Vitre Sans Teint

Tout a commencé par un long et ennuyeux trajet en bus : Cuzco Pugno12 heures dans la poussière entrecoupé de trop rares pauses pour aller pisser ou racheter une bouteille de flotte. Je voyage avec Sophie, ma petite copine depuis 2 ans, au Pérou et en Bolivie.
Depuis un mois qu’on se coltine de long trajet sur des routes poussiéreuses nous avons inventés toute une série de jeux pour passer le temps. Un de nos favoris consiste à imaginer les fantasmes de nos connaissances communes : profs, potes, voisins même la famille y passe.
La bouche pleine de feuilles de coca que nous mâchonnons pour lutter contre le mal de l’altitude, Sophie entreprend de me raconter les secrets d’une certaine Laure qui est à la fac de droit avec elle. Je ne l’ai croisé qu’une fois alors qu’on se baladait à Beaubourg. Elle était avec son copain un grand dadais maigrichon à l’air un peu con et je m’étais étonné qu’une fille aussi sexuelle : blonde aux yeux clair et aux seins comme des obus, sorte avec ce genre de mec. Sophie s’était gentiment offusquée que je trouve cette Laure si excitante et depuis souvent elle me taquinait à ce propos. Par exemple quand elle surprenait une érection sous mon jean elle me disait dans un sourire pincé « toi tu penses à Laure ».
La plupart du temps il était entendu que les frasques que nous racontions n’était que le fruit de notre imagination. Cette fois pourtant Sophie insiste sur la véracité de son histoire :
« Je t’assure elle me l’a confiée justement parce qu’on ne se connaît pas très bien, écoute ça va te plaire ! Son copain, tu te rappelles, il était avec elle quand nous les avions rencontrés et tu ne le trouvais pas digne d’un tel canon. Et ben figure toi qu’il choisit des garçons, leurs expliquent qu’il a une copine dont le fantasme ultime est de s’envoyer en l’air avec un inconnu. Si le mec est ok Laure et lui se retrouvent dans un café et si il est à son goût ils montent ensemble dans le studio de Laure.

Son copain se cache dans la petite buanderie mitoyenne et il les écoute baiser. »
J’ai très envie que cette histoire soit vrai, pouvoir me branler en pensant à cette grande blonde à l’air arrogant qui est assez perverse pour se livrer à ce genre de scénario mais je doute et pour provoquer Sophie je lui répond : « il faux absolument que je gratte l’amitié avec ce mec ! »
Elle me regarde un peu méprisante« t’aimerai vraiment te la taper, je suis sur que tu serai déçu »
« Avec ce que tu viens de me raconter elle a l’air d’avoir de l’imagination à revendre »
« Pff mais je te fais marcher et toi tu courts ! Les seules fois où nous avons bavardé ça s’est limité à des banalités sur l’emploi du temps du second semestre ».
Effectivement j’avais couru et alors que le jour finissant nous laisse juste assez de lumière pour distinguer le profil calme et presque surnaturel du lac Titi Caca je ne peux empêcher mon esprit de jouer avec le scénario que ma copine vient de me raconter. Je me rends compte, à quel point l’idée de voir ma copine baiser avec un autre m’excite.

Pour donner plus de couleur à mon récit je vais rapidement nous décrire moi et Sophie. Honneur aux dames, je commence donc avec elle.
Sophie a 24 ans, brune deux magnifiques yeux verts en amande (la première fois que je l’ai vu, elle m’a fait penser à un petit chat), sa est peau est mate ce qui lui vient probablement de ses origines italiennes. Elle est fine, deux petits seins (85b) dont les roses tétons pointent dés qu’elle commence à flirter. J’avoue que des fois j’aimerai bien qu’elle ait des plus gros seins mais son cul me console aisément. Son petit cul rond et cambré est tellement bandant que quand nous avons commencé à sortir ensemble à chaque fois que je la prenais en levrette j’éjaculais en deux trois va et vient.
Avant Sophie j’ai eu deux histoires sérieuses et j’ai du coucher grand maximum avec une dizaine de fille. Elle est sans aucun doute la plus canon de toutes.

Enfin un détail plus intime elle a une chatte hyper étroite. Je ne suis moi-même pas particulièrement bien monté. Une de mes conquêtes m’avait terriblement vexé en me disant que ma bite faisait partie de la catégorie des longues fines. Je pense en fait être dans la moyenne : 17 cm de long 12 cm de circonférence pour être précis.
Toujours est il que quand je pénètre Sophie je me sens vraiment épais et c’est excitant pas seulement intellectuellement, la sensation est délicieuse.
J’ai donc déjà décrit la partie la plus précieuse de mon anatomie, pour le reste j’ai les cheveux blond vénitiens (façon frime de dire un mélange roux châtain), yeux marrons, plutôt bien proportionné : 1m85 pour 70kg et puisque qu’on est dans les chiffres j’ai 26 ans. Je plais beaucoup à certaine, pas du tout a d’autre et voila…
Le soir de notre arrivée à Pugno après avoir trouvé un charmant hôtel près de la cathédrale, nous nous posons dans une pizzeria. Reposé du voyage par une longue douche chaude ce qui est assez rare au Pérou pour que ça me mette de bon humeur je remet l’histoire qu’elle m’a raconté sur le tapis :
« Mais cette histoire avec Laure tu as tout inventé où tu l’as lu quelque part »
« Non cela m’est venu comme ça » répond elle innocemment, « j’étais sur que cela te plairai »
« À toi aussi manifestement ! Non le seul défaut c’est que le mec ne puisse qu’entendre, tu aurais du me dire qu’il avait fait un trou dans le mur ou quelque chose dans le genre »
Elle sourit : « la prochaine fois je te promet je n’oublierait pas ce détail »
J’ose lui demander « et toi ça te plairai de faire l’amour avec un homme que j’ai choisit pour toi »
Sophie rit en se penchant en avant comme si elle voulait m’envoyer ses seins à la figure. Son rire me parait un peu trop fort pour que cela soit complètement naturel.
J’insiste : « Je le choisirai bien ne t’en fait pas ! »
Elle presse sa jambe sur la mienne et me dit juste : « tu es d’humeur joueuse… »
Nous changeons de sujet mais quand en montant l’escalier de l’hôtel vers notre chambre, elle se retourne et me murmure : « vous savez c’est la première fois que je fait ça ».
Je ne comprend pas tout de suite : « La première fois que tu fais quoi ? Que tu bouffes une pizza ! Et pourquoi tu me vouvoies d’abord ». Elle imperturbable : « comme a du vous expliquer mon copain j’ai toujours rêvé de coucher avec un inconnu mais c’est la première fois que je passe à l’acte »
En comprenant le jeu qu’elle initie, je sens ma bite se tendre dur comme du fer contre ma cuisse. J’avale ma salive et j’enchaîne :
« J’espère que pour une première fois je ne serai pas décevant »
« Oh mais c’est jamais décevant les premières fois même quand c’est raté et puis je fait confiance à mon copain il a bon goût pour ce genre de chose »
Nous sommes maintenant entrés dans la chambre et à peine a-t-elle finit sa phrase qu’elle me prend la bouche. À la manière dont elle y rentre sa langue je réalise qu’elle est au moins aussi attisée que moi.
On se désape l’un l’autre nos bouches toujours collées, et quand je pose ma main sur sa chatte je constate qu’elle est vraiment trempée.
Je lui murmure à l’oreille « tu mouille comme une folle, ça t’excite vraiment petite salope de te faire défoncer par un inconnu ». Je lui fais lécher mes doigts pleins de sa mouille. Elle gémit et me prend dans sa bouche. A ce moment précis j’aurai vraiment aimé être un autre, avec un corps différent du mien pour que le fantasme soit encore plus total. Je suis complètement dans le fantasme d’une voie altérée par la jouissance je susurre : « tu aimerai sucer une queue bien épaisse hein avoue ». Ma bite toujours enfoncée dans sa gorge elle acquiesce en gémissant et en tortillant du croupion.
J’ai trop envie d’elle, je la retourne et la prend à quatre pâtes à même le sol. En trente seconde je sens que je vais éjaculer. Je me retire, me met à quatre pâtes derrière elle et lui bouffe la chatte et l’anus savourant son délicieux goût légèrement acidulé, puis je la refourre à grand coup de reins. Après quelques minutes je l’entends gémir « plus fort, baise moi plus fort » et mon éjaculation ainsi que mon orgasme monte d’un coup me prenant en traître.
Je me répands en elle dans un râle.
Nous sommes nus allongés sur les draps. Cela faisait longtemps que je n’avais pas joui aussi fort, et même si Sophie me dit ne pas avoir eu d’orgasme elle m’assure que cela l’a terriblement allumé.
Elle ajoute en se collant contre moi : « mais tu sais quand tu me parlais de gros machins tout à coup j’ai eu peur que tu penses que je n’aime pas ton sexe. »
Je lui avoue que c’est vrai que quand je l’imaginais baiser avec un inconnu, l’idée qu’il ait une grosse bite m’excitait encore plus, puis j’ajoute : « honnêtement tu n’aimerai pas coucher avec un étalon ? ». Elle bote en touche : « je ne sais pas, en tout cas je ne crois pas que ce soit cela qui m’excite dans ce fantasme. »
Nous continuons à parler jusqu’à que le sommeil nous trouve. Les vacances se terminent et ce fantasme réapparaît régulièrement, toujours aussi efficace, quand nous faisons l’amour.

Au mois de septembre nous aménageons ensemble dans un charmant petit deux pièces dans le 19ème arrondissement. Quelques travaux sont à faire surtout dans la cuisine et la salle de bain mais à part ça tout est parfait.
Nous voila donc en amoureux, main dans la main au paradis des bricoleurs : le sous sol du BHV. On doit notamment combler un petit espace vide rectangulaire de 30 sur 50 cm dans le mur de la salle de bain. Pour l’instant nous avons juste mis un tissu qui fait office de rideau. Au détour d’un rayon de vis plate, mon regard s’arrête sur les vitres sans teints et un souvenir péruvien ainsi qu’une idée qui me fait sourire s’installent en moi. Je laisse Sophie se débattre avec les différents modèles de pommeaux de douche et j’entame une brève conversation avec le vendeur : « je voudrai poser une vitre sans teint d’une dimension de 30 sur 50 cm. »
Efficace, il me découpe la dimension demandée et m’explique comment poser la vitre.
Quand nous passons à la caisse nous sommes tellement chargés que Sophie ne prête pas attention à mon achat. Une fois à la maison, me voyant commencé l’installation de la vitre elle s’exclame : « ah mais tu es génial ! J’avais complètement zappée ce trou ! ».
Je lui sourit et continue à visser. La vitre posée Sophie ne se rend toujours pas compte que de la salle de bain on peut observer le salon sans être vu. Pour attirer son attention je joue la surprise : « mais quel con ce vendeur il m’a vendu une vitre sans teint, regarde de la salle de bain on peut espionner le salon ! » Ca n’a toujours pas l’air de la bouleverser : « et alors c’est pas grave c’est dans le sens inverse que ça aurait été emmerdant ». Ce n’est que le lendemain alors qu’elle prend sa douche qu’elle me cris de la salle de bain : « c’est drôle si tu avais fait exprès tu ne t’y serai pas mieux pris ». Je joue le naïf. « Mais si »continue-t-elle « c’est parfait si tu veux me regarder faire une partie de jambe en l’air. »
Dans les mois qui suivent presque à chaque fois que nous faisons l’amour nous jouons à ce jeu de l’inconnu qui la prend pendant que je regarde derrière la vitre sans teint de la salle de bain.
Enfin un vendredi soir du moi de décembre, je rejoins Sophie et Clara, sa meilleure copine dans un bon petit restau du quartier. Quand j’arrive elles sont déjà bien pompettes et plusieurs fois Clara fait des allusions à notre salle de bain. Je demande à Sophie si elle lui a racontée. Rougissante, elle me fait signe que oui, puis se penche pour chuchoter à l’oreille de sa copine. En rentrant Sophie se lance : « tu sais on devrait le faire. Juste une fois, comme ça on sera débarrassés et on pourra passer à autre chose. Clara est d’accord avec moi »
Je suis partagé entre une immense excitation et la colère. Je crois que d’une certaine manière les deux finissent par se mêler.
Je cherche à la déstabiliser : « mais tu sais c’est moi qui choisit le garçon »
« Oui je te fais confiance. De toute façon je le verrai au café en bas et s’il me met mal à l’aise je ne monte pas avec lui »
Je comprends à ce moment précis que j’ai été trop loin, que je suis pris à mon propre piège et j’ai un goût amer dans la gorge. J’essaie de me rabattre sur les détails pratiques : « Mais si je me cache dans la salle de bain et qu’il a envie de pisser, il va me découvrir »
« Non, on ferme la porte à clef, je lui expliquerai que la salle de bain est en travaux et qu’il doit utiliser les toilettes qui sont sur le palier »
La garce a réponse a tout. Je m’incline et décide à mon tour de rentrer de plein pied dans le fantasme : « ok faisons le. Laisse moi une semaine pour trouver notre vedette, et si d’ici là tu n’as pas changé d’avis ton vendredi sera bien occupé »
Ce soir là et tous les autres soirs de la semaine nous baisons comme jamais. Dés qu’on se retrouve à l’appart on se rue l’un sur l’autre. Bizarrement nous n’évoquons plus le fantasme. A certains points je me demande même si elle n’a pas changé d’avis mais quand on commence à faire l’amour la flamme dans son regard me confirme qu’elle y pense toujours.
Je passe mes après midis à chercher des candidats potentiels. Comme je veux aller au bout du fantasme, je sélectionne les mecs vraiment bien montés. Les sites d’annonces échangistes n’en manquent pas. Je ne pense vraiment pas être homo mais à ma grande surprise je me retrouve à me branler en matant des mecs qui m’exposent leurs grosses queues en érection devant leurs webcams. L’idée qu’ils vont enfiler ma copine m’allume complètement.

En définitive mon choix s’arrête sur Alexandre, beau mec, tatoué, informaticien mais aussi grand sportif. Il est mignon, il a un beau corps avec un super tatouage sur la cuisse. Son sexe est assez long 18 cm et très épais 16 cm de circonférence. En plus il est circoncis et son beau gland rose et gonflé me fascine.
Je lui explique tout sauf ma présence dans la salle de bain.
On se parle au téléphone, il semble très cool, équilibré, me demande si je suis sur de moi, si ma copine l’est également. Puis il me dit qu’il a couché avec quatre couples et que ça c’est toujours très bien passé. Je lui dis donc de se pointer à 21h00 au Rustique, le petit café juste en bas de chez nous.
Vendredi Sophie m’appelle et me demande si je veux laisser tomber. Je lui répond que même si cela me fait peur je serai très déçu de faire marche arrière maintenant. Elle me dit qu’elle aussi.
Je lui annonce d’une voix mal assuré que si elle se présente à 21h00 au Rustique, un joli paquet répondant au nom d’Alexandre et ayant trois roses : une rouge, une blanche et une jaune l’attendra à l’intérieur. Elle me dit qu’elle m’aime et nous raccrochons.

Cela fait vingt minutes que je suis enfermé dans la salle de bain quand j’entends la porte s’ouvrir. J’ai une boule dans la gorge mais je bande comme un âne.
Je les vois s’installés dans le salon. Ils sont souriants. Il fait des blagues, elle se marre. Elle va dans la cuisine, revient avec deux verres de vodka. Ils trinquent et boivent tous les deux culs secs. Ils se regardent dans les yeux une demi seconde puis commencent à s’emballer.
Sophie a un pantalon noir hyper serré et un bustier mauve. Lui est en jean survêt. Ils embrassent très longtemps. Lui passe ses mains partout sur son corps. Elle plus timide caresse son torse sous son pull.
Ils sont maintenant par terre toujours habiller mais ils se frottent de plus bel quand tout d’un coup drame ils disparaissent de mon champ de vision. Ils sont trop excentrés et je ne peux plus que les entendre gémir.
Décrire la frustration que je ressens à ce moment là est très difficile. Je suis même à deux doigts de sortir, mais je n’en fait rien.
Je bande tellement que j’ai mal aux couilles et je sais que le moindre contact avec ma queue me fera venir.
Finalement ils réapparaissent. Sophie est maintenant complètement à poil. Lui est torse nu mais à toujours son jean.
Il l’installe sur le canapé et commence à lui bouffer la chatte. Elle se met à gémir de plus en plus fort, elle a sa main dans ses cheveux qu’elle agrippe comme si sa vie en dépendait. J’entend Sophie émettre les petits hoquets caractéristiques qu’elle a quand elle jouie.
Puis je la voie qui se relève, elle lui ouvre son jean. Quand elle retire son boxer, sa bite en jaillit comme un ressort et elle se la prend dans le nez. Je l’entends émettre un petit cri d’admiration. Alexandre s’esclaffe : « ça va te changer du cornichon de ton mec »
Elle ne répond pas mais je la voie observer cette grosse bite avec un œil gourmand puis elle commence à la gober. Alexandre lui parle doucement et je n’arrive pas à entendre ce qu’il lui dit. Sophie est déchaînée, elle lui crache sur le gland elle l’astique comme une folle. Finalement je l’entend lui demander presque comme une faveur : « prend moi ». Alexandre la soulève, la replace sur le canapé, se saisit d’une capote qu’il enfile. Pendant ce temps Sophie attend les jambes écartés le visage crispé d’excitation.
Il lui remet un coup de langue sur la chatte, puis commence très doucement à la pénétrer. Il lâche un profond soupir. Sophie hurle d’une petite voie aigue : « ah putain comme c’est bon » et moi sans même m’être caressé je m’éjacule dessus.

La suite au prochain épisode…





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