Défoncée Par Trois Males

Au cours d'un séjour de quelques jours chez Patrick, il me dit qu'il aimerait me voir faire l'amour avec Aimé et son ouvrier. C'étaient deux hommes qui étaient venus faire des travaux au début de mon séjour, Patrick ne les avait pas décommandés lors de ma venue, il avait eu beaucoup tro pde mal à trouver des artisans pour ses travaux.
- Je te présenterais Aimé et son ouvrier, j'aimerais tant que tu fasses l'amour avec eux, ils ne cessent de me parler de toi! Fais-moi plaisir, accepte!
A deux jours de mon départ, il m'annonça :
- Fais-toi belle, ma petite salope, Aimé et son gars nous rendent visite ce soir!
Son sourire me fit comprendre ses intentions. Il s'occupa de moi. Il me frotta sous la douche et il me fit l'amour. Comme à son habitude il choisit mes vêtements : jupe ouverte sur le côté, chemisier transparent, bas et porte-jarretelles noirs, et pas de sous-vêtements.
On sonna, j'ouvris la porte sur Aimé, la cinquantaine, cheveux grisonnants, un bel homme pour son âge, et Dominique, son ouvrier, plus petit et plus râblé, les cheveux crépus. On s'installa au salon devant un verre, ils me lorgnaient . Vu l'état de leur pantalon, j'en déduis que je leur plaisais. Rouge de gêne, je ne savais plus où me mettre. Cette situation me mettait mal à l'aise. Devant ma gêne, Patrick prit les choses en main, me demanda de m'asseoir face à eux. Je me sentais malgré moi toute excitée, et quand Patrick et Aimé se retirèrent à la cuisine, Dominique ne tarda pas à me complimenter. Joignant le geste à la parole, il entreprit un examen complet. Je me retrouvai seins à l'air, jupe relevée à la taille. Il défit son pantalon et je pus apprécier sa bite longue, grosse, hors du commun.
Il m'allongea sur le canapé et, après m'avoir sucé les seins qui durcirent au premier coup de langue, il goûta ma chatte qui coulait abondamment. Il prit place entre mes jambes qui pointaient déjà vers le plafond et, sans se guider de la main, il chercha son chemin.

Il le trouva et, d'une poussée lente mais profonde, il me pénétra, m'arrachant quelques petits cris. Ses grosses couilles tapotaient sur mon petit trou dans un mouvement régulier. Elles me paraissaient bien pleines, gorgées de foutre et prometteuses d'une belle éjaculation qui ne tarda pas à m'inonder le ventre par jets puissants et saccadés, qui me procurèrent un orgasme fantastique.
Revenue de mes émotions, je constatai que Patrick et Aimé, la bite à la main, avaient suivi notre coït en se masturbant.
Dominique me libéra. Sa queue pendait. Patrick invita Aimé à me posséder à son tour, d'ailleurs ils étaient venus pour ça. Il triquait dur. Sa queue était encore plus grosse que celle de son ouvrier.
Il voulut me prendre en levrette, mais j'hésitai à me mettre à quatre pattes, de peur qu'il ne m'encule. Ce n'est pas que je sois contre, mais l'engin était de taille! Je serrais les fesses quand il promena son gland de mon bouton à mon mont de vénus, à travers le pont qui sépare mon cul de ma chatte. Lorsqu'il me prit dans le vagin heureusement, Dominique me fourra son sexe dans la bouche. Aimé, se retira pour décharger sur mes fesses. Son foutre gicla dans mon cou et dans mes cheveux.
Patrick, à son tour, voulut me prendre et, me voyant béante, il préféra pénétrer la voie serrée, leur montrant ainsi qu'on pouvait aussi m'enculer. A son tour, Dominique entra dans mes reins, et quand ce fut le tour d'Aimé, à mon grand regret, je ne pus accepter la totalité. Ma chatte et mon cul défoncés par ces grosses queues ne semblait plus faire qu'un. Ils me défoncèrent ainsi jusqu'au petit jour. Patrick, fier et heureux de m'avoir fait céder, est décidé à les ramener de nouveau lors de mon prochain séjour chez lui. Mais moi j'hésite : pas question de me laisser prendre en sandwich, car après la séance j'ai été contrainte de faire des bains de siège pour adoucir la douleur, car j'avais eu le cul en compote.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!