Le Con Sert Tôt ( 1 )

L’année suivant mes aventures dans le hangar, ( j’ai maintenant 18 ans) alors que je passe mes vacances de printemps chez mes grands-parents, je rencontre Franck , le copain du boulanger, en début d’après midi. Il est seul chez lui ce jour là, et comme il fait particulièrement chaud il m’invite à entrer. Il m’emmène dans le salon et m’invite à prendre place sur le canapé alors que lui s’installait dans un fauteuil, me sert une bière. On engage la conversation.
- Tu continues à voir ta petite copine ?
- Oui, bien sûr.
- Elle a ton âge ?
- Non, 5 ou 6 mois de moins.
- Je comprends pourquoi elle a refusé, elle était trop jeune pour se faire sauter !
- Ben oui, j’ai essayé quelque temps après l’avoir fait avec toi.
- Et elle a accepté ?
- Oui, ça a été dur mais j’y suis arrivé !
- Elle avait quel âge quand tu as réussi à la prendre ?
- Tout juste 14 ½ ! Elle mesure 1 m 55 et doit peser environ 35 kg
- Tu es le premier ?
- Oui !
- Raconte !
Eh bien voilà. Céline habite en ville, on fréquente le même collège, mais on est pas dans la même classe. L’année dernière, à la mi-septembre on se promène dans le centre commercial non loin du collège. On a pas classe, les profs sont en grève comme d’ab en début d’année scolaire ! On se bécote dans des endroits calmes, on se tient par la main, j’ai envie d’elle mais je n’ose pas lui demander, jusqu’à maintenant elle à toujours refuser que je la touche. Ses parents habitent dans un pavillon et travaillent tous les deux. Je lui dis
- T’en as pas marre de te promener ?
- Qu’est ce qu’on fait ?
- T’habites pas loin, on va chez toi ?
- Oui, je veux bien, mais si mon frère est là tu pourras pas entrer !
- On prend le bus, on descend devant chez elle.
- Attends-moi, je vais voir si mon frère est là.


Elle entre chez elle, j’attends devant la grille. Elle met du temps puis réapparaît.
- Tu peux venir, il n’y a personne. Mais pas longtemps, d’accord ?
Je traverse la cour, entre. Elle referme la porte à clé derrière moi. Je lui demande :
- Tu sais où est ton frère ?
- Non, il doit être avec ses copains, il n’a pas classe lui non plus.
- Tu m’fais voir ta chambre
- J’sais pas si j’peux ! Tu rentres pas !
Elle se dirige vers sa chambre, y entre, laisse la porte ouverte, s’arrête à côté de son lit. Je reste sur le pas de la porte. Elle se retourne, me regarde, ne dit rien. Je m’avance, me rapproche d’elle, la serre contre moi, l’embrasse. Elle se laisse faire, puis s’écarte de moi, semble nerveuse.
- Bon, maintenant faut partir !
Je me sens troublé au contact de son corps, j’ai soudain envie d’elle, je me mets à bander. En regardant le lit, j’ai envie de l’allonger dessus. Je sorts dans le couloir, me retourne, la regarde, elle n’a pas bougé, est restée près du lit comme figée. Je reviens dans la pièce, referme la porte derrière moi, vais vers elle, la prend dans mes bras. Pendant qu’on s’embrasse, je passe une main entre la peau et la ceinture de la jupe. Je la glisse doucement sur son ventre, la passe derrière l’élastique de sa culotte, descends jusqu’à l’entrejambes, caresse sa toison. Elle resserre les cuisses, implore :
- S’il te plait, laisse-moi, pas ici, pas dans ma chambre !
Je retire ma main, la serre de plus en plus fort contre moi en la tenant sous les fesses. Je frotte mon bas ventre contre le sien, elle doit sentir mon érection, je bande à m’en faire mal. Elle me repousse, tente de se dégager.
- Non, je ne veux pas !
- Tu veux pas quoi ?
- Je sens bien contre mon ventre, faut pas !
Je m’écarte, commence à m’attaquer aux boutons de son chemisier. Elle tente de m’en empêcher mais je réussis, avec bien du mal, à le déboutonner en entier, à l’ouvrir.
J’att le dessous du soutient gorge, le remonte sous son cou et en sorts les seins. Je les prends en main, les caresse, aspire les tétons, ils s’érigent. Elle semble fébrile, enlève mes mains, me repousse.
- Non, laisse-moi !
Ma main passe d’un sein à l’autre, les aréoles deviennent plus foncées, gonflent, sa poitrine devient plus ferme. Je la pousse en arrière, elle butte contre le lit, perd l’équilibre, se retrouve assise. Elle cache sa poitrine avec ses mains, a l’air totalement désemparée. Je me penche, lui prend les jambes, les relève, la bascule, la fait pivoter, l’aplatit sur le lit. Je remonte la jupe sur son ventre, att l’élastique de la petite culotte, tire.
- Pourquoi tu m’fais ça ?
Elle se débat, gesticule, tente de m’en empêcher, mais ça m’aide plutôt à la descendre sur ses cuisses. Elle met la main sur sa toison, tente de cacher son sexe. Elle a le chemisier ouvert, le soutient gorge sous le cou, la poitrine et le ventre à l’air.
- Laisse moi voir ta chatte !
- J’peux pas !
Elle garde les jambes serrées, j’en profite pour les relever, tirer sur sa culotte et l’enlever, la jeter au pied du lit. Je m’assoie au bord du lit, essaye d’enlever la main qui me cache son sexe, elle résiste, je lutte et finalement elle abandonne
- Tiens, regarde, t’es content ?
- T’as vraiment une belle chatte ! J’me doutais qu’t’étais pas une vraie blonde !
Elle rabat la jupe sur son ventre, tente de se relever, l’en empêche.
- Maintenant t’as vu, faut partir, mon frère peut arriver !
Je la maintiens allongée en emprisonnant un sein, remonte de nouveau la jupe sur son ventre, regarde son sexe. Un triangle de poils châtains clairs, bien dessiné, plus fournis en haut de la fente et sur les grandes lèvres, orne le bas de son ventre et son entrejambes. La fente est longue, bien ourlée, le clitoris est apparent, sort de la fente, les petites lèvres roses en dépassent un peu.
Je me penche, introduit ma main entre ses jambes. Le clito dépasse, je m’en empare, le roule entre deux doigts, il gonfle, se redresse. Sa voix se fait suppliante :
- Non, le touche pas, t’as pas l’droit !
Je m’allonge à côté d’elle, suce ses tétons, une main caresse les seins. Avec l’autre j’accentue la caresse sur le clito, elle gémit, remue le bas ventre. Elle se cambre et en même temps remonte ses jambes, écarte ses cuisses en grand, décolle ses fesses du lit, tend son ventre. Je me redresse, glisse mon doigt au fond de la fente, elle est trempée. J’ouvre les grandes lèvres, prends le clito, le décalotte, le petit bouton rose dépasse, s’allonge, durcit. J’appuie dessus, à chaque fois que je le touche son ventre fait un bon et ça lui tire des petits cris de jouissance. Elle halète, respire de plus en plus vite. Ca y est, elle est partie, je sens que je vais l’amener à se donner à moi. Je glisse mon doigt au fond de la vulve, les petites lèvres s’ouvrent, s’allongent, les bords deviennent bruns. J’amène mon doigt à l’entrée du vagin, tente de l’introduire. D’une voix suppliante elle me dit :
- N’entre pas ton doigt
- Pourquoi ?
- Je suis vierge!
- J’peux t’dépuceler ?
- J’veux bien, fais vite, mon frère peut arriver !
Je me lève, quitte pantalon et slip, lui montre ma queue. Elle est rouge et raide comme un morceau de bois. Je remonte sur le lit, me mets à genoux entre ses cuisses, elle se redresse, prend ma bite derrière le gland.
- J’ai peur, tu vas me faire mal !
Je mets ses cuisses sur mes avant bras, les relève pour amener son cul à hauteur de ma queue, elle retombe dos sur le lit. Elle n’a pas lâché ma queue, la place sur sa fente, dit :
- C’est trop gros !
Au moment ou j’allais me mettre sur elle, on entend la porte d’entrée s’ouvrir, voilà le frangin qui revient. Elle me repousse brutalement, saute du lit, rentre ses seins dans le soutient gorge, referme son chemisier, rabat sa jupe.
Je remets mon pantalon en vitesse. Le frère entre dans sa chambre, met la musique, on en profite pour ouvrir la porte sans bruit et s’éclipser sur la pointe des pieds. Elle me raccompagne à la porte d’entrée, l’ouvre sans bruit, je sorts, lui dit tout bas :
- Demain, si les profs sont encore en grève, viens chez moi vers une heure, on sera seul jusqu’à 5, mes parents ne rentrent qu’à à 6, on aura tout l’après midi à nous, si tu veux bien, cette fois je te rentrerais ma queue, on sera pas dérangé. On s’embrasse tendrement. En me quittant elle me dit
- Je ne sais pas si j’irais chez toi demain, on est allé trop loin, c’est mal, je n’ai jamais eu une bite dans moi.
Je file sans bruit alors qu’elle claque la porte comme si elle venait de rentrer. Bien joué pour donner le change !
Je rentre chez moi, passe par une pharmacie où je ne suis pas connu pour acheter une boîte de préservatifs. En entrant chez moi je vais directement dans la salle de bain vider à la main toute la tension qui était en moi. Ensuite je vais dans ma chambre, m’étend sur mon lit.pense à ce qui vient de se passer. Je crois que c’est foutu, j’ai laissé passer l’occasion, ça ne se représentera pas, elle va réfléchir, ne viendra pas. Je suis resté avec elle, dans sa chambre, à peine une vingtaine de minutes, j’ai perdu trop de temps, j’aurais dû l’amener plus vite à se donner. Je ne pouvais pas la brusquer car elle a toujours refusé que je la déshabille, que je la vois nue. Quelque fois elle a admis que je caresse ses seins, mais elle refuse toujours de me les laisser sortir du soutient gorge. Quand je tente de mettre ma main sur son bas ventre, elle me repousse. Cette fois elle est bien partie, elle est nue, mouille, mon gland est sur son trou, prêt à l’ouvrir, à entrer dans elle. Manque de chance, le frangin est arrivé.
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