Élise Libertine 32 Le Voyage 1Ère Étape

Après une absence de plusieurs mois nous sommes heureux de vous retrouver pour reprendre le récit de nos aventures vécues et reconstituées grâce à nos photos et le journal de nos aventures libertines. Les dialogues reconstitués en fonction de nos souvenirs
Nous sommes à l’été 2003 Élise mon épouse a fêté ses 49 ans (elle en fait 10 de moins) et moi Alan 50 ans. Nous avons traversé une période difficile il y a quelques mois en raison de l’adultaire d’Élise. Après qu’elle ait mis un terme à la relation nocive avec son amant André, mon pardon pour cet écart et son engagement à ne plus jamais me cacher une aventure, nous sommes partis trois jours à Toulouse pour sceller nos retrouvailles. Depuis nous avons retrouvés une vie sereine et avons décidés pour l’été d’un petit voyage d’une semaine pour reprendre nos aventures libertines afin de satisfaire son hypersexualité et mon candaulisme. Élise m’a demandé d’être, dans un premier temps, l’organisateur de ces rencontres le temps que je reprenne totalement confiance en elle. Il ne me reste plus qu’à être à la hauteur dans les scénarios et le choix des partenaires que je vais lui présenter.
Je me suis attelé à la tâche et ai pris contact, par une revue d’annonces libertines de l’époque « S…. », avec plusieurs annonceurs hommes correspondant à nos désidératas. J’arrive à organiser un voyage itinérant dans le quart sud-est de la France pour quelques jours.
Nous partons vers 9h00 ce mardi matin du mois d’août pour Clermont-Ferrand. A l’arrivée vers 16h00 à l’hôtel Ibis pendant que j’effectue les formalités d’accueil Élise se rend aux toilettes j’en profite pour prévenir l’accueil de l’arrivée imminente d’un ami et demande de le laisser monter. J’envoie un SMS à Alain mon premier contact indiquant notre numéro de chambre.
Nous prenons possession de notre chambre Élise prend une douche je lui demande de mettre des vêtements sexy sans dessous. Je prépare mon appareil photo.
Dans ma poche mon téléphone vibre c’est notre visiteur qui s’annonce.

Pendant que ma belle se maquille dans la salle d’eau discrètement je sors dans le couloir accueillir mon invité. Il est bien conforme à sa description 1m75, corpulence moyenne brun cheveux courts, il est passé par le bar et tient un plateau avec une bouteille de champagne et trois coupes Je lui demande d’attendre quelques instants avant de frapper pour se faire passer pour le service amenant le champagne demandé.
Je retourne tout aussi discrètement dans la chambre et demande à ma douce si elle est prête. Elle sort de la salle d’eau elle est magnifique chaussée d’escarpins noirs avec sa fine minijupe rouge son petit haut en dentelle noir et son maquillage léger. Je lui pose un bandeau sur les yeux quand de légers coups sur la porte se font entendre. Je déplace Élise face à la porte et lance « entrez ».
Alain entre en annonçant « bonjour madame monsieur voici votre champagne». Je lui demande de poser le plateau sur le bureau. Puis il fait semblant de partir et ferme la porte.
- Élise : « il a du faire une drôle de tête en me voyant ainsi vêtue les yeux bandés »
- Moi « Bien sûr il s’est rincé l’œil mais ce ne doit pas être la première fois qu’il voit cela. Maintenant je vais m’occuper de toi tu dois faire tout ce que je vais te demander pour mériter une petite coupe»
Je fais signe à Alain qui s’approche doucement derrière elle. Il pose ses mains sur les épaules de ma femme il commence à la caresser par-dessus ses vêtements. Les mains glissent sur les seins ses doigts jouent avec les tétons érigés. Ses mains descendent sur le ventre collent la minijupe sur la chatte qu’il empoigne à pleine main.
Elise «Chéri ne me fait pas languir embrasse-moi »
Je fais signe à alain de passer face à elle pendant qu’il se déplace je prends la main de ma chérie et dis: « n’oublie pas que c’est moi qui mène le jeu tu dois me laisser faire et ne penser qu’à ton plaisir»
Elle « mon amour tu me rends folle ! Les yeux bandés je ressens tes caresses différemment tu m’excites j’ai envie de toi »
Moi « soit patiente cela va venir »
Alain se met à genou face à elle pose sa bouche sur le fin tissus rouge à hauteur de la chatte ses deux mains se glissent sous la jupette et viennent se poser sur les fesses nues.
Il plaque ainsi la chatte sur sa bouche, son haleine chaude traverse le tissu pour caresser la chatte.
Elise n’en peut plus « chéri c’est bon la chaleur de ton souffle sur ma chatte mais j’ai envie de ta langue »
Alain la lâche et s’écarte pour que je réponde
- je prends les deux mains de ma moitié « alors soit ! Recule doucement, allonge toi sur le lit et profite »
Elle recule au contact du lit elle s’assied puis se laisse tomber en arrière offerte à la caresse. Elle attend avec impatience. Alain se positionne à genoux ses mains remontent des chevilles sur les mollets puis les cuisses en direction de la chatte. En arrivant à la minijupe il rabat l’étoffe rouge sur la taille de la belle afin de dégager l’accès visuel et physique au sexe surmonté d’un petit triangle châtain bien dessiné.
Offerte en toute indécence les lèvres sont luisantes de mouille mon complice caresse du bout des doigts les pétales de cette fleur baignée de rosée puis le clito bandé qui est déjà dégagé de sa coiffe. Son index virevolte sur le petit organe et, rejoint par le pouce commence à le branler. La libertine réagit à la caresse en tendant son ventre vers son branleur. « Ouii !chéri continue ... !!!»
Je me place à hauteur de mon invité et annonce « je fais une petite pose pour me mettre nu patience chérie profite en pour retirer ta jupe et ton petit haut» le visiteur se met nu laissant apparaitre un sexe bandé de bonne taille (nettement supérieur au mien qui est très en dessous de la taille moyenne).
Il contemple le corps nu de ma coquine qui allongée attend.Il reprend ses caresses son index et son majeur s’introduisent dans le puit lubrifié pour quelques allez retour qui font gémir de bonheur la femelle. Elle attend ce moment depuis qu’elle a les yeux bandés. Je fais signe au coquin de la lécher. Il se penche se place entre les cuisses qu’il écarte et pose sa bouche sur le clito sa langue titille le morceau de chair gorgé de sang.
Élise referme vivement les cuisses et se redresse soudainement « Chéri ce n’est pas toi entre mes cuisses je ne sens pas ta barbe » (j’avais omis ce détail j’ai laissé pousser ma barbe cet été).

J’ai juste le temps de lui attr les mains : « je m’occupe de tout ne pense qu’à ton plaisir laisse toi aller »
La bouche de mon invité s’est remise à l’œuvre, sous la caresse les cuisses s’écartent de nouveau Élise commence à se détendre et à gémir. Le coquin est adroit de la langue et ses deux doigts sont actifs dans le trou baveux. Ma chérie est emportée par un premier orgasme et en redemande.
La bouche du suceur se décolle du clito. Deux doigts viennent se joindre aux deux premiers et pénètrent en cadence et avec vigueur la chatte béante. A chaque pénétration la paume vient frapper le bouton déjà bien échauffé. Ma femme l’encourage de la voix « ouiii vas-y plus fort je vais jouir »
Mais le coquin a décidé de faire durer la chose il ralentit s’arrête ses mains caressent le corps féminin puis reprennent possession de la chatte et lorsqu’elle est au bord de l’orgasme. Il s’arrête à nouveau avant de reprendre ce cycle infernal.
Elle « non n’arrête pas ! encore je vais jouir je veux jouir »
Enfin il lui parle : « coquine si tu veux jouir il va falloir me supplier petite chienne en chaleur que tu es !
Après de longues minutes de ce traitement Élise n’en peut plus, elle cède, elle veut jouir. « Je t’en supplie arrête cette j’ai trop envie de jouir mon corps n’en peut plus s’il te plait vas-y à fond donne-moi du plaisir.
Sensible à la supplique de ma dulcinée son tourmenteur consent à ne plus interrompre son action pour la mener vers la jouissance. « Vas-y petite salope tu peux jouir maintenant »
Cette fois l’indécente peut se lâcher entièrement elle est traversée par un orgasme d’une puissance extrême ses muscles se tendent elle pousse un long cri « ouiiiiiooouaaahh !que c’est booon ! » emportée par l’orgasme sa chatte libère une grosse quantité de liqueur de plaisir qui s’écoule sur le drap, Élise s’étale sur le lit complètement vidée de son énergie.
Alain s’allonge à ses côtés et se penche sur elle, l’embrasse sur la bouche.
Leurs langues se défient les salives se mélangent, le baiser s’interrompt mon épouse remercie celui qui lui a donné du plaisir avant de reprendre l’échange buccal. Le mâle reprend les caresses sur les seins, mon intrépide épouse saisit le membre bandé de mon complice.
Élise « Chéri tu peux retirer mon bandeau que je vois l’homme qui m’a donné ce plaisir ? ».
Moi « Non tu vas le garder, tu ne sauras pas qui t’a baisé avant notre départ demain. Je peux seulement te dire qu’il se prénomme Alain. »
Elle « tu es dur ! Je vais imaginer plein de choses jusqu’à demain ! C’est un employé de l’hôtel ?»
Moi « Peut-être mais tu n’auras la réponse que demain, en attendant profite, s’il se sert aussi bien de sa queue que de sa bouche tu vas encore prendre ton pied »
Elle « et toi tu vas me baiser ? »
Moi « Chaque chose en son temps t’inquiète pas je prends les photos que tu verras demain »
Élise en branlant son inconnu : « maintenant il faut me montrer ce que tu sais faire avec cette bite »
Le bandeur ne se fait pas prier il se capuchonne, s’agenouille entre les cuisses de l’amatrice place les jambes sur ses épaules. Il présente son braquemard devant la terre promise et promène son gland entre les lèvres luisantes qui s’ouvrent pour laisser passer le dard vers le trou d’amour.
Je vois le gland pénétrer la chatte de ma femme, la queue bandée disparait lentement. Il est bien planté dans le ventre de mon épouse qui apprécie cette pénétration « oh chéri je sens bien sa grosse queue il me remplit la chatte c’est bon »
Le queutard commence son va et vient dans le ventre accueillant ses mouvements sont amples et virils. Il se plante au fond du vagin à chaque coup de bite, par moments il ondule du bassin pour accen l’effet de la pénétration.
Élise commence à couiner de bonheur « oh ouiii ! Baise-moi fort ! Fais-moi jouir encore humm c’est bon ! »
Lui « tu aimes te faire baiser salope je vais bien te bourrer la chatte tu vas en redemander » il accélère la cadence, la saillie est de plus en plus vigoureuse « salope prend bien ma bite dans ta boite à mouille »
Elle « ouiii bourre moi bien la moule je suis une salope qui aime la bite enfile moi bien à fond »
J’ai du mal à prendre les photos tellement je bande je suis obligé de me carresser au cours de mon reportage photo
Le baiseur tout à son ouvrage baise fortement ma moitié « tient petite pute je te défonce ton trou à bites »
Il se retire, Élise réclame, il la positionne pour la prendre en levrette et plante d’un coup son chibre dans la chatte trempée de ma compagne. « Alan ta femme aime se faire baiser comme une chienne ! Ça lui plait de se faire insulter quand elle se fait défoncer ? »
Moi « Oui ! C’est le seul moment où elle l’accepte car autrement elle est très pointilleuse sur le respect ! »
Elle comme pour valider ma réponse « oui insulte moi cela m’excite traite moi de tout ce que tu veux mais fait moi jouir j’aime me faire défoncer de cette façon »
« Trainée tu as la chatte qui réclame alors tu vas crier, dit que tu aimes que ma grosse bite te pilonne la matrice pouffiasse ! »
Entre quelques onomatopées de plaisir elle parvient à crier « oui je suis une pouffiasse qui aime se faire troncher comme une pute » avant de crier son plaisir emportée par un nouvel orgasme.
Son baiseur continue de lui buriner la chatte quelques secondes il se retire, vient présenter son chibre devant la bouche entrouverte. Il retire son préservatif et pose son gland sur les lèvres de mon épouse qui ouvre la bouche pour accueillir ce phallus qui vient de la faire jouir.
La gourmande suce avec gourmandise ce sucre d’orge bien décidée à lui faire cracher sa liqueur. La vicieuse s’active avec application pour tirer de ce mandrin le sirop dont elle raffole.
Alain proche de l’orgasme prend sa bite en main et se branle vivement, soudain il éjacule en plantant sa queue dans la bouche grande ouverte de ma gourmande. Élise referme la bouche sur le membre qui, secoué de spasmes, se vide au fond de la gorge hospitalière.
Mon épouse amatrice de sperme avale avec délectation le nectar masculin.
-« Merci pour ce doux breuvage Alain. Faisons une pose avant de continuer Alan tu sers le champagne ?»
-« bien sur ma chérie » nous nous approchons du bureau, j’att la bouteille maintenue au frais et sers trois coupes
Nous trinquons aux plaisirs du sexe. J’attire Élise qui a toujours les yeux bandés sur mes genoux.
Lui « Alan ! Élise est vraiment d’une chaude nature, Élise c’est un plaisir de te baiser ! »
Alain et moi commençons de nouveau à caresser ma femme qui se dépêche de finir sa coupe pour prendre nos sexes en main. Alain se lève et présente sa verge déjà bandée à la bouche de la coquine qui aveuglée par le bandeau a tous les sens en éveil.
L’odeur du sexe qui s’approche de son visage provoque l’ouverture de sa bouche, sa langue lèche le gland cramoisi et taquine le méat puis revient lécher la couronne du gland. Pendant que je lui doigte la chatte mon épouse absorbe totalement le braquemard de son amant du jour.
Je propose de migrer sur le lit, ce transfert rapide redistribue les cartes Élise se retrouve avec ma queue dans la bouche tandis qu’Alain en un tour de main s’est coiffé la tige il lui baise la chatte tout en introduisant son index dans l’anneau brun. Peu à peu l’anus de ma cochonne s’ouvre visité par deux puis trois doigts qui vont et viennent au même rythme que la bite qui pilonne le berlingot de la gourmande.
« Alain encule moi je veux que ta bite me casse le cul »
Le queutard ne se fait pas prier et quitte la grotte baveuse pour se planter d’un seul coup dans le fondement de ma salope.
Après un hoquet de surprise, dû à la brutalité de la sodomie, Élise se met à encourager celui qui l’encule avec ardeur « vas-y plus fort».
Il se lâche une nouvelle fois verbalement. «Trainée tu voulais ma bite dans le cul tu vas voir comment je vais te défoncer la rondelle, putain l’enculée que ton derche est bon, garce je suis bien serré dans ton p’tit trou ! »
Élise qui me pompe le dard commence à pousser des petits gémissements de plaisir. Elle s’active si bien que lorsqu’elle me met un doigt dans l’anus je ne peux me retenir plus et gicle au fond de sa gorge. La gourmande avale prenant bien garde de ne rien perdre de ma semence.
Désormais la bouche libérée elle encourage son fornicateur « vas-y salop défonce moi le cul avec ton marteau à boule ! Ramone moi le conduit ! Plus fort ! Oh oui c’est bon encore plus fort je viens»
Il se déchaine et sodomise mon épouse encore plus violemment le claquement de son ventre sur les fesses d’Élise est plus fort « t’es une vrai chienne ma salope, une grosse pute nymphomane j’en peux plus j’envoie la purée »
L’homme se plante au fond du cul et se vide dans le latex, son grognement de satisfaction est en parti couvert pars les cris de jouissance de ma femme. Il se redresse embrasse ma belle « Merci Élise tu es vraiment délicieuse.
Moi « vous avez bien mérités une petit verre pour remettre après cette belle joute »
Nous finissons la bouteille de campagne et mon invité, après un bref passage sous la douche, embrasse une dernière fois Élise sur la bouche me serre la main avant de prendre congé « merci à vous deux j’ai passé un excellent après-midi au revoir »
Il est déjà 19h la porte refermée derrière notre visiteur je retire le bandeau des yeux d’Élise qui avait hâte de retrouver la vue « voilà ma chérie j’espère que ce début de voyage te plait »
« Mon amour ce mec est un bon baiseur j’ai adoré. J’ai hâte de voir les photos ! En as-tu bien profité? »
« Ne t’inquiète pas je n’ai rien loupé. Les photos tu les verras demain. Prépare toi il est bientôt l’heure de diner »
Il est vingt heures lorsque nous descendons au restaurant de l’hôtel Élise vêtue de sa seule mini robe blanche dont le bas évasé ondule à la limite de ses fesses à chacun de ses pas, quant au décolleté il cache à peine ses seins nus.
Lorsque nous entrons dans la salle de restaurant les têtes se redressent et des regards mâles se posent sur ma compagne. Le maitre d’hôtel nous conduit à une table nous commandons de suite l’apéritif. A la table de droite, look VRP deux hommes dans nos âges adressent des regards appuyés et de larges sourires à Élise, sur la gauche un couple de trentenaires dont la femme est moins enthousiaste que son mec à notre arrivée.
L’apéro servi nous passons notre commande Élise l’oreille toujours en éveil as entendu qu’un des deux hommes s’appelait alain. Elle le regarde le détaille avec insistance puis me regarde et me susurre« c’était lui ? Il est pas mal »
Moi « peut-être tu le sauras demain, en attendant mangeons »
« Tu aurais pu inviter son copain il n’est pas mal non plus »
« Tu n’en as jamais assez ! Patience notre voyage ne fait que commencer »
Nous dinons, tout au long du repas Élise cherche à savoir si son baiseur est notre voisin de table. Les deux hommes doivent s’interroger sur le comportement de ma moitié et lorsqu’ils quittent leur table ils nous souhaitent une bonne fin de repas ajoutant peut être à plus tard.
« Chéri c’est lui ? Il veut remettre ça avec son pote ? »
« Rien ne dit que c’est lui et c’est fini pour ce soir, tu dois te reposer pour demain»
« Tu ne veux rien me dire son prénom n’est pas une coïncidence quand même ? »
« Qui te dit que nous n’avons pas inventé le prénom pour que tu ne découvres pas qui est ton baiseur c’est peut-être le réceptionniste ou un serveur»
Nous quittons la table et remontons dans notre chambre. Nous faisons l’amour avant de nous endormir pour une nuit réparatrice. Demain pour notre second jour de vacances libertines, dans la voiture, je dévoilerai les photos de la soirée à Élise qui découvrira qui était son baiseur……………A suivre

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