En Plein Dans Le Cul Par Des Motards Sur L'Autoroute

Il est 23 heures je pisse dans des toilettes sur une aire d’autoroute.
J’entends des motos qui s’arrête, 2 motards entrent, l’un des motards s’approche de moi.
- Alors pédale, on joue à touche pipi ? - On va s’occuper de toi !
Je lui explique qu’il y a méprise, pour toute réponse,
- ferme ta gueule ! .
J’essaie de gagner la sortie, les autres me barre la route.
De toute façon, pédé ou pas. Nous voulons baiser.
- un trou c’est un trou ! - Baisse ton froc conard et fais voir ton cul ! - Ne fais pas ta mijaurée !
Stupéfait, je reste figé, ils se précipitent sur moi, je résiste. La lutte est inégale et mes habits jonchent le sol. Je suis nu, les mains sur mon sexe, devant ces 2 mecs hilares.
- Fait pas de chichi, tu es drôlement mignon ! - Avec ton cul à l’air!
- Aller haute tes mains ! - Et fais-nous voir ta queue !
L’autre s’approche de moi en se marrant, me pince fortement les tétons, et me malaxe énergiquement les couilles et la bite de l’autre main.
Malgré mon anxiété après de longues minutes de ce traitement je bande. Les sarcasmes pleuvent
- ça te plaît ! - C’est bon de se faire caresser la grappe ! - Tu es drôlement mignon avec ta bite toute raide. - Tu me plais-toi ! - je vais te caresser  la rondelle avec ma bite!
Je proteste - je ne demande pas ton avis ! Je suis effrayer. Il dégrafe son pantalon et exhibe une bite noueuse au gland violacé. - Allé tourne –toi ! Je me rebiffe, pour toute réponse. Il me toise. Tu vas commencer par me sucer ! Il saisit ma nuque et m’oblige à me plier, mes lèvres entrent en contacte avec son gland, rassuré j’ouvre la bouche, la nuque fermement maintenue il enfonce ça bite jusqu’aux couilles.
Tu vois, c’est pas compliqué ! - Allé salope suce-moi bien !
Hhhhoooooo ! Hhhhaaaaaa ! Hooouuuuuiiiiiiiiiiii ! Bouge ta langue salope ! Hhhhhouuuuiiii ! Hhhhoooo ! Hhhhaaaaaa ! Putain ! Tu suce comme une reine ! Un vrai aspirateur ! Je vais lâcher toute ma purée ! Hooouuuuuiiiiiiiiiiii ! Tien salope avale !
Ça liqueur envahie ma bouche, j’avale jusqu’à la dernière goutte avec des hauts de cœur.

Il essuie son gland sur mes joues Je crois que mon calvaire est fini.
J’entends l’autre dire. Il a un beau cul, plie le un peu plus, que je vois bien son petit trou !
Je crains le pire, je suis terrorisé. J’essaie de me dégager, je me rebiffe.
Regarde ce que je vais te mettre dans cul ! Plier, la nuque fermement maintenue. Je tourne un peu ma tête. Une bite de 18 cm et 3 de diamètre pointe son gland décalotté a l’horizontale. il enfile une capote, l’enduit de gel. Il fait un anneau avec son pouce et son index et le fait coulisser son gland et sa hampe. Epouvanter par ces intentions. Je tente de me libérer de cette fâcheuse posture.
- Je crie, ne faite pas ça ! - Je ne veux pas ! - Pas par-là ! 
- Tu vas avoir un peu mal au cul ! – mais ca va passer !
- Gueule si tu veux! -  Ça m’existe ! 
il ce place derrière moi, enduit mes fesses et ma raie de gel froid me saisit les hanches sa bite coulisse dans ma raie.
- Prépare ton cul  salope ! – je vais le façonner a ma manière !
Je les supplie de me laisser. Son gland appuie sur ma rondelle, qui se distend à l’extrême, son gland glisse et remonte dans ma raie.
-  Détends-toi ! - ca va aller
Ma rondelle malmenée se rompt laissant pénétrer le gland, je cri mon désarroi.
 - hhhhooooo nooonnn ! - Pas ca ! - Ca me fais mal !
- tu peux gueuler ! - Ca ne changera rien !
- tu as mon gland dans le cul ! - si tu as mal respire a font !
- comme au chiote tu pousse et tu respire !
Par petites poussées il s’enfonce au fond de mon étroitesse, balayant toute résistance sur son passage.
Je suis anéanti une larme coule sur ma joue.
Apres une courte pose, il commence un va et vient. Triomphant, il grogne,
- Tu la sens bien ? - Tu gueule plus,? - Elle est bonne ma queue?
Son copain essuie la larme sur ma joue, caresse mes cuisses, les couilles, et me branle lentement.
Le fion bourré à grands coups de butoir ces couilles écrasent mes fesses, je ferme les yeux et pousse des gémissements.

Goguenard.
– tu as mal a ton petit cul ! – Mais t’aime çà !
Tu l’entends maintenant il ronronne le con !
C’est bon? - aller chante !
Existé, il sort sa bite de mes reins écarte, mes fesses et d’une poussée s’enfonce jusqu’à la garde dans mon rectum. A chaque coup de butoir mon cul s’ouvre s’en résistance. Je ne sais plus ou j’en suis, cette bite qui me burine l’arrière train. Cette main qui me branle, fait monter en moi un plaisir masochiste, je veux qu’il me fasse mal.
- Je lui cri, oui ! – Oooouiiiiiiiiiiii !
- Ooooouuuuiiiii ! Va s’y ! – Va s’yyyyyyyyy !
Je suis pris de spasme je jouis comme je n’avais jamais joui. J’ai la tète qui bouillonne, les jambes en coton.
Mon bourreau marmonne,
- Putain il a le cul qui resserre ! - Je me vide les couilles !
- Hhhhhoooooo ! Hhhhhhhaaaaa !
il se retire, et vient me motter une capote pleine de sperme, en disant : Je vais la garder en souvenir, puis se tournant vers copain, tu devrais l’essayer, c’est du haut de gamme.
Je me tourne vers son compagnon, je suis un peu inquiet, il enfile une capote, je prends la pose qu’il me demande. J’ai une petite appréhension quand son gland entre en contacte avec ma rondelle. Il me pénètre sans difficulté, de le sentir en moi cela me fait bander.
Et l’autre d’ajouter :
- il y a 2 heures il gueulait !
- je ne veux pas me faire enculer ! - je ne veux pas me faire enculer !
Et maintenant dès qu’il a une bite dans le cul il bande. Et l’autre d’ajouter - il suce bien aussi ! Il la le cul qui s’ouvre comme une fleur, pour donner foi a ces dires, il retire ca queue et d’une violante poussée, il l’enfonce jusqu’aux couilles. Ce qui n’est pas pour me déplaire et me fait émettre des râles à chaques bourrades.
Je n’ai plus appréhension, je me sens bien, ça me plaît de les entendre parler de moi. De savoir que je leur donne du plaisir, ça m’excite, je me cambre pour qu’il me pénètre plus profondément en lui criant
- va s’y encule-moi ! - C’est bon ! - T’arrête pas !
- j’ai le cul en feu ! – ta mèche m’allume le pétard, j’explose !
Je m’effondre saturé par le plaisir.

Il continue a me limer le cul un long moment et me rempli fion de son bonheur et reste planté dans mes reins. Son pote me fourre sa bite dans la bouche je le suce avec application, son gland se gonfle sa bite vibre et crache sa liqueur épaisse.
quand je reprends mes esprits et ramasse mes affaires, les 2 motards sont loin.
Je remonte dans ma voiture et je m’éloigne avec un léger mal au cul. Mais prêt à recommencer.

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