La Directrice Forme Une Petite Jeune Chap Iii

Elle se relève, me passe une main dans les cheveux en me souriant.
- Tu es timide toi, avec les femmes, laisse moi te montrer et elle me couche à mon tour sur le bureau, ses mains partent immédiatement à la découverte de mon corps.
Elle m’embrasse partout sur le visage puis léchant le cou en descendant vers ma poitrine qu’elle masse des deux mains, elle déboutonne mon chemisier et fait jaillir mes seins de mon soutien-gorge, comme moi avant, elle me tète les bouts, me caresse les mamelons avec sa langue et ses doigts, une main est sur mon ventre, sa bouche descend aussi, elle s’approche de mon nombril et le titille, sa main passe sous la ceinture de ma jupe, elle effleure mon bas ventre, je sursaute tant la sensation est explosive.
Maintenant, elle se met debout devant moi et me caresse les cuisses, quand elle passe à l’intérieur, ses mains cherchent à me les écarter, je les ouvre alors, elle retrousse ma jupe jusqu’au slip, contemple un instant mon entrejambes et se baisse pour poser son visage sur le tissus qui couvre ma motte, je l’entends respirer très fort en frottant son nez sur ma culotte trempée.
- Tu sens bon, petite fille, tu sens le plaisir féminin et un peu le pipi.
- Je peux aller me rafraîchir si tu veux ?
- Non, j’aime le mélange de ces deux parfums intimes, ton odeur m’excite, je vais te laver avec ma langue et ma bouche.
Elle m’écarte les cuisses largement, les replies vers moi et lèche ma culotte du matin, du haut du pubis jusqu’à la naissance de la raie des fesses, elle le fait avec des grands coups de langue, comme quand on mange une glace qui fond au soleil, elle ne veut pas en perdre une goutte et plus elle lèche, plus je mouille, jamais je n’aurais laissé un homme sentir mes odeurs intimes comme cela mais là, entre femmes, je comprend qu’elle les connaît, elle a les mêmes, elle sait que je n’ai pas eu le temps de prendre une douche et pourtant elle me renifle avec plaisir, me lèche le fond de la culotte, je me demande si je lui ferais pareil, si j’accepterais les parfums musqués de sa vulve et de sa raie, il m’est arrivé d’être excitée par mes propres odeurs pendant mes séances de masturbation, souvent, j’ai remonté mes doigts à mon nez et les parfums que je découvrais dessus amplifiaient mon excitation même l’odeur de celui que j’avais introduis dans mon anus me rendait folle.

Maintenant, elle a écartée le tissus et me lèche partout, les grandes lèvres, les nymphes, entre les deux, elle me suçote le clitoris et descend le long de ma fente en remontant dans ma raie, sur mon petit trou qu’elle lape puis refait le chemin inverse, plusieurs fois de suite, elle sait y faire, je commence à avoir les tremblements qui précède l’orgasme.
Elle s’est arrêtée pour me déshabiller entièrement puis elle aussi enlève ses vêtements, sa poitrine est très forte, belle de rondeurs, elle à peu de hanche mais elle me montre ses fesses quand elle enlève son slip, elles sont en goutte d’eau et quelques poils folâtres émergent de sa raie, devant, un buisson noir et frisé cache son sexe, nue, avec ses beaux cheveux longs, elle est très désirable, j’ai envie d’elle, je vais lui faire ce qu’elle me fait.
Elle s’allonge sur le bureau à côté de moi, elle me regarde, je la regarde, une main part entre mes cuisses, directement sur ma chatte et elle commence à me branler, je fais de même, j’envoie ma main à la découverte de son sexe, mes doigts fouillent dans sa toison, je passe sur son bouton d’amour et je rencontre sa vulve ouverte et trempée, je caresse les lèvres, les frotte un peu et glisse dans sa raie, la sienne est comme la mienne, non épilée, des petits poils frisés la parcourt, je trouve son anus au milieu, humide et tendre, souple même, le mien est plus serré, elle a du jouer avec souvent pour ne pas être contracté comme moi, il m’est arrivé de m’introduire un doigt pour voir, pendant mes masturbation et j’ai eu du mal au début, l’appréhension, l’éducation, la peur du sale, m’empêchais d’aller plus loin dans mes attouchements rectaux, malgré le plaisir que je ressentais, je ne me suis jamais mise un gros truc dedans et j’ai toujours refusé la sodomie à mes copains, je suis encore vierge de ce côté-là et bien là, quand j’ai senti son doigt toucher ma rosette, je ne suis pas contractée.
Elle relève la tête, je crois qu’elle vas me dire quelque chose parce que j’ai touché son anus mais non, elle me roule une pelle en entrant des doigts dans mon vagin, j’écarte largement les jambes, elle me fouille et pose son pouce sur mon clito qu’elle masse en rond, j’aime cette caresse, je mouille intensément, les bruits de succion que font ses doigts dans mon sexe, me font un peu honte mais nous sommes entre femmes et elle comprend cela, je me sent libérée de mes tabous avec elle.

- Viens sur moi, dit-elle, en me saisissant par les hanches pour me faire comprendre de me retourner, elle fait passer une de mes jambes par-dessus sa poitrine et je me retrouve à cheval sur son buste, elle veut la position du soixante- neuf, je ne l’ai faite qu’une fois dans ma vie amoureuse et j’ai été gênée d’exposer ainsi toutes mes parties intimes à mon copain de l’époque, je serrais les fesses et les cuisses pour qu’il ne voit pas mon anus et du coup il ne pouvait pas me lécher partout et puis je me disais qu’il allait sentir mes odeurs et peut être ne pas aimer, j’avais des angoisses la dessus malgré mon hygiène incontestable, je suis une fontaine quand je me masturbe et ça non plus, je ne voulais pas qu’il le voit, il aurai pu croire que je lui pissais dessus, ça a été plutôt la « cata » qu’autre chose, à part la fellation que je lui ai faite.
- Donnes moi tes fesses, dit-elle en positionnant mon entre jambe au dessus de sa bouche, tout de suite, je sens la chaleur de son souffle sur ma fente et j’écarte les cuisses pour recevoir ses caresses buccales, je n’ai aucune retenues, je me frotte sur sa bouche, je ne serre pas les fesses et bientôt sa langue remonte dans ma raie poilue.
- Tu sens bon, petite fille, tu sens le plaisir et la pisse, j’aime ta chatte velue, je vais te la manger et boire ta jouissance, mange moi aussi.
Tout en me parlant, elle a remontée ses cuisses sous mes bras, de cette façon, elle m’offre une vue panoramique sur sa chatte et ses fesses ouvertes, sa vulve est rouge vif, les petites lèvres dépassent les grandes comme des escalopes, je vois que son anus brunâtre est entrouvert et humide comme son sexe, je me baisse pour embrasser son nid à plaisirs, je la renifle en même temps, ses odeurs intimes me saoulent, elle aussi sent un peu le pipi mais surtout la mouille du désir, dans sa raie, le parfum est plus fort, musqué, et pourtant je suis attirée et je pose ma bouche sur sa vulve pendant qu’elle me bouffe la chatte comme une furie.
Plus je la lèche, plus j’ai envie de son sexe et de sa mouille, je lui écarte les lèvres et je trouve son clito, raide, dépassant d’un bon centimètre, je le suce comme on suce une bite en lui rentrant deux doigts dans le vagin puis je retire mes doigts lubrifiés pour les lui enfoncer dans l’anus, l’un après l’autre puis les deux ensemble, elle pousse un râle de plaisir, je lui fais ça parce qu’elle me fait ça et que ses caresses me donnent du plaisir, elle a mis un doigt dans mes fesses et c’est rentré comme dans du beurre, je me suis surprise à pousser pour qu’il rentre plus profond, elle a interprétée mon attitude comme une demande et aussitôt, elle a rajouté un deuxième doigt dans mon sphincter tout en me suçant le cornichon, je l’ai sentis passer mais presque sans douleur, le plaisir de son cunnilingus associé à la pénétration anale m’a fait découvrir de nouvelles sensations et me rapprochent de l’orgasme, mes miaulements, mes râles de plaisir, la prévienne de ma jouissance proche.
- Jouis, petite fille, jouis sur moi, dans ma bouche, donne moi ta liqueur de plaisir
Je sais que je vais gicler en jouissant, qu’elle vas recevoir mon liquide en plein visage, mais ça ne me gêne plus, rien que cette idée de lui faire dans la bouche me rend folle.
Je retiens mon orgasme montant encore quelques secondes et je me laisse aller sur elle en criant et pleurant de joie et de plaisir, je l’entends qui boit tout, qui suffoque, qui dit des mots incompréhensibles, elle me doigte le cul profondément et avale mon clito par succion tout le temps de ma jouissance, plusieurs spasmes m’agitent et à chaque fois une giclé l’asperge, elle jouit aussi à ce moment, du moins je crois car je tourne de l’œil, c’est trop fort, trop intense.
Quand j’ouvre les yeux, elle est là, à me regarder, fumant une cigarette en s’essuyant les doigts, je ne sais pas combien de temps je suis restée comme cela et maintenant, je suis de nouveau gênée car mon anus me rappelle qu’elle a mit les doigts dedans et profondément en plus, je crains de les lui avoir souillés.

- Excuse- moi pour ça, c’est de ma faute, lui dis-je en montrant le mouchoir en papier qu’elle jette à la poubelle
- T’excuser, pourquoi donc ?
- Pour les salissures
- Pff, ce n’est rien petite fille, tu ne pouvais pas prévoir, je te ferais ce qu’il faut une prochaine fois
- Je me suis évanouie, je crois ?
- Oui, pas longtemps, rassures toi, l’émotion sans doute, tu n’avais jamais jouis comme cela avant ?
- Non, c’est la première fois et derrière aussi, c’est la première fois
- Tu veux dire que tu es vierge du petit trou ?
- Oui, à part un doigt de temps en temps
- Hé ben, tu en auras eu des cadeaux pour ta fête, hi hi hi
- Oui, encore merci pour ta gentillesse Eliane, et toi, tu as jouis ?
- T’inquiète pas petite fille, rien que de passer la soirée avec toi m’a donné du plaisir et en plus tu t’es bien débrouillée pour une première fois, j’ai pris un pied terrible, regarde le bureau dans quel état il est
- Houlla, vas falloir une serpillière pour éponger tout ça
- Oui, mais essuie toi les fesses avant et rhabille toi, on ne sait jamais
Elle s’approche de moi avec des mouchoirs à la main
- A moins que tu veuilles que je le fasse ?
- Oui, vas- y pour voir, je n’ai pas été essuyée par une femme depuis longtemps
Je lui tends ma croupe et elle m’essuie la motte d’abord puis, changeant de mouchoir, m’essuie la raie et l’anus avec douceur, pour finir, elle passe sa langue sur ma rosette.
- Voila, c’est propre, ton anus de pucelle est encore un peu entre ouvert mais ça va passer, si tu veux, je peux t’initier à la sodomie, cela t’apportera beaucoup de plaisir et si un jour tu veux offrir tes fesses à un homme tu seras prête ?
- Oui, apprend moi, apprend moi tout ce que tu sais sur le sexe, fais moi tout, je ferais ce que tu veux.
Nous nous roulons un palot de quinze et finissons de nettoyer, ce soir je dors chez elle et rien qu’à cette idée, ma culotte devient une vraie serpillière.

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