses bras et à ce moment là seulement, il daigna m'embrasser après quoi, il me retourna et me fit m'agenouiller sur mon propre canapé en disant :
"Je vais te prendre !"
Je miaulais un "ouiiiiii… prends-moi…."
Sans fioriture, il s'introduisit en moi et se mit à me tirer fantastiquement. Je crus que j'allais jouir, il était habile …. Il stoppa et dit :
"Tu as un cul fantastique ! Je ne peux pas attendre ! Je vais me le faire !"
C'est vrai que pendant qu'il me baisait, il m'avait caressée de partout y compris entre les fesses. Il prit sa queue en main, la dirigea contre mon anus et insista sur ce dernier en pesant puissamment. Hop !... mon anneau s'ouvrit devant la sollicitation très ferme de son envahisseur. On a beau dire, tu penses comme moi, qu'est ce c'est bon de se faire enculer par un type qui sait bien s'y prendre…. Fred, tu le sais aussi maintenant faisait partie des gens chevronné dans cet art. Il me fit jouir magnifiquement, prenant bien son temps pour m'extirper toutes les miettes et toutes les ondes de désir et de plaisir. Un peu plus tard ce fut sa queue qui versa quelques larmes d'émotions au fond de mon petit cul douillet.
Quand nous eûmes repris un peu conscience de la vie autour de nous, il me demanda comment je concevais l'avenir. Je ne compris pas bien. En fait il voulait savoir si j'étais avec quelqu'un. Une fois que je lui eus répondit négativement il me proposa :
"J'aimerais énormément vous revoir. Vous baisez délicieusement bien !... et puis j'adore les femmes qui se laissent sodomiser à la première rencontre…."
Je répondis que moi aussi, j'aimerais beaucoup le revoir et que j'avais beaucoup apprécié son savoir faire….
Il me donna rendez-vous à son cabinet deux jours plus tard à 14h45. Une fois qu'il fut partit je me demandais pourquoi cette heure si précise. Je pris une journée de congé et à l'heure dite je sonnais au cabinet médical. La porte me fut ouverte automatiquement et je rentrais. Décontenancée, je fus. A la réception se trouvait une sorte de bimbo, blond-pute qui me salua.
"Bonjour Madame, vous avec rendez-vous ?"
" Bonjour Mademoiselle, effectivement j'ai rendez vous avec le Dr D à 14h45…. Madame L…."
Elle me regarda l'air… je dirais… intéressé… et me confirma le rendez vous. Elle me fit passer dans la salle d'attente ou se trouvaient deux personnes. Qu'est ce tout cela signifiait ? D'autres patients arrivèrent, visiblement il avaient rendrez-vous après moi. Les deux premiers furent reçus. Et la bimbo vint me chercher et me fit passer dans le cabinet. Fred se leva vint vers moi et me prit dans ses bras.
"J'avais envie de te prendre ici, viens vite !"
Je me retrouvais nue vite fait et étendue sur son bureau. Il me prit très virilement. Nous avions tous deux envie de cette étreinte qui nous fit jouir le plus silencieusement que nous pûmes pour ne pas choquer la clientèle. A l'issue il me dit :
"Je vais te prendre par tous les bouts aujourd'hui ! Tu vas retourner dans la salle d'attente, Virginie viendra te chercher ! Remaquilles-toi vite, mais laisse tes affaires ici tu ne les reprendra que ce soir… ton manteau te suffira bien."
Je fus vite éconduite par la bimbo qui me fit à nouveau rentrer dans la salle d'attente. Les clients eurent l'air surpris de ce retour. Je tentais de justifier ce retour par "un besoin d'examen complémentaire…". Il y avait trois personnes. J'attendis patiemment. N'empêche que… tu connais ce genre d'endroit, il y règne une chaleur…. Tout à l'heure j'avais retiré mon manteau. Mais maintenant… j'étais bien obligée de le garder, en apparence, frileusement fermé et serré contre moi. Je me sentais transpirer comme ce n'était pas possible. D'ailleurs une dame, devant la sudation de mon front, me conseilla de le retirer. Je fis un signe de dénégation. Elle en conclut que j'avais une sacrée fièvre. Fièvre ou pas, il y avait un endroit qui était bien chaud… brûlant… et lui il ne transpirait pas, il suintait… le foutre de Fred et ma mouille. Inutile de te dire combien j'étais mal à l'aise. Deux personnes passèrent. La bimbo revint en disant :
"C'est à vous madame L !" et se tournant vers l'autre dame elle la rassura :
"Ne vous inquiétez pas Madame E, ce ne sera pas long !"
Elle me fit rentrer dans le bureau de Fred qui de suite m'ordonna :
"Viens vite me sucer !"
Je jetais mon manteau et fit le tour de son bureau. Il avait déjà la bite à l'air. Je me jetais dessus et le pompais. Ce que je n'avais pas remarqué c'est que la bimbo ne s'était pas éclipsée, et que très tranquillement elle assistait au spectacle que je donnais. D'ailleurs Fred la fit confortablement asseoir et ne manqua de lui commenter mon savoir-faire. C'était très gênant. L'autre avait dit : " Ne vous inquiétez, ce ne sera pas long !". Effectivement Fred excité pas la situation éjacula vite. Je dus à nouveau me remaquiller puisque Fred m'indiqua "que j'avais encore un rendez-vous en fin de soirée". Avec une fausse obséquiosité, la bimbo me pria :
"Par ici, si Madame veut bien me suivre".
Je me retrouvais à nouveau dans la salle d'attente avec trois nouvelles personnes. Mon calvaire reprit. Pire encore car je n'avais pas bu après…. J'avais un goût permanent de semence sur la langue. Je me sentais horriblement confuse. J'avais l'impression que tout le monde percevait les effluves de foutre. Un à un les patient disparurent… ouf ! Un de calme avant le retour de la bimbo. Un peu après elle ouvrit la porte du cabinet et me lança :
"Si Madame veut se donner la peine…. Vous connaissez le chemin !"
Non mais pour qui se prenait-elle. Fred me dit :
"Ah ! Tu es ma dernière cliente…. "
Puis il s'adressa à l'autre :
"Virginie, je termine de rédiger cette ordonnance… prépare-lui le cul pendant ce temps là !"
Il avait vraiment le don de me subjuguer…. Elle me fit signe de la rejoindre, je la suivi. Elle me prit mon manteau avec des gestes doux et me demanda de mettre perpendiculairement à la table d'auscultation. Elle m'y fit poser le buste et passa derrière-moi. Elle pris une noisette de gel et commença à me masser la raie et l'anus qu'elle pénétra. Au bout d'un petit moment elle héla Fred :
"Docteur !... elle est prête !"
Je l'entendis arriver. Ce fut encore elle d'un ton empreint, je crois, d'une certaine jalousie :
"Madame est souple de cet endroit, vous n'allez pas vous ennuyer !"
C'est sous son regard que Fred m'embrocha jusqu'à la garde et se mit à me besogner. A ma grande stupeur (encore une fois), il proposa à l'autre :
"Virginie, veux tu te faire brouter la chatte ?"
"Merci beaucoup Docteur… autre fois peut être…. Ce soir je suis attendue, d'ailleurs, si vous n'avez plus besoins de moi !"
"Non, non vas-y…. si Jean-Paul est libre tu me l'envoie"
Pendant tout ce dialogue, il n'avait pas cessé de me pistonner.
Peu de temps après j'entendis une porte s'ouvrir. Un homme en blouse blanche était là Fred s'adressa à lui :
"Veux tu te faire sucer ? Je te le conseille… c'est une pipeuse de première !"
L'homme ne se le fit pas dire deux fois, ouvrit sa blouse et son pantalon et me présenta sa queue. Emmanchée comme je l'étais, je ne pouvais pas faire grand-chose d'autre et puis de toute façon…. C'est ainsi que je dus faire une pipe au dentiste pendant que le médecin m'enculait inexorablement. Par la suite, j'eus droit à quelques visites qui ne se limitèrent pas à un point de vue strictement dentaire. Avec la bimbo qui faisait office de secrétaire (très, très particulières) commune au deux praticiens ils me firent essayer ces fabuleux sièges de dentiste. C'est fou comme ils peuvent être vraiment parfait pour d'autres activités….
Quoiqu'il en soit à l'issue de cette visite médicale Fred me surprit encore. Tout bonnement, il me demanda de devenir sa maîtresse et d'habiter avec lui. Sans doute pour achever de me convaincre, il ajouta
"J'aurais ainsi plus le temps de continuer à te pervertir…."
Avec un frisson sulfureux qui me parcourut de la tête au pied j'acceptais… avec joie. J'avais ce don j'avais, en fait, longtemps rêvé un amant amoral et tordu qui allait me soumette à tous les outrages et toutes les perversités érotiques que lui dicteraient son imagination et ses caprices. Je ne fus pas déçue… et ne suis toujours pas !
C'est toi qui l'avais surnommé "le vicieux". Comme tu avais raison, il l'est toujours… et j'adore.
Avant que nous mettions en ménage il mit au point nos règles de vie. C'était simple… il me voulait ouverte (…) et disponible… pour ses amis et autres…. Il me voulait intensément salope… oui, oui tu as raison…comme nous le sommes toutes. J'eus, en définitive, la vie dont j'avais rêvé. Tout d'abord, je ne dus pas stopper mes activités photographiques… loin de là. Et pour me permettre de les accen il me fit démissionner. Sa situation lui permettait de m'entretenir. D'épouse modèle, je passais en peu de temps et quelques péripéties au statut de femme entretenue. De photos il fallut que je passe à vidéos il aimait me voir baisée par d'autres. Ils sont tous pareil ! Et en plus ils se les repassent mutuellement, d'ailleurs j'en ai vu de toi…. Il en envoya même sur le net. Je te donnerais les adresses, si tu me jures la plus infinie discrétion. La suite de mon histoire ressemble ensuite à la tienne. Il y eut ses amis par deux ou trois puis quand il fut convaincu de mes bonnes disposition il m'envoya chez Charles. Là, tu connais, pas besoin de te faire un dessin. En plus il m'autorisait des sorties ou des soirées chez d'autres. Par exemple chez Jean-Charles et Marie-Hélène pour le même genre de soirée ou tu es invitée. C'était avant que nous y allions toutes les deux. Je vais aussi de temps à autre au restaurant d'Hervé….
Bref, ma chérie, je me sent bien, très bien, très, très bien embrasses-moi !....

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